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Pourquoi ce temps pourri nous plombe-t-il le moral ?

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi ce temps pourri nous plombe-t-il le moral ?
Vous vous sentez fatigué ? Irascible ? Déprimé ? C'est normal, la météo maussade qui a rythmé ce mois de mai pèse sur votre organisme. Mais pas de panique, il existe des solutions pour y remédier.
Fatigue, sautes d'humeur, morosité... Nous sommes nombreux à ressentir ces effets depuis que le soleil n'est plus au rendez-vous en ce mois de mai pluvieux. Mais peut-on lier cet état à la météo ? Peut-on l'expliquer biologiquement ? Francetv info fait le point.

"Les saisons, avec leurs variations de lumière et de température, ont un impact sur le corps humain. Les changements météorologiques ont ce même effet et certaines personnes sont plus sensibles que d'autres", explique Hervé Montès, psychiatre et président de l'Association française de thérapie comportementale et cognitive (AFTCC). Celles-ci auront tendance à souffrir d'une sensation de fatigue, d'un repli sur soi, d'une baisse de moral... A l'origine de ces symptômes, des facteurs biologiques, mais aussi psychologiques. Et évidemment quelques remèdes et solutions.

Le manque de lumière joue sur nos hormones

Comment le mauvais temps pèse-t-il sur notre moral ? C'est la luminosité, plus que la chaleur, qui entre en jeu. "Il s’agit d'une question d'exposition lumineuse et de mélatonine", explique le psychiatre. Cette hormone, sécrétée la nuit, régule notre horloge biologique interne, notre sommeil, et donc notre humeur, nos performances physiques et intellectuelles. "Trop de lumière durant la nuit va retarder ou diminuer cette sécrétion, ajoute Hervé Montès. De la même façon, même si cela peut paraître paradoxal, un manque de lumière dans la journée entraîne une surproduction de mélatonine." D'où la fatigue ou la somnolence qui peuvent conduire à la dépression saisonnière.

Autre hormone en jeu : le cortisol. Le corps multiplie sa production quand il est en manque de lumière, et cela joue fortement sur le niveau de stress. Ceci peut expliquer l'agressivité et l'impatience de certaines personnes confrontées à un temps morose.

Mais malgré les efforts des scientifiques, une corrélation directe entre mauvais temps et dépression n'est pas forcément prouvée. David Watson, professeur de psychologie à l’université de l’Iowa et spécialiste américain de l’humeur, a réalisé plusieurs études sur la possible corrélation entre baisse de la pression atmosphérique et entrées aux urgences de dépressifs. Il n'a pourtant jamais trouvé de lien tangible entre les deux.

Le facteur psychologique

La dépression saisonnière a également des composantes psychologiques, comme l'explique Hervé Montès : "Plus il pleut, moins on sort, et plus on perd donc le contact social dont l'être humain se nourrit pour son bien-être." Le sentiment d'appartenance à la communauté tout comme la solitude ont de forts impacts sur nos humeurs.

"La morosité s'installe et est contagieuse parmi la population. Si certains ne sont pas particulièrement atteints par la montée des eaux, les messages de détresse, les interventions des secours, les images des rescapés sont des éléments de nature à rendre l'atmosphère pesante", ajoute Serge Bornstein, neuropsychiatre. Et ceci est d'autant plus vrai pour les personnes âgées ou déjà souffrantes.

Autre facteur avancé : nos attentes trop élevées par rapport à la réalité. "En atteignant les derniers mois du printemps, on a l'impression d'avoir passé un contrat moral avec la nature. Du coup, on vit les mois de mai 'pourris' comme des injustices", poursuit-il.

Des parades efficaces

Si la météo est annoncée plus clémente pour la fin de la semaine, les deux spécialistes donnent néanmoins quelques pistes pour éviter les coups de mou lors des prochains épisodes climatiques déprimants. "La meilleure recette pour éviter le stress chronique reste le sport", indique Hervé Montès. Laisser ses tracas au vestiaire, et se focaliser sur soi, en transpirant, permet de devenir plus endurant et d'éliminer beaucoup de toxines.

Et si le mauvais temps s'installe pour de bon et que vous voulez éviter la dépression saisonnière, les médecins conseillent la luminothérapie, une exposition de 40 minutes à une heure à une lumière blanche permet de combler son déficit de soleil. Ceci permet de leurrer votre corps qui produira ainsi les fameuses hormones qui jouent avec vos humeurs.

Côté alimentation, les spécialistes conseillent de privilégier les aliments riches en vitamine C ou les épices comme le safran ou le gingembre, qui stimulent l’intellect, combattent la fatigue et soutiennent le système immunitaire. La vitamine D est naturellement fabriquée par notre organisme au niveau de notre peau sous l’influence des UV. On peut combler son déficit en utilisant des compléments alimentaires ou de l'huile de foie de morue, des poissons gras, des jaunes d’œufs ou du beurre.

chico.

chico.

Comme nous attendons tous avec impatience le soleil qui ne vient pas le moral s'en ressent forcément .

Josué

Josué
Administrateur

le mauvais temps joue sur le prix des oranges.
Mauvaise météo oblige, en un mois et demi les cours du jus d’orange ont enregistré une hausse de près de 40%.

On s'en doutait, c'est confirmé : il faut éviter de mettre beaucoup d'eau dans son jus d'orange. Entre le 22 avril et le 7 juin, les cours du jus de fruit préféré des Français (avec 47% de parts de marché en 2014 ) sont passés de 1,22 dollars par livre à 1,7 dollars par livre soit une hausse en quasi ligne droite de près de 40%.

La raison de cette envolée : la météo. Dans un premier temps ce sont les pluies intensives au Brésil, premier producteur mondial, qui ont soutenu les cours. Depuis une semaine, les précipitations en Floride _ les Etats-Unis sont le n°2 mondial _ ont pris le relais. En abîmant les plantes, elles ont provoqué une seconde phase de hausse (+19% depuis mardi dernier) estime Donald Keeney, spécialiste américain pour MDA Weather Services, basé dans le Maryland.

"Les cours sont surachetés, la hausse a été rapide et une résistance majeure est en train d'être travaillée. La hausse pourrait donc connaître une pause, voire une consolidation à partir de ce seuil historique à 1,678 dollars par livre, datant d'avril 2014", explique Nicolas Chéron, stratégiste pour CMC Markets (voir ci-dessous).


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/0211008459415-marches-la-pluie-allonge-les-cours-du-jus-dorange-2004756.php?DlxyPoVlV4ViJWDW.99#xtor=RSS-2005

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Hier à la télé un reportage disait que même les vaches ne voulait plus sortirent de l'étable à causse du mauvais temps et de ce fait il produisaient moins de lait.
Comme quoi même les animaux ressentent le mauvais temps.

Josué

Josué
Administrateur

En 2016, Paris a connu son printemps le plus pluvieux depuis 150 ans
Le printemps 2016 a été le plus arrosé depuis 1873, date à laquelle les premières mesures ont été effectuées, explique Météo France.
Paris a connu son printemps le plus pluvieux depuis le début des mesures, il y a 150 ans, a confirmé lundi Météo-France, lundi 20 juin. Avec 320 mm de pluie, mesurés à la station de Montsouris, le précédent record qui datait de 1928 (277 mm) a été battu.

Même sans le pic de précipitations de la fin mai (près de 100 mm), à l'origine de la crue exceptionnelle de la Seine, ce printemps aurait tout de même figuré parmi les plus pluvieux, du fait d'averses régulières, a indiqué l'organisme météorologique.

Le Centre et l'Est exceptionnellement touchés eux-aussi

Ce printemps aura été exceptionnellement arrosé en région parisienne, mais aussi dans le Centre - deux zones touchées par d'importantes inondations -, et sur une part de la Bourgogne et de l'Alsace.

A l'origine de ce long tunnel météorologique, la persistance de "conditions plus dépressionnaires que la normale sur l'Europe centrale et de l'ouest", avec des anticyclones bloqués au sud des Açores d'une part et sur les hautes latitudes, près de l'Islande d'autre part, explique Etienne Kapikian, prévisionniste à Météo-France. En revanche, les régions méditerranéennes mais aussi la Bretagne auront eu un printemps légèrement plus sec que la normale.

Josué

Josué
Administrateur

Pluies, grisaille, orages, températures en-dessous des normales de saison et même inondations ont marqué ce mois de juin 2016. Découvrez enfin pourquoi !
Le mois de juin est sur le point de s’achever, laissant derrière lui un goût amer. En effet, au lieu des traditionnels premiers rayons de soleil et premières journées d’été, les Français, et notamment ceux de la moitié nord, ont eu droit à de la pluie, parfois même des inondations, mais aussi de la grisaille, des orages et des températures basses pour la saison.

Plusieurs éléments responsables
La faute à plusieurs éléments, explique RTL qui a interrogé le météorologiste Lionel Savayre : l’anticyclone des Açores et les dépressions qui arrivent de l’Ouest. Le premier n’aurait "pas bien fait son boulot" en ne se déplaçant pas vers l’Europe de l’Ouest, tandis que les secondes qui se forment sur l’Atlantique nord se trouvent actuellement au-dessus de l’Hexagone alors qu’elles "n’ont rien à (y) faire". "Habituellement dans une saison standard, elles tendent à circuler un peu plus au nord qu'actuellement. En ce mois de juin elles débordent un peu plus que d'habitude sur la France avec des passages pluvieux, des averses orageuses associées", a détaillé l’employé de Météo France à Rennes.

A lire aussi – Météo France : doit-on craindre un été pourri ?

Une situation liée au réchauffement climatique, s’interroge la radio. Oui et non, répond le météorologiste qui préfére parler de la "variabilité classique du climat", sans toutefois exclure que ces changements soient liés à des "phénomènes lointains" découlant eux-mêmes du réchauffement climatique.

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