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La célébration de Pâques

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philippe83
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Josué
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1La célébration de Pâques  Empty La célébration de Pâques Lun 18 Avr - 17:28

Josué

Josué
Administrateur

La célébration de Pâques a été fixée au dimanche suivant la pleine lune après l'équinoxe de printemps, d'après un calcul savant (comput) établi au concile oecuménique de Nicée (325) qui prend en compte la date supposée de la résurrection. En conséquence, elle varie d'une année sur l'autre. Qui plus est, les commémorations orthodoxe et catholique sont le plus souvent décalées de quelques jours suite à la réforme du calendrier par le pape en 1582.
Avant la fête de Pâques, qui commémore la résurrection du Christ, les chrétiens vivent traditionnellement une période consacrée à la prière, au partage et à la pénitence : le Carême (le mot vient du latin quadragesima dies qui signifie quarantième jour, car cette période dure quarante jours, non compris les dimanches).
Pâque juive, crucifixion et résurrection
Rappelons que la Pâque juive (au singulier) célèbre la fuite d'Égypte et la sortie de l'esclavage, selon le livre de l'Exode, dans la Bible. Le mot vient de l'hébreu Pesah ou Pessah qui signifie passage.

Au moment de s'enfuir d'Égypte sous la conduite de Moïse, les Hébreux se contentèrent de pain sans levain pour ne pas perdre de temps. Depuis lors, chaque année, la Pâque est l'occasion pour les juifs de commémorer cet événement. Le pain azyme (du grec a- privatif et zymé, levain) s'inscrit encore parmi les rituels de cette fête, ainsi que les herbes amères et l'agneau des bergers.

Jésus-Christ, sa Passion et sa résurrection
Pâques (avec un s) est devenu la fête la plus importante dans toutes les religions chrétiennes car elle commémore la résurrection du Christ.
http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=300409
C'est l'église qui a imposée que Pâques SERAIT TOUJOURS UN DIMANCHE. dans la bible pâque ne s'ecrit jamais un S.

samuel

samuel
Administrateur

c'est le résultat d'avoir fait passé la tradition avant les écritures. les chrétiens ne sont même pas d'accord entre eux.

Josué

Josué
Administrateur

origine des oeufs de pâques.
Chez les chrétiens…
L’Eglise reprit à son compte ces traditions païennes. A la date de Pâques, les chrétiens avaient en effet l’habitude de s’offrir des œufs, généralement teints en rouge.
Par exemple à Paris, le jour de Pâques, au XIIIème siècle,les clercs des églises, les étudiants de l’Université ainsi que les jeunes gens des différents quartiers s’assemblaient sur les places publiques et formaient un long cortège en tête duquel on retrouvait bannières, tambours et trompettes. Ils se rendaient en choeur sur le parvis de l’église cathédrale, où ils chantaient une partie de l’office appelée "Laudes" puis ils s’éparpillaient dans les rues où ils faisaient la quête des oeufs de Pâques.
De plus,des textes rapportent qu’à Versailles Louis XIV distribuait à la sortie de la messe de Pâques, à ses courtisans aussi bien qu’à ses serviteurs, des panières entières remplies d’œufs peints à la feuille d’or.

samuel

samuel
Administrateur

dans le journal le Dauphiné il est mit pour aujourd'hui plus l'accent sur les oeufs de Pâques que sur la signification spirituel que cette fête est sensé représenter.
[img]La célébration de Pâques  Pques001 [/img]

samuel

samuel
Administrateur

[img]La célébration de Pâques  Pques2001 [/img]

Josué

Josué
Administrateur

je connais l'expres​sion(Pâques au balcon) mais pas Pâques au canon. Very Happy

alexandre



Les chrétiens du 1er siècles célébraient la Pâques plusieurs par an.


La TMN rend Actes 2,46 ainsi "46 Et jour après jour ils étaient assidus au temple, d’un commun accord, et ils prenaient leurs repas dans des maisons particulières et recevaient leur part de la nourriture avec grande joie et sincérité de cœur"

Cette façon de rendre ce verset, sans mention de la "fraction du pain", laisse à penser que les menbres de la communauté de Jérusalem prenaient de simple repas sans connotation rituel ou liturgique.

Segond : "Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de coeur"

Bible de Jérusalem :" Jour après jour, d'un seul cœur, ils fréquentaient assidûment le Temple et rompaient le pain dans leurs maisons, prenant leur nourriture avec allégresse et simplicité de cœur."

L'auteur des Actes semble ainsi faire référence à une pratique quotidienne connue de ses lecteurs : en plus de la prière quotidienne au Temple, la communauté se rassemblait pour « rompre le pain dans les maisons. »
Dans Ac 2,46 la fraction du pain et le partage d’un repas sont distingués : « ils rompaient le pain à domicile, prenant leur nourriture dans l’allégresse et la simplicité de cœur » (Ac 2,46). L’expression ne peut donc pas vouloir simplement dire « prendre un repas. »
De plus le v 42 dit : "Ils se montraient assidus à l'enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières"

Les menbres de la communauté étaient "assidus" à la fraction du pain comme ils étaient "assidus" à la prière, ce qui montre que cette pratique n'était pas juste un "simple" repas.

samuel

samuel
Administrateur

Jésus quand il à multiplié les pains qu'a t'il fait juste avant?

alexandre




Jésus quand il à multiplié les pains qu'a t'il fait juste avant?

Je ne sais pas .... quel rapport avec mon argumentation ? Rolling Eyes

Josué

Josué
Administrateur

alors vérifie et tu le sauras.
rompe le pain se faisait tous les jours à cette époque.

alexandre




alors vérifie et tu le sauras.

OK et Merci ... je continue ma demonstration qui vise à prouver que l'eucharistie se déroulait 1 fois par semaine, le dimanche.

Dans Actes 20,7 ("Le premier jour de la semaine, nous étions réunis pour rompre le pain ; Paul, qui devait partir le lendemain, s'entretenait avec eux. Il prolongea son discours jusqu'au milieu de la nuit"), on peut noter l'expression "nous étions réunis pour rompre le pain", l'assemblée était prévue pour accomplir ce rituel de la "fraction du pain". Le fait que le texte précise "le premier jour de la semaine" est significatif d'une réunion organisée à date fixe.

Le v 11 ("Puis il remonta, rompit le pain et mangea ; longtemps encore il parla, jusqu'au point du jour. C'est alors qu'il partit") souligne qu'aprés la résurrection d’Eutyche, Paul reprendre le rituel qui est constitué par un long discours de l'apôtre.

Josué

Josué
Administrateur

pourquoi tu ne veux pas répondre sur l'épisode de la multiplication des pains? Tu as peur d'y découvrir quelque chose qui ne va pas dans ton sens ?

alexandre




pourquoi tu ne veux pas répondre sur l'épisode de la multiplication des pains? Tu as peur d'y découvrir quelque chose qui ne va pas dans ton sens ?

Je ne vois pas à quoi vous faites allusion, si vous voulez argumentez à partir de la multiplication des pains, faites le .... je n'aime pas les devinettes;

En ce qui me concerne je démontre, je prouve.

Dans Actes 20,7 ("Le premier jour de la semaine, nous étions réunis pour rompre le pain ; Paul, qui devait partir le lendemain, s'entretenait avec eux. Il prolongea son discours jusqu'au milieu de la nuit"), on peut noter l'expression "nous étions réunis pour rompre le pain", l'assemblée était prévue pour accomplir ce rituel de la "fraction du pain". Le fait que le texte précise "le premier jour de la semaine" est significatif d'une réunion organisée à date fixe.

Le v 11 ("Puis il remonta, rompit le pain et mangea ; longtemps encore il parla, jusqu'au point du jour. C'est alors qu'il partit") souligne qu'aprés la résurrection d’Eutyche, Paul reprendre le rituel qui est constitué par un long discours de l'apôtre.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Et puis notre ami devrait lire la BFC qui va dans le même sens que la Tmn en Actes 2:42 puisque nous lisons:"...à vivre dans la communion fraternelle A PRENDRE PART AUX REPAS COMMUNS et à participer aux prières"!

Le comité de traduction de la BFC QUI VA DANS LE SENS DE LA TMN, c'est comme même pas mal!

Bien sur Alexandre va trouver à redire car il critique tellement la Tmn UNIQUEMENT! Eh bien qu'il écrive au comité de la Bfc pour lui demander pourquoi il a traduit comme la Tmn alors que la Bfc fût traduite APRES LA TMN!

Franchement critiquer SEULEMENT LA TMN EST DEVENUE UNE HABITUDE, UNE SPECIALITE DE NOS amis Alexandre et Jean....
On n'appelle cela du parti-pris n'est-ce pas??

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Et dans Mat 14:19 comment faut-il comprendre ???
Est-ce que "rompre les pains" est lié à la pâque?
Et en Actes 2:46 comment il faut comprendre???
A+

Josué

Josué
Administrateur

mais que se soit Jésus ou un autre quidam rompre le pain n'as pas toujours le sens de communion comme les catholiques les pensent.c'est pas forcément un rite religieux.
(Luc 24:30) 30 Et comme il était étendu à table avec eux, il prit le pain, le bénit, et, l’ayant rompu, il le leur remettait.
alexandre va nous dire ici que Jésus instituait la messe.

alexandre



Le comité de traduction de la BFC QUI VA DANS LE SENS DE LA TMN, c'est comme même pas mal!

La question de la traduction est secondaire.

Les textes que j'ai cité prouve sans contestation possible que que l'eucharistie se déroulait 1 fois par semaine, le dimanche.

Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", l'assemblée était prévue pour accomplir ce rituel de la "fraction du pain" et "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche.

Actes 2,42 : "Ils se montraient assidus à l'enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières"

Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

Actes 2,46 : " Et jour après jour ils étaient assidus au temple, d’un commun accord, et ils prenaient leurs repas dans des maisons particulières et recevaient leur part de la nourriture avec grande joie et sincérité de cœur"

Il y a 2 actions, selon Segond 1) "ils rompaient le pain dans les maisons" et 2) "prenaient leur nourriture avec joie" ... on distingue bien le simple repas du rituel.



Le passage de 1 Cor 11 qui est le plus parlant à mes yeux, surtout quand on le lit en entier: il faut vraiment y mettre une sacrée dose de "bonne volonté" pour réussir à lire dans ce passage autre chose qu'une recommandation pour la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an. Encore une fois, si Paul avait vraiment voulu parler d'une réunion si exceptionnelle, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il ne sait pas être clair lorsqu'il écrit!

1 Cor 11,20 ss : "Lors donc que vous vous réunissez en commun, ce n'est plus le Repas du Seigneur que vous prenez ... Vous n'avez donc pas de maisons pour manger et boire ? .... Chaque fois en effet que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne."

samuel

samuel
Administrateur

Le pain, à l’époque, consistait généralement en gâteaux fins. Le pain azyme était également craquant. On ne coupait pas le pain, on le rompait, ce qui donna naissance à l’expression “ rompre le pain ”, qui désigne souvent la participation à un repas normal.

alexandre



Et dans Mat 14:19 comment faut-il comprendre ???
Est-ce que "rompre les pains" est lié à la pâque?

OUI !!!

Fraction du pain et repas du Seigneur : deux expressions indissociables, suffisant l’une et l’autre à évoquer l’Eucharistie.

Luc, dans les Actes des Apôtres, parle de la pratique de la « fraction du pain » comme de l’une des caractéristiques de la vie de la communauté chrétienne fondée par l’effusion de l’Esprit à Jérusalem (Ac 2,42. 46 ; 20,7.11.35).

À la lumière de son « premier livre, consacré à tout ce que Jésus a fait et enseigné », l’expression est particulièrement significative, puisque c’est précisément au geste de la « fraction du pain » que les disciples qui ont fait halte pour se restaurer au village d’Emmaüs reconnaissent le Ressuscité dans celui qui est venu au-devant d’eux tandis qu’ils cheminaient tristement (Lc 24,30-31.35).


Ce rite inaugural du repas est toujours rapporté dans ses gestes successifs et non pas évoqué seulement pas l’un d’entre eux :

– Lc 9,16 : « Jésus prit les cinq pains et les deux poissons et, levant les yeux vers le ciel, il prononça sur eux la bénédiction, les rompit, et il les donnait aux disciples pour les offrir à la foule. »

alexandre




Le pain, à l’époque, consistait généralement en gâteaux fins. Le pain azyme était également craquant. On ne coupait pas le pain, on le rompait, ce qui donna naissance à l’expression “ rompre le pain ”, qui désigne souvent la participation à un repas normal.

Ridicule !!!

Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", l'assemblée était prévue pour accomplir ce rituel de la "fraction du pain" et "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche.

Actes 2,42 : "Ils se montraient assidus à l'enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières"

Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

Le rituel devarit vous sautez au yeux !!!

Par le partage des morceaux se faisait la communauté de table. Les convives ne faisaient désormais plus qu’un et Dieu, donateur, était considéré présent.

Le geste est souvent noté pour désigner, non pas le fait de prendre un repas mais le rite de « rompre la galette de pain » qui ouvre le repas. « Le père de famille se relève de sa position étendue, prend, tout en étant assis, un gâteau de pain azyme et prononce sur lui (au nom de tous) la formule de louange : “Sois béni, Éternel notre Dieu, Roi de l’univers, toi qui fais sortir le pain de la terre”. Les commensaux s’approprient la louange par “Amen”. C’est seulement après que l’Amen a été prononcé que le père de famille détache pour chaque convive un morceau de gâteau ayant la taille d’une olive. Le morceau doit passer de main en main jusqu’au convive le plus éloigné. Finalement il rompt pour lui-même et donne par là le signal aux convives de manger également » (J. Jeremias, « L’influence de la liturgie sur la tradition des textes de la Cène », La dernière Cène, les paroles de Jésus (LD 75), Paris, Cerf, 1972, p. 124s.).



Le rythme est au moins hebdomadaire -- "le premier jour de la semaine", hè mia tôn sabbatôn, c'est le dimanche, jour de la résurrection dans les quatre évangiles, celui qui va s'appeler kuriakè (hèmera), (jour) "seigneurial" ou "dominical", dans la Didachè et l'Apocalypse, du même adjectif qui qualifie déjà la "Cène", "dîner dominical", en 1 Corinthiens 11.

Josué

Josué
Administrateur

non tout a fait exacte c'est toi qui est ridicule dans tes affirmations.


on moulait le grain et on cuisait le pain chaque jour. Ce pain était souvent azyme (héb. : matstsah). On mélangeait simplement l’eau et la farine, sans ajouter de levain avant de pétrir la pâte. Pour faire du pain levé, on prenait habituellement comme levain un morceau de pâte conservé lors de la panification précédente, qu’on émiettait dans l’eau avant d’y ajouter la farine. On pétrissait ce mélange et on le laissait reposer jusqu’à ce qu’il lève. — Ga 5:9 ;
Le pain était souvent de forme ronde (Jg 7:13 ; 1S 10:3 ; Jr 37:21). D’ailleurs, le terme hébreu kikkar (“ miche ”) désigne littéralement “ quelque chose de rond ”. (1S 2:36.)
quand Jésus à nourris 5000 personnes il à rompit le pain pour le distribuer.ce n'était pas la une cérémonie religieuse.

agecanonix

agecanonix

Rompre le pain était une expression populaire.
En hébreu on la retrouve en Jérémie 16:7.



Josué

Josué
Administrateur

Agecanonix a écrit:Rompre le pain était une expression populaire.
En hébreu on la retrouve en Jérémie 16:7.




7 Pour eux, on ne rompra pas (le pain) Pour consoler celui qui porte le deuil au sujet d’un mort, Et l’on n’offrira pas pour eux la coupe de consolation Pour un père ou pour une mère.
d'après l'encyclopédique de la bible ( catholique) page 1310 il est dit
le pain n'était pas coupé au couteau , mais rompu avec les mains 'Is 58,7 .fraction du pain .le pain servait aussi dans le culte...manger du pain avec quelqu'un signifie;prendre un repas ou un festin avec lui

7 N’est–ce pas que tu rompes ton pain à celui qui a faim, et que tu fasses entrer chez toi les malheureux sans asile ; si tu vois un homme nu, que tu le couvres, et que tu ne te détournes point de celui qui est ta propre chair ?

alexandre



Rompre le pain était une expression populaire.
En hébreu on la retrouve en Jérémie 16:7.

Agecanonix,

Vous occultez tous les textes que j'ai cité .... vous les rejetez d'un revers de la main, c'est le plus sûr moyen de ne pas les voir et de les ignorer ... belle lecture selective de la Bible;

1) Loin d'être une expression populaire, la fraction de pain était un rituel.

Elle est évoquée une seule fois à propos d’une cérémonie accomplie dans la maison où quelqu’un vient de mourir : une offrande rituelle de pain et de vin était effectuée dans le but de ramener, en quelque sorte, la famille touchée par la mort, et spécialement le nouveau chef de famille, dans le monde des vivants et de les réconforter. Pour faire comprendre à Israël qu’il est un peuple infidèle et lui signifier l’urgence de sa conversion, Dieu demande au prophète Jérémie de ne pas aller dans la maison où on se réunit pour un deuil et de ne pas accomplir ce rite : « On ne rompra pas le pain pour qui est dans le deuil, pour le consoler au sujet d’un mort ; on ne lui offrira pas la coupe de consolation pour son père ou sa mère » (Jr 16,7).


2) Questions

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?

Je n'attends pas de réponse .... vous n'y répondrais pas de toute façon !!!

Josué

Josué
Administrateur

et toi tu fait fis de ma citation tiré du dictionnaire catholique sur la définition de rompre le pain.
avec toi c'est toujours à sens unique c'est que ce que tu dis qui est vrais les aurtres c'est quantités négligeables.

alexandre




et toi tu fait fis de ma citation tiré du dictionnaire catholique sur la définition de rompre le pain.
avec toi c'est toujours à sens unique c'est que ce que tu dis qui est vrais les aurtres c'est quantités négligeables.

Votre citation n'apporte rien au débat !!!!!

Dans le judaïsme la "fraction" de pain ou "rompre" le pain a un sens religieux.

Le geste est souvent noté pour désigner, non pas le fait de prendre un repas mais le rite de « rompre la galette de pain » qui ouvre le repas. « Le père de famille se relève de sa position étendue, prend, tout en étant assis, un gâteau de pain azyme et prononce sur lui (au nom de tous) la formule de louange : “Sois béni, Éternel notre Dieu, Roi de l’univers, toi qui fais sortir le pain de la terre”. Les commensaux s’approprient la louange par “Amen”. C’est seulement après que l’Amen a été prononcé que le père de famille détache pour chaque convive un morceau de gâteau ayant la taille d’une olive. Le morceau doit passer de main en main jusqu’au convive le plus éloigné. Finalement il rompt pour lui-même et donne par là le signal aux convives de manger également » (J. Jeremias, « L’influence de la liturgie sur la tradition des textes de la Cène », La dernière Cène, les paroles de Jésus (LD 75), Paris, Cerf, 1972, p. 124s.).

Par le partage des morceaux se faisait la communauté de table. Les convives ne faisaient désormais plus qu’un et Dieu, donateur, était considéré présent.





Questions

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?

Je n'attends pas de réponse .... vous n'y répondrais pas de toute façon !!!

Josué

Josué
Administrateur

cette citation à le mérite d'expliqué que rompre le pain n'a pas uniquement un sens religieux.
mais comme tu es assez obtus tu ne veux rien savoir.

alexandre




cette citation à le mérite d'expliqué que rompre le pain n'a pas uniquement un sens religieux.
mais comme tu es assez obtus tu ne veux rien savoir.

Lisez-vous mes posts ? No

Lisez "attentivement" ce qui suit (faites un effort SVP :

Dans le judaïsme la "fraction" de pain ou "rompre" le pain a un sens religieux.

Le geste est souvent noté pour désigner, non pas le fait de prendre un repas mais le rite de « rompre la galette de pain » qui ouvre le repas. « Le père de famille se relève de sa position étendue, prend, tout en étant assis, un gâteau de pain azyme et prononce sur lui (au nom de tous) la formule de louange : “Sois béni, Éternel notre Dieu, Roi de l’univers, toi qui fais sortir le pain de la terre”. Les commensaux s’approprient la louange par “Amen”. C’est seulement après que l’Amen a été prononcé que le père de famille détache pour chaque convive un morceau de gâteau ayant la taille d’une olive. Le morceau doit passer de main en main jusqu’au convive le plus éloigné. Finalement il rompt pour lui-même et donne par là le signal aux convives de manger également » (J. Jeremias, « L’influence de la liturgie sur la tradition des textes de la Cène », La dernière Cène, les paroles de Jésus (LD 75), Paris, Cerf, 1972, p. 124s.).

Par le partage des morceaux se faisait la communauté de table. Les convives ne faisaient désormais plus qu’un et Dieu, donateur, était considéré présent.





Questions

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?

Je n'attends pas de réponse .... vous n'y répondrais pas de toute façon !!!

Josué

Josué
Administrateur

lis tu seulement nos réponses?
c'est le monde a l'envers avec toi.
tu veux mener le bal mais tu ne sais même pas danser .
donc rompre le pain n'a pas un forcément un rite religieux.tu peux comprendre cela ?
(Luc 24:28-30) 28 Finalement ils arrivèrent près du village où ils se rendaient et il fit comme s’il allait plus loin. 29 Mais ils firent pression sur lui, en disant : “ Reste avec nous, parce que le soir arrive et le jour a déjà décliné. ” Là-dessus il entra pour rester avec eux. 30 Et comme il était étendu à table avec eux, il prit le pain, le bénit, et, l’ayant rompu, il le leur remettait [...]
et là c'est une cérémonie religieuse ou un souper entre compagons ?

alexandre




lis tu seulement nos réponses?
c'est le monde a l'envers avec toi.
tu veux mener le bal mais tu ne sais même pas danser .
donc rompre le pain n'a pas un forcément un rite religieux.tu peux comprendre cela ?
(Luc 24:28-30) 28 Finalement ils arrivèrent près du village où ils se rendaient et il fit comme s’il allait plus loin. 29 Mais ils firent pression sur lui, en disant : “ Reste avec nous, parce que le soir arrive et le jour a déjà décliné. ” Là-dessus il entra pour rester avec eux. 30 Et comme il était étendu à table avec eux, il prit le pain, le bénit, et, l’ayant rompu, il le leur remettait [...]
et là c'est une cérémonie religieuse ou un souper entre compagons ?

Non seulement je vous lis mais je vous répond, alorsque mes questions restent sans réponses (j'ai l'habitude) et mes arguments sont souvent ignorés.

Par le partage des morceaux se faisait la communauté de table. Les convives ne faisaient désormais plus qu’un et Dieu, donateur, était considéré présent.

Dans les évangiles ce rite inaugural du repas est toujours rapporté dans ses gestes successifs et non pas évoqué seulement pas l’un d’entre eux :

– Lc 9,16 : « Jésus prit les cinq pains et les deux poissons et, levant les yeux vers le ciel, il prononça sur eux la bénédiction, les rompit, et il les donnait aux disciples pour les offrir à la foule. »

– Lc 24,30 : « Or, quand il se fut mis à table avec eux, il prit le pain, prononça la bénédiction, le rompit et le leur donna. »

Dans les Actes des Apôtres, Luc emploie l’expression « la fraction du pain » ou « rompre le pain » de manière absolue ; de plus, dans le sommaire d’Ac 2,42-46 qui décrit la vie de la première communauté, la fraction du pain et le partage d’un repas sont distingués : « ils rompaient le pain à domicile, prenant leur nourriture dans l’allégresse et la simplicité de cœur » (Ac 2,46). L’expression ne peut donc pas vouloir simplement dire « prendre un repas. », mais c'est un terme rituel lié à l’Eucharistie.

Questions

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?

Josué

Josué
Administrateur

tu éludeS ma question par d'autres versets.
dans LUC 24 et il question Jésus fasse la cène?

alexandre




tu éludeS ma question par d'autres versets.
dans LUC 24 et il question Jésus fasse la cène?

Vous ne comprenez pas mes explications .... que puis-je y faire ? Crying or Very sad

Les Actes décrivent clairement le rites de la fraction de pain, l'évangile de Luc annonce et prépare ce rite inaugural du repas en rapportant differents faits où Jésus pratique déjà la fraction dans ses gestes successifs et non pas évoqué seulement pas l’un d’entre eux :

– Lc 9,16 : « Jésus prit les cinq pains et les deux poissons et, levant les yeux vers le ciel, il prononça sur eux la bénédiction, les rompit, et il les donnait aux disciples pour les offrir à la foule. »

– Lc 24,30 : « Or, quand il se fut mis à table avec eux, il prit le pain, prononça la bénédiction, le rompit et le leur donna. »

Comprenz-vous ? Rolling Eyes .... j'en doute !!!

Un TdJ courage peut-il répondre à ces questions SVP (Philippe 83) ?

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?


... comprenez-vous ? Rolling Eyes

Josué

Josué
Administrateur

c'est toi qui ne comprend pas ou plutôt ne veux pas comprendre car rompre le pain n'était pas un rite religieux .quand Jésus a fait cela devant 5000 personnes il n'instituait pas un rite car c'était là un manière de faire habituel chez les juifs.

alexandre




c'est toi qui ne comprend pas ou plutôt ne veux pas comprendre car rompre le pain n'était pas un rite religieux .quand Jésus a fait cela devant 5000 personnes il n'instituait pas un rite car c'était là un manière de faire habituel chez les juifs.

Profession de foi gratuite et sans preuve !!!!


Un TdJ courage peut-il répondre à ces questions SVP (Philippe 83) ?

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?

chico.

chico.

Rompre le pain n’est pas un geste inventé par Jésus. Ce geste est accompli par le père de famille à tous les repas religieux les jours de shabbat .
Expression familière aux Hébreux pour dire manger du pain, ou même faire un repas. (Esa 48 :7 Jer 16 :7 La 4 :4).La raison naturelle et littérale de ces expressions vient de ce que les Hébreux, dans la Palestine, de même que les Syriens, les Arabes et les Egyptiens, cuisent ordinairement leur pain fort mince, en sorte qu'ils n'ont pas besoin de couteaux pour le couper. Ils le mangent frais, et le rompent avec les doigts.

alexandre



Rompre le pain n’est pas un geste inventé par Jésus. Ce geste est accompli par le père de famille à tous les repas religieux les jours de shabbat .

Justement la fraction de pain a donc un sens rituel ... vous ne vous rendez même pas compte que votre citation prouve mes explications.

Dans le judaïsme la "fraction" de pain ou "rompre" le pain a un sens religieux.

Le geste est souvent noté pour désigner, non pas le fait de prendre un repas mais le rite de « rompre la galette de pain » qui ouvre le repas. « Le père de famille se relève de sa position étendue, prend, tout en étant assis, un gâteau de pain azyme et prononce sur lui (au nom de tous) la formule de louange : “Sois béni, Éternel notre Dieu, Roi de l’univers, toi qui fais sortir le pain de la terre”. Les commensaux s’approprient la louange par “Amen”. C’est seulement après que l’Amen a été prononcé que le père de famille détache pour chaque convive un morceau de gâteau ayant la taille d’une olive. Le morceau doit passer de main en main jusqu’au convive le plus éloigné. Finalement il rompt pour lui-même et donne par là le signal aux convives de manger également » (J. Jeremias, « L’influence de la liturgie sur la tradition des textes de la Cène », La dernière Cène, les paroles de Jésus (LD 75), Paris, Cerf, 1972, p. 124s.).

Par le partage des morceaux se faisait la communauté de table. Les convives ne faisaient désormais plus qu’un et Dieu, donateur, était considéré présent.



Un TdJ courage peut-il répondre à ces questions SVP (Philippe 83) ?

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?

chico.

chico.

pas forcément ce geste il était fait plusieurs fois par jour à chaque repas.
les orientaux qui faisaient n'y voyaient pas forcément un sens religieux.

alexandre




pas forcément ce geste il était fait plusieurs fois par jour à chaque repas.
les orientaux qui faisaient n'y voyaient pas forcément un sens religieux.


Dans le judaïsme la "fraction" de pain ou "rompre" le pain a un sens religieux.

Le geste est souvent noté pour désigner, non pas le fait de prendre un repas mais le rite de « rompre la galette de pain » qui ouvre le repas. « Le père de famille se relève de sa position étendue, prend, tout en étant assis, un gâteau de pain azyme et prononce sur lui (au nom de tous) la formule de louange : “Sois béni, Éternel notre Dieu, Roi de l’univers, toi qui fais sortir le pain de la terre”. Les commensaux s’approprient la louange par “Amen”. C’est seulement après que l’Amen a été prononcé que le père de famille détache pour chaque convive un morceau de gâteau ayant la taille d’une olive. Le morceau doit passer de main en main jusqu’au convive le plus éloigné. Finalement il rompt pour lui-même et donne par là le signal aux convives de manger également » (J. Jeremias, « L’influence de la liturgie sur la tradition des textes de la Cène », La dernière Cène, les paroles de Jésus (LD 75), Paris, Cerf, 1972, p. 124s.).

Par le partage des morceaux se faisait la communauté de table. Les convives ne faisaient désormais plus qu’un et Dieu, donateur, était considéré présent.



Un TdJ courage peut-il répondre à ces questions SVP (Philippe 83) ?

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?

samuel

samuel
Administrateur

[quote="alexandre"]

Le pain, à l’époque, consistait généralement en gâteaux fins. Le pain azyme était également craquant. On ne coupait pas le pain, on le rompait, ce qui donna naissance à l’expression “ rompre le pain ”, qui désigne souvent la participation à un repas normal.

Ridicule !!!
ç a commence à bien faire de traiter les réponses des autres de ridicules.
il existe des ouvrage biblique qui donnent cette explication de rompre le pain.
alors je sais bien que le ridicule ne tue plus aujourd'hui mais regarde ta poutre avant de voir la paille de ton voisin.

alexandre



Un TdJ courage peut-il répondre à ces questions SVP (Philippe 83) ?

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?

Josué

Josué
Administrateur

la bible n'emploie pas l'expression le dimanche ça c'est une invention des catholiques

pour en revenir au pain
voilà ce que dit le livre vocabulaire biblique au mot pain page 215.
partager son pain ne sera pas seulement faite acte de charité, mais faire la paix avec celui à qui on l'offre .Gen 14:18,Jer 5:6,15.
donc de dire que rompre le bain c'est symboliser la céne c'est pas vrais.

alexandre



la bible n'emploie pas l'expression le dimanche ça c'est une invention des catholiques

Vous ne connaissez pas la pratique des premiers chrétiens.

Actes 20,7 "Le premier jour de la semaine, nous étions réunis pour rompre le pain ; Paul, qui devait partir le lendemain, s'entretenait avec eux. Il prolongea son discours jusqu'au milieu de la nuit"

"Le premier jour de la semaine" = Dimanche

Les textes antérieurs de Paul, de même que la pratique de l'Eglise primitive dont témoignent les Actes des apôtres et l'ensemble de la littérature ancienne (à commencer par la Didachè, sans aucune référence pascale ou "sacrificielle", voir ci-dessous), montrent bien qu'il ne s'agit pas d'une célébration annuelle. Le rythme est au moins hebdomadaire -- "le premier jour de la semaine", hè mia tôn sabbatôn, c'est le dimanche, jour de la résurrection dans les quatre évangiles, celui qui va s'appeler kuriakè (hèmera), (jour) "seigneurial" ou "dominical", dans la Didachè et l'Apocalypse, du même adjectif qui qualifie déjà la "Cène", "dîner dominical", en 1 Corinthiens 11.



donc de dire que rompre le bain c'est symboliser la céne c'est pas vrais.

1 Corinthiens 10,16s : La coupe de bénédiction, sur laquelle nous prononçons la bénédiction, n'est-ce pas une communion au sang du Christ? Le pain que nous rompons, n'est-ce pas une communion au corps du Christ? Puisqu'il y a un seul pain, nous, la multitude, nous sommes un seul corps; car nous partageons tous le même pain.


Bien que j'aie donné les références plus haut, il n'est peut-être pas inutile de préciser que tous les développements insistants des évangiles sur la "multiplication des pains" et le rassemblement des "morceaux" (klasmata, du même verbe klaô qui signifie "rompre"), "pour que rien ne se perde", sont bien sûr à rattacher au même symbolisme (ce n'est peut-être pas si évident en français où le nom "morceau" n'évoque pas le verbe "rompre").



Un TdJ courage peut-il répondre à ces questions SVP (Philippe 83) ?

- Pourquoi Actes 20,7 emploie l'expression, "nous étions réunis pour rompre le pain", "le premier jour de la semaine" c'est à dire Dimanche ?

- Pourquoi Actes 2,42 dit-il : "Ils se montraient assidus (...) à la fraction du pain et aux prières" ?
Que signifie l'expression, "se montraient assidus à la fraction de pain" ? Pourquoi "assidus" ?

- Pourquoi Le passage de 1 Cor 11 assimile-t-il l'eucharitie à la tenue DES réusinons, et pas d'UNE réunion toute spéciale qui n'a lieu qu'une fois l'an ?

Josué

Josué
Administrateur

mais tu à la tête dure rompre le pain n'est pas synonyme de rite religieux mais aussi d'agape.

alexandre




mais tu à la tête dure rompre le pain n'est pas synonyme de rite religieux mais aussi d'agape.



Les agapes sont, dans le paléochristianisme, un repas à caractère religieux, dont le but est d'entretenir l' "amour" (ἀγάπη) dans la communauté chrétienne locale.

Dans la tradition judéo-chrétienne, où il n'est pas sûr que le mot soit utilisé comme tel, on utilise le terme d' "agapes" pour signifier un repas quotidien suivi d'une forme christianisée de birkat ha-mazon; dans la tradition chrétienne dominante (non judéo-chrétienne), le terme d' "agape" est attesté (souvent au singulier) dans le sens d'un repas occasionnel de communion fraternelle accompagné de prières et se déroulant le soir. Les textes insistent sur la notion de partage avec les pauvres.

L'importance des agapes (judéo-chrétiennes) vient de l'influence qu'elles ont exercée sur la formation de la prière eucharistique. Le terme, au pluriel comme dans l'épître de Jude, 12, devrait peut-être être réservé à cette dernière notion, tandis que la forme au singulier désignerait le repas de communion fraternelle sans lien avec l'eucharistie (à l'exception de I Cor. 11).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Agapes

Les agapes, dans ce sens, sont synonymes du rite de la fraction du pain et les deux notions sont en étroit rapport avec les origines de l'eucharistie.

Josué

Josué
Administrateur

nous savons très bien ce qu'étaient les agapes .
rompre le pain ça se faisait plusieurs fois par jours et n'avait pas un caractère religieux.
c'est repartie pour un tour.
c'est bien ça anime le forum.

chico.

chico.

Dans les Actes des Apôtres, Luc emploie l’expression « la fraction du pain » ou « rompre le pain » de manière absolue ; de plus, dans le sommaire d’Ac 2,42-46 qui décrit la vie de la première communauté, la fraction du pain et le partage d’un repas sont distingués : « ils rompaient le pain à domicile, prenant leur nourriture dans l’allégresse et la simplicité de cœur » (Ac 2,46).
mais source n'est pas un moteur de recherche mais la bible tout simplement.

alexandre




Dans les Actes des Apôtres, Luc emploie l’expression « la fraction du pain » ou « rompre le pain » de manière absolue ; de plus, dans le sommaire d’Ac 2,42-46 qui décrit la vie de la première communauté, la fraction du pain et le partage d’un repas sont distingués : « ils rompaient le pain à domicile, prenant leur nourriture dans l’allégresse et la simplicité de cœur » (Ac 2,46).
mais source n'est pas un moteur de recherche mais la bible tout simplement.

Chico,

Vous n'avez pas l'air de comprendre le sens des textes que vous avez selectionné et de ne pas comprendre le sens des commentaires associés .... donc ce texte n'est pas de vous.

Essayez de 2 minutes, de réfléchir au SENS et la SIGNIFICATION de cette partie de votre message :


la fraction du pain et le partage d’un repas sont distingués : « ils rompaient le pain à domicile, prenant leur nourriture dans l’allégresse et la simplicité de cœur » (Ac 2,46).

Razz Laughing No

alexandre



nous savons très bien ce qu'étaient les agapes .
rompre le pain ça se faisait plusieurs fois par jours et n'avait pas un caractère religieux.
c'est repartie pour un tour.
c'est bien ça anime le forum

A lire attentivement :


L'importance des agapes (judéo-chrétiennes) vient de l'influence qu'elles ont exercée sur la formation de la prière eucharistique. Le terme, au pluriel comme dans l'épître de Jude, 12, devrait peut-être être réservé à cette dernière notion, tandis que la forme au singulier désignerait le repas de communion fraternelle sans lien avec l'eucharistie (à l'exception de I Cor. 11).

Les agapes, dans ce sens, sont synonymes du rite de la fraction du pain et les deux notions sont en étroit rapport avec les origines de l'eucharistie.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Agapes

samuel

samuel
Administrateur

il est question d'un repas prit dans l'allégresse et pas de la cène .

chico.

chico.

La véritable hospitalité, qui vient du cœur, est une caractéristique du vrai christianisme. Après l’effusion de l’esprit saint à la Pentecôte 33 de n. è., beaucoup de nouveaux convertis au christianisme restèrent à Jérusalem afin d’en apprendre davantage au sujet de la bonne nouvelle du Royaume avant de retourner chez eux, dans différentes régions de la terre. Les chrétiens qui vivaient à Jérusalem leur offrirent l’hospitalité en les accueillant chez eux, allant jusqu’à vendre leurs biens et décidant de tout mettre en commun (Ac 2:42-46). Plus tard, les apôtres prirent des dispositions précises pour la distribution de la nourriture aux veuves indigentes qui étaient parmi eux. — Ac 6:1-6.
pas question d'un rite religieux.

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