carine1968 a écrit:Et bien moi je retourne relire l'article de cette semaine avant la réunion...
J'aime bien la préparer en semaine et la relire le dimanche matin; j'ai toujours un tas d'idées qui me viennent!
Bonne relecture
Chez moi c'était hier soir d'où le fait que je sois déjà sur celle de la semaine prochaine.
samuel a écrit:C'est à nous de rester équilibrer sur cette question ,le danger peut être partout.
Je pense aussi qu'il faut être réaliste et ne pas perdre de vue ce que nous sommes sur le plan individuel.
Nous avons tous des défauts.
Nous les corrigeons certes, du mieux que nous pouvons certes, mais cette correction ne les fait pas disparaître, elle les estompe. Des contacts, même brefs mais qui se prolongent dans le temps de par leurs fréquences répétées, avec des personnes qui n'aiment pas Jéhovah et particulièrement les vérités qu'il nous fait connaître, finit invariablement par faire émerger un ou plusieurs défauts que l'on pensait avoir définitivement corrigé.
Sur internet, on s'imagine très souvent à tort que l'on est à l'abri. Mais à l'abri de quoi ? Des émotions que l'on éprouve lorsqu'on lit ? Bien sûr que non ! On est à l'abri de ce qu'une personne peut physiquement nous faire mais pas sur le plan émotionnel et de la personnalité.
Et force est de constater que même en ayant un point de vue équilibré sur cette question - qui s'exprime généralement en terme de consommation - cinq minutes par jour peuvent suffire à faire naître, ou renaître, des éléments négatifs de notre personnalité que l'on pensait enterré. C'est un peu comme une personne qui boit un verre ou deux le soir, tous les jours à la même heure, et comme ça pendant des années et qui finit, sans s'en rendre compte par être alcoolique parce que devenu incapable de se passer de ce verre quotidien.
Comme tu le dis, le danger est partout. En revanche, il n'est pas uniquement à l'extérieur, il est aussi à l'intérieur de nous-mêmes car nous sommes tous imparfaits. De cet ennemi intérieur, très souvent, on y fait pas très attention et avant qu'on s'en rende compte... hop! on s'est piégé tout seul.
EDIT:Je finirais en disant que chacun, nous sommes à la fois notre meilleur ami(e) et notre plus mauvais ami(e). Par exemple, je n'aie besoin de personne pour faire quelque chose car je ne suis pas facilement influençable. En revanche, je suis parfaitement influençable avec moi-même, tout va dépendre de "l'ami intérieur" que je vais choisir d'écouter ou lequel des deux loups je souhaite nourrir pour paraphraser l'histoire qui s'y rattache.
J'aime beaucoup 1 Corinthiens 15:33, c'est un passage très simple mais comportant d'innombrables implications dont on en soupçonne probablement qu'une partie.