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23 mars Lecture de la Bible : 1 Samuel 10-13

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Josué

Josué
Administrateur

23 mars Lecture de la Bible : 1 Samuel 10-13
Les fils de Samuel n’imaginent pas les effets que vont avoir leur avidité et leur égoïsme. Les anciens d’Israël disent ensuite à Samuel : “ Maintenant donc, établis-nous un roi pour nous juger comme toutes les nations. ” Samuel perçoit-il cette requête comme un rejet personnel ? Il est vrai qu’il juge ce peuple au nom de Jéhovah depuis des décennies. À présent, ils ne veulent plus être jugés par un simple prophète comme lui, mais par un roi. Les nations d’alentour ont des rois et les Israélites en veulent un aussi ! Comment le prophète réagit-il ? On lit : “ La chose fut mauvaise aux yeux de Samuel. ” — 1 Samuel 8:5, 6.
Remarquez ce que Jéhovah répond à Samuel quand celui-ci lui fait part de la situation dans la prière : “ Écoute la voix du peuple quant à tout ce qu’ils te disent ; car ce n’est pas toi qu’ils ont rejeté, mais c’est moi qu’ils ont rejeté pour que je ne sois plus roi sur eux. ” Quel réconfort pour Samuel, mais quel terrible affront contre le Dieu Tout-Puissant ! Jéhovah demande à son prophète d’avertir les Israélites de ce qu’il leur en coûtera d’avoir un roi humain. Samuel obéit, mais ils insistent : “ Non, mais c’est un roi qui sera au-dessus de nous. ” Toujours soumis à son Dieu, Samuel va oindre le roi que Jéhovah a choisi. — 1 Samuel 8:7-19.
Comment Samuel obéit-il ? Avec ressentiment ? pour la forme ? Permet-il à la déception d’empoisonner son cœur, laissant l’amertume s’enraciner ? Plus d’un homme réagirait ainsi dans une telle situation, mais pas Samuel. Il oint Saül et reconnaît que c’est Jéhovah qui l’a choisi. Il embrasse le nouveau roi en signe d’accueil et de soumission. Puis il dit au peuple : “ Avez-vous vu celui que Jéhovah a choisi, qu’il n’y a personne comme lui parmi tout le peuple ? ” — 1 Samuel 10:1, 24.
Samuel se concentre non pas sur les défauts de Saül, mais sur ce qu’il y a de bon chez cet homme choisi par Jéhovah. En ce qui le concerne, Samuel s’attache à garder son intégrité devant Dieu plutôt qu’à obtenir l’approbation d’un peuple inconstant (1 Samuel 12:1-4). De plus, il poursuit fidèlement sa mission : conseiller les Israélites sur les dangers spirituels qui les guettent et les encourager à rester fidèles à Jéhovah. Touché par ses conseils, le peuple demande à Samuel de prier pour lui. Le prophète lui adresse cette belle réponse : “ Il est impensable pour moi de pécher contre Jéhovah en cessant de prier en votre faveur ; et je dois vous enseigner le bon et droit chemin. ” — 1 Samuel 12:21-24.

Josué

Josué
Administrateur

D’après la Septante, un mois environ après que Saül eut été désigné pour devenir roi d’Israël, Nahash le roi d’Ammôn assiégea la ville de Yabesh en Guiléad, demanda sa reddition et exigea cruellement en échange de la paix que les hommes de Yabesh se laissent crever l’œil droit (voir NAHASH No 1). Dès qu’il apprit la nouvelle du siège, Saül démontra des qualités dignes d’un roi. Il rassembla les troupes israélites et vainquit les Ammonites (1S 11:1-4, 11-15). Une déclaration ultérieure de Samuel révèle qu’en fin de compte ce fut la menace grandissante des Ammonites sous le règne de Nahash qui détermina les Israélites à demander un roi. — 1S 12:12.

Josué

Josué
Administrateur

23 mars  Lecture de la Bible :  1 Samuel 10-13 Samuel10
SOURCE VIE NOUVELLE.

Josué

Josué
Administrateur

Division chez les Hébreux. Les Hébreux divisaient la nuit en veilles. “ Quand je me souviens de toi sur ma couche, durant les veilles de la nuit je médite sur toi. ” (Ps 63:6). Puisque Juges 7:19 parle d’une “ veille du milieu de la nuit ”, il devait y avoir trois veilles dans les temps anciens. Il semble que chacune couvrait un tiers du temps qui s’écoulait depuis le coucher jusqu’au lever du soleil, soit environ quatre heures pour une veille, en fonction de l’époque de l’année. Par conséquent, la première veille allait approximativement de 18 heures à 22 heures. La “ veille du milieu de la nuit ” commençait vers 22 heures et s’achevait aux alentours de 2 heures du matin. C’est pendant cette tranche stratégique que Guidéôn attaqua par surprise le camp des Madianites. La troisième veille, appelée “ la veille du matin ”, débutait vers 2 heures et durait jusqu’au lever du soleil. C’est au cours d’une veille du matin que Jéhovah commença à créer de graves ennuis aux armées égyptiennes qui tentaient de traverser la mer Rouge à la poursuite des Israélites. — Ex 14:24-28 ; voir aussi 1S 11:11.

Josué

Josué
Administrateur

*** it-1 p. 269 Baraq ***
BARAQ
(Éclair).
Fils d’Abinoam de Qédesh dans le territoire de Naphtali. Dans les débuts de la période des juges, les Israélites ayant abandonné le vrai culte, Dieu permit pendant 20 ans à Yabîn, roi de Canaan, de les opprimer. Ils appelèrent Jéhovah à l’aide et c’est alors que Dieu leur établit Baraq pour guide (Jg 4:1-3). Tandis que les Cananéens oppresseurs des Israélites étaient puissamment armés, “ on ne voyait ni bouclier ni lance parmi quarante mille en Israël ”. (Jg 5:8.) Cependant, aux jours de Baraq, Jéhovah donna à Israël la victoire sur ses ennemis et ce triomphe ne tomba pas dans l’oubli (Ps 83:9). Les deux récits de ces événements consignés dans le livre des Juges (au chapitre 4, et dans le chant triomphant de Débora et de Baraq au chapitre 5) se complètent et brossent un tableau saisissant de ce qui se passa à l’époque.
La prophétesse Débora, qui jugeait Israël en ce temps-là, incita Baraq à prendre l’initiative de libérer son peuple. Baraq y consentit, mais à la condition que Débora l’accompagne. Elle accepta, tout en l’informant que Jéhovah vendrait Sisera, le chef des armées de Yabîn, dans la main d’une femme. — Jg 4:4-9.
Baraq recruta 10 000 hommes de Naphtali, de Zéboulôn et d’autres tribus d’Israël (Jg 4:6 ; 5:9-18) et gravit le mont Tabor. À cette nouvelle, Sisera et ses troupes, équipés de 900 chars armés de faux, s’avancèrent vers les Israélites dans le lit à sec du Qishôn (dans la plaine de Yizréel). Conduite par Baraq, l’armée israélite, bien que légèrement équipée, descendit courageusement du mont Tabor, prête à combattre les Cananéens armés jusqu’aux dents. Cependant, le Qishôn se transforma brusquement en un torrent indomptable qui immobilisa les chars de l’ennemi. Oui, “ du ciel les étoiles ont combattu, de leurs orbites elles ont combattu contre Sisera. Le torrent de Qishôn les a emportés ”. Baraq et ses hommes profitèrent de leur avantage ; le récit poursuit : “ Tout le camp de Sisera tomba sous le tranchant de l’épée. Il n’en resta pas même un seul. ” — Jg 5:20-22 ; 4:10-16.
Quant à Sisera, ayant abandonné son char et son armée aux abois, il s’enfuit et trouva refuge dans la tente de Yaël la femme de Héber, un Qénite qui était en paix avec Yabîn. Yaël offrit l’hospitalité à Sisera, mais pendant son sommeil elle le tua en lui transperçant les tempes avec un piquet de tente qu’elle enfonça jusque dans le sol. Quand Baraq arriva, Yaël l’invita à entrer dans la tente où il constata que la parole de Jéhovah s’était accomplie : Sisera avait bel et bien été vendu dans la main d’une femme (Jg 4:17-22 ; 5:24-27). Après cela, la main des Israélites victorieux “ se faisait de plus en plus dure contre Yabîn, le roi de Canaan, jusqu’à ce qu’ils aient retranché Yabîn ”. Dès lors, cette région d’Israël “ vécut dans le calme pendant quarante ans ”. — Jg 4:23, 24 ; 5:31.
Baraq est cité en exemple parmi les hommes fidèles “ qui, grâce à la foi, ont vaincu des

Josué

Josué
Administrateur

« Samuel appela Jéhovah »
24 Les Israélites suivent-ils la direction de Samuel et se rapprochent-ils de Jéhovah avec foi ? Non. Le temps passe, et ils ne veulent plus être jugés par un simple prophète ; ils désirent ressembler aux autres nations, avoir à leur tête un roi humain. Samuel écoute Jéhovah et accède à leur demande. Toutefois, il doit leur faire prendre conscience de la gravité de leur péché. Ce n’est pas un homme qu’ils rejettent, c’est Jéhovah lui-même ! Samuel convoque donc le peuple à Guilgal.
25 Rejoignons-le en ce moment de grande tension. Le vieux prophète rappelle aux Israélites qu’il est resté intègre toute sa vie. Nous lisons ensuite : « Samuel appela Jéhovah. » Il lui demande un orage (1 Sam. 12:17, 18).
26 Un orage ? En pleine saison sèche ? Du jamais vu ! Si certains doutent ou se moquent, ils ne le font pas longtemps. Le ciel s’assombrit tout à coup. Le vent fouette les blés dans les champs. Le tonnerre retentit dans un grondement assourdissant. Il se met à pleuvoir. Résultat : « Le peuple craignit beaucoup Jéhovah et Samuel. » Les Israélites comprennent enfin qu’ils ont péché gravement (1 Sam. 12:18, 19).
27 Ce n’est pas Samuel, mais Jéhovah qui a touché les cœurs rebelles des Israélites. Depuis sa jeunesse jusqu’à ses vieux jours, Samuel a eu foi en son Dieu, qui l’a récompensé. Jéhovah n’a pas changé. Il soutient toujours ceux qui imitent la foi de Samuel.

Josué

Josué
Administrateur

Étant donné que la Bible rapporte que le prophète Samuel offrait des sacrifices, cela signifie-t-il qu’il était prêtre ?
Non, les Écritures montrent clairement que Samuel n’était pas un prêtre de la lignée d’Aaron. Son père, Elkana, habitait Rama, dans la région montagneuse d’Éphraïm ; c’est pourquoi on l’appelait Éphraïmite. Toutefois, selon les généalogies, Elkana était un lévite de la famille non sacerdotale de Kéhath (I Sam. 1:1, 19 ; I Chron. 6:27, 33, 34). Étant un lévite de la lignée de Kéhath, donc pas un prêtre, Samuel n’avait pas le droit d’officier à l’autel du sanctuaire et aucun texte ne dit qu’il ait jamais agi ainsi. Concernant les lévites qui n’étaient pas de la famille d’Aaron, la Loi de Dieu déclarait : “Ils ne s’approcheront ni des ustensiles du sanctuaire, ni de l’autel, de peur que vous ne mouriez.” (Nomb. 18:3). Cependant, en tant que représentant et prophète de Jéhovah, Samuel pouvait, en se soumettant à la direction divine, offrir des sacrifices en d’autres endroits qu’au sanctuaire comme l’avait fait Gédéon, de la tribu de Manassé, et comme le fit plus tard le prophète Élie. — Juges 6:15, 25-28 ; I Rois 18:36-38.
Il est remarquable que lorsque le roi Saül ‘s’est fait violence’ pour offrir l’holocauste, Samuel ne l’a pas accusé d’avoir rempli indûment la fonction des prêtres. Il lui dit simplement : “Tu as agi en insensé, tu n’as pas observé le commandement que Jéhovah ton Dieu t’avait donné. Car Jéhovah aurait affermi pour toujours ton règne sur Israël ; mais maintenant ton règne ne subsistera point.” (I Sam. 13:12-14, AC). Quel commandement Saül avait-il transgressé pour que Samuel le reprenne ? Quel principe pouvons-nous en retirer ?
Un peu plus tôt, Samuel avait donné cette instruction à Saül : “Tu descendras avant moi à Guilgal ; et voici, je descendrai vers toi, pour offrir des holocaustes et des sacrifices d’actions de grâces. Tu attendras sept jours, jusqu’à ce que j’arrive auprès de toi et que je te dise ce que tu dois faire.” (I Sam. 10:Cool. Même si ce commandement concernait une autre circonstance (comme le croient certains commentateurs), Saül a dû transgresser un commandement du même genre. Quoi qu’il en soit, il n’en demeure pas moins vrai que Samuel était le représentant de Jéhovah et que, par conséquent, le commandement transgressé venait en réalité de Jéhovah. Le transgresseur ne pouvait donc être laissé impuni. Saül a donc péché en agissant de façon présomptueuse en offrant le sacrifice et en désobéissant au commandement de Jéhovah (donné par Samuel) l’invitant à attendre. Saül n’avait pas cherché à s’arroger la fonction sacerdotale, car Samuel n’était pas un prêtre de la famille d’Aaron. Le péché de Saül était donc différent de celui d’Ozias, un roi postérieur, à qui il fut dit : “Il ne t’appartient pas, Ozias, d’offrir des parfums à Jéhovah ; c’est le droit des prêtres, fils d’Aaron.” — II Chron. 26:18, AC.
Le péché de Saül montre qu’il est très grave d’enfreindre les dispositions prises par Dieu. Samuel ne s’était pas fait prophète ; c’est Jéhovah Dieu qui, par son esprit, l’avait établi ainsi, si bien que tout Israël “reconnut que Samuel était un vrai prophète de Jéhovah”. (I Sam. 3:19, 20, AC.) De même, les hommes qui servent comme surveillants et bergers dans la congrégation chrétienne ont été établis par l’esprit saint (Actes 20:28). Évidemment, ils ne parlent pas sous inspiration divine, comme le fit Samuel. Cependant, nous ne devrions pas nous montrer présomptueux et chercher à nous approprier les responsabilités et les tâches qui leur ont été confiées en pensant peut-être qu’ils ne les assument pas convenablement ou qu’ils sont trop lents. Quiconque agirait ainsi délibérément, à l’exemple du roi Saül, s’attirerait des ennuis et mettrait en danger ses relations avec Jéhovah Dieu.

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