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30 mars Lecture de la Bible : 1 Samuel 14-15

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

30 mars Lecture de la Bible : 1 Samuel 14-15
Sans aucun doute dans ses préparatifs pour libérer Israël de la domination philistine, le roi Saül choisit une armée de 3 000 hommes ; 2 000 d’entre eux campèrent avec lui à Mikmash et dans la région montagneuse de Béthel, et les autres prirent position à Guibéa avec son fils Yonathân. Par la suite, non loin de là, à Guéba (“ Gabaa ”, Vg), Yonathân abattit la “ garnison ” des Philistins. En représailles, les Philistins rassemblèrent une grande armée, comprenant des chars et des cavaliers, et apparemment ils obligèrent Saül à se retirer de Mikmash à Guilgal. Serrés de près par les Philistins, beaucoup d’Israélites se cachèrent dans des grottes et des trous ; d’autres cherchèrent refuge à l’E. du Jourdain. Plus tard, Saül prétexta cette dispersion des guerriers israélites face à la menace philistine pour expliquer pourquoi il avait désobéi en n’attendant pas que Samuel offre le sacrifice. Après avoir été repris par Samuel en raison de son acte présomptueux, Saül, accompagné de quelque 600 hommes seulement, rejoignit Yonathân à Guéba (1S 13:1-16). D’après 1 Samuel 14:2, Saül transporta sans doute son camp à Migrôn, près de Guibéa.

Josué

Josué
Administrateur

Jonathan combattait lui aussi pour la justice. N’avait-il pas déclaré: “Rien n’empêche Jéhovah de sauver, par beaucoup ou par peu”? De fait, Jonathan reconnaissait que, pour obtenir la victoire dans une guerre théocratique, il faut toujours rechercher la direction de Dieu. Ayant par mégarde commis une faute pour laquelle Saül l’avait condamné à mort, Jonathan avait humblement accepté le jugement de son père. Heureusement, le peuple l’avait ‘racheté’. — 1 Samuel 14:6, 9, 10, 24, 27, 43-45.

Josué

Josué
Administrateur

30 mars  Lecture de la Bible :  1 Samuel 14-15 1samue10

samuel

samuel
Administrateur

En fait tout ce que dit Samuel sur les désavantages d'un roi humain c'est accomplis a la lettre.

Josué

Josué
Administrateur

Jonathan a-t-il perdu la faveur de Dieu quand il a mangé un peu de miel après que le roi Saül a déclaré maudit tout soldat qui mangerait avant la fin du combat?
À cause du serment irréfléchi de Saül, Israël risquait d’être maudit, mais rien n’indique que Jonathan méritait la défaveur de Dieu pour n’avoir pas respecté ce serment.
Le récit de cet incident est contenu en I Samuel 14:24-45. Les Israélites, enhardis par les exploits de Jonathan, étaient en train de combattre les Philistins ennemis quand le roi Saül s’est écrié: “Maudit l’homme qui mange du pain avant le soir et jusqu’à ce que je me sois vengé de mes ennemis!” (Verset 24). N’étant pas au courant du serment de son père, Jonathan a mangé un peu de miel pour reprendre des forces. D’autres guerriers israélites, qui étaient fourbus comme lui, ont péché en abattant du bétail et en mangeant avec avidité la chair sans l’avoir saignée. Saül a bâti un autel en raison de ce péché, mais il ne savait pas ce que son fils avait fait.
Quand Saül a recherché la direction de Jéhovah pour savoir s’il devait poursuivre la bataille, celui-ci ne lui a pas répondu. Par le moyen du Thummim (peut-être des sorts sacrés), Saül a appris que son fils avait violé son serment déraisonnable. Mais, en fait, dans quelle mesure Jonathan était-il coupable?
Rappelez-vous l’attitude d’esprit qu’avait le roi lorsqu’il a prononcé ce serment en premier lieu. Il n’avait pas le désir d’honorer Dieu en remportant la victoire sur les Philistins. Au contraire, il a inconsidérément prononcé une malédiction sur quiconque mangerait “jusqu’à ce que, disait-il, je me sois vengé de mes ennemis”. Oui, c’est une opinion excessive sur le pouvoir royal ou un zèle simulé qui a incité Saül à faire ce serment. Un tel serment ne pouvait pas être approuvé par Dieu. Il a contribué au péché que les guerriers israélites ont commis en mangeant du sang d’animaux. Si ce serment n’avait pas entravé ces hommes, peut-être auraient-ils pu trouver de la nourriture et ainsi auraient-ils eu la force de poursuivre les Philistins jusqu’à les vaincre complètement.
Certes, Dieu a permis qu’on utilise le Thummim pour découvrir que Jonathan avait transgressé le serment de Saül (par ignorance), mais cela ne signifie pas qu’il approuvait ce serment irréfléchi. Le récit ne dit nulle part que Dieu considérait Jonathan comme coupable. En fait, alors que Jonathan était disposé à payer pour avoir violé le serment précipité de son père, les choses se sont passées de telle manière que sa vie a été épargnée. Les sold

Josué

Josué
Administrateur

Puisque Saül avait choisi la voie de la désobéissance, il reçut un jugement défavorable qui exprimait une justice que le Très-Haut ne regretterait pas par la suite. Voici ce que Jéhovah lui fit dire par Samuel. “Jéhovah a arraché de dessus toi la domination royale d’Israël, et, à coup sûr, il la donnera à ton semblable qui est meilleur que toi. Et, de plus, la Supériorité d’Israël ne se montrera pas déloyale, et Il n’aura pas de regrets.” — I Sam. 15:28, 29.
Cependant, il y a eu des moments où, après avoir exprimé un jugement de condamnation, Jéhovah a eu ensuite du regret. Mais, là encore, le changement venait des personnes concernées. On en a un bon exemple avec les Ninivites du temps de Jonas, à qui le prophète devait faire cette proclamation : “Encore quarante jours, et Ninive sera renversée.” (Jonas 3:4). Prenant cet avertissement à cœur le peuple et même le roi se repentirent. “Et le vrai Dieu vit leurs œuvres, qu’ils étaient revenus de leur mauvaise voie ; et ainsi le vrai Dieu eut regret du malheur qu’il avait parlé de leur causer, et il ne le causa pas.” — Jonas 3:10.

Josué

Josué
Administrateur

Saül, premier roi d’Israël, nous fournit un bien plus triste exemple de ce qui s’ensuit lorsqu’on ne fait pas ‘comme Dieu l’a ordonné’. Jéhovah lui avait ordonné d’exterminer les Amalécites qui, jadis, avaient lâchement attaqué les Israélites dans le désert. Après leur avoir livré bataille, Saül rencontra le prophète Samuel et le salua par ces mots: “Béni es-tu de Jéhovah! J’ai exécuté la parole de Jéhovah.” Mais l’avait-il exécutée “comme Jéhovah l’avait ordonné”? Non. Le peuple et lui avaient épargné le roi Agag, et aussi le meilleur des troupeaux, afin, disaient-ils, d’offrir des sacrifices à Jéhovah. Était-ce donc là ce que Jéhovah demandait? Aucunement. Samuel rétorqua à Saül: “Voici, obéir vaut mieux qu’un sacrifice, prêter attention vaut mieux que la graisse des béliers (...). Puisque tu as rejeté la parole de Jéhovah, il te rejette dès lors, pour que tu ne sois plus roi.” Il en coûtait cher de ne pas faire “comme Jéhovah l’avait ordonné’: — I Sam. 15:13-23.

Josué

Josué
Administrateur

La Bible rapporte un fait qui montre jusqu’à quel point il est vital pour ceux qui se sont voués à Dieu de lui obéir en toutes choses. Jéhovah Dieu avait commandé à Saül, le premier roi d’Israël, d’exécuter son jugement sur les Amalécites parce qu’ils avaient lâchement attaqué les Israélites quand ceux-ci traversaient le désert. Toutefois, contrairement aux instructions divines, Saül ne mit pas à mort le roi ni les troupeaux des Amalécites, sous prétexte que les animaux serviraient pour le sacrifice. Cependant, le prophète Samuel lui dit : “Obéir vaut mieux qu’un sacrifice, prêter attention vaut mieux que la graisse des béliers. (...) Puisque tu as rejeté la parole de Jéhovah, il te rejette dès lors, pour que tu ne sois plus roi.” — I Sam. 15:22, 23.
L’obéissance revêt donc une valeur inestimable.

Josué

Josué
Administrateur

Le cas du roi Saül est également très significatif. Quand le prophète Samuel lui dit qu’il avait désobéi au commandement de Dieu qui lui ordonnait de vouer à la destruction les Amalécites, Saül chercha à se justifier en affirmant qu’il avait obéi la voix de Jéhovah. Alors, en des termes qui ne laissaient planer aucun doute, Samuel expliqua en quoi Saül avait péché et ajouta: “Puisque tu as rejeté la parole de Jéhovah, il te rejette dès lors, pour que tu ne sois plus roi.” À ces mots, Saül avoua: “J’ai péché, car j’ai passé outre à l’ordre de Jéhovah et à tes paroles, parce que je craignais le peuple, et ainsi j’ai obéi à sa voix. Et maintenant, s’il te plaît, pardonne mon péché et reviens avec moi, pour que je me prosterne devant Jéhovah.” (I Sam. 15:17-25). Mais bien qu’il reconnût son péché, Saül ne manifestait pas le véritable repentir. Pourquoi?
8 Saül minimisait toujours l’importance de son péché et il se cherchait des excuses en disant qu’il avait agi par crainte du peuple. Il ne reconnut pas sincèrement qu’il avait péché contre Jéhovah. Il s’exprima ainsi parce qu’il avait probablement peur de perdre son trône et d’être exposé à la honte publique. C’est ce que montre le fait qu’il pria Samuel de revenir avec lui. Comment cela? Eh bien, il ne désirait pas simplement que Samuel revienne avec lui pour offrir en sa faveur des prières d’intercession. Non, quand Samuel insista pour s’en aller, Saül lui fit cette requête: “Honore-moi, s’il te plaît, devant les aînés de mon peuple et devant Israël, et reviens avec moi.” (I Sam. 15:30). Saül s’inquiétait de la façon dont il serait considéré par les autres. Il désirait être honoré par la présence de Samuel, car l’absence du prophète le déshonorerait. Ainsi, Saül ne reconnaissait son péché que du bout des lèvres. Il ne manifestait pas “la tristesse conforme à la volonté de Dieu” pour avoir offensé Jéhovah Dieu.

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