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Les plantes médicinales bientôt interdites ?

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Les plantes médicinales bientôt interdites ?
Le Point.fr - Publié le 29/03/2011 à 11:43
La Commission s'apprêterait à bannir toutes les herbes médicinales des étals européens. Effrayant, mais faux.
Par CYRIEL MARTIN
L'avertissement fait froid dans le dos. "Après le 30 avril 2011, de nombreux produits et compléments alimentaires à base de plantes vont devenir illégaux en France." Ainsi commence ce texte, intitulé "Guérison défendue" et signé par le Collectif pour la défense de la médecine naturelle. Une pétition, en réalité, qui rencontre un vif succès sur Internet. En quelques jours, elle revendique près de 120 000 signatures. À en croire l'appel, une directive européenne mettrait en danger les plantes médicinales, "même celles reconnues depuis des centaines ou des milliers d'années". Adieu donc les tisanes de camomille pour lutter contre les problèmes digestifs ? Fini le sirop de thym pour faire passer la toux ?

"Mais pas du tout !" s'étouffe-t-on à la Commission européenne. "Il est hors de question pour nous de retirer ces produits du marché", affirme Frédéric Vincent, porte-parole de la Commission pour les questions de santé. "Cette rumeur relève du délire", juge-t-il. "Des centaines, voire des milliers de plantes vont disparaître des rayons des distributeurs", assure pourtant le collectif dans sa pétition, accusant directement les "multinationales pharmaceutiques" d'être derrière l'initiative européenne. "Nous voulons mettre de l'ordre dans la jungle des herbes médicinales", rétorque Frédéric Vincent, qui rappelle que la directive visée par le collectif, la THMPD (pour "directive des produits traditionnels herbeux et médicinaux"), est loin d'être "nouvelle", comme l'indique la pétition.

"Des autorisations un peu légères"

Adoptée en 2004, la THMPD vise à mieux encadrer le marché des plantes médicinales, jusque-là laissé au libre jugement des États membres. "Il y avait des autorisations délivrées sur des bases un peu légères", explique Frédéric Vincent. La Commission a donc imaginé un système de régulation calqué sur le modèle des médicaments classiques, mais simplifié. Aucun test sur l'efficacité ou la sécurité des herbes ne sera exigé. "Nous voulons des preuves que le produit a été utilisé à but médical pendant les trente dernières années, dont au moins quinze ans au sein de l'Union européenne", explique la Commission. Bruxelles a donné sept ans à la filière "herbes" pour récupérer cette "littérature" médicale. Un délai qui arrive à échéance à la fin du mois d'avril. "Ceux qui n'ont rien fait paniquent, analyse Frédéric Vincent. Il leur suffit pourtant de prouver que leurs herbes ont une efficacité."

Le docteur Laurent Chevallier, attaché au centre hospitalo-universitaire de Montpellier et farouche partisan des plantes médicinales, se réjouit de l'initiative "légitime" de Bruxelles. Depuis des années, il accuse les pouvoirs publics de contrôler insuffisamment l'usage des plantes médicinales. "Certains fabricants veulent s'approprier la santé naturelle", s'insurge-t-il. Dans son viseur, les vendeurs de compléments alimentaires, qui, sous couvert de défendre la phytothérapie et la médecine naturelle, essaient de sauver leur business. "Cette pétition joue sur la naïveté des gens, qui signent en croyant bien faire", prévient-il. Verveine, lavande ou thym, nos tisanes sont sauvées. Ouf !

samuel

samuel
Administrateur

ça doit surement faire de l'ombre à l'industrie pharmaceutique.d'ou ses nouvelles règles.

Psalmiste

Psalmiste

Ils feraient mieux d'interdir le tabac !!!

Josué

Josué
Administrateur

tbd
mais ça rapporte beaucoup trop.

Psalmiste

Psalmiste

Oui ça rapporte beaucoup d'argent à l'état, mais faut pas que l'état se plaigne après, en disant que la sécu est en déficite, car s'il n'y avait plus de tabac il y aurait moins de malades, et qui dit moins de malades, dit aussi plus de sous pour la sécu !

Josué

Josué
Administrateur

Médicaments
Commercialisation des plantes médicinales : quelles règles ?
Publié le 17.05.2011
Anis, fenouil, menthe, souci... Depuis le 1er mai 2011, seuls les médicaments traditionnels à base de plantes ayant obtenu une autorisation de mise sur le marché peuvent être en vente dans l’Union européenne (UE).
Certains végétaux contiennent en effet des substances pouvant être utilisées pour soigner des maladies, les médicaments fabriqués à partir de ces substances portant le nom de "médicaments à base de plantes". Par ailleurs, la législation européenne qualifie de "traditionnels" les médicaments à base de plantes utilisés depuis au moins 30 ans (dont 15 au moins dans l’UE), destinés à être utilisés sans la surveillance d’un médecin et non administrés par injection. A noter que cette catégorie peut aussi comprendre des médicaments chinois ou ayurvédiques.
La directive européenne sur les médicaments à base de plantes a instauré une procédure d’enregistrement simplifiée pour ce type de médicaments.
Les médicaments traditionnels à base de plantes sur le marché de l’Union européenne
Europa
Le point sur les plantes médicinales
Institut national de la consommation (INC)
Autorisations de mise sur le marché (AMM)
Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps)

Josué

Josué
Administrateur

Les plantes qui soignent : le cyprès fait disparaître les boutons de fièvre
Le Point.fr - Publié le 07/08/2013 à 09:24
Cette plante est très active contre les virus : l'herpès, la varicelle, le zona, la rougeole, les oreillons ou encore la mononucléose.
Par ANNE JEANBLANC
À la une du Point.fr
VIDÉO. Des laboratoires pour (re)faire le monde
Par Sophie Levy
Un peu de botanique

Le cyprès est un arbre qui peut atteindre 25 mètres de hauteur. Originaire d'Europe orientale et d'Asie occidentale, il pousse en particulier sur le pourtour méditerranéen. Son écorce gris rougeâtre exhale une très forte odeur de térébenthine. Les feuilles sont persistantes, petites, vert grisâtre et en forme d'écailles. Les fleurs femelles, groupées en chatons, donnent naissance à des fruits appelés galbules ou noix de cyprès, que l'on utilise en médecine.

Principales propriétés pharmacologiques

In vitro (en laboratoire), les proanthocyanidines (PAC) de cyprès ont été testées sur différents virus. Leur mode d'action est double : non seulement elles entravent l'adhérence des virus sur leurs cellules hôtes, ce qui limite leur multiplication, mais en plus elles induisent une lyse, une destruction des virus, ce qui permet la diminution rapide de la charge virale. Des études menées chez des souris montrent que l'administration quotidienne d'une solution de PAC de cyprès à 0,5 % pendant 7 jours avant l'inoculation du virus de la grippe permet de garder en vie 90 % des rongeurs, contre 40 % dans le groupe témoin non traité. De même, les proanthocyanidines ont un effet protecteur chez l'animal vis-à-vis de l'infection à coronavirus. Chez la souris, les PCA limitent les conséquences pulmonaires de l'emphysème et diminuent les symptômes de l'insuffisance veineuse ou des troubles hémorroïdaires.

Usages les plus fréquents

Ils concernent l'herpès. Qu'elle soit due au virus de type 1 - à l'origine de 95 % des boutons de fièvre (qui touchent les deux tiers de la population) - ou à celui de type 2 - responsable de l'herpès génital -, cette maladie contagieuse provoque plus ou moins souvent l'éruption de vésicules douloureuses. L'herpès labial est efficacement combattu par l'association de cyprès et d'échinacée, par voie orale et en application locale. Le soulagement est rapide et la cicatrisation accélérée. En stimulant l'immunité, l'échinacée complète l'action anti-herpétique du cyprès, qui a été démontrée même dans les formes résistant au médicament synthétique de référence. Au niveau génital, il faut également privilégier l'extrait fluide de cyprès, qui peut être associé à la réglisse pour calmer la douleur. En rapport avec ses activités antivirales, le cyprès est aussi utile pour lutter contre les infections ORL et pulmonaires (bronchite, grippe...), les maladies de l'enfance (rougeole, rubéole, varicelle, oreillons), ainsi que contre le zona et la mononucléose.

Précautions d'emploi

Le cyprès est très bien toléré, sans aucune contre-indication, précaution d'emploi ou interactions médicamenteuses. Mais, attention, les personnes souffrant de maladies auto-immunes, notamment en période de poussée évolutive, ne peuvent prendre de l'échinacée en plus de leur traitement que pendant de courtes périodes.

À savoir

La tradition a souvent consacré le cyprès au culte des morts et à l'ornementation des cimetières en raison de son feuillage sombre et de sa couleur éternellement verte. En médecine grecque comme au Moyen Âge, le cyprès était surtout employé pour ses vertus anti-hémorroïdaires.

Josué

Josué
Administrateur

Les plantes qui soignent : le ginseng pour la tête et pour le corps
Le Point.fr - Publié le 10/08/2013 à 08:57
Plante mythique d'Extrême-Orient, elle fait partie de la pharmacopée de la médecine chinoise depuis près de 7 000 ans, notamment comme fortifiant.
Un peu de botanique

Le ginseng est une plante herbacée, vivace, de 30 à 50 centimètres de hauteur et à racine tubérisée de grande taille. Les feuilles sont palmées et composées de 5 folioles dentelées. Les fleurs sont petites et de couleur blanche en ombelle terminale. Les fruits sont des baies rouge clair.

Le ginseng pousse à l'état sauvage dans les forêts montagneuses d'Asie orientale. Il est cultivé principalement dans la péninsule coréenne et le nord-est de la Chine. Les seuls véritables ginsengs sont ceux de la famille des panax.

La racine tubérisée principale, de saveur douce amère, est la partie de la plante utilisée en médecine. Mais il faut plusieurs années pour que ce rhizome acquière toutes ses qualités.

Principales propriétés pharmacologiques

Les scientifiques ont toujours du mal à faire la synthèse entre l'usage traditionnel asiatique du ginseng, les résultats d'expérimentations in vitro (en laboratoire) et les indications cliniques éventuelles en médecine occidentale.

Néanmoins, de multiples études prouvent que cette plante est capable de tonifier l'organisme des personnes fatiguées ou affaiblies, de rétablir la capacité de travail physique, de concentration intellectuelle, d'adaptation au stress et d'aider les convalescents à reprendre des forces.

D'autres travaux indiquent que le ginseng augmente significativement l'oxygénation des muscles et améliore la fréquence cardiaque. Il potentialiserait également l'effet du vaccin contre la grippe.

Usages les plus fréquents

Ils sont nombreux. Les spécialistes citent l'amélioration des activités intellectuelles, les troubles débutants de la mémoire chez la personne vieillissante, les troubles cognitifs lors de stress chroniques ou répétés, le surmenage, la fatigue intellectuelle de l'adulte ainsi que celle des étudiants, notamment en période d'examens.

Quelques associations améliorent encore ses résultats : celle avec le ginkgo biloba pour combattre la fatigue intellectuelle et les troubles de la mémoire débutante ; celle avec le tribulus et le cassis pour améliorer les activités physiques (préparation et récupération) chez le sportif et la personne de plus de 50 ans ; celle avec le millepertuis pour sortir d'une dépression liée à un stress chronique.

En cas d'épuisement chronique, il faut lui adjoindre le cassis ou la réglisse (tous deux anti-inflammatoires). Et, pour combattre les troubles du sommeil qui accompagnent souvent la grande fatigue, la valériane (anxiolytique) et l'eschscholtzia (sédative) sont indiquées.

Précautions d'emploi

Aux doses habituelles, les effets secondaires sont rares.

Néanmoins, le ginseng est à éviter chez les malades bipolaires non stabilisés, en cas d'hypertension sévère. C'est également le cas chez la femme enceinte, allaitante et chez le jeune enfant, en raison d'un manque d'études.

Attention aussi lors de la prise d'anticoagulants, de certains antidépresseurs (inhibiteurs de la monoamine-oxydase ou IMAO) et de triptans (contre la migraine).

À savoir

La célébrité de cette plante vient de la forme particulière de sa racine évoquant un corps humain (le terme ginseng signifie "essence de la terre ayant forme humaine" et le radical "seng" désigne les racines employées comme tonique).

Les Asiatiques le considèrent comme un excellent aphrodisiaque, mais ce n'est pas prouvé...


Source:

Monographie de l'Institut européen des substances végétales (IESV)

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