Tout le monde ne mérite pas notre confiance, comme l’illustre l’exemple d’Adam et Ève. Comment savoir qui la mérite et qui ne la mérite pas ?
Psaume 146:3 donne ce conseil : “ Ne placez pas votre confiance dans les nobles, ni dans le fils de l’homme tiré du sol, à qui n’appartient pas le salut. ” Et Jérémie 17:5-7 dit : “ Maudit est l’homme robuste qui place sa confiance dans l’homme tiré du sol, qui fait vraiment de la chair son bras et dont le cœur se détourne de Jéhovah lui-même. ” En revanche, “ béni est l’homme robuste qui place sa confiance en Jéhovah, et dont Jéhovah est devenu l’assurance ”.
Il est vrai qu’il n’est pas toujours mal de faire confiance à des humains. Les textes ci-dessus mettent simplement en évidence que la confiance en Dieu n’est, elle, jamais mal placée, alors qu’on va parfois au désastre en faisant confiance à des humains, puisqu’ils sont imparfaits. Seront déçus, par exemple, les gens qui comptent sur des humains pour réaliser ce que seul Dieu peut faire, à savoir offrir le salut et apporter la paix totale avec la sécurité. — Psaume 46:9 ; 1 Thessaloniciens 5:3.
En fait, les humains et les institutions humaines ne méritent notre confiance que dans la mesure où ils agissent en harmonie avec les desseins de Dieu et respectent ses principes. Par conséquent, si nous voulons inspirer confiance à autrui, nous devons dire la vérité, être honnêtes et fiables (Proverbes 12:19 ; Éphésiens 4:25 ; Hébreux 13:18). C’est seulement si nous avons une conduite conforme aux principes bibliques que la confiance des autres en nous sera justifiée et se révélera un facteur de force et d’encouragement mutuels.
La confiance renaîtra