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L'Eglise anglicane autorise l'ordination des évêques gays

4 participants

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Josué

Josué
Administrateur

L'Eglise anglicane autorise l'ordination des évêques gays
Fabien Trécourt - publié le 08/01/2013

Après avoir donné la possibilité aux femmes de devenir prêtres, l’Église anglicane d’Angleterre vient de lever l’interdiction d’ordonner évêques les prêtres homosexuels.
Le débat sur l'ordination de prêtres homosexuels au sein de l'Eglise Anglicane est né avec l'affaire Jeffrey John (notre photo), en 2003, prêtre qui avait dû renoncer à devenir évêque de Reading en raison de son homosexualité © Michael Stephens / AP / SIPA

Alors que le débat sur le mariage homosexuel met la France en émoi, l’Église anglicane lève l’interdiction faite aux prêtres homosexuels, unis civilement avec leur partenaire, d’être ordonnés évêques. Ils doivent néanmoins s’engager à rester abstinents. L’Église estime ainsi "qu’il serait injuste d’exclure de l’épiscopat toute personne cherchant à vivre en conformité avec l’enseignement de l’Église sur l’éthique sexuelle."

Jusque ici, ils ne pouvaient être ordonnés qu'à condition d'être célibataires. Les prêtres et évêques mariés ­— donc hétérosexuels —, eux, ne sont pas soumis à l'obligation de chasteté. "Je salue en théorie" cette décision, a réagi le révérend Colin Coward, favorable à l'intégration des homosexuels dans l'Eglise, cité par l’AFP. "C'est une évolution très inquiétante", a estimé pour sa part le révérend Rod Thomas, porte-parole du groupe traditionaliste Reform.

Le sujet fait débat depuis 2003 au moins : Jeffrey John, un prêtre homosexuel vivant avec un autre religieux, avait été contraint de renoncer au poste d’évêque de Reading — une ville à l’ouest de Londres. En 2010, sa candidature au diocèse londonien de Southwark a de nouveau été écartée, le clerc ayant contracté un partenariat civil avec un autre prêtre. Depuis 2005, l’Église d’Angleterre autorise les personnes homosexuelles unies dans le cadre d’un partenariat civil à devenir prêtres, à condition de rester chastes.

En 1992, elle a d’ailleurs pris l’initiative d’ouvrir le sacerdoce aux femmes. Leur ordination n’est cependant pas à l’ordre du jour : en novembre dernier, le synode — instance de décision de l’Église — a rejeté une nouvelle fois cette proposition. "Car toute l’anthropologie chrétienne est fondée sur l’essentialisme et le fait que les deux sexes ont des fonctions différentes", analyse Églantine Jamet-Moreau, auteur de Le curé est une femme (L’Harmattan, 2012).

L’introduction des partenariats civils en Angleterre, en 2004, a relancé le débat sur la bénédiction des couples de même sexe. Tandis que le collège des évêques l’interdisait, certains ont pris l’initiative de bénir malgré tout l’union d’un prêtre de leur diocèse avec un autre homme. En 2011, un projet d’autorisation de célébrations religieuses pour les partenariats civils suscite les protestations de l’aile traditionnaliste de l’Église. La chambre des évêques annonce finalement un examen général de la sexualité humaine pour 2013, examen qui aura abouti à l’ordination des prêtres homosexuels.

samuel

samuel
Administrateur

bientôt chez eux il y aura des évêques athées.

Michael

Michael
MODERATEUR
MODERATEUR

Faut pas s`etonné. 20 ans avant si, mais nowadays jamais.

Josué

Josué
Administrateur

cette église fait feu de tout bois pour survivre.

chico.

chico.

Dans ce pays de tradition catholique, les Irlandais qui se mariaient avaient le choix, jusqu’en 2013, entre cérémonie religieuse et cérémonie civile. À présent, ils peuvent aussi opter pour une cérémonie laïque, un service que propose une association humaniste. Selon une dépêche de l’agence Reuters, « il y a tellement de personnes qui, tout en rejetant le mariage religieux, souhaitent plus qu’une cérémonie au bureau de l’état civil que [l’association] est débordée ».
Réveillez-vous Juin 2014.

Josué

Josué
Administrateur

L'Église anglicane d'Angleterre appelée à une réforme en profondeur
A.L.
CRÉÉ LE 15/01/2015 / MODIFIÉ LE 15/01/2015 À 07H15

L'archevêque de Cantorbéry et primat de l'Eglise anglicane, Justin Welby. © Dominic Lipinski/AP/SIPA L'archevêque de Cantorbéry et primat de l'Eglise anglicane, Justin Welby. © Dominic Lipinski/AP/SIPA
Dans un document publié ce lundi 12 janvier et un mois avant le prochain synode général de l'Église anglicane d'Angleterre, les archevêques de Cantorbéry et de York appellent celle-ci à se « réformer et se renouveler » si elle veut enrayer son déclin.

L'Église d'Angleterre ne sera plus en mesure de garder sa forme actuelle à moins que la baisse du nombre de ses membres soit inversée et considérée « comme une question d'urgence », affirment le Dr Justin Welby, archevêque de Cantorbéry et chef spirituel de l’Église anglicane, et le Dr John Sentamu, archevêque de York (numéro 2 de l’Église d’Angleterre), dans un texte (en anglais) intitulé « À chaque génération ».

Fréquentation en baisse
Pour Christian Today (en anglais), il s'agit d'une mise en garde : « Le déclin dans l'Église d'Angleterre doit être inversé si elle veut continuer son ministère à l'échelle nationale ». Principal défi auquel l'Eglise anglicane est confrontée : la fréquentation de ses églises. La participation aux offices dominicaux a en effet « baissé en moyenne de 1% par an au cours des dernières décennies ».

« Depuis quarante ans, analyse le Telegraph (en anglais), la pratique dominicale, a diminué de moitié pour atteindre le chiffre de 800.000 personnes. » Des effectifs en forte baissse, mais aussi « de plus en plus âgés ».

« Les finances ont été relativement stables, grâce à l'augmentation des dons individuels, poursuivent les deux archevêques. Cependant, cette situation ne pourra pas se poursuivre à moins que la baisse des effectifs ne soit inversée. »

Mettre l'accent sur les vocations
« Il n'y a aucun doute sur l'urgence du défi auquel nous sommes confrontés », alertent Justin Welby et John Sentamu, qui appellent notamment à mettre l'accent sur les vocations. En effet, ils précisent que « 40 % du clergé anglican devra prendre sa retraite dans les dix années à venir ».

« Et alors que les chiffres des ordinations ont bien résisté ces dernières années, analysent-ils, ils sont toujours bien en deçà de ce qui serait nécessaire pour maintenir le nombre de membres du clergé actuels et répondre aux ambitions diocésaines. »

L'appel lancé par les archevêques de Cantorbéry et de York s'appuie sur le travail, entrepris depuis un an, par quatre groupes qui étudient la façon dont les paroisses et les diocèses envisagent « leur mission et leur ministère ». Le prochain synode général de l'Eglise anglicane d'Angleterre, qui se réunira à York du 10 au 12 février prochain, sera consacré à l'étude de leurs conclusions. Et à l'élaboration d'une feuille de route composée de différentes « motions », votées par les membres du synode.

Justin Welby et John Sentamu concluent en espérant que les conclusions des groupes de travail fourniront « une base pour développer et fournir un important programme de renouvellement et de réforme au sein de l'Église d'Angleterre, considéré comme une question d'urgence ».

Josué

Josué
Administrateur

Spiritualité et Religion > Protestantisme

Des femmes évêques avant la fin de l’année ?
ANGLETERRE
Libby Lane, première femme évêque
A.B.
CRÉÉ LE 27/01/2015 / MODIFIÉ LE 27/01/2015 À 08H00

Libby Lane, première femme évêque dans l'Église d'Angleterre, encadrée par John Sentamu, évêque d'York, et Justin Welby, Archevêque de Cantorbéry, lundi 26 janvier 2015. © Asadour Guzelian/SIPA Libby Lane, première femme évêque dans l'Église d'Angleterre, encadrée par John Sentamu, évêque d'York, et Justin Welby, Archevêque de Cantorbéry, lundi 26 janvier 2015. © Asadour Guzelian/SIPA
L'Eglise anglicane d'Angleterre a ordonné sa première femme évêque lundi 26 janvier dans la cathédrale de York, vingt ans après les premières ordinations de femmes prêtres en Angleterre, rapporte l’Agence France Presse. C'est la révérende Elizabeth Jane Holden Lane qui a été désignée en décembre pour cette première.

Depuis 2007, cette femme de 48 ans, mariée à un prêtre avec lequel elle a deux enfants, officiait comme vicaire dans le diocèse de Chester, dans la même région. Elle est nommée évêque auxiliaire de Chester. Libby Lane avait été l’une des premières femmes prêtres, en 1994. Ordonnée en même temps que son mari, aujourd’hui aumônier de l’aéroport de Manchester, elle a toujours officié dans des diocèses du nord de l’Angleterre, entre Blackburn, York et Chester.

Tensions au sein de la Communion anglicane
Elle est également l’une des huit femmes élues comme observatrices participantes à la chambre des évêques, en tant que représentante des diocèses du nord-ouest. Si Libby Lane indique avoir été surprise par cette nomination « inattendue », l’évêque de Chester a assuré qu’elle avait été choisie à l’unanimité, rapporte La Croix.

La décision d'ordonner des femmes évêques provoque des tensions entre ses différents courants, et la nouvelle évêque l’a bien saisi. Dans une vidéo enregistrée peu avant l’annonce de sa nomination, elle a ainsi précisé, rayonnante et tout sourire, sa volonté « d’utiliser l’autorité reçue pour soigner et non blesser, construire et non détruire ».

Josué

Josué
Administrateur

L’Église anglicane ne bénit pas le mariage gay et sonne les cloches de sa branche écossaise
Kathleen Wuyard | Publié le 4 octobre 2017 | Mis à jour le 4 octobre 2017
SOCIÉTÉ
L’Église anglicane a sanctionné mardi sa branche écossaise, l’Église épiscopale d’Écosse, pour avoir reconnu le mariage entre personnes de même sexe et célébré ce sacrement dans ses églises. Et ce alors même que l’archevêque de Canterbury avait affirmé en 2014 que « l’Église d’Angleterre ne s’opposera plus au mariage gay chez ses fidèles ».
Angleterre, an de grâce 1531. Marié à Catherine d’Aragon, Henri VIII souhaite briser son union pour épouser la troublante Anne Boleyn. Un divorce inconcevable au lieu de l’Église et du pape, qui refuse d’annuler le premier mariage du roi. Après tout, le sacrement du mariage ne stipule-t-il pas que ses liens joignent les époux dans la matrimonie jusqu’à ce que la mort les sépare ? Seulement voilà, le coeur a ses raisons que la raison ignore, et plutôt que de se ranger à l’avis du pape Clément VII, Henri VIII choisit de déclarer l’indépendance de l’Église anglicane. Une impétuosité qui s’est progressivement étiolée, jusqu’à ce que l’Église anglicane devienne aussi pieuse et sage que ses cousines catholiques. Voire même, rétrograde ?
Union entre un homme et une femme

Alors que la branche écossaise de l’Église a accepté de célébrer le sacrement du mariage de personnes de même sexe, l’Église anglicane vient de la rappeler à l’ordre. L’Église épiscopale d’Écosse avait voté en juin pour retirer de sa doctrine la phrase stipulant que le mariage est une union « entre un homme et une femme ». Depuis, plusieurs mariages homosexuels ont eu lieu dans des églises à Edimbourg ou Glasgow et dans la province de Morray, dans le nord de l’Écosse. L’archevêque de Canterbury Justin Welby a confirmé, lors d’une réunion des dirigeants anglicans à Canterbury que les évêques anglicans ont appliqué à la branche écossaise les mêmes sanctions que celles infligées l’an dernier à l’Église épiscopale américaine.
Lire aussi > Taïwan va devenir le premier pays d’Asie à légaliser le mariage gay
Et ce alors même qu’il avait soutenu en 2014 au quotidien The Guardian que « l’Église d’Angleterre ne s’opposera plus au mariage homosexuel chez ses fidèles ». Pour avoir reconnu les mariages homosexuels en 2015, la branche américaine s’était vue empêchée de représenter l’Église anglicane dans les assemblées oecuméniques ou interconfessionnelles pour trois ans. Sa participation au processus de décision sur toutes les questions ayant trait à la doctrine ou au fonctionnement de l’Église anglicane avait également été suspendue.
Nouvelle position

Mark Strange, le primat de l’Église épiscopale d’Écosse, avait anticipé ces sanctions, bien qu’une clause de conscience ait été intégrée à sa doctrine pour permettre aux prêtres en désaccord de ne pas marier des personnes de même sexe. Dans la foulée des sanctions, il a annoncé qu’il chercherait à « reconstruire la relation » entre l’Église anglicane et sa branche écossaise. « Mais cela sera fait à partir de la nouvelle position que nous avons prise », a-t-il prévenu. La question de la reconnaissance des unions ou de l’ordination de personnes homosexuelles déchire depuis des années cette Église de quelque 85 millions de fidèles, opposant des branches plus libérales, aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, aux conservateurs majoritaires au Kenya ou au Nigeria par exemple.
https://parismatch.be/actualites/societe/78968/leglise-anglicane-ne-benit-pas-le-mariage-gay-et-sonne-les-cloches-de-sa-branche-ecossaise

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