LA CIRCONCISION EN QUESTION À NEW-YORK
Une nouvelle affaire judiciaire rouvre le débat sur la circoncision rituelle, cette fois-ci dans la ville de New-York. Le département de la Santé de la ville a en effet publié une brochure mettant en garde contre la pratique du metzitzah b'peh, rite répandu dans la communauté orthodoxe juive et qui consiste à ce que le mohel - le circonciseur - aspire le sang de la blessure du nouveau-né après s'être humecté la bouche avec du vin. Un geste qui prévient les infections, selon la communauté juive, mais qui pour les services de santé de la ville pourrait notamment transmettre l'herpès. Plusieurs mohels orthodoxes poursuivent donc la municipalité pour empêcher qu'elle puisse exiger un consentement parental à la pratique du metzizah b'peh, refusant par principe toute ingérence de la mairie dans les affaires religieuses.
Une nouvelle affaire judiciaire rouvre le débat sur la circoncision rituelle, cette fois-ci dans la ville de New-York. Le département de la Santé de la ville a en effet publié une brochure mettant en garde contre la pratique du metzitzah b'peh, rite répandu dans la communauté orthodoxe juive et qui consiste à ce que le mohel - le circonciseur - aspire le sang de la blessure du nouveau-né après s'être humecté la bouche avec du vin. Un geste qui prévient les infections, selon la communauté juive, mais qui pour les services de santé de la ville pourrait notamment transmettre l'herpès. Plusieurs mohels orthodoxes poursuivent donc la municipalité pour empêcher qu'elle puisse exiger un consentement parental à la pratique du metzizah b'peh, refusant par principe toute ingérence de la mairie dans les affaires religieuses.