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Parkinson : les signes qui doivent alerter.

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Asterix
Psalmiste
Josué
7 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Parkinson : les signes qui doivent alerter.
La maladie de Parkinson débute une dizaine d'années avant que les premiers troubles moteurs apparaissent et que le diagnostic soit posé. Pendant cette période, certains signes prémonitoires peuvent se manifester. Trouble du transit, du sommeil, douleurs... Voici ceux qui doivent vous alerter !
Une constipation sévère



"Avant l'éclosion des troubles moteurs* caractéristiques de la maladie de Parkinson, il y a des troubles non-moteurs qui peuvent suggérer la maladie comme par exemple une constipation sévère", explique le Pr Pierre Cesaro, chef du service Neurologie à l'hôpital Henri Mondor (Créteil). Une étude américaine menée sur 7000 personnes suivies pendant 24 ans a d’ailleurs démontré que les sujets allant à la selle moins d’une fois par jour avait un risque 2,7 fois plus élevé de développer la maladie, comparé à ceux y allant une fois par jour. Et 4 fois plus élevé par rapport à ceux y allant deux fois par jour. La constipation serait liée à un ralentissement des mouvements intestinaux, allant de pair avec les lenteurs de l’organisme caractéristiques de la maladie de Parkinson.

Ce qui doit vous alerter : Une constipation sévère ne doit pas être négligée. Elle peut être liée à une maladie de Parkinson ou à d’autres affections.

Que faire ? La constipation se définit par un nombre de défécations inférieur ou égal à trois par semaine. Si vous êtes concerné(e) et que cela est gênant, parlez-en à votre médecin traitant.

Josué

Josué
Administrateur

Les pesticides augmentent le risque d'Alzheimer et de Parkinson
!
Utilisés pour protéger les cultures, les pesticides seraient nocifs pour le cerveau des cultivateurs. L'étude menée par Isabelle Baldi de l'Inserm auprès de 900 viticulteurs bordelais pendant 12 ans, a démontré que leurs fonctions cognitives étaient déteriorées par les pesticides.Troubles de la mémoire, de la concentration, de la vigilance, mais plus gravement, une augmentation du risque d'Alzheimer et de Parkinson seraient observées.
La chercheuse a précisé que les fonctions se dégradaient plus rapidement chez les viticulteurs utilisant plusieurs produits. Après quatre ans, les personnes exposées aux pesticides avaient déjà des performances en baisse comparées à celles non exposées. Au bout de 12 ans, la moitié des viticulteurs ont été victimes d'une détérioration notable de leur santé.

Josué

Josué
Administrateur

Des fruits rouges contre la maladie de Parkinson
Le 05/04/2012 - Bénédicte Demmer, journaliste santé
Réagissez ! - 0 commentaire
Manger des fruits rouges régulièrement réduirait le risque d’être atteint de la maladie de Parkinson. C’est ce que révèle une étude menée par des scientifiques anglais et américains, publiée dans le Journal Neurology.
Pendant 20 ans, ils ont étudié les habitudes alimentaires et le mode de vie de plus de 130 000 hommes et femmes, dont 800 ont développé la maladie de Parkinson. Les résultats ont montré que les hommes consommant régulièrement des aliments riches en flavonoïdes (fruits rouges, thé, vin) diminuait de 40% leur risque de maladie cérébrale, comme Parkinson. Ceux mangeant une ou plusieurs portions de fruits rouges par semaine diminuaient leur risque de 24%.

Les flavonoïdes se divisent en plusieurs groupes, dont les anthocyanes (présents dans les baies (cassis...) et d’autres fruits et légumes comme les aubergines) qui permettraient de lutter contre les radicaux libres, responsables de nombreuses attaques sur notre cerveau. Les flavonoïdes seraient des protecteurs pour le cerveau et contre la maladie de Parkinson.

Psalmiste

Psalmiste

Oh, la maladie d'Alzheimer est terrible Sad

J'ai ma grand mère qui en est morte Sad

Psalmiste

Psalmiste

Cette semaine j'ai apprie que la fille de ma voisine a la maladie de parkinson Sad

Le problème est que la pauvre ne doit meme pas avoir 40 ans Sad

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Cette semaine j'ai apprie que la fille de ma voisine a la maladie de parkinson Sad

Le problème est que la pauvre ne doit meme pas avoir 40 ans Sad
oui même les jeunes maintenant son atteint par cette maladie. Sad

Psalmiste

Psalmiste

Sad

Asterix

Asterix

Malheureusement,

1) cette maladie est chronique : aucun traitement n'existe
2) cette maladie est dégénérative : elle s'empire avec le temps
3) elle est sujette à prédisposition génétique

http://jama.jamanetwork.com/article.aspx?articleid=188406

http://savetpol.frenchboard.com/

Josué

Josué
Administrateur

Parkinson : quels sont les traitements ?

La maladie de Parkinson est neurodégénérative : les neurones produisant la dopamine qui stimule notamment les centres du mouvement sont progressivement détruits. Si l'on ne sait pas encore guérir la maladie, il existe plusieurs traitements pour soulager ses symptômes. Le point avec le Dr Gilles Caplain, gériatre à l'hôpital Georges Clémenceau de Champcueil.
La lévadopa pour remplacer la dopamine manquante


Le principe. La lévadopa (ou L-dopa) est un précurseur de la dopamine. Son principe est simple : elle vient palier le manque de dopamine. Son effet est quasi immédiat sur les tremblements, le ralentissement, le blocage. Ce médicament est administré par voie orale ou dans certains cas sous forme de gel injecté dans le jujénum (partie de l'intestin) par le biais d'une pompe (pompe à duodopa).
Les effets secondaires. Les nausées et vomissements sont les plus immédiats. On peut aussi observer de la confusion mentale et des hallucinations. Cependant son action est si bénéfique sur les troubles du malade qu'elle est parfaitement acceptée. C'est la seule famille thérapeutique qui sera prescrite jusqu'au bout.

j'était je suis je serait

j'était je suis je serait

sunny http://fr.sott.net/article/5717-Les-vraies-causes-des-maladies-neurodegeneratives-ne-sont-pas-prises-en-compte ???

PS// Voir aussi sur le net "la pharmacie de Dieu" intéressent dans ce k de figure les noix son excellente Car dans le Cerveaux seul les Noix on les équivalente vitamine essenciel pour notre cerveaux .

Josué

Josué
Administrateur

Parkinson : les aliments "miracle"

cerveau,parkinson
Thym, propolis, yaourt… Certains aliments peuvent être très précieux en prévention de la maladie de Parkinson ou quand on en souffre déjà. Liste de ceux à mettre au menu régulièrement avec Patrick Wolf, hygiéniste nutrithérapeute.
Fruits rouges : -40% de risque de Parkinson

Des scientifiques* ont montré que les personnes consommant régulièrement des fruits rouges voyaient leurs risques d'être atteints de maladie cérébrale comme Parkinson diminuer de 40%. Les flavonoïdes antoxydants présents dans les fruits rouges permettraient de lutter contre l’attaque des radicaux libres sur le cerveau.
En pratique : Consomme régulièrement des fruits rouges."La fraise, la myrtille, la framboise, l'airelle, les baies de sureau et la canneberge, le mélange de ces six baies, possèdent encore plus de pouvoir microbicide par un effet de synergie" précise Patrick Wolf.

*Roy Alcalay, Berries May Contain Potent Weapon vs. Parkinson's, Journal of Neurology

Josué

Josué
Administrateur

Parkinson : les aliments "miracle"
hym, propolis, yaourt… Certains aliments peuvent être très précieux en prévention de la maladie de Parkinson ou quand on en souffre déjà. Liste de ceux à mettre au menu régulièrement avec Patrick Wolf, hygiéniste nutrithérapeute.
Fruits rouges : -40% de risque de Parkinson

Des scientifiques* ont montré que les personnes consommant régulièrement des fruits rouges voyaient leurs risques d'être atteints de maladie cérébrale comme Parkinson diminuer de 40%. Les flavonoïdes antoxydants présents dans les fruits rouges permettraient de lutter contre l’attaque des radicaux libres sur le cerveau.
En pratique : Consomme régulièrement des fruits rouges."La fraise, la myrtille, la framboise, l'airelle, les baies de sureau et la canneberge, le mélange de ces six baies, possèdent encore plus de pouvoir microbicide par un effet de synergie" précise Patrick Wolf.

*Roy Alcalay, Berries May Contain Potent Weapon vs. Parkinson's, Journal of Neurology

Josué

Josué
Administrateur

Parkinson : une baisse de testostérone pourrait déclencher la maladie

parkinson,testostérone
Selon une étude américaine, une baisse de testostérone pourrait être un facteur déclencheur de la maladie de Parkinson.
parkinson, testosteroneLes chercheurs du Rush University Medical Center ont peut-être découvert comment éviter la maladie de Parkinson. En déclenchant une baisse de testostérone par castration de souris, ils se sont aperçus que cela provoquait l'apparition de symptômes parkinsoniens. Ils ont constaté l'augmentation d'une protéine appelée iNos, provoquée par un excès d'oxyde nitrique dans le cerveau. Cette protéine détruit les neurones et entraîne le déclenchement des symptômes de la maladie. En effectuant la castration, après avoir privé les souris de la protéine iNos, aucun symptôme ne s'est manifesté.
Stabiliser la testostérone pour éviter la maladie

Chez les hommes, passé la trentaine le taux de testostérone chute environ de 1% tous les ans. Selon les chercheurs, ce phénomène rendrait les hommes plus vulnérables à la maladie de Parkinson. Stabiliser leur niveau de testostérone pourrait les protéger. Justement en injectant de la testostérone sur les souris, ils ont constaté un inversement des symptômes. Un résultat qui offre une ouverture pour de nouveaux traitements contre la maladie de Parkinson.

Source : Sudden Decline in Testosterone May Cause Parkinson’s Disease Symptoms in Men, Rush Univeristy Medical Center,26 juillet 2013

Le 02/08/2013 - Bénédicte Demmer, rédactrice santé

Josué

Josué
Administrateur

Essai clinique pour tester une thérapie unique pour la maladie de Parkinson

Le Neuroscience Alliance Nebraska à l' Université du Nebraska Medical Center , se lance dans un essai clinique translationnelle en utilisant Leukine, un médicament utilisé pour stimuler le système immunitaire chez les patients cancéreux, pour tester une thérapie immunitaire uniques chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.

La maladie de Parkinson est causée par la perte de neurones qui produisent de la dopamine, une substance chimique de signalisation de nerf qui commande le mouvement et l'équilibre. La Fondation des maladies de Parkinson estime qu'environ 1 million de personnes aux États-Unis et plus de 4 millions de personnes dans le monde souffrent de cette maladie.

Dégénérescence et la perte de ces neurones produisant la dopamine se produisent généralement après 60 ans, et l'on estime qu'une personne sur 20 âgée de plus de 80 a la maladie de Parkinson.

«Le projet est une collaboration entre les neurologues et spécialistes des neurosciences», a déclaré le Dr Howard Gendelman, chercheur principal et président du département de pharmacologie et neurosciences expérimentales à UNMC.

Plus précisément, «l'étude permettra de déterminer si le Leukine de drogue peut transformer le système immunitaire dans la maladie de Parkinson à partir de celle qui endommage le cerveau à celui qui protège, suscite la réparation des cellules nerveuses et affecte finalement symptômes de la maladie", a déclaré R. Lee Mosley, Ph.D., co-investigateur principal et professeur agrégé au département de pharmacologie et neurosciences expérimentales.

Si ce traitement s'avère utile, le Dr Gendelman dit, il ouvre la voie à lancer des études encore plus étendue portant sur l'efficacité de l'autre vaccin potentiel et l'évolution des thérapies immunitaires.

En savoir plus

(Via medresearch )

Josué

Josué
Administrateur

Des patchs à la nicotine pour soigner Parkinson ?
Réagissez !
Un traitement à la nicotine boosterait le cerveau et permettrait de soigner et prévenir les maladies neurologiques, selon le magazine américain Discover.


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Soigner des maladies neurologiques avec de la nicotine. La technique fait débat ! Pourtant c'est ce que prône un article du magazine américain Discover publié en mars 2014. Administrée sous forme de patch pendant au moins 8 mois, la nicotine aurait des effets bénéfiques sur le cerveau. Reprenant plusieurs études, le magazine explique qu'elle favorise la sécrétion de dopamine dans le striatum. Cette zone du cerveau est responsable de la motricité. Il souligne alors l'intérêt de la nicotinothérapie sur des maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson

Prévenir la maladie d'Alzheimer !
En 2008, une étude aurait démontré que la nicotine alimentaire boosterait la concentration et les capacités cérébrales. Un atout majeur pour aider à aider à prévenir les pathologies neurologiques comme la maladie d'Alzheimer ou la schizophrénie.

La technique crée la controverse
Assimilée à la cigarette et sa dépendance, l'utilisation de la nicotine en médecine neurologique crée la controverse. Une idée reçue comme le souligne Discover. Plusieurs études auraient montré que ce n'est pas la nicotine qui est addictive mais son mélange avec d'autres substances présentes dans les cigarettes. Plus de recherches seraient actuellement en cours afin de fournir assez de preuves pour permettre la reconnaissance de ce traitement et sa mise en pratique officielle.

Josué

Josué
Administrateur

Parkinson : un test de dépistage en 6 minutes !
Des scientifiques ont développé un test qui peut détecter les premiers signes de la maladie de Parkinson en quelques minutes seulement.

parkinson, test, dépistage, cerveau, irm, scanner
Aujourd'hui le diagnostic de la maladie de Parkinson ne se fait qu'à un stade déjà avancé. Mais des chercheurs de l'université d'Oxford (Royaume-Uni) ont peut-être trouvé le moyen de la dépister plus tôt. Le procédé ? Prendre 180 photos du cerveau pendant six minutes, à l'aide d'un scanner. Grâce à cette technique, les chercheurs ont constaté que certains défauts cérébraux annonciateurs de la maladie pouvaient être visibles. Ces connections légèrement défaillantes dans la zone du cerveau liée à la motricité du corps leurs ont permis de détecter la maladie avec une efficacité de 80%. Ils estiment que ce test pourrait être effectué à partir de 50 ans, âge où la maladie se manifeste généralement. Il améliorerait sa prise en charge et son évolution.

samuel

samuel
Administrateur

vendredi 4 septembre 2015, le décès de sa femme à l'âge de 80 ans. "Sylvie souffrait d'une maladie de parkinson sévère, qui n'est pas forcément mortelle. Elle s'est éteinte d'un arrêt cardiaque en fin de nuit, à notre domicile à Paris", aurait déclaré son époux selon journal Le Monde. C'est dans son autobiographie C'est votre vrai nom ?, publiée le 13 octobre 2015, que l'ancienne avocate devenue comédienne puis humouriste avait révélé sa maladie diagnostiquée en 2004.

Qu'est-ce que la maladie de Parkinson ?

La maladie de Parkinson touche près de 100 000 personnes en France. C'est une maladie du système nerveux central qui évolue lentement et présente quatre signes caractéristiques : lenteur de chaque mouvement, rigidité musculaire, tremblement au repos et difficulté à maintenir une position. Les causes cette pathologie demeurent encore flou, le plus souvent elle est dite idiopathique, c'est-à-dire de cause inconnue. Aucun traitement à ce jour ne supprime une maladie de Parkinson. En revanche de nombreux traitements permettent de maîtriser les symptômes qui gênent la vie quotidienne.

Josué

Josué
Administrateur


VOILÀ POURQUOI LES HOMMES ONT PLUS DE RISQUES D’ÊTRE ATTEINTS DE PARKINSON

Une étude hongroise, révèle pourquoi le cerveau de l'homme est plus vulnérable face à la maladie de Parkinson.

Après l'étude stipulant que l'homme aurait un cerveau plus gros que la femme, cette fois-ci, une étude de l'Université de Szeged (Hongrie) démontre que le cerveau de l’homme vieillit plus rapidement que celui des femmes… ce qui pourrait expliquer leur vulnérabilité particulière face à la maladie de Parkinson.
Selon les neuroscientifiques, conduit par le Dr. Andras Kiraly, la matière grise de l’homme diminue plus rapidement que les femmes quand ils prennent de l’âge. Ceux-ci perdent plus de matière au niveau du noyau caudé et plus de volume au niveau du "putamen".
L'âge et les changements hormaux pourraient jouer un rôle
Pour conduire cette recherche, parue dans la revue scientifique Brain Imaging and Behaviour, les chercheurs ont numérisé les structures cérébrales de 53 hommes et 50 femmes (âgés de 21 ans à 58 ans et d'un âge moyen de 32 ans).
Résultat : plus les hommes était âgés, plus les chercheurs ont trouvé une différence entre les sexes, notamment dans les structures cérébrales sous-corticales du cerveau (mouvement et traitement des émotions) ainsi que dans le thalamus (principale station de relais des informations dans le cerveau). Selon les scientifiques, l’âge et les changements hormonaux pourraient jouer un rôle dans cette différence.
"Les changements de structures sous-corticales sont liées à plusieurs troubles neuropsychiatriques comme la maladie de parkinson, les trouble d’hyperactivité, le déficit de l’attention…" ont-ils commenté selon le DailyMail. "La compréhension de ces changements pourrait donner un meilleur aperçu de l’évolution et du pronostic de ces troubles".

En savoir plus sur http://www.medisite.fr//a-la-une-voila-pourquoi-les-hommes-ont-plus-de-risques-detre-atteints-de-parkinson.972911.2035.html?xtor=EPR-56-958800[Medisite-Info-Sante]-20151126#ZXOkVt6lXLqVoCHa.99

Josué

Josué
Administrateur

VOILÀ POURQUOI LES HOMMES ONT PLUS DE RISQUES D’ÊTRE ATTEINTS DE PARKINSON

Une étude hongroise, révèle pourquoi le cerveau de l'homme est plus vulnérable face à la maladie de Parkinson.
Après l'étude stipulant que l'homme aurait un cerveau plus gros que la femme, c ette fois-ci, une étude de l'Université de Szeged (Hongrie) démontre que le cerveau de l’homme vieillit plus rapidement que celui des femmes… ce qui pourrait expliquer leur vulnérabilité particulière face à la maladie de Parkinson.

Selon les neuroscientifiques, conduit par le Dr. Andras Kiraly, la matière grise de l’homme diminue plus rapidement que les femmes quand ils prennent de l’âge. Ceux-ci perdent plus de matière au niveau du noyau caudé et plus de volume au niveau du "putamen".

L'âge et les changements hormaux pourraient jouer un rôle

Pour conduire cette recherche , parue dans la revue scientifique Brain Imaging and Behaviour , les chercheurs ont numérisé les structures cérébrales de 53 hommes et 50 femmes (âgés de 21 ans à 58 ans et d'un âge moyen de 32 ans).

Résultat : plus les hommes était âgés, plus les chercheurs ont trouvé une différence entre les sexes, notamment dans les structures cérébrales sous-corticales du cerveau (mouvement et traitement des émotions) ainsi que dans le thalamus (principale station de relais des informations dans le cerveau). Selon les scientifiques, l’âge et les changements hormonaux pourraient jouer un rôle dans cette différence.
"Les changements de structures sous-corticales sont liées à plusieurs troubles neuropsychiatriques comme la maladie de parkinson, les trouble d’hyperactivité, le déficit de l’attention…" ont-ils commenté selon le DailyMail. "La compréhension de ces changements pourrait donner un meilleur aperçu de l’évolution et du pronostic de ces troubles".
Vidéo : La maladie de Parkinson
http://www.medisite.fr/a-la-une-voila-pourquoi-les-hommes-ont-plus-de-risques-detre-atteints-de-parkinson.972911.2035.html?xtor=EPR-56-981611[Medisite-Info-Sante]-20151225

Josué

Josué
Administrateur

La maladie de Parkinson concerne aussi les actifs
Mots clés : Maladie de parkinson, Maladie du mouvement
Par figaro iconAnne Prigent - le 11/04/2016
De nombreux malades sont encore en activité lors du diagnostic, posé à 58 ans en moyenne. Ils doivent alors faire face aux symptômes invalidants de la maladie.
«Une douleur récurrente dans l'épaule, une certaine difficulté à écrire, des coups de fatigue
 J'attribuais ces petits signes à ma pratique intensive du volley, aux journées chargées.» À 50 ans, Philippe, médecin, mettra deux ans pour poser un diagnostic sur sa maladie de Parkinson. Pour Isabelle, la maladie se manifeste à 48 ans: «J'avais des douleurs du côté droit et lorsque je marchais je me prenais sans arrêt les pieds dans le tapis.» L'annonce de sa pathologie a été un véritable tsunami. «Pour moi, c'était une maladie de personnes âgées qui tremblent», raconte la cinquantenaire.
Tout est dit. Pour la majorité d'entre nous, la personne atteinte de la maladie de Parkinson est un vieillard tremblotant. Erreur! L'âge moyen du diagnostic est de 58 ans, comme le rappelle l'association France Parkinson à l'occasion de la journée mondiale consacrée à la maladie. Sur les 25. 000 nouveaux cas recensés chaque année, nombre de patients sont encore en activité.
La maladie de Parkinson, liée à la destruction des neurones dopaminergiques, est une maladie du mouvement. La disparition de la dopamine provoque en effet une perte des gestes automatiques donc une lenteur des mouvements, une maladresse des gestes. Ce sont souvent les premiers signes visibles, surtout chez les personnes jeunes. «Les patients vont mettre du temps à boutonner leur veste, devenir maladroit en se brossant les dents, ne plus balancer un de leur bras en marchant
», explique le Pr Philippe Damier, neurologue au CHU de Nantes.
L'imprévisibilité des symptômes
Lorsque les premiers symptômes cliniques apparaissent, la maladie, présente depuis plusieurs années, a déjà détruit 50 à 70 % des neurones. «Une fois que la maladie est déclarée on ne sait pas la guérir», précise le Dr Fabienne Ory-Magne, neurologue au CHU de Toulouse. Les malades, surtout lorsqu'ils sont jeunes, doivent alors apprendre à vivre avec «cette colocataire indésirable», comme l'appelle Isabelle.
Car malgré les traitements qui, les premières années, permettent de corriger les troubles moteurs, la fatigue, la douleur, les insomnies ou encore l'anxiété font partie du quotidien des malades. Des désagréments qui, pour sept personnes sur dix, entraînent des modifications importantes de leur activité professionnelle, selon un sondage réalisé par France Parkinson en 2013.
«Le principal problème est l'imprévisibilité des symptômes, notamment de la fatigue. Elle impose dans certains cas un assouplissement des horaires», affirme le Pr Philippe Damier. «Chef de produit, je parcourais 50.000 à 70.000 km par an. C'est impossible aujourd'hui. Un simple trajet en voiture entre la région Ouest et Paris me demande un temps assez long de récupération», raconte Pascal, actuellement à la recherche d'un emploi. Isabelle est aujourd'hui à mi-temps. «Si je travaille à temps plein, je n'ai plus aucune énergie pour faire autre chose.» Philippe a continué à exercer comme médecin à temps plein pendant cinq ans. «Mais j'étais en cabinet de groupe. J'ai laissé les gardes à mes confrères, organisé mes prises de rendez-vous, abandonné les visites à domicile», explique le médecin. Il a également très vite abandonné la pratique du volley au niveau de compétition, mais a conservé une activité sportive régulière. «Il y a dix ans, les neurologues ne nous parlaient pas de l'intérêt de l'activité physique. J'ai persévéré par goût», raconte-t-il.
Bien lui en a pris. Car depuis, la rééducation et l'activité physique sont passées au premier plan dans la prise en charge de la maladie. Certains n'hésitent pas à parler d'une nouvelle révolution thérapeutique. «Une activité d'endurance pratiquée 45 minutes tous les jours va ralentir la progression de la maladie. Chez ces patients, les signes de la maladie sont moins sévères et la qualité de vie est meilleure», précise le Dr Fabienne Ory-Magne.
Tous les malades n'ont pas la possibilité ou l'envie de s'astreindre à cette discipline, mais, selon les spécialistes, l'important est de trouver une activité qui plaise et de la pratiquer le plus souvent possible. La marche nordique est particulièrement recommandée. Le tai-chi ou le tango également. Toutes ces activités vont aider à préserver l'équilibre et faciliter la coordination des mouvements. «Elles forcent aussi les patients à faire des mouvements. Il ne faut pas oublier que la maladie est caractérisée par la pauvreté des gestes. Faire des mouvements va limiter les raideurs et l'hypertonie», insiste le Pr Luc Defebvre, du CHU de Lille.

Josué

Josué
Administrateur

MALADIE DE PARKINSON : DÉTECTER LES SIGNES PRÉCOCES

Avant que le diagnostic ne soit posé, certains signes avant-coureurs de la maladie de Parkinson apparaissent déjà chez certains patients. Le Pr Damier, neurologue et vice-président du comité scientifique de France Parkinson, fait le point.
Une maladie neurodégénérative

Page suivante Maladie de Parkinson : des signes moteurs

©Istock
Plus de 200 000 personnes souffrent de la maladie de Parkinson en France. Cette maladie neurodégénérative se caractérise par des lésions au sein d’une population de cellules cérébrales secrétant une substance spécifique : la dopamine. C'est cette molécule qui a pour mission de contrôler les mouvements. L’Inserm rappelle que les syndromes Parkinsoniens représentent la première cause du handicap chez les personnes âgées.
http://www.medisite.fr/parkinson-les-symptomes-maladie-de-parkinson-detecter-les-signes-precoces.1928211.524122.html?xtor=ES-63-%5BMedisite-Evenementielle%5D-20170411-%5BtestA%5D&gcltc=2&gcltl=4&gcnid=1926536

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Maladie de Parkinson : les surprenants et très bénéfiques effets de la danse
Par Pauline Léna Service Infographie Mis à jour le 10/04/2017 à 12:14 Publié le 10/04/2017 à 12:14
Parfois, la science n’arrive qu’après la bataille pour expliquer le succès d’une approche thérapeutique déjà utilisée.
0 commentaires
INFOGRAPHIE - Sans que l’on sache pourquoi, cette activité physique agit sur de nombreux symptômes de la maladie de Parkinson.

«La danse classique m’a donné, sans que je puisse y résister, l’envie de bouger à nouveau, l’envie de bouger plus mais aussi le moyen d’y parvenir.» Tony, 67 ans, l’un des premiers participants aux ateliers Dance for Parkinson mis en place par l’École nationale de ballet du Canada, à Toronto, s’était laissé abattre complètement lorsque les symptômes moteurs de la maladie étaient devenus trop «incontournables et apparemment inévitables». Il a désormais repris toutes ses activités d’avant: «Je suis moins efficace mais j’y prends à nouveau plaisir et, surtout, j’ai retrouvé la patience de l’effort.»
Si les études n’expliquent pas encore pourquoi la danse semble bénéfique aux patients atteints de la maladie de Parkinson, ce témoignage de patient montre son premier intérêt: la motivation pour l’exercice physique, indispensable au confort et à la qualité de vie. Et le succès du programme «Dance for Parkinson», né aux États-Unis et désormais présent dans 40 États et dans 13 autres pays du monde, démontre que parfois, la science n’arrive qu’après la bataille pour expliquer le succès d’une approche thérapeutique déjà utilisée.
1 % des personnes de plus de 65 ans

Il n’existe encore en effet que peu d’études consacrées aux effets de la danse chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. En 2015, la première méta-analyse de la petite quinzaine d’études publiées sur le sujet démontre cependant déjà que la danse présente de nombreux avantages par rapport aux formes d’exercice physique classiques (kinésithérapie, rééducation fonctionnelle, gymnastique…) proposées aux patients. La pratique régulière d’une activité physique est par ailleurs l’un des piliers déterminants de la prise en charge des patients puisqu’elle représente jusqu’à 30 % des démarches thérapeutiques utilisées dans la maladie de Parkinson.
Il n’existe pas encore de traitement de la maladie elle-même. Les thérapies actuelles permettent de contrôler les symptômes mais n’ont pas d’effet sur la cause première. « », souligne le Pr Wassilios Meissner, neurologue au Centre Expert Parkinson du CHU de Bordeaux.
Les patients apprennent à gérer les déséquilibres, à accélérer la vitesse de déplacement mais également à anticiper leurs mouvements et les obstacles po­tentiels
La maladie de Parkinson, qui touche 1 % des personnes de plus de 65 ans, se caractérise en effet principalement par une dégénérescence des neurones dopaminergiques de la substance noire (locus niger) et par l’accumulation dans le cerveau d’une protéine défectueuse: l’alpha-synucléine. Les premiers symptômes, essentiellement moteurs, apparaissent lorsque 50 à 70 % de ces neurones sont atteints: lenteur et difficultés pour contrôler ses mouvements (akinésie), rigidité musculaire (hypertonie) qui modifie notamment la posture et tremblements pour les deux tiers des patients.
D’autres symptômes non moteurs, de mieux en mieux explorés - et pris en charge - se manifestent également: troubles du sommeil, de l’équilibre, constipation, douleurs mais également troubles cognitifs et dépression, longtemps ignorés. «La prise en charge a beaucoup évolué depuis qu’il est devenu évident que ces autres symptômes, parfois sans rapport avec les circuits dopaminergiques, ont des répercussions majeures sur le confort et la qualité de vie des patients», rappelle le Pr Meissner.
Le tango, danse complexe

La danse semble apporter - même si les résultats sont préliminaires - une amélioration de la qualité de vie qui n’est pas seulement liée à l’amélioration des symptômes moteurs. L’amélioration de la marche - et la prévention des chutes - est l’un des effets les mieux identifiés de la danse, en particulier du tango. «Le tango est une danse complexe qui comporte, plus que d’autres danses, de nombreux pas en arrière et sur le côté», indique le Dr Valérie Fraix, neurologue au CHU de Grenoble.
«J’ai retrouvé le plaisir de simplement me promener avec ma femme, car je contrôle mieux la marche»
Les patients apprennent à gérer les déséquilibres, à accélérer la vitesse de déplacement mais également à anticiper leurs mouvements ainsi que les obstacles potentiels (les pieds du partenaire ou les autres couples). La danse redonne confiance en soi en permettant de mesurer soi-même ses succès par rapport à des chorégraphies ou des enchaînements de pas à suivre pendant les ateliers mais également à l’extérieur. «J’ai retrouvé le plaisir de simplement me promener avec ma femme, car je contrôle mieux la marche», souligne ainsi un autre patient.
Enfin, la danse est par ailleurs une activité enthousiasmante qui prévient l’ennui et favorise les relations sociales, ce qui permet de lutter contre la dépression et contribue à l’assiduité. Le Dr Gammon Earhart, neurologue à Washington, a observé que la moitié des patients participant à un atelier danse l’ont continué au-delà des cinq semaines de sa - petite - étude alors que ceux qui pratiquaient des exercices physiques plus classiques ont tous abandonné.
Le Figaro santé.

papy

papy

Parkinson : ce type d’activité physique aiderait à retarder le développement de la maladie

Louis Tardy 17/07/2023, 17:23 Santé



Alors que la maladie de Parkinson touchait 177.624 Français en 2020, des chercheurs estiment que cette activité permettrait de retarder le développement de la maladie.


La maladie de Parkinson “provoque en particulier des tremblements, une raideur et une lenteur dans les mouvements” explique l’Assurance Maladie. Cette maladie neurologique chronique est dégénérative, c'est-à-dire qu’elle entraîne la dégradation du cerveau et touche principalement les plus de 65 ans. Actuellement, il n’existe pas de traitement pour en guérir. Cependant, un type d’activité physique permettrait de ralentir la progression de la maladie.
Selon des chercheurs de la Faculté de médecine de l'Université catholique de Rome, en Italie, un entraînement physique intensif permettrait de retarder le développement de la maladie de Parkinson au stade précoce. Leurs résultats sont publiés dans la revue Science Advences.

Parkinson : un entrainement physique intense permettrait de ralentir son évolution

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Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont mené des expérimentations sur des rats au stade précoce de la maladie. Les chercheurs leur ont injecté un produit provoquant la maladie de Parkinson. Puis, pendant un mois, ces derniers ont couru 30 minutes sur un tapis roulant, trois fois par semaine. L'intensité variait, allant de modérée à intense. Les chercheurs ont observé la façon dont l’activité physique pouvait avoir un effet protecteur sur les cellules du cerveau face à la maladie de Parkinson et l'ont comparée sur un groupe de rats atteint de la maladie, mais ne faisant pas de sport.
Les chercheurs ont alors découvert “un mécanisme jamais observé, par lequel l'exercice pratiqué aux premiers stades de la maladie induit des effets bénéfiques sur le contrôle des mouvements qui peuvent durer dans le temps, même après l'arrêt de l'entraînement”, comme l’explique dans un communiqué Paolo Calabresi, professeur titulaire de neurologie à l'Université catholique de Rome, en Italie. En d'autres termes, un entrainement physique intense provoquait un effet neuroprotecteur chez les rats.
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Parkinson : les chercheurs planchent sur de nouvelles approches non médicamenteuses

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Plus précisément, les auteurs ont remarqué que cet entraînement provoquait un ralentissement de la propagation de la maladie. Cela se matérialisait par la réduction des agrégats pathologiques d'alpha-synucléine dans les zones du cerveau contrôlant la motricité. De même, les chercheurs ont découvert que la dopamine libérée lors de l’activité physique avait un aspect protecteur sur les neurones striataux (liés à la prise décision). Enfin, la dopamine sécrétée par le cerveau permettait de stimuler, même après l’exercice, le niveau de “facteur neurotrophique dérivé du cerveau”, une protéine connue pour ses effets protecteurs contre le déclin des fonctions exécutives du cerveau.
"À l'avenir, il serait possible d'identifier de nouvelles cibles thérapeutiques et des marqueurs fonctionnels à considérer pour développer des traitements non médicamenteux à adopter en association avec les thérapies médicamenteuses actuelles” estime dans le communiqué Paolo Calabresi. Actuellement, les chercheurs mènent un essai clinique afin de définir si “l'exercice intensif peut identifier de nouveaux marqueurs pour surveiller le ralentissement de la progression de la maladie chez les patients à un stade précoce et le profil de la progression de la maladie”.
Source : Intensive exercise ameliorates motor and cognitive symptoms in experimental Parkinson's disease by restoring striatal synaptic plasticity - Science[/size]

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