Un prêtre bénit une foule d'animaux dans une église à Nice
Dans un concert d’aboiements – les chats se sont faits tout petits, le père Florini a béni une foule d’animaux, ce dimanche à l’église Saint-Pierre d’Arène.
Une église bondée. Remplie d’animaux, des gros et des petits. On y a vu des petits matous, des gros toutous mais également deux rats, un furet, un perroquet et même un cheval et un poney ! C’était hier après-midi, rue de France où maîtres et maîtresses avaient rendez-vous pour faire bénir leurs protégés.
Dans un concert d’aboiements les plus variés, l’homélie du père Gil Florini n’a pas manqué de mordant. Impossible de ronronner devant pareille assemblée, a estimé le curé en souhaitant la bienvenue à « tous ces amis à deux pattes et à quatre pattes. » Avant d’ajouter, observateur : « J’en ai même vu, dans une cage, qui n’avait pas de pattes du tout ! »
*
Dans la nef, Stella et ses trois yorkshires Wendy, Eron et Bonito. Irène et sa petite Perla, mélange de spitz et de chihuahua. Camélia et Yamong, son perroquet du Gabon. Ou encore Jeanne Augier, propriétaire du Negresco, accompagnée de ses pensionnaires Lily et Lilou, une york et un sharpei.
« Les difficultés arrivent mais nous sommes encore des nantis. Sachons partager avec nos frères humains et animaux », a suggéré le prêtre en conclusion. Au fait, pourquoi cette tradition ? « Parce que l’Eglise l’a toujours fait. Et parce que c’est important pour une très grande partie de nos fidèles. Quand la vie vous laisse seul(e), un petit animal vient souvent prendre une place. Qu’il soit, ici aussi, chez lui. »
http://www.nicematin.com/article/societe/un-pretre-benit-une-foule-danimaux-dans-une-eglise-a-nice
Dans un concert d’aboiements – les chats se sont faits tout petits, le père Florini a béni une foule d’animaux, ce dimanche à l’église Saint-Pierre d’Arène.
Une église bondée. Remplie d’animaux, des gros et des petits. On y a vu des petits matous, des gros toutous mais également deux rats, un furet, un perroquet et même un cheval et un poney ! C’était hier après-midi, rue de France où maîtres et maîtresses avaient rendez-vous pour faire bénir leurs protégés.
Dans un concert d’aboiements les plus variés, l’homélie du père Gil Florini n’a pas manqué de mordant. Impossible de ronronner devant pareille assemblée, a estimé le curé en souhaitant la bienvenue à « tous ces amis à deux pattes et à quatre pattes. » Avant d’ajouter, observateur : « J’en ai même vu, dans une cage, qui n’avait pas de pattes du tout ! »
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Dans la nef, Stella et ses trois yorkshires Wendy, Eron et Bonito. Irène et sa petite Perla, mélange de spitz et de chihuahua. Camélia et Yamong, son perroquet du Gabon. Ou encore Jeanne Augier, propriétaire du Negresco, accompagnée de ses pensionnaires Lily et Lilou, une york et un sharpei.
« Les difficultés arrivent mais nous sommes encore des nantis. Sachons partager avec nos frères humains et animaux », a suggéré le prêtre en conclusion. Au fait, pourquoi cette tradition ? « Parce que l’Eglise l’a toujours fait. Et parce que c’est important pour une très grande partie de nos fidèles. Quand la vie vous laisse seul(e), un petit animal vient souvent prendre une place. Qu’il soit, ici aussi, chez lui. »
http://www.nicematin.com/article/societe/un-pretre-benit-une-foule-danimaux-dans-une-eglise-a-nice