Jeudi 23 mai - - -Vous allez entendre parler de guerres et de nouvelles de guerres. Surtout, ne vous alarmez pas, car il faut que ces choses arrivent, mais ce ne sera pas encore la fin (Mat. 24:6).

Jeudi 23 mai


Vous allez entendre parler de guerres et de nouvelles de guerres. Surtout, ne vous alarmez pas, car il faut que ces choses arrivent, mais ce ne sera pas encore la fin (Mat. 24:6).


Jésus a prédit que, dans les derniers jours, il y aurait des épidémies « dans un endroit après l’autre » (Luc 21:11). Pourquoi savoir cela nous apaise-t-il ? Parce qu’ainsi, lorsque survient une épidémie, nous ne sommes pas surpris. Nous constatons que les évènements se déroulent exactement comme Jésus l’avait prédit. Nous avons donc de bonnes raisons de suivre le conseil que Jésus a donné aux chrétiens qui vivraient au temps de la fin : « Surtout, ne vous alarmez pas. » La propagation d’une épidémie risque sans aucun doute de perturber certaines de tes habitudes. Mais que cela ne t’empêche pas d’étudier individuellement ni d’assister aux réunions. Les témoignages cités dans nos publications et nos vidéos te rappelleront que tes frères et sœurs restent intègres malgré des difficultés semblables aux tiennes.


w22.12 17 § 4, 6.

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Cette espérance d’un nouvel ordre juste procède de Dieu, et elle soutient les hommes de foi depuis la nuit des temps (Hébreux chap. 11). Dans l’Antiquité, en effet, les justes attendaient déjà avec impatience le temps où Dieu se souviendrait d’eux et les relèverait pour la vie éternelle (Job 14:13, 14; Psaume 37:29). Ils avaient mis leur confiance dans la puissance de Dieu, qui les ressuscitera effectivement sur une planète purifiée lorsqu’il aura “fait cesser les guerres jusqu’à l’extrémité de la terre”. — Psaume 46:9.

Certes, il y avait eu des guerres, des disettes, des tremblements de terre et des “pestes” entre le début de notre ère et 1914 (Luc 21:11). Toutefois, ces phénomènes ne sauraient être comparés à ceux qui se sont succédés depuis cette année mémorable où les temps des Gentils ont pris fin. Ainsi, le conflit international qui s’est déclaré d’une façon tout à fait inattendue au cours de l’été 1914 s’est transformé en une conflagration militaire qui s’est finalement étendue à 28 pays. Par surcroît, ce cataclysme humain s’est accompagné de séismes naturels. On a aussi observé des disettes (ou des famines), et la dernière année de la guerre a surgi soudainement la “peste” qu’on a qualifiée de “grippe espagnole” et qui a emporté plus de 20 millions de personnes. Tous ces fléaux ne sauraient s’expliquer par une simple évolution de la situation qui existait auparavant. C’était plutôt le commencement d’une série d’événements qui, réunis, formeraient un “signe” indiquant que le présent système de choses était arrivé au “temps de la fin” dont les prophéties avaient parlé (Daniel 12:4). Du reste, le dernier livre de la Bible, l’Apocalypse (ou la Révélation), nous en donne la certitude.

Attirant l’attention sur un autre élément du signe, Jésus a prédit : « Cette bonne nouvelle du Royaume sera prêchée sur toute la terre, en témoignage pour toutes les nations, et alors viendra la fin » (Matthieu 24:14). Tandis que de terribles problèmes accablent le monde, plus de huit millions de personnes de toutes nations annoncent la bonne nouvelle du royaume de Dieu dans 240 pays et territoires, et en plus de 1 000 langues. Du jamais vu

A la question des disciples , Jésus répond d'abord par une invitation à ne pas se laisser égarer.
Le seul moyen de nous protéger est de nous appuyer sur Christ et sur sa parole.