[size=38]Entre la municipalité écologiste et la communauté juive de Strasbourg, des relations tourmentées[/size]
Enquête
La maire EELV de Strasbourg se désolidarise des propos de Jean-Luc Mélenchon insinuant que le Crif serait une organisation d’extrême droite. Depuis son élection en 2020, Jeanne Barseghian peine à apaiser les relations avec la communauté juive alsacienne, minées par la référence au conflit israélo-palestinien.
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À Strasbourg, la communauté juive compte environ 20 000 membres. Ici, la synagogue de la Paix (photo d’illustration).ILAN EJZYKOWICZ/STOCK ADOBE
« Le prurit antisémite n’est plus l’apanage de l’extrême droite. L’antisémitisme moderne se camoufle dans l’antisionisme qui est revendiqué et assumé par une part de l’extrême gauche française jusqu’à l’outrance. » La charge est lourde et hautement politique, dimanche 16 juillet à Strasbourg (Bas-Rhin), date commémorative de la rafle du Vél’ d’Hiv qui coûta la vie à plus de 13 000 juifs, l’été 1942.
Enquête
La maire EELV de Strasbourg se désolidarise des propos de Jean-Luc Mélenchon insinuant que le Crif serait une organisation d’extrême droite. Depuis son élection en 2020, Jeanne Barseghian peine à apaiser les relations avec la communauté juive alsacienne, minées par la référence au conflit israélo-palestinien.
- Antoine Oberdorff,
- le 19/07/2023 à 17:34
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À Strasbourg, la communauté juive compte environ 20 000 membres. Ici, la synagogue de la Paix (photo d’illustration).ILAN EJZYKOWICZ/STOCK ADOBE
« Le prurit antisémite n’est plus l’apanage de l’extrême droite. L’antisémitisme moderne se camoufle dans l’antisionisme qui est revendiqué et assumé par une part de l’extrême gauche française jusqu’à l’outrance. » La charge est lourde et hautement politique, dimanche 16 juillet à Strasbourg (Bas-Rhin), date commémorative de la rafle du Vél’ d’Hiv qui coûta la vie à plus de 13 000 juifs, l’été 1942.