Jeudi 28 juillet
Considérez-le comme une immense joie, mes frères, quand vous rencontrez diverses épreuves ( ).
Beaucoup de personnes pensent qu’on ne peut être heureux que si on est en bonne santé, qu’on a beaucoup d’argent et qu’on a de bonnes relations avec les membres de sa famille. Mais la joie dont Jacques a parlé fait partie du fruit de l’esprit de Dieu et ne dépend pas des circonstances extérieures ( ). Un chrétien ressent une joie profonde quand il sait qu’il plaît à Jéhovah et qu’il suit l’exemple de Jésus ( ). Cette joie est comparable à une flamme protégée par une lanterne : même s’il pleut ou que le vent souffle, elle continue de brûler. Pareillement, même si nous tombons malades, que nous n’avons pas beaucoup d’argent ou que nous subissons des moqueries ou de l’opposition de la part de membres de notre famille ou d’autres personnes, nous ne perdons pas notre joie. Et à chaque fois que nos opposants essaient de nous en priver, elle devient encore plus forte. Les épreuves que nous traversons en raison de notre foi prouvent que nous sommes de véritables disciples du Christ ( ). Jacques avait donc de bonnes raisons d’écrire les paroles du texte d’aujourd’hui.
w21.02 27 § 6.