Mercredi 30 mars Jette ton fardeau sur Jéhovah, et il te soutiendra (Ps. 55:22).

« Le découragement est une arme de Satan qui peut être très puissante », fait remarquer Déborah, déjà citée. Mais Jéhovah est beaucoup plus puissant que Satan et toutes ses armes. Alors quand tu te sens découragé, peu importe la raison, supplie-​le de te soutenir. Il t’aidera à avoir un point de vue équilibré sur tes imperfections et tes faiblesses. Si tu es malade, il te réconfortera et te fortifiera. Si tu n’as pas certaines responsabilités dans son organisation, il t’aidera à voir les choses comme lui les voit. Et il te montrera comment porter un regard positif sur ton ministère. Alors prie constamment ton Père céleste et dis-​lui tout ce que tu as sur le cœur. Grâce à son aide, tu pourras vaincre le découragement !

NOTRE cœur vient à nous condamner. ” Par ces mots, la Bible reconnaît que parfois notre cœur nous pousse à être trop critiques envers nous-​mêmes. En effet, il peut nous amener à croire que nous sommes indignes de l’amour et de l’attention de Dieu. Cependant, la Bible nous rassure : “ Dieu est plus grand que notre cœur et il connaît toutes choses. ” (1 Jean 3:19, 20). Dieu nous connaît mieux que nous-​mêmes. Il arrive que son opinion sur nous soit très différente de la nôtre. Quelle valeur avons-​nous aux yeux de Jéhovah Dieu, Celui dont le regard importe vraiment ? La réponse nous est donnée dans un exemple touchant dont Jésus s’est servi à deux reprises.

55:22. Comment jeter notre fardeau sur Jéhovah ? 1) En lui faisant part de nos préoccupations dans la prière, 2) en nous tournant vers sa Parole et son organisation pour recevoir conseil et soutien, et 3) en faisant ce qui est raisonnablement en notre pouvoir pour améliorer les choses. — Proverbes 3:5, 6 ; 11:14 ; 15:22 ; Philippiens 4:6, 7.

“ NOTRE cœur vient à nous condamner. ” Par ces mots, la Bible reconnaît que parfois notre cœur nous pousse à être trop critiques envers nous-mêmes. En effet, il peut nous amener à croire que nous sommes indignes de l’amour et de l’attention de Dieu. Cependant, la Bible nous rassure : “ Dieu est plus grand que notre cœur et il connaît toutes choses. ” (1 Jean 3:19, 20). Dieu nous connaît mieux que nous-mêmes. Il arrive que son opinion sur nous soit très différente de la nôtre. Quelle valeur avons-nous aux yeux de Jéhovah Dieu, Celui dont le regard importe vraiment ? La réponse nous est donnée dans un exemple touchant dont Jésus s’est servi à deux reprises.
Un jour, il a dit que ‘ deux moineaux se vendaient pour une pièce de monnaie de peu de valeur ’. (Matthieu 10:29, 31.) D’après Luc 12:6, 7, une autre fois, Jésus a précisé : “ On vend cinq moineaux pour deux pièces de monnaie de peu de valeur, n’est-ce pas ? Pourtant pas un d’entre eux n’est oublié devant Dieu. [...] N’ayez pas peur ; vous valez plus que beaucoup de moineaux. ” Cet exemple à la fois simple et puissant nous enseigne comment Jéhovah considère chacun de ses adorateurs.
De tous les oiseaux vendus pour la consommation, le moineau figurait parmi les moins chers. Jésus avait sans aucun doute observé des femmes pauvres — peut-être sa propre mère — acheter ces petits oiseaux sur le marché pour nourrir leur famille. Pour un assariôn, soit moins de cinq centimes d’euro, on pouvait s’en procurer deux. Ces oiseaux étaient si peu chers qu’avec deux de ces pièces, on en obtenait non pas quatre mais cinq, le cinquième étant offert.
Jésus a expliqué que pas un seul moineau n’est “ oublié devant Dieu ” ou ne tombe “ à terre à l’insu [du] Père ”. (Matthieu 10:29.) Jéhovah remarque chaque fois qu’un moineau tombe au sol, qu’il soit blessé ou qu’il se pose à terre pour chercher sa nourriture. Même s’ils sont en apparence insignifiants, les oiseaux qui n’étaient pas trop petits pour que Jéhovah les crée ne sont pas non plus trop petits pour qu’il s’en souvienne. On peut même dire qu’il leur accorde de la valeur, car ils sont de précieuses créatures vivantes. Discernez-vous la leçon qui se dégage de l’exemple de Jésus ?

Jehovah veut que nous lui remettions nos fardeaux, mais le plus souvent nous continuons à les porter tout en affirmant lui faire confiance.
Il faut revoir notre façon de raisonner et lui faire confiance.