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12-18 juillet DEUTÉRONOME 13-15

4 participants

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Josué

Josué
Administrateur

12-18 juillet


  • Comment traiter les apostats (1-18)

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le charisme d'une personne ne signifie pas qu'elle soit conduite par Dieu.
Moïse avertit le peuple de la venue de beaux parleurs qui l'inviteront à adorer de faux dieu.

Josué aime ce message

samuel

samuel
Administrateur

Moïse avertit le peuple qu'il risquerait d'être tentes par l'idolâtre de trois manières.
1 par l'intermédiaire de faux prophes .
2 par des membres de leur famille!
3 par des apostats présents dans certaines villes cananéennes.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

La tentation d'abandonner Jah se manifeste souvent de façon sournoise sans qu'on remarque son apparition,par le chuchotement d'une petite voix qui sème le doute.
Et elle peut être très persuasive,surtout si elle vient d'un proche.

Josué

Josué
Administrateur


  • Démonstrations de deuil interdites (1, 2)
  • Aliments purs et aliments impurs (3-21)
  • Un dixième pour Jéhovah (22-29)


Deutéronome 14​:​1

papy

papy

14:1. L’automutilation est un manque de respect pour le corps humain. Elle peut être liée à la fausse religion et doit être rejetée (1 Rois 18:25-28). Étant donné notre espérance en la résurrection, une expression de deuil aussi extrême ne convient pas.

Josué

Josué
Administrateur

Les restrictions divines sur l’emploi du sang furent encore mises en relief par ce que Dieu déclara aux Israélites au sujet de la graisse. Contrairement aux instructions qu’il donna à ses adorateurs avant et après la Loi mosaïque, tant que celle-ci fut en vigueur les Israélites n’eurent pas le droit de manger de la graisse. La graisse des victimes sacrificielles était considérée comme la meilleure part, la part la plus riche de l’animal, et elle devait être brûlée sur l’autel en sacrifice à Dieu (Lév. 3:3-5, 16). Il y avait donc une analogie entre la façon dont ceux qui étaient sous la Loi considéraient et utilisaient le sang et la façon dont ils considéraient et utilisaient la graisse. Mais il y avait aussi une différence. Au moins dans le cas d’un animal qui était mort de lui-même ou qui avait été tué par une autre bête, la loi de Dieu stipulait au sujet de la graisse: “On pourra l’utiliser pour n’importe quelle autre chose qu’on imaginera, mais vous ne devrez pas la manger du tout.” Voyez-vous la différence? Quoique les Israélites ne fussent autorisés à manger ni le sang ni la graisse, Jéhovah déclara qu’ils pouvaient utiliser la graisse à d’autres fins que les sacrifices. Mais Dieu n’a pas dit la même chose à propos du sang. Si on ne versait pas le sang sur l’autel, il fallait le répandre à terre et rendre ainsi la vie de l’animal au Dispensateur de la vie. — Lév. 7:22-27.
Les chrétiens ne sont plus sous la Loi de Moïse (Rom. 7:6; Col. 2:13-16). Toutefois, nous avons reçu le commandement exprès de nous “abstenir (...) du sang”. Sachant que notre salut est devenu possible grâce au sang du Christ, nous sommes évidemment tenus de respecter le caractère sacré du sang (Éph. 1:7; Col. 1:13, 14, 20). Un chrétien qui comprend bien ce point n’a pas besoin d’une liste interminable de règles sur l’attitude qu’il doit adopter vis-à-vis des divers usages commerciaux du sang.

samuel

samuel
Administrateur

La loi nous apprend l'exigence de la sainteté concernant tous les domaines de notre vie et certains principes sont immuable comme le sang entre autre.

papy

papy

11 à 18
Identique à Lévitique 11.13-19, sauf l’adjonction de l’autour.
Tout oiseau pur (tsippor teora). On attendrait plutôt ôph, oiseau en général. Tsippor, qui désigne les petits oiseaux, est sans doute employé ici parce qu’il s’agit des oiseaux qu’on peut manger, lesquels se trouvent être presque tous des petits oiseaux.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

14:21 l'interdiction de cuire le chevreau dans le lait de sa mère déjà présent en Exode 23:19 est en rapport avec un rite canaanén de la fertilité.

Josué

Josué
Administrateur


  • Annulation des dettes tous les sept ans (1-6)
  • L’aide aux pauvres (7-11)
  • Libération des esclaves tous les sept ans (12-18)

    • Poinçonnage de l’oreille d’un esclave (16, 17)


  • Les premiers-nés des animaux sont sanctifiés (19-23)


Deutéronome 15​:​1

samuel

samuel
Administrateur

La volonté de Jéhovah que le peuple prend soin des déshérités.
Certains pensent que ceux qui sont pauvres le sont par leur propre faute, en conséquence , ils endurcissent leur coeur et refusent de les aider.
Ne cherchons pas de prétexte  pour ignorer ceux qui n'ont pas nos moyens, mais répondons à leurs besoins.

papy

papy

On comprend encore mieux l’excellence des instructions sur le Jubilé si on considère non seulement les bienfaits que les Israélites en retiraient individuellement, mais surtout l’effet qu’il avait sur l’ensemble de leur nation. Quand le Jubilé était correctement observé, cette année-là Israël retrouvait entièrement la bonne condition théocratique que Dieu avait prévue et établie à l’origine. Le gouvernement avait un fondement solide. L’économie restait toujours stable, et la nation n’était pas criblée de dettes (Dt 15:6). Le Jubilé assurait la stabilité du prix de la terre et empêchait l’accumulation d’une dette intérieure et son corollaire, la prospérité artificielle, laquelle entraîne l’inflation, la déflation et la crise économique.
Quand elle était respectée, la loi du Jubilé évitait à la nation de sombrer dans le triste état qu’on observe aujourd’hui dans de nombreux pays, où se profilent essentiellement deux classes : les très riches et les très pauvres. Les bienfaits que chacun retirait de ce système fortifiaient la nation, car personne ne devenait un défavorisé et un improductif à cause d’ennuis financiers ; au contraire, chacun pouvait mettre ses dons et ses capacités au service du bien de la nation. Grâce à la bénédiction que Jéhovah accordait à la production du sol et grâce à l’instruction qu’elle recevait, la nation d’Israël, tant qu’elle obéissait, bénéficiait de l’administration et de la prospérité parfaites que seule la vraie théocratie pouvait lui apporter. — Is 33:22.
La Loi était lue aux Israélites au cours des années sabbatiques, notamment lors de la fête des Huttes (ou de la Récolte) (Dt 31:10-12). Ils auraient dû ainsi se sentir encore plus attirés vers Jéhovah et auraient gardé leur liberté. Jéhovah les avait avertis qu’ils connaîtraient le malheur s’ils lui désobéissaient et persistaient à bafouer ses lois (y compris celles relatives aux années sabbatiques et jubilaires). — Lv 26:27-45.
Si on compte les années à partir de l’entrée des Israélites en Terre promise, leur première année jubilaire commença en Tishri 1424 av. n. è. (Lv 25:2-4, 8-10.) Entre 1473 av. n. è., date de leur entrée en Terre promise, et 607 av. n. è., année de la chute de Jérusalem, ils eurent l’obligation de célébrer 17 Jubilés. Mais il est triste de constater, au vu de leur histoire, qu’ils ne s’estimèrent pas heureux d’avoir Jéhovah pour Roi. Avec le temps, ils violèrent ses commandements, notamment les lois relatives au sabbat, et ils se privèrent des bienfaits que Dieu leur avait réservés. Leur manquement jeta l’opprobre sur Dieu au regard des nations du monde et les empêcha de constater l’excellence de sa domination théocratique. — 2Ch 36:20, 21.

Josué

Josué
Administrateur

On appelait l’année sabbatique “ l’année de la remise [hashshemittah] ”. (Dt 15:9 ; 31:10.) Durant cette année-là, la terre bénéficiait d’un repos (ou remise) complet, car elle restait en friche (Ex 23:11). Il devait également y avoir un repos, c’est-à-dire une remise ou libération, des dettes. C’était “ une remise pour Jéhovah ”, en son honneur. Bien que tous ne soient pas de cet avis, certains commentateurs considèrent que les dettes n’étaient en fait pas annulées, mais plutôt que le créancier ne devait pas presser son compagnon hébreu pour le paiement de sa dette, puisque le cultivateur n’avait aucun revenu cette année-là ; toutefois, dans le cas d’un débiteur étranger, le prêteur pouvait le presser pour le paiement (Dt 15:1-3). Certains rabbins pensent que les dettes annulées étaient les prêts consentis par charité à un frère indigent, mais que les dettes contractées dans le cadre de transactions d’affaires entraient dans une autre catégorie. Ils disent qu’au Ier siècle de n. è. Hillel institua une procédure par laquelle le prêteur pouvait intenter une action en justice pour garantir, en faisant une certaine déclaration, la validité de sa créance. — The Pentateuch and Haftorahs, par J. Hertz, Londres, 1972, p. 811, 812.
Cette année de remise ou de repos, durant laquelle on ne devait presser personne pour le paiement de dettes, ne s’appliquait pas à la libération des esclaves, dont beaucoup le devenaient par suite d’un endettement. En fait, l’esclave hébreu était libéré soit à la septième année de sa servitude, soit au Jubilé, selon ce qui arrivait en premier. — Dt 15:12 ; Lv 25:10, 54.

Josué

Josué
Administrateur

Jéhovah, à qui nous devons la vie, interdit la consommation de sang (Genèse 9:3, 4). Dans la Loi donnée à Israël, il réglementait l’usage du sang, symbole de la vie. “ L’âme [ou la vie] de la chair est dans le sang, disait-il, et moi je l’ai mis pour vous sur l’autel, pour faire propitiation pour vos âmes. ” Quand on tuait un animal à des fins alimentaires, on ‘ devait en verser le sang et le couvrir de poussière ’. (Lévitique 17:11, 13.) Jéhovah réitéra ce commandement à plusieurs reprises (Deutéronome 12:16, 24 ; 15:23). Un ouvrage juif fait ce commentaire : “ On ne devait pas conserver le sang, mais le rendre impropre à la consommation en le répandant sur le sol. ” (Soncino Chumash). Aucun Israélite n’avait le droit de s’approprier, de conserver et d’utiliser le sang d’une autre créature, car la vie de celle-ci appartenait à Dieu.

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