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28 décembre 2020 – 3 janvier 2021 LÉVITIQUE 16-17

4 participants

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Josué

Josué
Administrateur

28 décembre 2020 – 3 janvier 2021

LÉVITIQUE 16-17

Lévitique – Aperçu




      • Le jour de la Réconciliation (1-34)






Lévitique 16:1

samuel

samuel
Administrateur

Instructions à propos de l'autel et le jour de la réconciliation oû expiations est le jour le plus important de l'année pour Israël,le mot hébreu expier signifie couvrir les sacrifices.

papy

papy

On ne paraît pas en Orient devant le souverain sans être appelé, sous peine de mort.

Josué

Josué
Administrateur

Azazel

Nom hébreu qui signifie peut-être « bouc qui disparaît ». Pendant les cérémonies du jour de la Réconciliation, le bouc « désigné comme étant pour Azazel » était envoyé dans le désert. D’une façon symbolique, il emportait les péchés que la nation avait commis pendant l’année écoulée (Lv 16:8, 10).

samuel

samuel
Administrateur

Les deux boucs utilisés pour le rite du jour de la réconciliation représent les deux façons dont Jéhovah agit avec le péché des hébreux.

Josué

Josué
Administrateur

Chapitre 17.

  • Les sacrifices doivent être faits au tabernacle (1-9)

  • Interdiction de manger du sang (10-14)

  • Lois concernant les animaux trouvés morts (15, 16)

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

animaux désignés ici, quoique destinés à l’alimentation, sont ceux qui pouvaient aussi être offerts comme victimes sur l’autel. Quant aux animaux qui ne pouvaient en aucun cas servir de victimes, le procédé à suivre est indiqué au verset 13.
De la maison d’Israël. Pour les Israélites, il n’y a qu’un seul abattoir : l’entrée de la Tente d’assignation. Égorger ailleurs, soit dans le camp, soit hors du camp, un animal, même destiné à fournir de la viande de boucherie, est un acte qui a le caractère du meurtre et qui expose, aussi bien que ce crime, à la vindicte divine.
Aussi longtemps qu’ils furent dans le désert, les Israélites furent astreints à cette loi. Comme elle eût été impraticable une fois qu’ils habitèrent en Canaan, elle fut retirée au moment de l’entrée dans ce pays Deutéronome 12.20-22. Ainsi, tant que cela fut possible, les Israélites furent astreints à convertir les animaux domestiques dont ils usaient pour leur consommation en victimes d’actions de grâces, dont les graisses étaient brûlées sur l’autel et le sang versé au pied de l’autel. Cependant comme il ne s’agit pas ici d’un sacrifice proprement dit, le mot employé est celui qui signifie égorger, tuer, et non pas sacrifier, comme au verset 8

Josué

Josué
Administrateur

L’emploi que le grand prêtre de l’Israël antique faisait d’un sang animal le jour annuel des Propitiations nous permet de comprendre le point de vue de Jéhovah sur le sang. Le sang était réservé à un usage particulier. Il servait à faire propitiation pour les péchés de ceux qui recherchaient le pardon de Jéhovah. Il fallait faire l’aspersion du sang du taureau et du bouc vers et devant le couvercle de l’arche de l’alliance (Lév. 16:14, 15, 19). Grâce à ce rituel, Jéhovah pouvait pardonner les péchés des Israélites. De plus, Jéhovah avait décrété que, si un homme tuait un animal pour se nourrir, il devait en verser le sang et le couvrir de poussière, « car l’âme de toute sorte de chair est son sang » (Lév. 17:11-14). Ces pratiques étaient-elles des rituels sans importance ? Non. L’emploi du sang le jour des Propitiations et l’ordre de verser le sang à terre sont conformes à la loi relative au sang que Jéhovah avait donnée précédemment à Noé et à ses descendants (Gen. 9:3-6).

samuel

samuel
Administrateur

Le livre du Lévitique montre tous le long de ses pages l'usage sacré du sang et de la vie.

Josué

Josué
Administrateur

Aucun adorateur de Dieu ne pouvait donc manger du sang, qu’il provienne d’un animal (ou de la chair d’un animal) mort de lui-même ou tué par l’homme. Mais alors pourquoi Lévitique 17:15 dit-il que celui qui mangeait de la viande non saignée provenant d’un tel animal, mort de lui-même ou tué par une bête, était simplement impur?
Nous trouvons un élément d’explication en Lévitique 5:2 qui dit: “Lorsqu’une âme touche une chose impure, soit le corps mort d’une bête sauvage impure, (...) bien que cela lui ait été caché, elle est néanmoins impure et est devenue coupable.” Dieu reconnaissait ainsi qu’un Israélite pouvait commettre une faute par inadvertance. On peut donc comprendre que Lévitique 17:15 s’appliquait dans le cas où une telle faute avait été commise par mégarde. Par exemple, si, après avoir mangé la viande qui lui avait été servie, un Israélite apprenait que celle-ci n’avait pas été saignée, il était coupable d’un péché. Mais comme il l’avait commis par inadvertance, il pouvait faire ce qui était requis par la Loi pour redevenir pur. Notons que s’il ne le faisait pas, ‘il devait répondre de sa faute’. — Lévitique 17:16.

samuel

samuel
Administrateur

L'interdiction sur le sang remonte à Noé et sa répétition peut viser plusieurs objectifs.
1 elle empêche de faire comme les nations païennes.car la consommation du sang et courante.
2 elle préserve le symbolisme du sacrifice du sang, le sang symbolise la vie de l'animal sacrifié à la place du pêcheur.

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