25 juin
Une attente différée rend le cœur malade (Prov. 13:12).
Prenons le cas d’une sœur d’Angleterre qui n’a jamais réussi à avoir d’enfants. À l’arrivée de la ménopause, elle était effondrée parce qu’elle comprenait qu’elle devrait attendre le Paradis pour être maman. Elle raconte : « Alors nous avons décidé d’adopter un enfant. Mais j’ai quand même fait une sorte de deuil. Je savais qu’adopter ne serait pas exactement pareil que de donner naissance à mon propre enfant. » La Bible dit qu’une chrétienne est « préservée [ou : sauvée] grâce à la maternité » (1 Tim. 2:15, note). Cela signifie-t-il que donner naissance à un enfant ou en adopter un procure la vie éternelle ? Non, mais plutôt que si une femme a des enfants à élever en plus de devoir s’occuper de son foyer, cela peut lui éviter de bavarder sur les autres et de se mêler de leurs affaires (1 Tim. 5:13). w17.06 5 § 6-8.