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PMA et "écoles coraniques":

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papy
Josué
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1PMA et "écoles coraniques":  Empty PMA et "écoles coraniques": Ven 18 Jan - 12:01

Josué

Josué
Administrateur

[size=39]PMA et "écoles coraniques": l'étrange lettre d'Agnès Thill[/size]
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 18/01/2019 à 08:10 , mis à jour à 11:59


PMA et "écoles coraniques":  La-deputee-de-l-oise-agnes-thill-a-paris-le-19-mai-2017_6126594
La députée de l'Oise Agnès Thill avait été avertie "une dernière fois" en novembre pour ses propos.
 
afp.com/CHARLY TRIBALLEAU

Pour la députée LREM, la notion de "parent d'intention" vide le mot de son sens et "favorise l'éclosion d'écoles coraniques".

La fois de trop ? La députée LREM Agnès Thill, opposée à l'extension de la PMA, a estimé jeudi que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques", des propos condamnés par des élus de son groupe.  
L'élue de l'Oise, mise en garde à plusieurs reprises par LREM pour certaines de ses prises de positions publiques, a jugé que le rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique franchissait une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations. Dans une lettre adressée à ses collègues du groupe majoritaire, elle estime notamment qu'accepter dans la future révision de la loi le "parent d'intention" - le parent n'ayant pas de lien biologique avec l'enfant - "permet la multiplication des parents" et que le mot parent "n'a alors plus aucun sens". 

"Il en découle politiquement, que cette absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques et le départ de nos élèves vers celles-ci", écrit l'ancienne directrice d'école. 

Un élu LREM demande l'exclusion

"Nos amis musulmans, que nous savons opposés à cet éloignement progressif des concepts de père-mère, homme-femme (...) ne vont point dans la rue, ni dans les urnes, pour exprimer leur conception. Mais ils vivent en créant un monde parallèle dans la République, où les choses sont comme ils veulent (...) Il n'y a pas, chez nos amis musulmans, de parent 1 et de parent 2", ajoute Agnès Thill, qui cite dans sa lettre parmi les experts à s'être prononcés sur l'extension de la PMA, "juristes", "scientifiques", "associations" mais aussi "francs-maçons"...  

LIRE AUSSI >> Agnès Thill, missionnaire anti-PMA d'En Marche 
Un raisonnement que n'ont pas goûté certains élus LREM. "Marre qu'une députée @LaREM puisse prononcer des propos homophobes et islamophobes aussi librement... Le courrier reçu par mes collègues et moi-même est un tapis de sottises qui stigmatise inutilement deux minorités. En France, il n'y a pas de 'parallèle' à la République", a réagi sur Twitter Laurence Vanceunebrock-Mialon. 

Josué

Josué
Administrateur

[size=39]Pourquoi l'Observatoire de la laïcité cristallise les tensions
Par Paul Chaulet,publié le 22/10/2020 à 12:03 , mis à jour à 16:30[/size]
PMA et "écoles coraniques":  Le-president-de-l-observatoire-de-la-laicite-jean-louis-bianco-le-4-avril-2017-a-paris_5856243
Le président de l'Observatoire de la laïcité, Jean-Louis Bianco, Le 4 avril 2017 à Paris
 
afp.com/Patrick KOVARIK
[size=13]Article Abonné[/size]

Le gouvernement compte "renouveler" cette instance, créée en 2007. Elle fait l'objet de vives critiques chez les partisans d'une "laïcité de combat".

[size=20]C'est l'une des répliques de [size=20]l'attentat de Conflans
. Déterminé à intensifier la lutte contre l'islamisme radical, l'exécutif fait feu de tout bois après l'assassinat de Samuel Paty. Il compte ainsi "renouveler" l'Observatoire de la laïcité, organisme placé sous l'autorité du Premier ministre. Fondée en 2007, cette instance est souvent taxée de laxisme par les tenants d'une laïcité intransigeante. Sa mission : produire des guides, proposer des mesures au gouvernement et travailler sur les projets de textes législatifs ou réglementaires. A ce titre, l'Observatoire a participé à la préparation de la future loi sur le séparatisme. 
[/size][/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Des imams agacés par une future « labellisation »[/size]

La création d’un conseil national des imams (CNI), annoncée mercredi 18 novembre par le Conseil français du culte musulman (CFCM), suscite l’irritation, voire la colère, de certains imams indépendants. Ils remettent en cause la légitimité du CFCM et redoutent une ingérence de l’étranger sur les questions théologiques.



  • Mélinée Le Priol, 
  • le 01/12/2020 à 06:54 
  • Modifié le 01/12/2020 à 08:04




PMA et "écoles coraniques":  Priere-vendredi-Grande-Mosquee-Lyon-23-octobre-2020_0



Prière du vendredi à la Grande Mosquée de Lyon, le 23 octobre 2020.[size=12]MAXIME JEGAT/LE PROGRES/MAXPPP
[/size]
Mascarade ou catastrophe ? Paternalisme feutré ou franche humiliation ? Ingérence de l’État français ou de pays étrangers ? Les critiques se sont multipliées, ces derniers jours, à l’encontre du projet de création d’un conseil national des imams (CNI), que le Conseil national du culte musulman (CFCM) a présenté à l’Élysée

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Des écoles hors contrat musulmanes dans le viseur des autorités[/size]

La future loi contre le « séparatisme » permettra aux autorités de fermer administrativement des établissements hors contrat manquant à leurs obligations. Les écoles musulmanes, dont les effectifs ont presque doublé en trois ans, s’estiment injustement visées.



  • Denis Peiron, 
  • le 07/12/2020 à 06:26 
  • Modifié le 07/12/2020 à 11:50



PMA et "écoles coraniques":  En-2019-etablissements-contrat-musulmans-accueillaient-9-000-eleves-contre-4-800-trois-anstot_0



En 2019, les établissements hors contrat musulmans accueillaient 9 000 élèves, contre 4 800 trois ans plus tôt.[size=12]PATRICK ZACHMANN / MAGNUM PHOTOS
[/size]




Elles scolarisent 85 000 enfants sur 12 millions mais font l’objet d’une attention grandissante. Les écoles hors contrat – des établissements privés dont les enseignants ne sont pas rémunérés par l’État et jouissent, en retour, d’une plus grande liberté – sont au cœur de plusieurs articles du projet de loi confortant les principes républicains.

Surnommé « loi contre le séparatisme », ce texte sera présenté en conseil des ministres le mercredi 9 décembre, en pleine journée de la laïcité. Il ne touche pas au régime d’ouverture des écoles hors contrat : il suffit toujours, pour créer un tel établissement, d’une déclaration aux autorités compétentes. En revanche, le projet de loi ouvre la possibilité aux autorités préfectorales et académiques de fermer administrativement une école, sans saisir le procureur, en cas de dérives et de manquements graves et réitérés à la réglementation (risques pour l’ordre public, la santé, la sécurité physique ou morale des élèves, ou encore insuffisance de l’enseignement, non conforme aux objectifs de l’instruction obligatoire ou ne permettant pas l’acquisition progressive du socle commun).
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Des sanctions qui se veulent dissuasives



Cette disposition est assortie de sanctions, notamment jusqu’à un an d’emprisonnement et 75 000 € d’amende si le directeur ou le responsable légal de l’école ne procède pas ou fait obstruction à une fermeture décidée administrativement.
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En renforçant son arsenal, deux ans après la loi Gatel qui harmonisait et durcissait les conditions d’ouverture des écoles hors contrat tout en facilitant leur contrôle, l’État veut sortir d’une situation qui confine souvent à l’impuissance lorsqu’un établissement multiplie les recours en justice. Ces deux dernières années, l’État n’a pu obtenir que deux fermetures d’écoles hors contrat. Et encore, précise le ministère de l’éducation, l’une, fermée pour des raisons pédagogiques, était réapparue sous un autre nom, qui a fait à son tour l’objet de fermetures temporaires. Dans l’autre cas, c’est la décision prise par les autorités de faire scolariser d’office les élèves dans un autre établissement qui a entraîné la faillite et donc la fermeture de l’école. Le ministère se garde cependant de préciser combien d’autres auraient mérité, selon lui, d’être fermées.
À lire aussi

Le Parlement durcit les règles pour les écoles hors contrat

PMA et "écoles coraniques":  Ecole-privee-musulmane-quartier-Mirail-Toulouse-janvier-2015_0_190_135


Ces dernières années, l’État a aussi voire surtout été confronté à l’existence d’écoles clandestines, par définition pas inspectées. Des écoles « de fait », comme les nomme parfois Jean-Michel Blanquer. « On trouve des familles qui ont opté pour une instruction à domicile [solution à l’avenir interdite, sauf exception, NDLR] mais qui, n’y arrivant pas, demandent collectivement à un adulte de leur entourage ou à une association cultuelle ou culturelle, d’assurer cet enseignement », indique Anne Coffinier, présidente de Créer son école, association qui promeut la « liberté scolaire ».
En deux ans, seules deux « écoles » de ce type ont été démantelées, l’une laïque, l’autre musulmane, en invoquant dans ce dernier cas des problèmes d’hygiène. Là encore, la future loi permettra de recourir à une fermeture administrative.

Entre-soi


Implicitement, la nouvelle législation vise avant tout certains établissements musulmans. « Quand ils sont clandestins, ils opèrent souvent un mélange problématique entre école et école coranique », estime Didier Leschi, haut fonctionnaire spécialiste des cultes et de la laïcité. « Quant aux écoles hors contrat dûment déclarées, parfois créées avec le soutien d’un État, la Turquie par exemple, elles peuvent aussi relever du séparatisme. Car même si beaucoup suivent les programmes de l’éducation nationale [elles n’y sont pas tenues, NDLR], elles promeuvent l’entre-soi », considère celui qui dirige aujourd’hui l’Office français de l’immigration et de l’intégration.
Un « entre-soi » souvent inhérent au hors contrat, contextualise Bruno Poucet, professeur en sciences de l’éducation. « Le refus de toute mixité sociale, religieuse ou ethnique fait partie de ses fonctions, parallèlement à la promotion de pédagogies alternatives et à la prise en charge d’élèves en échec. » Comme le constate Didier Leschi, « sur fond de défiance vis-à-vis de l’école publique, de nombreuses familles expriment une demande d’écoles à caractère propre musulman, avec l’idée que les enfants y seront mieux tenus, les filles mieux respectées ». Les chiffres sont éloquents : en 2019, les établissements hors contrat musulmans – au nombre de 91 - accueillaient 9 000 élèves, contre 4 800 trois ans plus tôt.
Des écoles qui sont cependant majoritairement en quête de reconnaissance et de financements publics, si l’on en croit Makhlouf Mamèche : « Beaucoup de ces écoles veulent passer sous contrat, comme l’ont déjà fait entièrement trois de nos établissements à Lille, Marseille et Lyon », assure le président de la Fédération nationale de l’enseignement musulman. « Aucune de nos écoles ne prêche contre la République. Le séparatisme vient de l’État, quand il empêche nos établissements de passer sous contrat », tonne l’ancien vice-président de l’Union des organisations islamiques de France.

« Comme si on sanctionnait toute la classe parce qu’un élève a triché »


« Ici, nous enseignons le socle commun », affirme pour sa part Sabar Kabbouchi, directeur de l’ensemble scolaire Ibn-Badis, à Nanterre (Hauts-de-Seine), créé en 2015 sous l’égide d’un institut qui compte aussi une mosquée et un pôle social (maraude, distribution de paniers repas, etc.). « Nos 215 élèves, du primaire à la terminale, travaillent en français et apprennent en plus dès le CP l’anglais et l’arabe, suivi en langue vivante 2 à partir de la 6e. » De même, « pas de contrainte » en matière religieuse : « Ceux qui veulent prier, prient, les autres pas. Celles qui veulent porter le voile le portent (et elles sont minoritaires jusqu’en 4e), les autres pas. » Et ce chef d’établissement de déplorer : « Certains abusent des libertés qui nous sont données mais là, c’est comme si on sanctionnait toute la classe parce qu’un élève a triché. »
« Les écoles musulmanes sont toutes communautaristes au sens où elles veulent transmettre une identité, mais elles ne sont pas toutes radicales, loin de là, analyse Anne Coffinier. En les pointant du doigt collectivement, on leur donne le sentiment de les traquer. » Une « stigmatisation » qui, estime-t-elle, jette plus largement la suspicion sur l’ensemble du hors contrat, constitué pour un tiers à peine d’écoles confessionnelles, lesquelles sont pour moitié catholiques.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Désunion dans l’islam de France[/size]

editorial

  • Anne-Bénédicte HoffnerDirectrice adjointe de la rédaction



Le Conseil français du culte musulman et la Grande Mosquée de Paris ont chacun annoncé dimanche 14 novembre la création prochaine de leur propre Conseil national des imams.


  • Anne-Bénédicte Hoffner, 
  • le 15/11/2021

Josué

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Administrateur

[size=38]La Grande Mosquée de Paris et trois fédérations lancent leur Conseil national des imams Abonnés[/size]

La Grande mosquée de Paris et trois fédérations installent, dimanche 21 novembre à Paris, un Conseil national destiné à certifier les imams, une instance contestée par le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) qui n’exclut pas de la contester en justice.
Invité dimanche, le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin ne viendra pas, a précisé son entourage.



  • Céline Hoyeau (avec l’AFP), 
  • le 20/11/2021 à 16:13 
  • Modifié le 21/11/2021 à 09:33




PMA et "écoles coraniques":  Fideles-musulmans-devant-Grande-mosquee-Paris_0



Des fidèles musulmans devant la Grande mosquée de Paris.[size=12]THOMAS COEX/AFP

[/size]
Il y a un an, en novembre 2020, dans le cadre de la lutte contre l’islam radical et les « séparatismes », l’Élysée avait poussé les diverses fédérations composant le Conseil français du culte musulman (CFCM), principal interlocuteur des pouvoirs publics, à

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[size=38]Un collectif de Français musulmans dénonce les pratiques « islamistes séparatistes » [/size]

Les faits
 

Quinze « Français musulmans engagés », signataires d’une tribune dans Le Monde, publiée lundi 7 février, s’insurgent contre « les pratiques de l’islamisme radical » dépeintes dans un reportage de Zone interdite, diffusé sur M6.



  • Juliette Paquier, 
  • le 07/02/2022 à 18:08 
  • Modifié le 07/02/2022 à 18:08


PMA et "écoles coraniques":  Francais-besoin-entendre-connaissent-forcement-lislam-avons-devoir-pedagogie-assure-Sophia-Idris-linitiative-tribune-musulmane_0



« Les Français ont besoin de nous entendre, ils ne connaissent pas forcément bien l’islam : nous avons un devoir de pédagogie », assure Sophia Idris, à l’initiative de la tribune en tant que musulmane.SATUR73/STOCK.ADOBE.C



« Français musulmans engagés, (

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4 avril dernier, une poignée d'élèves d'un collège du centre-ville de la Ville rose ont quitté un cours de musique parce que leur enseignante leur faisait écouter un morceau des Beatles durant la période du Ramadan. La Dépêche du Midi vous résume ce que l'on sait de l'affaire.

Alors que leur enseignante leur faisait écouter un morceau des Beatles, plusieurs élèves d'un lycée toulousain ont quitté la salle de cours le 4 avril dernier. La raison invoquée : la période du Ramadan (le mois saint par excellence pour les musulmans NDLR).

Josué

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Administrateur

[size=38]Belgique : le gouvernement rompt avec l’organisme représentatif des musulmans[/size]
Les faits 
Bruxelles a annoncé jeudi 15 septembre rompre avec l’Exécutif des musulmans de Belgique. Cet organisme, censé représenter les croyants belges, est accusé de manquer de transparence et de mauvaise gestion.


  • La Croix (avec AFP), 
  • le 15/09/2022 à 15:46



PMA et "écoles coraniques":  Ramadan-Gjanaj-president-lExecutif-musulmans-Belgique-LEtat-rompucet-organe-representatif-musulmans-belges-jeudi-15-septembre_0



Ramadan Gjanaj, président de l’Exécutif des musulmans de Belgique. L’État a rompu avec cet organe représentatif des musulmans belges jeudi 15 septembre.JEAN-MARC QUINET/BELPRESS/MAXPPP



La Belgique va devoir se trouver un nouvel interlocuteur. Le gouvernement belge a décidé jeudi 15 septembre de couper les ponts avec l’Exécutif des musulmans de Belgique (EMB), principal organe représentatif de ce culte, accusé de manque de « transparence » et de « mauvaise gestion ».
À lire aussiEn Belgique, le gouvernement ne veut plus reconnaître l’organe représentatif du culte musulman
Dans un communiqué, le ministre belge de la justice, qui a compétence sur les cultes, dit avoir décidé de « retirer définitivement la reconnaissance de l’EMB », qui était l’interlocuteur officiel du gouvernement depuis 1996. « Je n’ai encore jamais vu un tel amateurisme (…) La communauté musulmane mérite mieux », écrit le ministre libéral flamand, Vincent Van Quickenborne, reprochant à l’EMB d’être un organisme « peu transparent et peu démocratique ».
[size=16]Pourquoi s’abonner à La Croix?

S’informer avec calme, recul et confiance est plus que jamais nécessaire
« Malgré un conseil d’administration composé de 17 membres élus censés représenter les différents courants de la communauté musulmane, la gestion était de facto entre les mains de quelques individus », fait-il valoir. Et « malgré les multiples promesses de l’EMB, il n’y a toujours aucune élection démocratique crédible en vue », poursuit Vincent Van Quickenborne.
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Jugé trop perméable à l’Islam conservateur


Ce retrait de « reconnaissance » signifie que l’organisme, censé notamment former les imams et organiser l’enseignement islamique en Belgique, est privé pour de bon de sa subvention d’État (à hauteur d’environ 600 000 € par an). Elle n’avait déjà pas été versée en 2022, rappelle le ministre.
Dans ce pays de 11,5 millions d’habitants, la communauté musulmane compte entre 600 000 et 800 000 membres, selon les sources. L’Exécutif des musulmans de Belgique est dans le collimateur des autorités depuis plusieurs années, soupçonné d’être trop perméable aux influences de courants conservateurs de l’islam.
À lire aussiLe gouvernement veut remplacer le CFCM comme interlocuteur officiel du culte musulman
« Le rôle et l’efficacité de l’EMB posent question (…) le nombre d’imams reconnus (par les autorités) est bien trop limité », pointait déjà en 2018, sous la précédente majorité, un rapport d’enquête parlementaire consécutif aux attentats djihadistes de mars 2016 à Bruxelles (32 morts).

Priorité à la « prévention du radicalisme »


« Si l’on souhaite que la communauté musulmane soit mieux intégrée en Belgique, l’Exécutif doit devenir un partenaire privilégié des pouvoirs publics, ce qui suppose davantage de moyens, qui devront notamment être affectés à la prévention du radicalisme », soulignait le rapport.

« En échange, l’Exécutif doit s’engager à promouvoir exclusivement un islam respectueux de la Constitution et des valeurs et principes fondamentaux de la démocratie et à représenter au mieux l’ensemble de la communauté musulmane de Belgique ».

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Montpellier : Deux écoles coraniques illégales fermées[/size]

ILLEGALES Les deux écoles accueillaient des dizaines d’enfants mineurs au moment de la visite inopinée des services de l’Etat

Jérôme Diesnis
Publié le 17/11/22 à 08h0


PMA et "écoles coraniques":  310x190_illustration-coran
Illustration d'un coran. — Dwi Anoraganingrum/SIPA











Le préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh, a ordonné la fermeture de deux écoles coraniques illégales. Ces deux structures ont fait l’objet d’une visite inopinée des services de l’Etat, mercredi matin, par les membres de la sous-commission départementale de sécurité. Les deux établissements étaient situés dans le quartier Tournezy, à Montpellier.
L’institut Tawakkoul hébergeait des salles de classe accueillant plus de quatre-vingt-dix enfants mineurs, âgés de 6 à 15 ans. Dans la seconde structure, le centre multiculturel d’Occitanie, une soixantaine d’enfants, dont l’âge des plus jeunes était estimé à trois ou quatre ans, étaient regroupés dans un accueil collectif de mineurs non autorisé. Une salle de prière recevant du public sans autorisation a également été découverte.

Lutte contre les pratiques d’endoctrinement


Le préfet de l’Hérault prendra un arrêté de fermeture de l’accueil collectif illégal de mineurs et il a demandé au maire de Montpellier, conformément à son pouvoir de police, la fermeture immédiate des deux établissements. « Le préfet de l’Hérault, tient à rappeler qu’il a engagé dans le département une lutte contre les pratiques d’endoctrinement véhiculant des valeurs contraires à la République auprès des jeunes enfants », explique le service de communication de la préfecture.


SOCIÉTÉ

Béziers : Le préfet ordonne la fermeture d’une école coranique

Josué

Josué
Administrateur

https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/11/16/la-prefecture-de-l-herault-demande-la-fermeture-de-deux-ecoles-coraniques-a-montpellier_6150211_3224.html


La préfecture de l’Hérault demande la fermeture de deux écoles coraniques à Montpellier
Des « contrôles administratifs inopinés » ont été effectués mercredi dans deux établissements religieux du quartier de Tournezy.
Le Monde avec AFP
Publié le 16 novembre 2022 à 21h49 Mis à jour le 16 novembre 2022 à 21h49
 
 
La préfecture de l’Hérault a annoncé, mercredi 16 novembre, la fermeture prochaine à Montpellier de « deux écoles de type coranique » accusées de dispenser sans autorisation des cours d’apprentissage religieux à des dizaines d’enfants, une décision que s’apprête à valider la ville, selon la mairie.

Sur ordre du préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh, des « contrôles administratifs inopinés » ont été effectués mercredi dans deux établissements religieux, dans le quartier de Tournezy, dans le sud de la ville, a expliqué la préfecture dans un communiqué. « Ces opérations de contrôle (…) ont permis de découvrir l’existence illégale de deux écoles de type coranique dispensant essentiellement des cours d’apprentissage religieux », a-t-elle expliqué.

Salle de prière « recevant du public sans autorisation »


Il s’agit d’un « institut » qui « hébergeait des salles de classe accueillant plus de quatre-vingt-dix enfants mineurs âgés de 6 à 15 ans », et du « centre », où « une soixantaine d’enfants, dont les plus jeunes pouvaient avoir 3 ou 4 ans, étaient regroupés dans un accueil collectif de mineurs non autorisé », selon le communiqué. « Une salle de prière recevant du public sans autorisation a également été découverte » dans ce second établissement, a ajouté la préfecture.



Le préfet de l’Hérault « prendra un arrêté de fermeture de l’accueil collectif illégal de mineurs et il a demandé au maire de Montpellier, conformément à son pouvoir de police, la fermeture immédiate des deux établissements ». « Nous allons bien sûr signer l’arrêté que le préfet nous demande puisqu’il estime que ces établissements ne remplissent pas les normes des établissements recevant du public », a dit à l’Agence France-Presse une source proche du maire socialiste de Montpellier, Michaël Delafosse.

papy

papy

[size=38]Laïcité et Aïd-El-Fitr : à l’école, « les grandes fêtes religieuses constituent des motifs d’absence reconnus »[/size]
Explication 
Vendredi 21 avril, des élèves musulmans ne sont pas venus en classe afin de fêter l’Aïd-el-Fitr qui marque la fin du Ramadan dans l’islam. L’éducation nationale a adopté, en 2004, une circulaire destinée à réglementer ces absences.

  • Marguerite de Lasa et Emmanuelle Lucas, 
  • le 24/04/2023 à 17:34 
  • Modifié le 24/04/2023 à 17:35

chico.

chico.

La fondatrice de l'association "Imad pour la jeunesse et la paix" a réagi sur BFMTV aux derniers chiffres d'atteintes déclarées à la laïcité communiqués par l'Éducation nationale.



PMA et "écoles coraniques":  AAnzzqBFMTV
Laïcité à l'école: \



Laïcité à l'école: \
PMA et "écoles coraniques":  AAnzzqBFMTV
Lecture automatique



"Les règles et les valeurs, on doit les respecter, que l'on soit musulman ou non". L'Éducation nationale a publié ce mercredi 7 juin les chiffres mensuels des atteintes déclarées à la laïcité dans les établissements scolaires publics français. Si celles-ci ont baissé de 30% entre avril et mai, passant de 625 à 438, la part des incidents relevant du port de signes et tenues religieux, comme les abayas pour les femmes et les qamis pour les hommes, y a augmenté, représentant 56% du total contre 37% en avril et 42% en mars.

BenFis

BenFis

papy a écrit:[size=38]Laïcité et Aïd-El-Fitr : à l’école, « les grandes fêtes religieuses constituent des motifs d’absence reconnus »[/size]
Explication 
Vendredi 21 avril, des élèves musulmans ne sont pas venus en classe afin de fêter l’Aïd-el-Fitr qui marque la fin du Ramadan dans l’islam. L’éducation nationale a adopté, en 2004, une circulaire destinée à réglementer ces absences.

  • Marguerite de Lasa et Emmanuelle Lucas, 
  • le 24/04/2023 à 17:34 
  • Modifié le 24/04/2023 à 17:35


Nos gouvernants ne savent vraiment plus à quel Saint se vouer!? Very Happy

samuel

samuel
Administrateur

Il suffit d'appliquer la loi sur la laïcité.

16PMA et "écoles coraniques":  Empty Re: PMA et "écoles coraniques": Ven 16 Juin - 16:03

Lechercheur



[url=https://www.marianne.net/Abonnement?ref=https://www.marianne.net/societe/prieres
[size=27]SOCIÉTÉ


Dans un collège et un lycée niçois, un port d'abaya, une ten traditionelle islamique, et une autre prière musulmane ont aussi été constatés.
Roland Macri / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP)
[/size]
[size=42]Prières musulmanes à l'école : l'Inspection générale saisie après des "atteintes graves" à la laïcité à Nice[/size]


Éducation



Par Marianne


Publié le 16/06/2023 à 15:19










Des prières musulmanes, une minute de silence à la mémoire du prophète Mahomet... Ces atteintes à la laïcité ont eu lieu dans trois écoles primaires à Nice. Christian Estrosi et Pap Ndiaye déplorent aujourd'hui des « faits intolérables ». Une enquête de l'Inspection générale a été diligentée pour faire la lumière sur les circonstances des différentes affaires.




Après la montée de la polémique autour du port de l'abaya à l'école ces dernières semaines, la fin d'année scolaire est décidément marquée par des atteintes à la laïcité à répétition. Jeudi 15 juin, sur Twitter, le maire de Nice Christian Estrosi s'est ému de plusieurs prières musulmanes réalisées par des enfants dans différentes écoles primaires de Nice qualifiant ces actes de « situations inacceptables ». Dans une déclaration conjointe publiée ce vendredi, le maire de Nice Christian Estrosi et le ministre de l'Éducation nationale Pap Ndiaye ont de nouveau dénoncé les « atteintes graves » à la laïcité recensées dans plusieurs établissements de la ville du sud-est. « De tels faits sont intolérables dans l’École de la République et doivent faire l’objet d’une réponse ferme, collective et résolue », soulignent les deux hommes. Conséquence : selon ce même communiqué, l'Inspection générale de l'Éducation nationale a été saisie « pour établir précisément les faits et en tirer les conclusions utiles ».

17PMA et "écoles coraniques":  Empty Re: PMA et "écoles coraniques": Ven 16 Juin - 17:08

Lechercheur



Le ministre de l'Éducation Pap Ndiaye a qualifié vendredi d'"intolérables" les prières, musulmanes selon le maire de Nice Christian Estrosi, prononcées par des élèves de trois écoles élémentaires publiques de Nice lors de la pause méridienne.
"Les faits qui se sont passés dans trois écoles primaires de Nice sont intolérables. Je mobilise immédiatement les équipes valeurs de la République. En lien avec Christian Estrosi, le gouvernement prend toutes les mesures nécessaires pour faire respecter la laïcité dans nos écoles", a écrit le ministre sur Twitter.

18PMA et "écoles coraniques":  Empty Re: PMA et "écoles coraniques": Sam 24 Juin - 14:30

papy

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[size=38]Nice : ce que l’on sait de l’affaire des prières musulmanes dans les écoles publiques[/size]
Les faits 
Dans un courrier du jeudi 15 juin, le maire de Nice, Christian Estrosi, a révélé la pratique de prières musulmanes par des élèves dans des écoles de la ville durant la pause de midi. Une enquête administrative a été ouverte.


  • Laure-Anne Marxuach (avec AFP), 
  • le 16/06/2023 à 15:51


PMA et "écoles coraniques":  Christian-Estrosi-21-novembre-2022-maire-Nice-denonce-reseaux-sociaux-pratique-prieres-musulmanes-eleves-plusieurs-ecoles-publiques-ville_0



Christian Estrosi, le 21 novembre 2022. Le maire de Nice a dénoncé sur les réseaux sociaux la pratique de prières musulmanes par des élèves dans plusieurs écoles publiques de la ville.JEAN FRANÇOIS OTTONELLO/PHOTOPQR/NICE MATIN/MAXPPP
Le maire de Nice, Christian Estrosi, a révélé jeudi 15 juin que des groupes d’élèves de plusieurs écoles niçoises organisaient des prières musulmanes sur leur temps de pause méridienne. Une « minute de silence à la mémoire du prophète Mohammed » a notamment été respectée par des enfants scolarisés en CM1 et CM2, a raconté l’édile sur Twitter, dans un courrier adressé à la première ministre, 

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