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Cour Européenne des Droits de l’Homme‏

+3
VENT
Josué
Milano
7 participants

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Milano

Milano

Bonjour à tous:

Le 21 juin 2011, la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), a annoncé en page 4 (au milieu de la page du document ci-joint) qu’elle statuera le Jeudi 30 juin 2011 sur la demande de l’Association des Témoins de Jéhovah de France (affaire N°8916/05), concernant la taxation et le redressement fiscal.

Le jeudi 30 juin, la cour européenne de justice statuera par rapport à notre affaire.

Dans un rapport parlementaire de 1995, consacré aux « sectes de France », les témoins de Jéhovah furent qualifiés de secte. Notre association de France, indique que d’après ce rapport, elle aurait fait l’objet de mesures visant à la marginaliser, et en particulier d’un redressement fiscal de plusieurs dizaines de millions d’euros relatifs aux dons effectués par ses fidèles.



Ces dons ne sont pas imposables pour des associations cultuelles, mais les autorités ont considéré que notre association ne pouvait être considérée comme telle !

Dans son grief déclaré recevable par la cour, notre association soutient, en invoquant l’article 9 (droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion) que la procédure fiscale à son encontre a violé sa liberté de religion.

Nous sommes donc tous appelés à prier avec plus de ferveur jusqu’à ce jour et d’avantage le 30 Juin pour que notre Dieu Jéhovah fasse sortir la justice en cette affaire qui date de plus de 15 ans déjà !

Voici la documentation:

Cour Européenne des Droits de l’Homme‏ Captur11


Il est bien juste que je pense cela à l’égard de vous tous, parce que je vous porte dans mon cœur, car vous participez tous avec moi à la faveur imméritée, aussi bien dans mes liens que lorsqu’il s’agit de défendre la bonne nouvelle et de la faire reconnaître en justice. Philippiens 1:7

Bien à vous




Milano

Milano

Bonjour à tous,


Les dons perçus par l'association Les Témoins de Jéhovah ont
été taxés en vertu d’une loi trop imprécise
Dans son arrêt de chambre, non définitif1, rendu ce jour dans l’affaire Association Les Témoins de Jéhovah c. France (requête no 8916/05) la Cour européenne des droits de l’homme dit, à l’unanimité, qu’il y a eu :
Violation de l’article 9 (droit à la liberté de religion) de la Convention européenne des droits de l’homme.
L’affaire concerne un redressement fiscal de plusieurs dizaines de millions d’euros dirigée contre l’association Les Témoins de Jéhovah. Selon cette association, la procédure en question était viciée et, vu son ampleur, porterait atteinte à sa liberté de religion.
Principaux faits
La requérante, l’Association Les Témoins de Jéhovah, est une association française enregistrée en 1947 et ayant son siège social à Boulogne-Billancourt (France). Elle a en particulier pour objet « d’apporter son concours à l’entretien et à l’exercice du culte des Témoins de Jéhovah ». Affirmant réunir plus de 17 millions de pratiquants dans le monde, dont plus de 250 000 en France, les Témoins de Jéhovah se décrivent comme constituant une religion chrétienne, dont la foi est entièrement fondée sur la Bible. Leur culte est financé par des « offrandes ». Dans le rapport parlementaire de 1995 intitulé « Les sectes en France », les Témoins de Jéhovah furent qualifiés de secte.
L’association requérante indique qu’après ce rapport, elle aurait fait l’objet de mesures destinées à la marginaliser. Elle fit en particulier l’objet d’un contrôle fiscal. Sur la base des informations collectées lors de ce contrôle, elle fut mise en demeure de déclarer les dons qu’elle avait encaissés de 1993 à 1996. L’association refusa et demanda à bénéficier de l’exonération fiscale qui prévaut pour les dons et legs faits aux associations cultuelles, aux unions d’associations cultuelles et aux congrégations autorisées (article 795-10o du Code Général des Impôts, CGI). L’association requérante n’ayant pas procédé à la déclaration demandée par l’administration fiscale, elle se vit adresser une procédure de taxation d’office des dons manuels dont elle avait bénéficié et « qui ont été révélés à l’administration fiscale au cours des vérifications de comptabilité dont elle a fait l’objet » au sens de l’article 757 du CGI. En mai 1998, un redressement portant sur l’équivalent d’environ 45 millions d’euros lui fut notifié (environ 23 millions à titre principal et 22 millions au titre de pénalités et intérêts de retard). L’association souligne que l’impôt exigé affecte les « offrandes » de 250 000 personnes sur quatre ans (soit un montant moyen de 4 euros par personne et par mois sur la période 1993-1996).
En janvier 1999, l’association requérante adressa une réclamation officielle au fisc. Celle- ci fut rejetée en septembre 1999. L’association assigna le directeur des services fiscaux qui avait rejeté sa réclamation devant le tribunal de grande instance de Nanterre. Le 4 juillet 2000, le tribunal débouta l’association requérante de ses demandes. Il jugea que
1 Conformément aux dispositions des articles 43 et 44 de la Convention, cet arrêt de chambre n’est pas définitif. Dans un délai de trois mois à compter de la date de son prononcé, toute partie peut demander le renvoi de l’affaire devant la Grande Chambre de la Cour. En pareil cas, un collège de cinq juges détermine si l’affaire mérite plus ample examen. Si tel est le cas, la Grande Chambre se saisira de l’affaire et rendra un arrêt définitif. Si la demande de renvoi est rejetée, l’arrêt de chambre deviendra définitif à la date de ce rejet.
Dès qu’un arrêt devient définitif, il est transmis au Comité des Ministres du Conseil de l’Europe qui en surveille l’exécution. Des renseignements supplémentaires sur le processus d’exécution sont consultables à l’adresse suivante : http ://www.coe.int/t/dg hl/monitoring/execution.



l’article 757, sur lequel la procédure de taxation d’office avait été fondée, s’appliquait tant aux personnes physiques qu’aux personnes morales, et que c’était donc à bon droit qu’il avait été appliqué à l’association requérante. Il jugea également que cette dernière n’était pas fondée à prétendre bénéficier des exonérations réclamées. Le 28 février 2002, la Cour d’appel de Versailles confirma ce jugement. Le 5 octobre 2004, la Cour de cassation rejeta le pourvoi de l’association requérante.
Selon les dernières informations communiquées par le Gouvernement français, la somme réclamée à l’association Les Témoins de Jéhovah était de plus de 57,5 millions d’euros.
Griefs, procédure et composition de la Cour
Invoquant notamment l’article 9, l’association Les Témoins de Jéhovah soutenait que la procédure fiscale litigieuse allait à l’encontre de sa liberté de religion.
La requête a été introduite devant la Cour européenne des droits de l’homme le 24 février 2005 et déclarée partiellement irrecevable le 17 juin 2008. Le grief tiré de l’article 9 a quant à lui été déclaré recevable le 29 septembre 2010. European Association of Jehovah’s christian witnesses a été autorisée à soumettre des observations.
L’arrêt a été rendu par une chambre de sept juges composée de :
Dean Spielmann (Luxembourg), président, Elisabet Fura (Suède),
Jean-Paul Costa (France),
Karel Jungwiert (République Tchèque), Mark Villiger (Liechtenstein),
Isabelle Berro-Lefèvre (Monaco),
Ganna Yudkivska (Ukraine), juges,
ainsi que de Claudia Westerdiek, greffière de section.
Décision de la Cour
La Cour a déjà jugé dans plusieurs affaires que l’article 9 protège le libre exercice du droit à la liberté de religion des Témoins de Jéhovah. Concernant le cas de l’association requérante, la Cour recherche donc, tout d’abord, si le redressement fiscal litigieux a constitué une ingérence dans son droit à la liberté de religion, puis le cas échéant si cette ingérence était acceptable du point de vue de la Convention.
Elle constate que le redressement fiscal en question a porté sur la totalité des dons manuels perçus par l’association, alors que ceux-ci constituaient la source essentielle de son financement. Ses ressources vitales ayant ainsi été coupées, elle n’est plus en mesure d’assurer concrètement à ses fidèles le libre exercice de leur culte. Il y a donc bien eu une ingérence dans le droit de l’association requérante à la liberté de religion.
Pour qu’une telle ingérence soit acceptable du point de vue de l’article 9, il faut avant tout qu’elle soit « prévue par la loi », et la loi en question doit être énoncée avec suffisamment de précision pour être prévisible : le citoyen doit pouvoir régler sa conduite en conséquence. La « loi » sur la base de laquelle les dons à l’association Les Témoins de Jéhovah ont été taxés d’office était l’article 757 du CGI, en vertu duquel les dons manuels « révélés » à l’administration fiscale sont sujets aux droits de donation. Or, la Cour distingue deux raisons pour lesquelles cet article et l’application qui en a été faite dans le cas de l’association requérante n’étaient pas suffisamment prévisibles.
Premièrement, l’article litigieux ne donnait aucune précision sur le « donataire » visé, ce
qui, en particulier, ne permettait pas de savoir s’il était applicable aux personnes
morales, donc à l’association requérante. La Cour relève, à la lumière des travaux


législatifs pertinents, que le texte en question a été rédigé pour encadrer les transmissions de patrimoine au sein des familles et ne concernait que les personnes physiques. Ce n’est qu’en 2005 qu’une instruction (publiée au Bulletin officiel des impôts) a précisé qu’en vertu d’une réponse ministérielle de 2001, cet article était applicable aux dons manuels réalisés au profit d’associations. Or, le redressement visant l’association Les Témoins de Jéhovah était plus ancien (1998).
Deuxièmement, concernant la notion de « révélation » des dons au sens de l’article 757, la Cour observe que c’est dans la présente affaire qu’il a pour la première fois été retenu que la présentation de la comptabilité exigée dans le cadre d’un contrôle fiscal valait « révélation ». Cette interprétation de l’article – qui ne donne lui-même aucune précision sur les circonstances de la « révélation » - était difficilement prévisible pour l’association, dans la mesure où jusqu’alors les dons manuels échappaient à toute obligation de déclaration. La taxation des dons manuels de l’association requérante ayant dépendu de la réalisation d’un contrôle fiscal, l’application de la loi fiscale a été imprévisible.
Au final, l’ingérence dans le droit de l’association requérante au respect de sa liberté de religion n’était pas « prévue par la loi » au sens de l’article 9, qui a été violé.
Article 41
L’association demandait l’annulation du redressement, la restitution des sommes saisies à l’occasion du contrôle fiscal (plus de 4,5 millions d’euros, plus intérêts), ainsi que des sommes pour dommage moral et frais et dépens. La Cour juge que cette question n’est pas en état et la réserve. Elle sera tranchée ultérieurement à la lumière d’observations complémentaires des parties et/ou d’un accord éventuel entre elles.
Opinion séparée
Le juge Costa a exprimé une opinion séparée dont le texte se trouve joint à l’arrêt. L’arrêt n’existe qu’en français.
Rédigé par le greffe, le présent communiqué ne lie pas la Cour. Les décisions et arrêts rendus par la Cour, ainsi que des informations complémentaires au sujet de celle-ci, peuvent être obtenus sur son site Internet. Pour s’abonner aux communiqués de presse de la Cour, merci de s’inscrire aux fils RSS de la Cour.
Contacts pour la presse echrpress@echr.coe.int | tel: +33 3 90 21 42 08
Frédéric Dolt (tel: + 33 3 90 21 53 39) Emma Hellyer (tel: + 33 3 90 21 42 15) Tracey Turner-Tretz (tel: + 33 3 88 41 35 30)
Kristina Pencheva-Malinowski (tel: + 33 3 88 41 35 70)
Nina Salomon (tel: + 33 3 90 21 49 79)
La Cour européenne des droits de l’homme a été créée à Strasbourg par les Etats membres du Conseil de l’Europe en 1959 pour connaître des allégations de violation de la Convention européenne des droits de l’homme de 1950.

Bien à vous.

Josué

Josué
Administrateur

il faut savoir que cette taxation injuste nous a causé beaucoup de tords car les médias disaient que les témoins de JEHOVAH ne payaient pas leurs impôts.
http://4.bp.blogspot.com/-bDOPpOwDaGY/TgyGkLncAXI/AAAAAAAALqU/O6FUTMAY9KU/s1600/Arr%25C2%2590t+de+chambre+Association+Les+T%25C2%258Emo+ins+de+Je%25CC%2581hovah+c.+France+30.06.11.jpg

VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

Les Témoins de Jéhovah gagnent une bataille


JEUDI 30 JUIN 2011, 17:24


La CEDH a condamné la France pour violation du libre exercice du droit à la liberté de religion.

Les Témoins de Jéhovah ont été victimes en France d'une violation de leur droit à exercer librement leur religion. C’est ce qu’a estimé la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) dans une décision rendue jeudi.

Le mouvement, considéré comme une secte dans un rapport parlementaire français de 1995, dénonçait devant la Cour de Strasbourg le refus de la France de leur accorder l'exonération fiscale sur les dons et legs dont bénéficient les associations cultuelles et les congrégations religieuses. Les Témoins de Jéhovah, qui revendiquent 250.000 fidèles, se sont vus infliger en mai 1998 un redressement fiscal dont le montant atteignait 57,5 millions d'euros en 2010. Les sommes en jeu concernaient des "dons manuels", essentiellement des "offrandes" effectuées par des fidèles.

Une "ingérence" dans son droit à exercer sa religion

Or, en application de l'article 9 de la Convention européenne des droits de l'homme, "il convient de rappeler que le libre exercice du droit à la liberté de religion des Témoins de Jéhovah est protégé ", estime la CEDH.

Dans le détail, la Cour a estimé que le redressement fiscal, qui a "menacé la pérennité de l'association" et constitué une "ingérence" dans son droit à exercer sa religion, n'avait pas le caractère de "prévisibilité" requis par la Convention européenne des droits de l'homme. En l'occurrence, l'article 757 du code général des impôts relatif à la taxation des dons manuels ne disait pas si elle concernait les dons aux personnes morales ni si elle pouvait être imposée lors d'un contrôle fiscal.

http://info.sfr.fr/monde/articles/temoins-de-jehovah-gagnent-une-bataille,609865/



Dernière édition par VENT le Jeu 30 Juin - 23:41, édité 1 fois

Psalmiste

Psalmiste

Admin a écrit:il faut savoir que cette taxation injuste nous a causé beaucoup de tords car les médias disaient que les témoins de JEHOVAH ne payaient pas leurs impôts.
http://4.bp.blogspot.com/-bDOPpOwDaGY/TgyGkLncAXI/AAAAAAAALqU/O6FUTMAY9KU/s1600/Arr%25C2%2590t+de+chambre+Association+Les+T%25C2%258Emo+ins+de+Je%25CC%2581hovah+c.+France+30.06.11.jpg

Oui, mais là maintenant, ceux qui ont voulu couler les TJ se retrouvent le bec dans l'eau, car que vont-ils faire maintenant qu'ils ne peuvent plus nous attaquer sur rien ???

Ce soir, l'ADFI s'est prie 1 méchante claque, et j'ai même presqu'envie de dire 1 claque mortelle !

VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

Témoins de Jéhovah : la Cour européenne des droits de l'homme condamne la France
pour Le Monde.fr | 30.06.11 | 15h26

C'est un arrêt qui fera date. Pour la première fois, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a reconnu, jeudi 30 juin, que le gouvernement français avait violé l'article 9 de la convention européenne sur la liberté religieuse. Plus significatif encore, cette condamnation intervient dans une affaire qui opposait l'Etat aux Témoins de Jéhovah (TJ), dont le statut d'association cultuelle est régulièrement mis en question par les administrations françaises, en dépit de décisions de justice qui lui reconnaissent ce statut.



L'arrêt de la CEDH, – qui peut encore faire l'objet d'un renvoi devant la grande chambre de la cour –, concerne un contentieux, qui opposait depuis plus de quinze ans l'association des Témoins de Jéhovah à l'administration fiscale française. "C'est une victoire", déclare au Monde l'avocat des TJ, Philippe Goni, qui souligne "l'unanimité" des sept juges européens, dont le Français Jean-Paul Costa.

UNE TAXATION QUI MENACE L'ASSOCIATION

Qualifiés de "secte" dans le rapport de l'assemblée nationale de 1995 publié sur ce sujet – et reconnu depuis caduque –, les Témoins de Jéhovah ont, à partir de cette date, fait l'objet de plusieurs contrôles fiscaux. L'association contestait ces contrôles, qui portaient sur les "dons manuels", – les offrandes des fidèles. Elle a donc saisi la justice dès l'ouverture de ces procédures fiscales. Le contentieux portait sur la question de savoir si ces offrandes devaient ou non bénéficier de l'exonération fiscale qui prévaut pour les dons et legs faits aux associations cultuelles et aux congrégations.

"Le fisc estimait que les dons révélés au cours de son contrôle devenaient taxables à hauteur de 60 % de leur montant pour les années 1993 à 1996, soit un montant de près de 23 millions d'euros", résume Me Goni. La somme réclamée par l'administration fiscale s'élève aujourd‘hui, après calcul des pénalités, à 57,5 millions d'euros, rappelle la CEDH dans son arrêt.

L'association estimait que cette procédure fiscale constituait une discrimination par rapport aux autres associations et qu'elle allait en outre à l'encontre de sa liberté de religion. C'est ce deuxième point que la cour a reconnu en rappelant que "ces dons constituaient la source essentielle de son financement" ; "Il y a donc bien eu ingérence dans le droit de l'association requérante à la liberté de religion". Ils soulignent que la taxation "a menacé la pérennité, sinon entravé sérieusement l'organisation interne, le fonctionnement de l'association et ses activités religieuses, étant observé que les lieux de culte étaient eux-mêmes visés". L'administration fiscale a en effet mis sous séquestre, depuis 1998, les biens immobiliers appartenant à l'association des TJ.

La cour a estimé que l'article du code général des impôts sur lequel se fondait l'administration fiscale pour taxer les dons des TJ n'était ni assez "précis" ni assez "prévisible". Elle renvoie en revanche à une date ultérieure la question de l'annulation du redressement et la restitution des sommes saisies (4,5 millions d'euros plus les intérêts), tablant visiblement sur un accord entre les deux parties.
Des règlements à l'amiable ont déjà été envisagés ces derniers mois. Ils ont notamment buté sur le refus des TJ de régler une partie des sommes dues et la nécessité pour le gouvernement de passer par le Parlement pour effacer le recouvrement.

"La motivation de la Cour constitue un sérieux rappel à l'ordre pour tous ceux qui s'opposent au pluralisme religieux", a estimé l'association des TJ dans un communiqué, jeudi.

Stéphanie Le Bars

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/06/30/temoins-de-jehovah-la-cour-europeenne-des-droits-de-l-h

NIKOLAJ TJ/TJC

NIKOLAJ TJ/TJC

---la persécution religieuse et cultuelle n'aura de cesse qu'à la grande tribulation achevée...

http://bibles.forumactif.com/

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

NIKOLAJ a écrit:---la persécution religieuse et cultuelle n'aura de cesse qu'à la grande tribulation achevée...
tu as raison Nicolas car Satan ne baisse jamais les bras.mais comme le dit Paul ( Si DIEU est avec nous, qui sera contre nous?)

Josué

Josué
Administrateur

L’ECLJ salue la condamnation par la Cour de Strasbourg de la politique fiscale "antisecte" menée par l’administration française
jeudi 30 juin 2011

Autres articles

La Cour européenne des droits de l’homme vient de condamner la politique fiscale antisecte menée par la France, dans la décision Association Les Témoins de Jéhovah c. France (requête no 8916/05). L’association requérante reprochait à l’administration française d’avoir modifié l’interprétation du droit fiscal afin de la taxer rétroactivement. La Cour lui a donné raison en jugeant à l’unanimité que l’administration française a violé la Convention européenne des droits de l’homme (art. 9) en imposant, sur une base juridique imprécise, un redressement fiscal considérable à l’association requérante. L’affaire porte plus précisément sur l’interprétation des dispositions relatives à l’imposition des dons manuels effectués au bénéfice d’associations cultuelles. (Article 757 et 795-10° du Code Général des Impôts). Plusieurs autres requêtes ont été soumises à la Cour européenne sur les mêmes faits par d’autres associations, dont l’une est représentée par l’ECLJ par l’intermédiaire de Me Jean Paillot.

L’ECLJ se réjouit de la décision de la Cour. Elle mettra un terme, nous l’espérons, à l’emploi de méthodes d’exception, non-conformes à l’état de droit, dans la tentative de contrôle républicain – et de répression - de mouvements religieux.

La politique française antisecte était systématiquement dénoncée au sein des instances internationales depuis la publication le 22 décembre 1995 du premier Rapport parlementaire de la commission d’enquête sur les sectes. Ce rapport publiait une « liste noire » de mouvements qualifiés de sectes, les livrant à l’opprobre populaire et à la diligence de l’administration, notamment fiscale. Au sein de cette liste figurait de véritables sectes dangereuses, mais aussi des mouvements se considérant comme authentiquement religieux, notamment protestants ou catholiques.

http://eclj.org/

sakura



On brise toute l'humanité entière pour avoir la "suprématie".
Je vous invite simplement à visinner un site sur lequel je suis tombé par hasard.
Cela ne pourrait-il pas etre ,entre nous un sujet de débat ..?..
Ce site est sur google : y taper : LES PROJETS DES MAITRES DU MONDE..
Seriez vous disposés à en débattre ,bien que le jugement de DIEU ET DE JESUS est imminent
cela est TERRIFIANT.. Le temps est révolu..
Lisez le jusqu'à la fin car ..: on ne nous dit pas TOUT..
PRIONS POUR LE SALUT ET LA REPENTANCE DE L'HUMANITE ...
GLOIRE DIEU ET à SON FILS JESUS...

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Bonjour ton site ne fonctionne pas .

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