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Facebook veut désormais accéder à vos données bancaires

4 participants

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chico.

chico.

Facebook veut désormais accéder à vos données bancaires
Par Challenges le 07.08.2018 à 08h38
Facebook a approché de grandes banques américaines pour leur demander de partager des données de leurs clients également membres du réseau social, dans l'objectif de proposer de nouveaux services sur son service de messagerie interne Messenger, a indiqué lundi une source proche du dossier.

USA: Facebook veut accéder aux données bancaires de ses utilisateurs
Le célèbre réseau social a tenu il y a plusieurs mois des discussions avec Chase, la banque de détail de JPMorgan, Citi (Citigroup) et Wells Fargo, a ajouté sous couvert de l'anonymat cette source, soulignant que Chase avait mis fin à ces négociations.

AFP/ARCHIVES - JOSH EDELSON
Facebook a approché de grandes banques américaines pour leur demander de partager des données de leurs clients également membres du réseau social, dans l'objectif de proposer de nouveaux services sur son service de messagerie interne Messenger, a indiqué lundi à l'AFP une source proche du dossier.

Le célèbre réseau social a tenu il y a plusieurs mois des discussions avec Chase, la banque de détail de JPMorgan, Citi (Citigroup) et Wells Fargo, a ajouté sous couvert de l'anonymat cette source, soulignant que Chase avait mis fin à ces négociations.

Le groupe de Mark Zuckerberg souhaitait avoir des informations sur toutes les transactions financières effectuées par carte bancaire et connaître les soldes des comptes courants de clients, a encore dit la source.

Il demandait des informations sur les commerces avec lesquels ils font affaire et proposait en échange aux établissements bancaires de placer sur Messenger, qui revendique 1,3 milliard d'utilisateurs actifs, certaines de leurs offres. Facebook n'a en revanche pas précisé quelle utilisation il entendait faire des données demandées, selon la source. Des contacts ont également été pris avec la banque U.S Bancorp, selon le Wall Street Journal qui a révélé l'affaire.

"Pas pour la pub"
"Comme plusieurs entreprises internet avec des activités commerciales, nous nous associons à des banques et des émetteurs de cartes bancaires pour offrir des services comme le chat (une messagerie instantanée) avec les clients et la gestion de compte", a répondu à l'AFP une porte-parole.

Et d'ajouter: "Les comptes courants liés aux pages Facebook permettent à leurs propriétaires de recevoir en temps réel des actualisations sur Messenger et peuvent ainsi garder les traces sur les données de leurs transactions, comme des reçus de caisse, les dates de livraisons et le solde de leurs comptes courants". "Nous n'utilisons pas ces informations à des fins publicitaires", a-t-elle encore fait valoir. Sans confirmer ni infirmer les informations, une porte-parole de Citi a indiqué à l'AFP que l'établissement avait "régulièrement" des discussions sur de "potentiels" partenariats.

Une source interne a, elle, dit à l'AFP que la banque n'excluait pas de partenariat avec un réseau social car elle a constaté que ses clients passent de plus en plus temps de temps sur les réseaux sociaux. Patricia Wexler, une porte-parole de JPMorgan Chase, a renvoyé l'AFP vers une déclaration faite au Wall Street Journal. "Nous ne partageons pas les données des transactions effectuées par nos clients (...) et avons par conséquent rejeté certaines propositions", a-t-elle dit au quotidien.

Wells Fargo n'a pas souhaité faire de commentaire. Ces informations remettent sur le devant de la scène la question des données personnelles des utilisateurs après le scandale Cambridge Analytica (CA), une société britannique accusée d'avoir à des fins politiques collecté et exploité sans leur consentement les données d'utilisateurs du réseau social.

Ne pas partager avec des tiers
Cette affaire et d'autres polémiques à répétition ont affecté les résultats récents de Facebook et obscurci ses performances à venir, ce qui a conduit à une perte de 119 milliards de dollars de capitalisation boursière en une seule séance fin juillet à Wall Street. Facebook aurait vanté aux banques les mérites d'une fonctionnalité qui permettrait aux utilisateurs de voir le solde de leur compte courant et de les alerter en cas de fraude, affirme le Wall Street Journal. Le réseau social se serait engagé à ne pas partager ces données financières avec des parties tierces.

Les données personnelles des utilisateurs sont la base du modèle économique de Facebook, dont la quasi-totalité des revenus provient des ventes d'espaces publicitaires. Un partenariat avec Facebook permettrait aux banques de combler le fossé grandissant avec les start-ups spécialisées dans la finance (Fintech), qui séduisent les millenials (18-35 ans). L'application Venmo (Paypal) par exemple s'est imposée comme un des principaux moyens de transfert d'argent entre particuliers par smartphone, loin devant Zelle, mise en place par un consortium de grandes banques.

(Avec AFP)

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Faille de sécurité chez Facebook: «Des comptes français sont concernés», assure Mahjoubi[/size]

SECURITE Mounir Mahjoubi a demandé à Facebook France si des abonnés français étaient concernés par le problème...

20 Minutes avec AFP
 
Publié le 30/09/18 à 15h50 — Mis à jour le 30/09/18 à 15h50


« Des comptes français sont concernés » par le piratage de quelque 50 millions de profils ouverts sur le réseau social Facebook à cause d’une faille de sécurité révélée vendredi, a affirmé ce dimanche Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’Etat chargé du numérique.
Après avoir pris connaissance de l’ampleur du piratage « en même temps que tout le monde », Mounir Mahjoubi a expliqué dans un entretien à Radio J avoir immédiatement demandé à Facebook France si des abonnés français étaient concernés par le problème.
« Aujourd’hui, ils me disent qu’ils ne sont pas capables de répondre », a-t-il souligné. Mais lui-même a vu son propre compte être « déconnecté d’urgence » dans la journée de vendredi par Facebook, comme 90 millions d’autres, a-t-il ajouté.

Un pirate au sein de Facebook ?


« On se demande (alors) ce qu’il se passe et je pense donc avoir la preuve que des comptes français sont concernés » par cet énorme piratage, a-t-il ajouté.
Mounir Mahjoubi a rappelé qu’il ne fallait pas oublier que les « données personnelles mises sur ces plateformes (de réseaux sociaux) peuvent être un jour piratées ».
« Ce ne sont pas des coffre-forts ». C’est donc à « nous d’être très responsables vis-à-vis de nos données », a-t-il ajouté.
« Tant que Facebook n’aura pas donné l’intégralité des éléments concernant l’analyse du problème (la faille de sécurité) et comment il a été utilisé par les pirates, on ne pourra pas » mesurer l’étendue de l’attaque, a-t-il précisé.
Selon Mounir Mahjoubi, le ou les pirates peuvent être « soit un génie, soit une organisation très structurée, soit quelqu’un de l’intérieur » au sein de Facebook.
Quelque 50 millions de comptes Facebook ont été piratés à cause d’une faille de sécurité, a révélé son patron Mark Zuckerberg vendredi, sans préciser combien de temps avait duré l’attaque informatique.
Cette affaire a ravivé les critiques contre le réseau social déjà sérieusement ébranlé par plusieurs controverses, en particulier autour la protection des données personnelles.

Josué

Josué
Administrateur

Piratage de Facebook: 5 millions de comptes concernés en Europe
Par  Lucie Ronfaut   Publié le 02/10/2018 à 12:22
Piratage de Facebook: 5 millions de comptes concernés en Europe

D'après l'autorité irlandaise de régulation des données personnelles, environ 10% des comptes touchés par la faille de sécurité du réseau social appartiennent à des citoyens européens.

On en sait un peu plus sur le piratage qui a touché Facebook. Sur les 50 millions de comptes affectés par la faille de sécurité du réseau social, dévoilée vendredi soir, moins de 10% appartiennent à des utilisateurs européens, soit 5 millions de personnes. Ces estimations proviennent de la DPC, l'autorité irlandaise de régulation des données personnelles. «Facebook nous a assuré qu'ils seraient en mesure de nous donner des chiffres plus détaillés prochainement», a ajouté l'organisme dans un communiqué.

» LIRE AUSSI - Piratage de Facebook: ce qu'il faut savoir

Vendredi, Facebook a révélé avoir été victime d'une attaque informatique d'une grande ampleur. Les pirates, qui ont profité de bugs datant de juillet 2017, ont pu récupérer les «token d'accès» d'au moins 50 millions d'utilisateurs. Ce petit bout de code permet d'identifier une personne sur le réseau social et ses différents services. On ignore pour le moment si des données ont été dérobées, ou si les comptes touchés ont été exploités de manière frauduleuse. Au total, Facebook a remis à zéro les «token d'accès» de 90 millions de comptes, par mesure de précaution.

Une amende potentielle de 1,6 milliard de dollars
Depuis le mois de mai, Facebook est soumis en Europe au RGPD, le règlement européen de protection des données personnelles. Ce dernier indique qu'«en cas de violation de données à caractère personnel, le responsable du traitement en notifie la violation en question à l'autorité de contrôle compétente» (article 33). Cette annonce doit être effectuée au maximum 72 heures après que le site a pris connaissance de cette faille. Dans le cas de Facebook, son autorité de référence est la DPC, son siège social européen se trouvant en Irlande. Par ailleurs, le RGPD exige que «le responsable du traitement et le sous-traitant mettent en œuvre les mesures techniques et organisationnelles appropriées afin de garantir un niveau de sécurité [des données personnelles] adapté au risque» (article 24). S'il était décidé que Facebook n'a pas pris des mesures suffisantes pour assurer la sécurité des données de ses utilisateurs, il pourrait être puni d'une amende allant jusqu'à 4 % de ses revenus mondiaux, soit 1,6 milliard de dollars, selon son chiffre d'affaires en 2017.

Facebook fait aussi l'objet d'une enquête de l'autorité britannique de régulation des données personnelles, qui veut obtenir des réponses quant au nombre de Britanniques dans les comptes touchés par ce piratage. En France, la Cnil a indiqué, dans une interview au site Contexte, avoir «été l'une des premières autorités à se déclarer concernée pour prendre part à l'instruction de ce dossier dans le cadre de la coopération européenne.»

«Des ressortissants français ont été touchés par cette violation, mais leur nombre reste encore à préciser», a ajouté la Cnil.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Comment Facebook peut collecter certaines données même si vous n'êtes pas inscrit[/size]

  • Par  Elisa Braun 
     

  • Publié le 02/01/2019 à 15:04


Une étude de l'ONG de défense de la vie privée Privacy International révèle que de nombreuses applications pour mobile populaires envoient des données à Facebook quand bien même un utilisateur n'a pas de compte sur le réseau social.
Ne pas être sur Facebook n'empêche pas le réseau social le plus puissant au monde de collecter des informations sensibles sur vous. L'ONG de défense de la vie privée Privacy International l'a [url=https://privacyinternational.org/sites/default/files/2018-12/How Apps on Android Share Data with Facebook - Privacy International 2018.pdf][/url]prouvé une nouvelle fois en dévoilant le 29 décembre dernier qu'une dizaine d'applications populaires sur Android transmettaient des données à Facebook sans que l'utilisateur n'en soit informé et ce, même s'il n'était pas inscrit sur le réseau social.
Des applications comme Spotify, Candy Crush, Duolingo ou encore Kayak ont en effet installé un outil informatique qui programme automatiquement le transfert de données vers le réseau social. Ces données dites «techniques» comportent par exemple le nom de l'application téléchargée, si elle a été ouverte, le modèle et le nom du téléphone, la langue sélectionnée... Associées à l'identifiant publicitaire de Google, dont chaque internaute est doté, elles permettent de dresser un profil relativement complet de la personne à qui l'on a affaire. Et de lui proposer de la publicité ciblée, y compris en fonction de critères ethniques ou religieux pourtant particulièrement encadrés en France.
» LIRE AUSSI - Tout ce que Facebook sait de moi (et de vous)
«Par exemple, un individu qui a installé […] Qibla Connect [une application de prière pour musulmans], Period Tracker Clue [une application de suivi des règles], Indeed [une application de recherche d'emploi] et My Talking Tom [une application pour enfants] pourrait faire être profilé comme étant probablement une femme, probablement musulmane, probablement en recherche d'emploi, probablement mère de famille.» rapportent les auteurs de l'étude. D'après leurs conclusions, 61 % des 34 applications les plus populaires d'Android envoient des informations à Facebook dès leur première ouverture, mais il demeure impossible de savoir comment ces données sont utilisées par Facebook.

Dans les filets de Facebook


Facebook estime qu'il ne peut être tenu pour responsable de ce transfert de données que d'aucuns pourraient trouver indésirable. C'est selon lui aux développeurs d'applications d'informer de la collecte des données et de veiller à bien obtenir le consentement avant de les transférer à Facebook. Sauf que, comme le rappelle Libération, l'envoi de ces données s'est longtemps fait automatiquement, avant même d'obtenir ce précieux consentement pourtant exigé par le règlement européen sur la protection des données (RGPD). Après l'entrée en vigueur de ce texte en mai dernier, certains développeurs avaient alors signalé à Facebook que cette transmission s'opérait avant même que l'internaute n'ait pu donner son autorisation. «Ce n'est qu'un mois plus tard que le géant de Menlo Park a mis à jour son kit de développement logiciel, qui inclut désormais la possibilité de retarder la collecte de données jusqu'au recueil du consentement», rapporte le journal.
Au-delà du seul monde des applications, Facebook recueille un nombre considérable d'informations sur le web grâce à des cookies installés sur près de deux tiers des sites Internet au monde. Les petits boutons «j'aime», incontournables sur les sites Internet, servent aussi à collecter des informations. Enfin, nombre d'internautes pensent que supprimer son profil suffit pour échapper aux filets de Facebook, mais oublient parfois que l'entreprise possède aussi WhatsApp et Instagram, deux précieux outils pour collecter des informations.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Tant pis pour vous si vous persistez sur Facebook. Vous avez été souvent prévenus ici !
Je vous rassure, Facebook ne paye aucun impôt en France, par contre les services bancaires, eux, augmentent en 2019 pour tout le monde.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

papy

papy

[size=48]La Russie s'attaque à Facebook et Twitter
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 21/01/2019 à 13:06 , mis à jour à 14:51

[/size]

La Russie a demandé aux deux entreprises de se plier à la loi russe, qui exige que les données des utilisateurs russes soient stockées sur le territoire national. (Image d'illustration).


Moscou reproche aux deux réseaux sociaux américains de ne pas stocker les données des utilisateurs sur le territoire russe.


La Russie passe à l'offensive contre les réseaux sociaux américains. Le régulateur russe des médias Roskomnadzor a annoncé ce lundi avoir lancé des procédures administratives contre Twitter et Facebook. Roskomnadzor indique avoir demandé aux deux entreprises de se plier à la loi russe, qui exige que les données des utilisateurs russes soient stockées sur le territoire national.

papy

papy

[size=38]Carte bancaire : 5 astuces pour retenir son code secret sans le noter[/size]

Facebook veut désormais accéder à vos données bancaires Logo-planet-favicon-20
Auteur de l'article: Clara Goury-Laffont, publié le 28/10/2021 à 14:33




Arrivé à la caisse, il est parfois impossible de se souvenir de son code de carte bancaire. Une situation gênante qui peut facilement être évitée avec les bonnes astuces. Voici cinq moyens mnémotechniques pour ne plus jamais l'oublier.
IstockFacebook veut désormais accéder à vos données bancaires 3963870-inline






[size=16]Qui n’a jamais connu cette situation ? Au moment de saisir votre code de carte bleue à la caisse, c’est le trou noir. Impossible de vous en souvenir. Une situation embarrassante qui peut arriver au meilleur d’entre nous. D’autant qu’avec la démocratisation du paiement sans contact, il arrive de plus en plus rarement que l’on ait à entrer le code secret de notre carte bancaire. Alors, que faire si cela vous arrive ?
A lire aussi : Carte bancaire sans contact : n'oubliez surtout pas de regarder avant de payer !

Selon la banque en ligne B for Bank, la première chose à faire en cas d’oubli du code secret de votre carte bleue est de contacter le service client de votre banque par mail ou par téléphone. Il vous sera renvoyé par courrier dans les cinq jours qui suivent. En revanche, ce ne sera pas gratuit chez la plupart des banques. D’après le comparatif MoneyVox, l’opération coûte en moyenne 10 euros. Mais attention, si vous avez entré trois fois le mauvais code, votre carte bancaire sera automatiquement bloquée et deviendra inutilisable...
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chico.

chico.

Comment se protéger des attaques informatiques ?

l'équipe Ça m'intéresse 07/07/2022, 21:00 Société
Facebook veut désormais accéder à vos données bancaires PictureComment se protéger des attaques informatiques ? :copyright: :copyright: Pixabay

Vol de mot de passe, demande de rançon, escroquerie... Les clés pour vous prémunir au mieux.


1 – Dotez-vous d’un bon antivirus. Acceptez toutes les mises à jour disponibles (antivirus, logiciels, et applications).
2 – Adoptez une attitude de « confiance zéro » concernant les liens et les documents en pièce jointe dans les e-mails (a fortiori s’ils proviennent d’émissaires inconnus ou arrivent dans des circonstances d’urgence).
3 – Si vous cliquez, faites attention à la crédibilité de l’URL du site visité (orthographe, symbole du cadenas à côté de l’adresse du site, qui indique que la connexion est chiffrée).
4 – Sauvegardez régulièrement vos données sur un système externe.
5 – Choisissez des mots de passe longs et compliqués, et n’utilisez pas le même pour tous les sites. Changez-les tous les mois. Vous pouvez faire appel à un gestionnaire de mots de passe (souvent payant, entre 10 et 40 euros par an) qui génère des codes complexes et les garde en mémoire pour vous.

6 – Cybermalveillance.gouv conseille de ne jamais payer de rançon : cela encourage cette pratique et les pirates ne restituent pas toujours les fichiers pour autant.

À la pêche aux données privées

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Le phishing, ou hameçonnage, consiste pour un escroc à se faire passer pour une organisation sanitaire ou toute autre institution de confiance, afin que vous cliquiez sur un lien malveillant (cheval de Troie qui conduit au téléchargement d’un virus). Il peut aussi vous faire envoyer des informations personnelles (coordonnées bancaires, pièces d’identité, etc.). Selon une étude de la société Positive Technologies, au premier trimestre de 2020, 44 % des tentatives de phishing liées à la pandémie de Covid-19 visaient des particuliers.
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Voler un mot de passe, un jeu d’enfant

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Pour usurper les mots de passe, les pirates peuvent vous conduire à vous connecter sur un faux site internet, par exemple un doublon de Facebook. Ils se font régulièrement passer pour des personnes d’autorité – le responsable informatique de votre entreprise, la Sécurité sociale… –, afin de vous réclamer vos mots de passe, sous prétexte de procéder à des contrôles techniques. N’y répondez jamais : nul n’est censé vous demander ces données !
Attention également à ne pas divulguer trop d’informations sur les réseaux sociaux. Un escroc peut s’en emparer pour renouveler vos codes, en répondant aux questions classiques (du type « Quel est le nom de votre animal de compagnie ? »). Enfin, une étude du gestionnaire de mots de passe NordPass vient de révéler que le plus courant reste « 12345 », qu’un pirate peut craquer en moins d’une seconde. Il vaut mieux faire preuve d’un peu d’imagination !

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Demande de rançon

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Le rançongiciel (ransomware), un logiciel malveillant, a pour but de bloquer l’ordinateur ou certains fichiers pendant que son auteur exige une rançon. Laquelle est régulièrement demandée en cryptomonnaie comme le bitcoin, afin de masquer l’identité de l’attaquant. La diffusion de pièces jointes par courrier électronique reste le mode d’infection le plus courant. Si les particuliers en sont la cible, de grosses entreprises sont aussi visées. Parmi les victimes en 2020, la société Garmin (GPS, objets connectés), qui aurait payé dix millions de dollars aux hackers pour accéder à nouveau à ses systèmes informatiques, mais aussi Canon ou MMA.
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Allô, c’est votre président…

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En mars dernier, à Rouen (Seine-Maritime), un grossiste en produits pharmaceutiques a passé une commande de gel hydroalcoolique et de masques d’un montant de 6,6 millions d’euros à une société qui s’est révélée fantôme. Les escrocs s’étaient fait passer pour les fournisseurs du grossiste. Une variante d’une fraude très répandue, appelée « arnaque au président ».
Il suffit aux pirates d’usurper une identité (le PDG d’une entreprise, le ministre des Finances…) pour convaincre leur cible, souvent le comptable de l’établissement, de leur virer des fonds. « C’est LE grand classique des arnaques visant TPE et PME, responsable de près de la moitié des sommes d’argent extorquées », détaille Thierry Berthier. Selon le FBI, ce type d’escroquerie aurait permis de détourner, depuis 2013, plus de 26 milliards de dollars dans le monde.
Par Hugo Leroux[/size][/size]

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