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Coup de pouce de la BBC pour les programmes religieux.

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=48]Le coup de pouce de la BBC à la programmation religieuse est une bonne idée - peu importe ce que disent les humanistes[/size]

Le radiodiffuseur public veut encourager une plus grande alphabétisation et promouvoir une couverture égale de toutes les religions
The Independent Culture
Coup de pouce de la BBC pour les programmes  religieux. BrokenBond de foi: The Beeb peut diffuser plus de spectacles comme 'Broken', mettant en vedette Sean Bean comme un prêtre catholique en conflit

Dans la semaine précédant Noël, la BBC a annoncé qu'elle diffusera davantage de programmes religieux après avoir mené sa revue de religion et d'éthique, suite à une série de nouvelles réglementations établies par l'Ofcom en septembre 2017.
Comme on pouvait s'y attendre, l'annonce de la BBC a été accueillie avec enthousiasme par des organisations religieuses, applaudie par un évêque de l'Église d'Angleterre et accueillie par des groupes juifs - bien que l'augmentation de la couverture soit aussi importante que prévu.
L'Ofcom a déclaré que BBC1 et 2 devaient ensemble diffuser 115 heures de programmes religieux par an, ce qui représente moins de cinq jours complets de contenu religieux sur les deux chaînes au cours des 12 derniers mois. Et si la couverture accrue sera ce que les groupes religieux eux-mêmes veulent voir est également incertaine, puisque le radiodiffuseur ne cherche pas à s'écarter de sa politique d'impartialité - donc il ne promouvra pas activement tout système de croyance ou de croyance.
Coup de pouce de la BBC pour les programmes  religieux. Shakira



NUS s'excuse après avoir omis le judaïsme de l'enquête sur la religion



Cela dit, l'annonce de la BBC devrait être la bienvenue pour deux raisons. Premièrement, cela rendra la BBC plus pertinente pour son public. Alors que 53% des adultes au Royaume-Uni déclarent ne pas avoir de religion, l'institution reste responsable des 47% restants, ce qui, bien sûr, paie exactement la même redevance que la majorité non religieuse.
Qui plus est, la BBC n'entend pas simplement se concentrer sur les grandes religions du monde, mais aussi s'adresser à ceux qui ne sont pas religieux mais qui ont des croyances spirituelles. De telles personnes sont facilement négligées parce qu'elles ne rentrent pas dans une boîte soignée comme le font les membres d'une religion organisée. En outre, malgré les hurlements de protestation des humanistes après l'annonce de la BBC, la révision de la religion et de l'éthique du radiodiffuseur montre clairement qu'elle cherchera à refléter les croyances des athées et des humanistes, même si la façon dont elle compte les servir n'est pas claire. 

Alphabétisation religieuse
La deuxième raison d'accueillir l'annonce de la BBC est qu'une augmentation de la programmation religieuse aidera à promouvoir une plus grande alphabétisation religieuse. Ceci est souhaitable étant donné que des malentendus sur la religion sont à l'origine d'un bon nombre de problèmes mondiaux. L'augmentation récente de l'antisémitisme, de l'islamophobie et du sectarisme a sans aucun doute des causes multiples et complexes, mais une mauvaise alphabétisation religieuse en est certainement une.
Comme l'a noté un journaliste: «L'incompréhension de la religion est un échec dans la compréhension de l'humanité et de la culture.» Tout ce qui s'attaque à ce problème doit être salué.





Coup de pouce de la BBC pour les programmes  religieux. Cc63fef77a52bdd45f537c7cf4de1515_normalSandford St Martin@sandfordawards

[ltr]More comment & reaction in Church Times on BBC review of religious and ethical programming policy:... https://fb.me/3I55BwWac [/ltr]


12:00 AM - Jan 10, 2018

Coup de pouce de la BBC pour les programmes  religieux. VnitavGQ?format=jpg&name=800x419


Bishop applauds BBC’s new focus on religion



THE BBC’s review of its religion and ethics output “feels like the beginning of a new era”, the Bish...
churchtimes.co.uk

La BBC est là pour informer, éduquer et divertir - et, en tant que l'un des principaux fournisseurs d'information, d'éducation et de divertissement au Royaume-Uni, elle a un rôle important à jouer dans la lutte contre les malentendus sur les religions.
Pas seulement plus de chansons de louange
Ainsi, l'engagement de la BBC à augmenter la couverture de la religion est sans doute une bonne chose, au moins en principe. Mais le diable est dans les détails - et comment la BBC entend augmenter la couverture de la religion dans sa programmation sera cruciale. Comme un titre récent dans The Spectator l'a mis en garde, le bouleversement de la programmation religieuse de la BBC pourrait facilement empirer les choses, par exemple si cela signifiait simplement deux fois plus de Songs of Praise .
Mais ce n'est pas le genre de couverture accrue que la BBC a en tête. Le diffuseur a publié quelques détails sur ce que nous pouvons attendre, par exemple, il y aura plus de temps d'antenne consacré aux festivals religieux non-chrétiens, des programmes sur les sites sacrés du monde et une série Radio 4 sur la moralité au 21ème siècle.

On peut aussi s'attendre à des personnages dans les programmes traditionnels traitant de questions religieuses, comme nous l'avons vu l'an dernier dans la série Broken où Sean Bean était un prêtre catholique troublé et troublé. Et peut-être surtout, la BBC désignera 2019 "une année de croyance" marquée par des programmes et des documentaires spécialement commandés qui examinent "comment les gens jugent les grandes décisions dans leur vie et d'où ils tirent leurs valeurs morales".

Mais bien sûr, il y a une grande différence entre la BBC qui ne fait qu'accroître sa couverture de la religion et qui l'améliore, ce que les groupes religieux eux-mêmes veulent voir. Certes, la BBC a parfois été insensible dans sa gestion des questions religieuses. Par exemple, en 2012, il a qualifié le festival hindou de Holi de «festival sale» - et l'institution voudra éviter la répétition de quelque chose de semblable qui se reproduise.
Pour ce faire, la BBC entend réorganiser ses programmes de formation pour ses journalistes afin de promouvoir l'alphabétisation religieuse et réduire les préjugés inconscients, créer une équipe mondiale de journalistes ayant une expertise religieuse spécifique et s'impliquer davantage auprès des parties prenantes telles que la foi et les groupes laïques. Il reste à voir si toutes ces mesures conduiront à une production plus profonde, plus informative et plus sensible, mais l'intention est au moins louable.
Lloyd Strickland est un lecteur en philosophie à la Manchester Metropolitan University. Cet article est paru sur The Conversation (theconversation.com)

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Toutes les religions ?
J'ai des doutes l'église anglicane ne va pas laissé faire ça !

Josué

Josué
Administrateur

Une étude révèle de faibles niveaux de pratique religieuse parmi les candidats à la formation initiale des enseignants


Niall Murray ("Irish Examiner", 19 janvier 2018)

Les futurs enseignants du primaire n'assument que le rôle de l'enseignement de la religion pour accéder à l'emploi malgré un manque d'enthousiasme significatif, suggèrent de nouvelles recherches.

L'étude réalisée par l'école d'éducation de NUI Galway a révélé de faibles niveaux de pratique religieuse parmi les candidats à la formation initiale des enseignants (ITE).

L'auteur principal, Manuela Heinz, a déclaré que les conclusions soulèvent des questions critiques sur les expériences, les droits constitutionnels et la pratique professionnelle des laïcs et des enseignants ou de ceux qui ne pratiquent pas le catholicisme.

La recherche publiée dans le European Journal of Teacher Education est basée sur les réponses de la moitié des plus de 1 000 étudiants acceptés dans les programmes d'enseignement primaire financés par l'État en 2014 et de plus de 40% des personnes dont les applications choix.

Bien que 78% de la population s'identifie désormais comme catholique, 90% de ceux qui ont commencé leurs études primaires le font. Cependant, un participant sur quatre a dit ne pas être religieux, y compris 22% de ceux qui s'identifient comme catholiques.

Dans l'ensemble, 16% ont répondu «ne sait pas» à la question de savoir s'ils sont religieux, et 1,4% se sont déclarés athées convaincus. Seulement 63% des candidats catholiques et 58% de tous ceux qui ont postulé se sont déclarés religieux. Seulement un tiers de tous les demandeurs assistent rarement ou jamais à des services religieux ou pratiquent leur religion, mais un nombre important d'entre eux affirment ne pas avoir de problème ou que la religion ne fait pas partie de leur rôle d'enseignant.

Mme Heinz a déclaré que la tendance répandue à se conformer à l'enseignement de la religion, plutôt que d'approuver ou de rejeter, peut être une «inculturation» dans l'éducation catholique.

Ou, a-t-elle dit, cela pourrait indiquer que ceux qui envisagent ou qui entrent dans la profession estiment qu'ils n'ont pas le choix et doivent être prêts à assumer ce rôle s'ils veulent réussir, même s'ils ne sont pas eux-mêmes religieux.

Elle et ses collègues auteurs ont déclaré que la perspective et l'expérience d'entrer dans un troisième niveau d'apprentissage et un futur espace professionnel imprégné d'un ethos religieux, à prédominance catholique, provoquerait des conflits entre les croyances personnelles et les exigences professionnelles: «Cette situation des individus motivés et appropriés qui sont des athées, des catholiques non pratiquants ou issus d'une minorité religieuse qui décident de ne pas faire carrière dans l'enseignement.

Une enquête de l'Irish National Teachers 'Organization réalisée en 2012 auprès de 363 membres a révélé que 49% enseignaient la religion volontairement - contre près des deux tiers dix ans plus tôt.

Le nombre de ceux qui ne se sont pas opposés à l'enseignement de la religion est passé de 12% à 20%, mais la proportion de ceux qui pensent qu'il devrait être enseigné pendant les heures de cours a chuté de 20% à environ deux tiers.

L'étude de NUI Galway a constaté que tous les enseignants en formation initiale avaient un niveau de soutien élevé, indépendamment de leurs propres croyances, pour que les enfants apprennent à connaître différentes religions, visions du monde et religions.

Les plans pour un cours primaire plus large couvrant toutes les religions, croyances et éthiques ont été mis de côté l'année dernière en raison du contrôle légal des clients religieux sur ce qui est enseigné dans leurs écoles.

Mais une révision du programme plus général dans les écoles primaires depuis 1999 pourrait permettre aux écoles d'être libres de réduire de manière significative les 2,5 heures par semaine à consacrer à l'enseignement de la religion.

https://wwrn.org/articles/47444/

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