Qu'est-ce que la liberté humaine au regard de la Sainte Bible ?
D’où, en effet, la personne tire-t-elle sa dignité ?
La personne tire sa dignité de sa perfection. Or, la perfection de la personne humaine consiste en la connaissance de la vérité et l’acquisition du Bien. C’est le début de la
vie éternelle et celle-ci « est qu’ils te connaissent, toi, seul véritable Dieu et ton Envoyé, Jésus-Christ » (Jean, XVII, 3).
Par conséquent, pour autant qu’elle adhère à l’erreur, la personne humaine déchoit de sa dignité
La dignité de la personne humaine ne consiste pas en la liberté abstraction faite de la vérité. En effet, la liberté est bonne et véritable pour autant qu’elle est réglée par la vérité. « La vérité vous libérera », dit
Notre-Seigneur, c’està- dire « la vérité vous donnera la liberté ». L’erreur est, de soi, un mensonge objectif, sinon subjectif. Et par Notre- Seigneur, nous connaissons aussi celui-là qui, « lorsqu’il dit ses mensonges, les tire de son propre fonds » (Jean, VIII, 44).
Comment alors pouvoir dire d’une personne humaine qu’elle est digne de respect quand elle fait mauvais usage de son intelligence et de sa liberté, même sans culpabilité de sa part ?
La dignité de la personne provient aussi de la rectitude de sa volonté ordonnée au vrai Bien. Or, l’erreur engendre le péché. « Le serpent m’a trompée », dit celle qui fut la première pécheresse. Cette vérité est on ne peut plus évidente pour tout le monde. Il suffit de réfléchir aux conséquences de cette erreur, sur la sainteté du mariage, sainteté du plus haut intérêt pour le genre humain. Cette erreur dans la religion a conduit peu à peu à la polygamie, au divorce, à la régulation des naissances, c’est-à-dire à la déchéance de la dignité humaine, surtout chez la femme.
Au contraire, l’ordre universel créé par Dieu, naturel ou surnaturel, s’oppose essentiellement à cette affirmation de la liberté sans Dieu. Dieu, en effet, a fondé la famille, la société civile et surtout l’Eglise de Pierre, afin que tous les hommes reconnaissent la vérité, soient prémunis contre l’erreur, accomplissent le bien, soient préservés des scandales et parviennent ainsi au bonheur temporel et éternel.
D’où, en effet, la personne tire-t-elle sa dignité ?
La personne tire sa dignité de sa perfection. Or, la perfection de la personne humaine consiste en la connaissance de la vérité et l’acquisition du Bien. C’est le début de la
vie éternelle et celle-ci « est qu’ils te connaissent, toi, seul véritable Dieu et ton Envoyé, Jésus-Christ » (Jean, XVII, 3).
Par conséquent, pour autant qu’elle adhère à l’erreur, la personne humaine déchoit de sa dignité
La dignité de la personne humaine ne consiste pas en la liberté abstraction faite de la vérité. En effet, la liberté est bonne et véritable pour autant qu’elle est réglée par la vérité. « La vérité vous libérera », dit
Notre-Seigneur, c’està- dire « la vérité vous donnera la liberté ». L’erreur est, de soi, un mensonge objectif, sinon subjectif. Et par Notre- Seigneur, nous connaissons aussi celui-là qui, « lorsqu’il dit ses mensonges, les tire de son propre fonds » (Jean, VIII, 44).
Comment alors pouvoir dire d’une personne humaine qu’elle est digne de respect quand elle fait mauvais usage de son intelligence et de sa liberté, même sans culpabilité de sa part ?
La dignité de la personne provient aussi de la rectitude de sa volonté ordonnée au vrai Bien. Or, l’erreur engendre le péché. « Le serpent m’a trompée », dit celle qui fut la première pécheresse. Cette vérité est on ne peut plus évidente pour tout le monde. Il suffit de réfléchir aux conséquences de cette erreur, sur la sainteté du mariage, sainteté du plus haut intérêt pour le genre humain. Cette erreur dans la religion a conduit peu à peu à la polygamie, au divorce, à la régulation des naissances, c’est-à-dire à la déchéance de la dignité humaine, surtout chez la femme.
Au contraire, l’ordre universel créé par Dieu, naturel ou surnaturel, s’oppose essentiellement à cette affirmation de la liberté sans Dieu. Dieu, en effet, a fondé la famille, la société civile et surtout l’Eglise de Pierre, afin que tous les hommes reconnaissent la vérité, soient prémunis contre l’erreur, accomplissent le bien, soient préservés des scandales et parviennent ainsi au bonheur temporel et éternel.