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Une loi définissant Israël comme "foyer national du peuple juif"

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Josué

Josué
Administrateur

Feu vert parlementaire à une loi définissant Israël comme "foyer national du peuple juif"
BELGA Publié le mercredi 10 mai 2017 à 20h42 - Mis à jour le mercredi 10 mai 2017 à 20h43
Le Parlement israélien a approuvé mercredi en lecture préliminaire un texte de loi controversé définissant Israël comme le "foyer national du peuple juif" et dénoncé par ses détracteurs comme excluant encore davantage l'importante minorité arabe. Le texte est "crucial en des temps comme ceux-ci où certains cherchent à saper le droit du peuple juif à un foyer national sur sa terre", disent les notes qui l'accompagnent.

Au contraire, les critiques voient dans le texte un projet discriminatoire pour les Arabes israéliens qui représentent 17,5% d'une population très majoritairement juive, ainsi qu'une remise en cause de l'équilibre entre les caractères juif et démocratique d'Israël.

Outre la définition d'Israël comme "foyer national du peuple juif", le texte rétrograde l'arabe de langue officielle (avec l'hébreu) à un simple "statut particulier".

Autre disposition polémique: l'autorisation faite à un groupe, y compris d'une même religion, de vivre en communauté séparée des autres.

Cette disposition est interprétée comme permettant l'établissement de communautés exclusivement juives.

Le texte, approuvé dimanche par un comité ministériel, l'a été mercredi au Parlement par 48 voix contre 41, sur 120 députés.

Après ce vote préliminaire et un passage en commission, le texte devra être soumis à trois lectures successives en séance plénière pour éventuellement intégrer les lois fondamentales israéliennes tenant lieu de Constitution.
http://www.lalibre.be/actu/international/feu-vert-parlementaire-a-une-loi-definissant-israel-comme-foyer-national-du-peuple-juif-59135ecdcd702b5fbe7e1880

Josué

Josué
Administrateur

[size=45]Israël, 70 ans d’histoire et de tumultes[/size]

Marianne Meunier , le 06/05/2018 à 10h57

[size=20]Soixante-dix ans après sa création le 14 mai 1948, Israël est bien différent de l’État rêvé par les pionniers qui l’ont créé. Retour en dix dates sur cette tumultueuse histoire.[/size]


Une loi définissant Israël comme "foyer national du peuple juif" Immigres-europeens-arrivent-Haifa-Israel-1948_1_729_728ZOOM 
Des immigrés européens arrivent dans le port de Haïfa (Israël), en juin 1948. / Robert Capa / 2001 by Cornell Capa/Magnum


Tout ne s’est pas joué le 14 mai 1948. Mais ce jour-là, l’histoire a pris un cours nouveau. En ­déclarant l’indépendance, David Ben ­Gourion et les pères fondateurs d’Israël concrétisaient un État dont les fondements avaient été jetés durant les cinquante années précédentes.

Depuis la fin du XIXe siècle, des dizaines de milliers de juifs s’étaient déjà installées en Palestine, où des kibboutz avaient été construits en nombre et des institutions politiques et militaires créées. Une situation de fait que la proclamation de l’indépendance allait entériner.

Pour Israël, ces débuts ont souvent pris la forme d’une aventure, parfois même d’une épopée. À partir de 1947, ils se sont soldés par l’exil vers les pays voisins pour plus de 700 000 Palestiniens. Avènement pour les uns, nakba(« catastrophe ») pour les autres : rarement l’histoire a suscité des lectures à ce point contraires.

C’est pourquoi, pour faire le récit des soixante-dix ans d’Israël, La Croix a choisi de solliciter des spécialistes de toutes sensibilités. L’exhaustivité étant impossible, dix dates marquantes ont été revisitées. Les unes sont incontournables, les autres pourront paraître plus anecdotiques. Elles n’en sont pas moins révélatrices des évolutions et du chemin parcouru.

Une loi définissant Israël comme "foyer national du peuple juif" Carte-Israel-Palestine-Historique-1947_0_729_842





1948  : l’indépendance et la guerre



Musée de Tel-Aviv, boulevard Rothschild, le 14 mai. Le mandat britannique sur la Palestine doit expirer à minuit quand, vers 16 heures, David Ben Gourion prononce la déclaration d’indépendance d’Israël. Au mur, un portrait de Theodor Herzl, le journaliste autrichien qui, en 1896, avait envisagé la formation d’un État juif comme solution à l’exil et à la persécution.

« Nous proclamons la ­fondation de l’État juif dans le pays ­d’Israël, qui portera le nom d’État ­d’Israël », déclame le futur premier ministre. Et d’énumérer les règles intangibles du pays naissant : « Principes de liberté, de justice et de paix enseignés par les prophètes d’Israël » ou encore « complète égalité de droits sociaux et politiques », « sans distinction de croyance,
de race ou de sexe ».


Dieu figure à la fin du texte, évoqué par l’expression « Tzour Israël » (« rocher d’Israël »), préférée à une mention explicite. « Israël devait être un État juif mais pas un État religieux, explique l’historienne Dina Porat, professeure à l’université de ­Tel-Aviv. Ainsi, David Ben Gourion ne voulait pas de mention de Dieu. » Mais tous ne l’entendaient pas ainsi : « Il y a donc eu un compromis pour une référence indirecte. »

Un indice de la subtilité de la place que, dès l’origine, la religion occupe dans l’État juif. « David Ben Gourion était un pragmatique, y compris dans son attitude avec la religion, analyse l’historien Shlomo Sand, professeur à l’université de Tel-Aviv. Selon lui, il ne fallait pas fonder l’État sur la seule religion, mais il ne fallait pas non plus le fonder sur le seul État.»

Autre référence de la déclaration : la Shoah, qui « démontra à nouveau l’urgence de remédier à l’absence d’une patrie juive ». Celle-ci accéléra la création d’Israël, en gestation depuis cinquante ans, dans un double contexte : la perspective de la fin du mandat britannique sur la Palestine et l’errance des quelque 250 000 rescapés des camps originaires d’Europe centrale.

« Contrairement aux juifs de France, de Belgique, des Pays-Bas ou d’Italie revenus dans leur patrie pour y retrouver ceux des leurs qui avaient survécu, les juifs d’Allemagne, de Pologne ou de Hongrie se retrouvaient, pour la plupart, sans famille, écrit ­Denis Charbit, maître de conférences à l’Université ouverte d’Israël. Leur foyer natal était devenu un grand cimetière sous la lune et la résilience passait d’abord par une vie nouvelle en un pays nouveau. »




Josué

Josué
Administrateur

[size=45]L’identité plurielle de Jérusalem est-elle menacée ?[/size]

La Croix , le 31/05/2018 à 10h27


[size=20]Un colloque sur « Jérusalem, enjeu capital(e) » se tient aujourd’hui à l’Institut du monde arabe (IMA) à l’initiative de l’Institut de recherche Méditerranée Moyen-Orient (IReMMO), du site d’information Orient XXI et de l’IMA.
Partenaire de l’événement, La Croix revient avec l’historien Vincent Lemire (1) et la responsable de plaidoyer Nada Awad sur l’identité plurielle de la ville, les menaces qui pèsent sur elle et la réaction des Palestiniens.
[/size]


Une loi définissant Israël comme "foyer national du peuple juif" Musicien-palestinien-Jerusalem-24_0_729_486ZOOM 
Un musicien palestinien à Jérusalem, le 24 mai. / AFP



Vincent Lemire : « Il y a une stratégie d’israélisation de Jérusalem »



Depuis le VIIe siècle, les trois monothéismes y ont toujours été représentés à l’exception du royaume croisé, où les populations juives ont été exclues de la ville. Jusqu’au début du XXe siècle, les communautés chrétiennes y ont été très importantes, représentant jusqu’à 20 % de la population. Elles sont moins de 2 % aujourd’hui. Leur affaiblissement est un fait majeur. Mais il faut nuancer : plus de 60 % des pèlerins dans la ville sont des chrétiens. Lire la suite


Nada Awad : « Jérusalem est sous contrôle complet d’Israël »



Je travaille depuis deux ans sur le transfert forcé des Palestiniens de Jérusalem, qui s’inscrit dans la continuité de ce qu’avaient pensé les fondateurs d’Israël. Aujourd’hui, les Palestiniens n’ont le droit de construire que sur 13 % du territoire de Jérusalem-Est et la municipalité d’occupation n’y a accordé que 7 % des permis de construire. Les Palestiniens n’ayant donc quasiment pas la possibilité de construire, ils construisent sans permis, de sorte que la municipalité et le gouvernement démolissent les maisons. Des centaines de maisons ont ainsi été détruites. Parallèlement, les colonies occupent 35 % du territoire de Jérusalem-Est, tandis que 20 % ne sont pas planifiés et 30 % sont considérés comme zones vertes, sur lesquelles on ne peut dont pas construire. Il s’agit d’une politique qui vise à faire partir les Palestiniens de Jérusalem. Une autre politique consiste à révoquer leur résidence. Lire la suite.

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