Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le Deal du moment : -28%
-28% Machine à café avec broyeur ...
Voir le deal
229.99 €

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Messagers de l’apocalypse écologique?

+6
samuel
chico.
Marmhonie
Mikael
papy
Josué
10 participants

Aller à la page : 1, 2  Suivant

Aller en bas  Message [Page 1 sur 2]

Josué

Josué
Administrateur

Auteur: Lionel Obadia
Mercredi 22 Mars 2017
Messagers de l’apocalypse écologique? Les religions et le débat environnemental
La publication de l’encyclique Laudato Si du pape François a été un peu partout saluée comme un fait révélateur : celui d’une volonté des organisations religieuses de s’impliquer plus avant et surtout de manière plus explicite et significative dans les débats autour de l’écologie et, par extension, des questions relatives aux effets de la globalisation. Mais le catholicisme romain est loin d’être le premier ou le seul à s’être manifesté. Un peu partout sur la planète, les organisations religieuses ou « spirituelles » paraissent empressées de montrer qu’elles peuvent elles aussi (au même titre que des acteurs économiques, comme les grosses entreprises industrielles, ou politiques, comme les États) contribuer à limiter le préjudice environnemental de l’activité humaine.

Si toutes les traditions religieuses semblent s’exprimer d’une même voix pour dénoncer la destruction de l’environnement par l’Homme, toutes n’ont néanmoins pas le même « potentiel » de réponses à la crise environnementale, ni le même positionnement idéologique et politique par rapport à elle. Et dans la course à la religion la plus « écologique », le christianisme accuse, avec les autres monothéismes, un certain retard. D’autres traditions occupent en effet une place bien plus en vue et enviable dans les débats autour des enjeux environnementaux du monde actuel. C’est précisément l’objet de cet article que d’essayer de comprendre ces écarts.

Toutes les traditions religieuses engagées dans le grand débat écologique n’ont pas, loin s’en faut, de mêmes représentations de ce qu’on appelle la Nature, dont il faut rappeler que la notion – telle qu’on la pense actuellement comme cadre biotique et abiotique d’existence des populations humaines – a connu de significatifs changements de signification depuis la Phusis grecque jusqu’aux théories écologiques modernes. La « Nature » au sens écologique du terme, c’est bien connu, est un concept d’apparition tardive et qui est aussi le fruit d’une sécularisation de la pensée. Pourtant, les voix religieuses (des grandes ou petites organisations) affirment que les ressources de sens et d’action que leurs philosophies offrent pourraient et même devraient participer à réduire l’impact humain sur l’environnement, en suscitant des comportements vertueux de préservation ou de conservation des espaces naturels, de réduction des volumes de production alimentaire et de biens de consommation, de diminution des polluants atmosphériques ou terrestres…

Bref, être des modèles d’écologie. Comme si les religions, qui produisent essentiellement des choses symboliques, des croyances et des rites, et de manière dérivée seulement, des choses matérielles (art, architecture monumentaire, objets liturgiques, produits économiques…), pouvaient infléchir les problèmes environnementaux qui sont principalement liés à l’activité économique des grosses industries ou à la consommation des ménages des sociétés les plus développées, qui sont aussi les plus sécularisées. Les débats sur l’écologie, en France, mais aussi ailleurs, ont donné lieu à un étonnant mouvement d’œcuménisme puisque les voix religieuses se sont exprimées en même temps et d’ailleurs sur invitation des politiques à la COP 21, en 2015. Étonnamment, les religions sont depuis invitées à s’exprimer sur des questions séculières alors qu’en retour, les instances séculières (États, organisations internationales, observatoires, groupes de recherche…) résonnent toujours plus d’accents eschatologiques, donc religieux, lorsqu’ils évoquent par exemple une « apocalypse » écologique…

Curieux croisement des répertoires, donc, qui explique sans doute en partie la collusion de ces registres séculier et religieux, à une époque où le concept d’Anthropocène offre de nouveaux horizons, voire de nouvelles cosmologies, et que les milieux académiques (Bruno Latour et Philippe Descola en tête) entreprennent de réviser les multiples rapports entre les « natures » et les systèmes de croyances associés dans les sociétés traditionnelles hors de l’Occident moderne — alors que, précisément, se constitue progressivement dans l’imaginaire collectif l’image de sociétés spirituelles « primordiales » écologiquement plus responsables que les sociétés séculières modernes. En Europe, les grandes politiques climatiques intéressent désormais les religions, et le sociologue et politologue Raphaël Liogier (2013) évoque même le softpower des traditions religieuses qui montrent actuellement un activisme militant dans les lieux de décision politique, alors que parallèlement « l’hypothèse Gaïa » (la terre comme être vivant) de Lovelock (1970) se dissémine toujours plus dans les pensées culturelles qui furent, un temps, alternatives, et qui sont désormais largement acceptées.

Les religions qui sont ainsi partie toujours plus prenante des débats publics et politiques à échelle globale, ne parlent néanmoins pas toujours d’écologie avec une même voix, n’expriment pas les mêmes vues et n’entendent pas promouvoir les mêmes choses, et la notion de « nature » est déclinée sous des formes et à des échelles différentes, de l’univers jusqu’à l’environnement. En examinant de manière précise les contenus philosophiques, les représentations cosmologiques et les prescriptions et proscriptions, il apparait que les monothéismes défendent, au-delà de leurs différences de théologies ou de liturgies, l’idée que l’ordre du monde est un donné, inaliénable, ontologique, car issu d’une volonté divine : le sacré est transcendant, dominé par une figure anthropomorphe et omnipotente, qui impose une relation verticale (des cieux à la Terre et réciproquement) fondée sur l’obéissance : c’est Dieu qui dicte aux Hommes (et aux Femmes) les modalités d’utilisation de leur environnement, et c’est donc lui, et pas les Hommes, qui a le pouvoir de détruire ou de maintenir le monde en l’état.

Les traditions asiatiques, du monde indien (hindouisme, bouddhisme) comme du monde sinisé (confucianisme, taoïsme), et d’Extrême-Orient (shintoïsme) dans une moindre mesure, sont au contraire des traditions cosmiques pour lesquelles l’Univers est aussi un donné, mais non déterminé. L’Homme y est dans un rapport d’horizontalité avec le sacré dont le monde est pétri, il s’y inscrit travers une « participation » méditative ou rituelle à l’unité fondamentale du monde. Dans ce contexte spirituel, il convient donc d’avoir à l’endroit de la nature (environnante) des attitudes respectueuses parce que cette écologie immédiate est la transposition, sur un plan microcosmique, d’un ordre plus large qui est celui du macrocosme, dont il est parfois la transposition terrestre.

L’observance des principes éthiques et spirituels inhérents à ces traditions induit donc un respect des espaces naturels, de la faune et de la flore, une relation esthétique à la géographie, une certaine modération et même une frugalité dans les consommations alimentaires ou énergétiques — qui sont des idéaux ascétiques poursuivis au sein de petites communautés mais bien difficiles à mettre en œuvre à l’échelle de sociétés entières… Ce n’est toutefois pas seulement en vertu de ces principes que les religions de l’Asie apparaissent plus eco-friendly que d’autres. Elles profitent aussi grandement des idéologies et imaginaires à travers lesquelles elles ont été pensées en Occident et dont elles ont pris les couleurs : humanisme, sécularisme, scientisme et désormais écologisme. Traditions asiatiques qui doivent enfin, et surtout, d’être mobilisées dans les débats actuels en vertu d’un fantasme orientaliste qui les a constituées comme des alternatives spirituelles en phase avec les valeurs de la modernité et les grands défis sociétaux, là où les anciennes traditions ont été affrontées de manière bien plus conflictuelle et abrasive à cette même modernité.

Il y a donc au regard de ces éléments, de sensibles écarts de positionnement et d’attitude des religions envers les enjeux écologiques et climatiques. Si les monothéismes ont tardivement décidé de s’engager dans la vague environnementaliste, ce n’est pas exactement pour les mêmes raisons que les polythéismes, qui n’ont pas la même trajectoire dans les imaginaires de la modernité. Dans le grand jeu actuel à somme nulle de l’écologisation des religions et de la religionisation de l’écologie, ce sont les polythéismes asiatiques qui semblent le mieux tirer leur épingle du jeu : non seulement les principes qui régissent leurs cosmologies participent d’une conception englobante et interdépendante du monde en phase avec la conscience globale de l’environnementalisme, mais la vague de sympathie qui les porte, et l’imagination orientaliste qui les transfigure depuis un siècle et demi en font des candidats plus à même de proposer des solutions spirituelles à une crise écologique qui ne l’était pas…

Lionel Obadia (Université de Lyon – Agence nationale de la Recherche, Paris)
http://www.o-re-la.org/index.php?option=com_k2&view=item&id=1851:messagers-de-l%E2%80%99apocalypse-%C3%A9cologique-?-les-religions-et-le-d%C3%A9bat-environnemental&Itemid=85&lang=fr

papy

papy

Il question des hindous dans cet article , mais il faut savoir que l'Inde est un grand pays pollueur.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

papy a écrit:Il question des hindous dans cet article , mais il faut savoir que l'Inde est un grand pays pollueur.
C'est le propre des pays émergeant , comme le Pakistan et le plus grand pays pollueur la Chine.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Le titre est vraiment trompeur. Il est question d'écologie, d'attitudes positives responsables et non de l'Apocalypse.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

papy

papy

Mikael a écrit:
papy a écrit:Il question des hindous dans cet article , mais il faut savoir que l'Inde est un grand pays pollueur.
C'est le propre des pays émergeant , comme le Pakistan  et le plus grand pays pollueur la Chine.
La preuve.
En Inde, les vieux ordinateurs polluent massivement l’air et les sols
Livré au secteur informel, le recyclage des appareils électroniques effectué avec des moyens rudimentaires est une catastrophe sanitaire.

LE MONDE | 10.04.2017 à 10h52 • Mis à jour le 10.04.2017 à 12h20 |
Par Intérim (Bombay, correspondance)
Abonnez vous à partir de 1 € Réagir AjouterPartager (5)Tweeter
A Bombay, en 2015.
Ils sont chaque jour des centaines à venir déposer leur vieil ordinateur ou leur téléphone portable usagé dans l’une des petites boutiques qui s’égrènent le long de Lamington Road. Le marché de l’électronique de Bombay, situé à deux pas de la gare de Grant Road, est l’un des plus grands réceptacles d’équipements destinés à la casse, de toute l’Inde. « Quand les gens arrivent avec leur PC qui ne fonctionne plus, je le leur achète pour 500 roupies [7 euros]. Si je détecte quelques composants récupérables, je peux parfois proposer jusqu’à 2 000 roupies [28 euros] », explique Dinesh, l’un des innombrables négociants du quartier. Et ensuite, que devient ce matériel ? « Il y a des types qui font le ramassage tous les soirs. Ils revendent à des transporteurs qui emportent tout ça à Nehru Place, le grand marché de l’électronique de Delhi », explique Dinesh.

Dans le magasin attenant, Vikram exerce le même métier. Officiellement vendeur de matériel informatique neuf, il consacre une bonne partie de ses journées à collecter des ordinateurs hors service. Il parle lui aussi de Nehru Place mais, au bout de dix minutes de conversation, il avoue qu’il écoule en réalité la quasi-totalité de ses rebuts ici même, à Lamington Road. « Dans les ruelles derrière, il y a des tas de petits ateliers qui démontent et essaient d’écouler tout ce qu’ils peuvent. Va voir sous le pont qui enjambe les voies ferrées, tout se passe là-bas », nous dit-il.

Le long de Frere Bridge, nous découvrons, quelques instants plus tard, un chapelet de minuscules pas de porte, à l’intérieur desquels s’entassent des centaines d’ordinateurs, de téléviseurs et de chaînes hi-fiplus poussiéreux les uns que les autres. A même le trottoir, des planches posées sur deux tréteaux, rapides à replier lorsque la police débarque, étalent au grand jour des cartes mères, des chargeurs et des écrans cherchant repreneur. Personne ne veut savoir où partent les invendus.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/04/10/en-inde-les-vieux-ordinateurs-polluent-massivement-l-air-et-les-sols_5108811_3244.html

Josué

Josué
Administrateur

Chine : notre honorable partenaire pour la lutte contre le « changement climatique » construit des centaines de centrales charbon
La défection des Etats-Unis de Trump de l’Accord de Paris a laissé la place libre à la Chine pour prendre la tête de la lutte contre le « changement climatique ». La Chine est pourtant le premier émetteur mondial de dioxyde de carbone, loin devant l’Amérique et l’Union européenne. Drapée de vertu, la Chine communiste se fait aujourd’hui donneuse de leçons – et reçoit à ce titre les hommages de l’ensemble du petit monde des meneurs du globalisme. Mais non seulement elle construit ou fait construire, en Chine ou dans les pays où elle avance ses pions, des centaines de centrales charbon, mais elle continue de polluer gravement cette planète comme nul autre, non pas avec du CO2 (qui n’est pas un poison !) mais avec de nombreuses toxines provenant de son industrie.

Les centrales charbon tant décriées par les environnementalistes sont en tête des projets industriels chinois. Or la lutte contre le réchauffement climatique exige la fin des énergies fossiles. Pourquoi ne le lui reproche-t-on pas ? On peut évidemment discuter la validité des arguments autour des « gaz à effet de serre », et même souligner que l’on peut construire aujourd’hui des centrales charbon « propres », mais tel n’est pas le point de vue des réchauffistes. Force est donc de constater l’incohérence de ces globalistes qui exaltent la Chine en omettant de critiquer ce fait : « Au total, 1.600 centrales charbon ont été planifiées ou sont déjà en construction dans 62 pays », révèle ainsi le Times de Londres. Dont 45 % réalisés par des sociétés chinoises – SPIC, China Datang, Shenhua, China Huadian, China Huaneng, China Guodian… – qui construisent actuellement 700 nouvelles usines en Chine et ailleurs (20 % des constructions sont réalisées à l’étranger).

La Chine, ses centrales charbon et ses industries polluantes


Certaines usines sont construites « dans des pays qui aujourd’hui ne brûlent guère de charbon, voire pas du tout, comme le soulignent les comptes réalisés par Urgewald, un groupe environnemental basé à Berlin ».

Et le Times lâche même : « La flottille de nouvelles centrales charbon rend quasiment impossible de remplir les objectifs fixé par les Accords de Paris sur le climat ».

Comment se fait-il dès lors que la Chine communiste, Etat voyou à l’aune des exigences des réchauffistes, puisse apparaître comme leur icône incontestée ? The New American y voit surtout un moyen de promouvoir l’hostilité à l’égard de Donald Trump et de faire pression sur les Américains afin qu’ils contestent sa décision de sortir des accords de la COP 21.

Cela montre surtout, comme le souligne The New American, que la fiction de l’Accord de Paris – dont les retombées seront quasi nulles même à l’aune des réchauffistes – vise bien d’autres objectifs.

Non contraignant, l’Accord de Paris permet à ses signataires de faire de simples déclarations d’intention ; d’après la sienne, la seule Chine, plus gros émetteur de CO2 au monde, entend en vérité doubler ses émissions annuelles tout en touchant, comme l’Inde, des subsides versés par les pays développés afin de rendre son économie plus verte. Le Fonds vert pour le climat représente 100 milliards de dollars par an… Les « contributions prévues déterminées au niveau national » fixées par l’Accord de Paris permettent déjà l’évaluation de la hausse des émissions de CO2 : + 46 % au cours des 13 années à venir.


La Chine à la tête de la lutte contre le changement climatique, quelle blague !


Autrement dit, la lutte contre le réchauffement climatique est une mascarade – qui servira entre autres à porter la Chine communiste au pinacle et qui au meilleur des cas, en supposant que chaque nation tienne toutes ses promesses d’ici à 2030, aboutira à une réduction totale de la température de la planète de 0,048° C (oui, moins de 5 % d’un degré) d’ici à 2100, selon le Dr Bjørn Lomborg, climatologue danois qui n’est en aucun cas climatosceptique.

En réalité, l’Accord de Paris sert avant tout un transfert de capitaux et de pouvoir depuis les nations développées vers les pays émergents, dans une sorte de socialisme global dont la Chine apparaît comme le champion. The New American rappelle ce qu’en disait Christiana Figueres, ancien secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Elle déclarait lors de la conférence de l’ONU à Doha en 2012 : « Il faut comprendre que ce qui se passe ici, pas seulement à Doha mais dans l’ensemble du processus du changement climatique, c’est une transformation complète de la structure économique du monde ».


Anne Dolhein
http://reinformation.tv/chine-changement-climatique-centrales-charbon-dolhein-72974-2/

Josué

Josué
Administrateur

Depuis aujourd’hui, l’humanité vit à crédit
Mercredi, nous avons consommé toutes les ressources naturelles que la planète peut produire en une année. Ce « jour du dépassement de la Terre » intervient toujours plus tôt.
La date est fatidique, et toujours plus précoce. Depuis mercredi 2 août, l’humanité vit à crédit : elle a consommé, en seulement sept mois, toutes les ressources que la Terre peut produire en une année. Jusqu’à la fin 2017, pour continuer à boire, à manger, à nous chauffer ou à nous déplacer, nous allons donc surexploiter les écosystèmes et compromettre leur capacité de régénération.

Ce « jour du dépassement de la Terre » (« Earth overshoot day » en anglais) est calculé chaque année par le Global Footprint Network, un institut de recherches international basé à Oakland (Californie). Grâce à plus de 15 000 données des Nations unies, il compare l’empreinte écologique de l’homme, qui mesure l’exploitation des ressources naturelles de la Terre, avec la biocapacité de la planète, c’est-à-dire sa capacité à reconstituer ses réserves et à absorber les gaz à effet de serre. Selon ses calculs, la consommation de l’humanité dépasse de 70 % les ressources disponibles. Autrement dit, l’équivalent de 1,7 planète est nécessaire pour assouvir les besoins des humains.

Nous contractons cette dette car nous coupons des arbres à un rythme supérieur à celui de leur croissance, nous prélevons plus de poissons dans les mers qu’il en naît chaque année, et nous rejetons davantage de carbone dans l’atmosphère que les forêts et les océans peuvent en absorber. Les conséquences de cette surconsommation se font déjà sentir : déforestation, déclin de la biodiversité, pénuries en eau, acidification des océans, érosion des sols, accumulation des déchets ou encore élévation de la concentration de CO2 dans l’atmosphère affectent l’ensemble du globe.

Lire aussi : La sixième extinction de masse des animaux s’accélère

Une date toujours plus précoce

Le "jour du dépassement" de la Terre n'a cessé d’avancer depuis 1969.
Encore excédentaire en 1961, avec un quart de ses réserves non consommées, la Terre est devenue déficitaire au début des années 1970. Et le jour du dépassement intervient toujours plus tôt. Cette date tombait le 5 novembre en 1985, le 1er octobre en 1998, le 20 août en 2009. Depuis le début de la décennie, toutefois, l’accélération du calendrier est moins rapide. Reste qu’à ce rythme, nous aurons besoin de deux planètes en 2030. En cause, la croissance démographique mondiale, mais surtout des modes de vie toujours plus gourmands en ressources et dépendants des énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz).

L'empreinte écologique par pays.
Tous les humains ne sont toutefois pas responsables dans les mêmes proportions. Avec le train de vie australien ou américain, il faudrait plus de cinq planètes pour vivre. Les Français, eux, en ont besoin de trois, les Chinois de 2,1, bien au-dessus de la frugalité indienne (0,6 planète). Rapporté aux ressources nationales, le Japon aurait besoin de sept fois son pays pour satisfaire sa consommation actuelle, l’Italie et le Royaume-Uni de quatre fois. Au total, l’empreinte écologique des pays développés est cinq fois supérieure à celle des pays pauvres.

Les besoins en ressources naturelles des pays du monde.
« Notre planète est limitée, mais les possibilités humaines ne le sont pas. Vivre selon les moyens que nous accorde notre planète est technologiquement possible, financièrement bénéfique et notre seule chance pour un avenir prospère », avertit Mathis Wackernagel, le président de Global Footprint Network. Si nous parvenons à faire reculer la date du jour du dépassement mondial de 4,5 jours chaque année, calcule l’ONG, nous retrouverons l’équilibre en consommant les ressources d’une seule Terre d’ici à 2030.

Indicateur imparfait mais pertinent

S’il a le mérite de sensibiliser le grand public, l’indicateur de l’empreinte écologique est critiqué. Plusieurs études scientifiques ont montré qu’il simplifie la réalité et utilise des méthodes de calcul et des données parfois incomplètes. Il ne tient par exemple pas compte de la destruction de la biodiversité ou de l’épuisement des sous-sols et ne comptabilise pas directement la consommation d’eau.

« Comme tous les indicateurs agrégés, il pâtit de limites : c’est aussi le cas du produit intérieur brut, remarque Dominique Bourg, philosophe et enseignant à l’université de Lausanne. Cela ne délégitime pas pour autant l’empreinte écologique : c’est un instrument pédagogique qui montre des tendances, à savoir que nous vivons au-dessus de nos moyens, et qui peut guider les gens vers le changement. »

« L’outil est imparfait mais reste pertinent. Il tend même à minimiser la réalité », confirme Aurélien Boutaud, consultant et coauteur de L’Empreinte écologique (La Découverte, 2009). Selon lui, il a permis de « prendre conscience des limites planétaires » et de généraliser une forme de comptabilité par empreinte – carbone, eau, azote ou biodiversité – qui « impute la responsabilité de l’impact environnemental au consommateur final ». « Si on regarde les seules émissions de gaz à effet de serre, par exemple, on peut avoir l’impression que les pays riches les ont réduites. En réalité, ils en ont délocalisé une partie vers les pays pauvres, détaille-t-il. L’empreinte carbone de la France est ainsi d’environ 40 % supérieure à ses rejets carbonés. »

Réduire les empreintes carbone et alimentaire

Comment inverser la tendance ? D’abord, en limitant les émissions de gaz à effet de serre qui représentent à elles seules 60 % de l’empreinte écologique mondiale. Pour réussir à maintenir la hausse des températures bien au-dessous de 2 °C – objectif inscrit dans l’accord de Paris sur le climat de décembre 2015 –, « l’humanité devra s’affranchir des énergies fossiles avant 2050 », rappelle Mathis Wackernagel.

« L’enjeu est d’atteindre un pic des émissions d’ici à 2020, complète Pierre Cannet, le responsable du programme climat et énergie au Fonds mondial pour la nature (WWF) France, l’un des partenaires de l’opération. Ce point d’inflexion doit être trouvé pour la production d’électricité mais également dans la consommation des transports et l’ensemble des activités industrielles. » Les mesures sont connues, qu’il s’agisse de plafonner puis de réduire la production des centrales à charbon, de déployer plus rapidement les énergies renouvelables ou d’améliorer l’efficacité énergétique. Réduire les rejets carbonés de 50 % permettrait de reporter le jour du dépassement de près de trois mois.

Autre levier d’action : limiter l’empreinte alimentaire. « Pour cela, il est indispensable de stopper la déforestation, de diminuer notre consommation de produits dérivés des animaux, de lutter contre le gaspillage alimentaire et d’opter pour des modes de production plus durables, comme le bio, l’agroécologie ou la permaculture », avance Arnaud Gauffier, responsable de l’agriculture et de l’alimentation au WWF.

Signes encourageants

Le Global Footprint Network comme le WWF notent des signes encourageants. Ainsi, l’empreinte écologique par habitant des Etats-Unis a diminué de près de 20 % entre 2005 (son point le plus haut) et 2013 (les dernières données disponibles) grâce à la baisse des émissions de carbone, et ce malgré la reprise économique. De même, la Chine, qui affiche la plus grosse empreinte écologique nationale, développe massivement les énergies renouvelables, tandis que sa consommation intérieure de charbon est en baisse – malgré la construction de nouvelles centrales.

Dans l’Hexagone, l’expansion des surfaces en agriculture biologique (+ 17 % en 2016) et la hausse de la consommation de produits bio (+ 22 % pour les ménages, à domicile, en un an) « constituent des signaux positifs » pour Arnaud Gauffier, même si « ces efforts sont encore trop faibles ».

« On n’a pas de pays qui se présenterait comme un champion de la révolution des modes de production, juge Pierre Cannet. Le risque est que les pays en développement voient leur empreinte écologique augmenter rapidement et que cette hausse ne soit pas compensée par une baisse suffisante de la pression des pays développés. Il faut parvenir à un équilibre. » Pour espérer vivre de nouveau, un jour, dans les limites de notre planète.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/08/01/a-compter-du-2-aout-l-humanite-vit-a-credit_5167232_3244.html

chico.

chico.

Riz, blé… Le réchauffement climatique menace la valeur nutritive des récoltes
LES ECHOS Le 02/08 à 11:19 2 2 2 Partager par mail

Au niveau mondial, 76 % population satisfont besoins quotidiens protéines provenant plantes.
Au niveau mondial, 76 % de la population satisfont leurs besoins quotidiens en protéines provenant de plantes. - Shutterstock
Une étude avertit sur les risques de carences chez les populations qui en dépendent.

C'est l'une des nombreuses conséquences du réchauffement climatique : l'augmentation des concentrations de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère pourrait d'ici 2050 réduire la valeur nutritive des récoltes clefs comme le riz et le blé.

Un vrai problème pour les populations des pays émergents, qui basent majoritairement leur alimentation sur ces céréales peu chères et largement disponibles.

Carences en protéines

La plupart des plantes réagissent aux variations du CO2, qui affecte non seulement leur croissance mais aussi leur transpiration, rappellent les scientifiques dont les travaux sont publiés dans la revue « Environmental Health Perspectives » et en partie financés par la fondation Bill & Melinda Gates .

L'étude suggère que les populations de 18 pays pourraient ainsi perdre plus de 5 % de leur apport en protéines d'ici le milieu du siècle en raison de la réduction de la valeur nutritive du riz, du blé et d'autres récoltes importantes, ont déterminé ces chercheurs de la faculté de santé publique de l'Université de Harvard.

Ils ont aussi estimé qu'environ 150 millions de personnes de plus pourraient courir le risque de carence en protéines en raison des concentrations élevées de CO2.

« Cette recherche met en lumière le besoin pour les pays les plus vulnérables de s'assurer que leur population puisse satisfaire ses besoins nutritifs et, ce qui est encore plus important, qu'ils agissent pour réduire leurs émissions de CO2 et d'autres gaz à effet de serre résultant des activités humaines », souligne Samuel Myers, un scientifique du département de santé environnementale de la faculté de santé publique de Harvard, principal auteur de la publication.

Aggravation de la situation en Afrique sub-saharienne

En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/010162937391-riz-ble-le-rechauffement-climatique-menace-la-valeur-nutritive-des-recoltes-2105792.php#Q5loUYhCJ7jRv8ll.99

papy

papy

Nous avons dilapider notre patrimoine et maintenant la question se pose : combien de temps allons nous pouvoir survivre ?

Josué

Josué
Administrateur

Les 5 mauvaises nouvelles de l'été 2017 pour la planète
OLIVIER NOUAILLAS publié le 02/08/2017

1. « La 6e extinction de masse des espèces s'accélère nettement ».

Tel était le titre à la Une du Monde daté du 12 juillet. Dans une une étude publiée par la revue américaine Proceedings of National Academy of Sciences, trois chercheurs s'alarment d'un « anéantissement » biologique « aux conséquences catastrophiques ».
Les chiffres révélés sont éloquents : en 2016, par exemple, les guépards africains n'étaient plus que 7000 et les lions 35.000, soit une diminution de 43% par rapport à 1993. À Bornéo, la population d'orangs-outans a chuté de 25% en 10 ans : il n'en reste plus que 80.000. Celle des girafes est, elle, passée de 115.000 en 1985 à 97.000 aujourd'hui. Mais cette disparition ne touche pas que les animaux « emblématiques » ou « exotiques ». En Europe, 30% des espèces dites « communes » sont en voie de disparition, notamment les oiseaux. Ainsi, en France, le chardonneret a vu ses effectifs baisser de 40% en dix ans.
D'une façon générale, cette nouvelle étude confirme et amplifie d'autres chiffres déjà publiés par le WWF dans son dernier rapport « Planète Vivante » (en 2016) et dans ceux de la célèbre « liste rouge » de l'Union internationale de conservation de la nature (UICN). Ainsi, 58% des vertébrés ont disparus en 40 ans ! Et les causes, multiples, sont pointés du doigt par les auteurs de cette étude : urbanisation, déforestation, agriculture intensive, extraction minière, braconnage, changement climatique, surpopulation, surconsommation… Rappelons juste que la cinquième extinction massive eut lieu il y a 65 millions d'années, avec la disparition de 65% des espèces, dont les célèbres dinosaures, et fut probablement liée à la collision d'une météorite avec la Terre. Cette fois, il semblerait que ce soient bien les êtres humains, et surtout leur mode de vie, qui soient responsables de cette menace de sixième extinction.
2. La dérive du plus grand iceberg du monde

Les photos publiés par les journaux le 13 juillet sont spectaculaires. On y voit une immense étendue blanche, celle de l'Antarctique, zébrée d'une immense fracture sur des dizaines de kilomètres. Les chercheurs de l'université de Swansea, au Royaume-Uni, nous apprennent qu'il s'agit d'un iceberg de mille milliard de tonnes (!), soit 5800 kilomètres carrés – ce qui représente 55 fois la surface de Paris, ou la taille d'un département français comme la Corrèze.
http://www.lavie.fr/actualite/ecologie/les-5-mauvaises-nouvelles-de-l-ete-2017-pour-la-planete-02-08-2017-84046_8.php

Josué

Josué
Administrateur

VIDEO. Cette infographie montre l'inquiétante accélération du réchauffement climatique depuis 1900
La conclusion du climatologue finlandais à l'origine de cette vidéo est simple : il fait de plus en plus chaud partout dans le monde.
http://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/video-cette-video-montre-l-inquietante-acceleration-du-rechauffement-climatique-depuis-1900_2314948.html

Josué

Josué
Administrateur

Sale temps pour la planète !
Indonésie, paradis en danger
Informations
Genre : Série documentaire - Nature Année : 2017
Résumé de Sale temps pour la planète ! : Indonésie, paradis en danger
Baigné par l'océan Indien à l'ouest, le Pacifique à l'est, et s'étendant de part et d'autre de l'équateur en Asie du Sud-Est, l'Indonésie est, avec ses quelque 14 000 îles, le plus grand archipel du monde. Situé à la convergence des plaques pacifique, eurasienne et australienne, ce pays aux 257 millions d'habitants doit régulièrement faire face à des phénomènes naturels extrêmes. En 2004, le tsunami qui dévaste la région n'épargne pas la province d'Aceh, au nord de l'île de Sumatra, et fait près de 170 000 morts. Une tragédie encore très présente dans la mémoire de la population, qui redoute la survenue d'autres catastrophes naturelles
http://programme.tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/programme/sale-temps-pour-la-planete-f154086269?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=TVMag

Josué

Josué
Administrateur

Vidéo sur les oiseaux qui disparaissent.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/les-oiseaux-des-campagnes-disparaissent-a-une-vitesse-vertigineuse_1993768.html?utm_source=ocari&utm_medium=email&utm_campaign=20180321173101_12_nl_nl_lexpress_videos_5ab2888d4c964d4d5e8b4567&xtor=EPR-850-[20180321173101_12_nl_nl_lexpress_videos_5ab2888d4c964d4d5e8b4567_0027CG]-20180321-[_004VI9H]-[RB2D106H0014YABA]-20180321043200#EMID=109614767c7d4272963054217c72ff9415096149ba5cafcdfeef212668bd50e6

Diminution de la ressource alimentaire pour les oiseaux

Les chercheurs mettent principalement en cause "l'intensification des pratiques agricoles ces 25 dernières années, plus particulièrement depuis 2008-2009". La période de ces dix dernières années correspond "entre autres à la fin des jachères imposées par la politique agricole commune, à la flambée des cours du blé, à la reprise du sur-amendement au nitrate permettant d'avoir du blé sur-protéiné et à la généralisation des néonicotinoïdes, insecticides neurotoxiques très persistants", décrit le communiqué.  
Dans Le Figaro, Vincent Bretagnolle, directeur de recherche au CNRS, confirme que le principal facteur de cette disparition progressive est "la diminution de la ressource alimentaire pour les oiseaux, avec un effondrement du nombre d'insectes". Or, cette disparition est principalement due à l'intensification de l'agriculture qui entraîne une diminution des insectes". L'utilisation accrue des néonicotinoïdes est selon lui un "facteur plausible mais non démontré".  

Les agriculteurs "ont les clés pour infléchir la tendance"

Dans leur communiqué, le CNRS et le MNHN appellent donc à "travailler avec tous les acteurs du monde agricole pour accélérer les changements de pratiques et d'abord avec les agriculteurs qui possèdent aujourd'hui les clés pour infléchir la tendance".  
Reste que la situation n'est pas propre à la France, et les exemples des autres pays n'incitent pas à l'optimisme. "On est dans la continuité d'une tendance lourde qui touche l'ensemble des pays de l'Union européenne", confirme Frédéric Jiguet, professeur de biologie de la conservation au Muséum et coordinateur du réseau d'observation STOC, dans Le Monde.  
Alors que selon lui, trois pays, les Pays-Bas, la Suède et le Royaume-Uni, "ont mis en oeuvre des politiques nationales volontaristes pour inverser cette tendance lourde en aménageant à la marge le modèle agricole dominant", le chercheur note "qu'aucun de ces trois pays n'est parvenu à inverser la tendance". 

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

301 catastrophes naturelles qui se sont produites dans le monde l'an dernier ont coûté 337 milliards de dollars, dont 144 milliards aux assureurs, du jamais vu.

Ouragans, violents incendies, tremblement de terre: l'année 2017 restera immanquablement dans les annales des catastrophes naturelles. Certes leur nombre dans le monde a légèrement diminué par rapport à 2016 (301 contre 329 en 2016), mais elles ont étaient beaucoup plus intenses et dévastatrices. Résultat, le coût des catastrophes naturelles et des désastres causés par l'homme (tels que les incendies ou les accidents industriels) s'est élevé à 337 milliards de dollars (273 milliards d'euros), un niveau historiquement élevé, selon les statistiques du réassureur Swiss Ré, qui, comme il l'avait prévu, a revu à la hausse ses premières estimations. 
Les pertes prises en charge par les assureurs après les catastrophes ont, elles, atteint 144 milliards de dollars, ce qui en fait l'année la plus coûteuse pour les assureurs enregistrée jusqu'à aujourd'hui, a précisé Swiss Re qui réalise une évaluation chaque année depuis 50 ans. 

Plus de 11.000 personnes ont perdu la vie

Après un début d'année plutôt calme, trois ouragans, Harvey, Irma et Maria, ont en quelques semaines seulement ravagé les Caraïbes et le sud-est des États-Unis et engendré à eux seuls 217 milliards de dollars de pertes économiques, selon l'étude de Swiss Re, le numéro un mondial du secteur de la réassurance. La facture aurait pu être encore plus élevée si l'ouragan Irma n'avait pas dévié sa trajectoire au dernier moment, épargnant la cote de Floride, la plus densément peuplée. Pour les assureurs, la note est aussi très salée, puisqu'elle s'élève à 92 milliards de dollars, ce qui en fait la deuxième année la plus coûteuse depuis les ouragans Katrina, Rita et Wilma en 2005. 
L'année 2017 a aussi été marquée par le cyclone Debbie en Australie et les tremblements de terre au Mexique, ainsi que par de très violents et longs incendies en Californie mais aussi au Canada et au Portugal. Les pertes humaines ont aussi été très importantes. Plus de 11.000 personnes ont perdu la vie ou disparu lorsque les événements se sont déchaînés l'année dernière (dont 8000 en raison des catastrophes naturelles), et plusieurs millions de victimes se sont retrouvées sans abri. La facture colossale des catastrophes naturelles a lourdement pesé sur les résultats des réassureurs l'an dernier (Munich Ré, SCOR, Swiss Re, Lloyd's). 

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Qui croit encore ces charlots de métérologues ?
Ils nous prédisent l'apocalypse avec le réchauffement planétaire dans 100 ans et ils ne sont pas capables de nous pronostiquer la météo exacte du lendemain !

Les climatologues, eux, font des carotages dans l'antartique pour avoir la mémoire des climats depuis des millions d'années. Et tout est normal, nous sommes entrés dans une micro période glaciaire au XVII siècle, en Europe, et nous en sortons à peine.

La prétention de l'humain moderne à se mettre au centre du monde est incohérente.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Ce n'est pas encore une science exacte mais il faut reconnaître que les conditions climatiques ne s'améliore pas du tout.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Mikael a écrit:Ce n'est pas encore une science exacte
Ce n'est pas une science exacte !
Elle est une science humaine !

Mikael a écrit:il faut reconnaître que les conditions climatiques ne s'améliore pas du tout.
Au contraire, jamais la terre n'a été aussi froide, sauf dans les villes où elle augmente trop.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

samuel

samuel
Administrateur

Tout va très bien dans le meilleure des monde.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Je ne dis pas ça, je dis que la nature est plus forte que nous.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est bien vrais c'est pourquoi il faut la respecter.

Josué

Josué
Administrateur

Climat: des négociations pour graver l'accord de Paris dans  le marbre.

 Par AFP , publié le 28/04/2018 à 07:54 , 


 
afp.com/LUDOVIC MARIN


Paris - Comment éviter un réchauffement hors de contrôle: environ 200 pays se retrouvent lundi à Bonn pour avancer vers la mise en oeuvre de l'accord de Paris, première étape d'une année "cruciale" dans la lutte contre le dérèglement climatique.


"2018 est une année clé pour faire avancer l'action climatique", le moment "le plus critique" depuis la COP21 qui a donné naissance à l'accord de Paris en 2015, commente David Waskow, expert au World Resources Institute.  
Cet accord vise à contenir le réchauffement mondial sous les 2°C, voire 1,5°C, par rapport à l'ère préindustrielle. Mais les engagements de réduction d'émissions de gaz à effet de serre pris jusqu'à présent par les Etats signataires conduiraient à un monde à +3°C. 


Dans les conditions actuelles, le monde atteindrait déjà +1,5°C d'ici les années 2040, selon un projet de rapport du groupe des experts climat de l'ONU (Giec), qui estime "extrêmement improbable" de ne pas dépasser 1,5°C sans transformations drastiques et immédiates. 
Alors que les trois dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées et que les émissions de CO2 sont reparties à la hausse en 2017, les appels à agir plus vite et plus radicalement se multiplient, à quelques mois de la 24e conférence climat de l'ONU (COP24) de décembre en Pologne, qui permettra d'évaluer la volonté politique des Etats à s'engager plus. 

"Un succès dépendra d'un accord ou non des Etats sur un mode d'emploi musclé de l'accord de Paris, et de leur volonté à rehausser leurs engagements nationaux d'ici 2020", insiste David Waskow. 
L'accord prévoit un premier bilan mondial en 2023, mais la communauté internationale a déjà lancé un dialogue pour encourager les Etats à présenter d'ici 2020 des engagements révisés. 
Ce processus baptisé "Talanoa" - mot utilisé dans les îles Fidji qui président actuellement la COP pour qualifier un dialogue permettant de construire la confiance "par l'empathie et la compréhension" - sera officiellement lancé pendant la réunion de Bonn qui commence lundi pour deux semaines. 
- Tensions Nord-Sud - 
Les contributions déposées en amont témoignent, selon l'ONU, d'un constat récurrent: "L'ampleur et le rythme de l'action climatique doivent être augmentés radicalement et immédiatement", parce qu'ils ne permettent même pas de respecter les engagements nationaux des Etats. 
Avec le retrait annoncé des Etats-Unis de l'accord de Paris, les regards seront tournés vers la Chine, principal émetteur de CO2, mais aussi vers l'ensemble des pays développés, en particulier l'UE que plusieurs capitales européennes viennent d'appeler à rehausser ses ambitions, voire à poser l'objectif de neutralité carbone pour 2050. 
"Il est frustrant d'entendre certains pays développés célébrer leur leadership sur le climat alors qu'ils ne sont pas la hauteur des engagements modestes annoncés au fil des années", a dénoncé le ministre de l'Environnement des Maldives Thoriq Ibrahim, qui préside le groupe des petites îles (Aosis). 
"Jusqu'à ce que les pays développés joignent le geste à la parole, notre survie sera menacée", a-t-il insisté. 
Les pays du Nord sont également régulièrement rappelés à leur promesse de porter à 100 milliards d'euros par an d'ici 2020 leur aide aux politiques climatiques de ceux du Sud. 
Ces tensions récurrentes entre pays riches et pauvres devraient également être un point de friction des négociations sur les règles d'application de l'accord de Paris, qui doivent être finalisées d'ici la fin de l'année pour permettre l'application du traité en 2020. 
Ces règles concernent notamment la "transparence", c'est-à-dire la façon dont les Etats rendent compte de leurs actions, de leurs financements, de leurs résultats. Et le degré de flexibilité qui sera accordé aux pays les plus pauvres focalise les discussions. 
Ce mode d'emploi "doit donner une crédibilité à l'accord", insiste Lucile Dufour, du Réseau Action Climat.  
D'autres événements diplomatiques importants jalonneront les mois conduisant à la COP24, du G7 en juin à la publication du rapport du Giec à l'automne, en passant par le "sommet" organisé par le gouverneur de Californie en septembre. 

prisca**

prisca**

Les problèmes causés à la planète sont la conséquence directe de la course à l'argent pour avoir économiquement le pouvoir et donner aux citoyens l'addiction nécessaire pour qu'eux confondent nécessité et superflu.

Pourquoi les églises n'ont elles pas commencé par boycotter les supermarchés puisqu'elles savent que Dieu ne veut pas favoriser le pouvoir de l'argent sur la spiritualité ?

Pourquoi ne manifestent ils pas leur désapprobation ?

Ils vont même à créer des multinationales dans les monastères, vendre du vin partout dans le monde, de la confiture du miel du génépi de la Chartreuse etc....

Où est l'exemple ?

Se réveille t on lorsqu'on est prêtres maintenant que c'est trop tard ?

Et pourquoi vendre des bougies dans les églises avec un contenant en plastique qui est jeté à la poubelle sans être trié ?

Je le dis parce que l'église où j'habite ne recycle rien.

Et après la bouche en cœur on s'insurge avec des mots ? Et les actions ? Pourquoi ne pas dire à la messe : boycotter Auchan ? Achetez que des produits sans emballages ?

De qui se moque t on ?

Et puis faute à l'église si nous en sommes là, parce que l'homme est à mille lieux de se douter qu'il existe une "Terre Nouvelle" alors se disant que la seule existence qu'il connaitra c'est celle qui est sur terre, lui qui est athée, il s'en donne à cœur joie, et après lui le déluge, par la mort signe le néant pour lui alors à quoi bon ne pas polluer, ses enfants à lui y penseront bien.... l'égoisme est né à partir du moment où un homme se dit qu'il y a le néant à sa mort terrestre.

Faute aux prêtres qui, s'ils avaient annoncé l'Evangile avec "la sagesse du langage" mise de côté, c'est à dire sans faire des pages et des pages de philosophie qui n'ont ni queue ni tête, les gens auraient compris tout de suite ce qui les attend à leur mort, et ils auraient eu une attitude chrétienne et non pas paienne.

Je pense, pour ma part, que ces signes, sont des dommages collatéraux si je peux me permettre, parce que les signes les plus démonstratifs en matière de dévastation sont ceux qui sont relatifs à la foi.

Puisque la terre a pour office de donner à l'homme l'occasion de se parfaire, et si elle n'a plus ce rôle face à la montée de l'apologie des bienfaits de la vie économique au détriment de la prise de conscience individuelle et collective de l'importance de la spiritualité chrétienne, pour ma part, ce n'est pas l'homme qui s'auto détruira, mais bien Dieu qui mettra un terme à la terre.

[ltr]H[/ltr]

Invité


Invité

Est-ce que Dieu réparera la terre bientôt ou laissera t’il detruit la planète par les humains?

Dieu avait demandé au premier couple humain de “ le cultiver et [de] s’en occuper ”. (Genèse 2:8, 9, 15.)

Pour ce faire, Jéhovah Dieu a pris une disposition magnifique : il a mis en place un gouvernement céleste pour diriger tous les humains, et il a établi son Fils, Jésus Christ ressuscité, Roi de ce Royaume. Ce gouvernement veillera à ce que le dessein de Dieu pour la terre s’accomplisse. — Matthieu 6:9, 10.

[Dieu va] causer la ruine de ceux qui ruinent la terre. ” — RÉVÉLATION 11:18.

Et il rétablira le paradis pour l’eternite ...

samuel

samuel
Administrateur

C'est dans ce but que nous prions :que ton royaume vienne.

Josué

Josué
Administrateur

Inde: le bilan des tempêtes s'établit autour de 150 morts

 Par AFP , publié le 04/05/2018 à 10:29 , mis à jour à 10:29

Messagers de l’apocalypse écologique?  Des-indiens-tronconnent-un-arbre-tombe-en-travers-d-une-route-lors-d-une-tempete-le-3-mai-2018-a-agra_6054278
Des Indiens tronçonnent un arbre tombé en travers d'une route lors d'une tempête, le 3 mai 2018 à Agra
 
afp.com/CHANDAN KHANNA


Agra (Inde) - Une série de puissantes tempêtes a fait environ 150 morts en Inde cette semaine, ont rapporté vendredi les autorités dans un nouveau bilan, alors que plusieurs régions restent en état d'alerte.


Une tempête de sable d'une rare intensité a coûté la vie à 121 personnes dans le nord du pays, principalement en Uttar Pradesh et au Rajasthan. La foudre de violents orages dans le sud, en Andhra Pradesh et au Telangana, a elle fait 21 victimes au cours d'un épisode météorologique distinct. 
Dans le nord, des vents de tempête de sable soufflant jusqu'à 130 km/h ont déraciné des arbres, abattu des murs de maisons et renversé des pylônes électriques dans la nuit de mercredi à jeudi. 


Rien que pour le seul district d'Agra, où se situe le célèbre Taj Mahal de marbre blanc, au moins 43 personnes ont péri dans ces tempêtes de sable d'une violence rarement vue. 24 villeagois ont été tués pour la seule localité de Kheragarh, a rapporté la presse locale. 
Les habitants de la région restent sur leurs gardes alors que les prévisions météos annoncent d'éventuelles nouvelles tempêtes jusqu'à lundi. 

"Nous n'avons pas pu dormir, nous étions inquiets que la tempête frappe à nouveau. Nous avons pris des précautions et tout placé en sécurité mais rien ne peut résister à la furie de la nature", a confié à l'AFP vendredi matin Munna Lal Jha, un résident d'Agra. 
Cette tempête résulte de la conjonction d'une dépression, de températures inhabituellement hautes et d'humidité apportée par les vents. Ce type d'événement violent pourrait devenir de plus en plus fréquent avec le changement climatique, a rapporté la presse indienne. 
Tempêtes et orages font tous les ans des victimes en Inde mais ceux de cette semaine figurent parmi les plus meurtriers de ces dernières décennies. 
Les autorités ont ainsi recensé 79 décès dans le grand État pauvre d'Uttar Pradesh, et 39 dans la région touristique voisine du Rajasthan.  
La chute de poteaux électriques dans certaines zones a entraîné des coupures de courant, un retour à la normale pourrait nécessiter plusieurs jours. 

papy

papy

Cette semaine c'est pas triste avec les volcans qui se réveillent à la Réunion et dans une île du Pacifique.

Josué

Josué
Administrateur

[size=45]VIDEO - À Hawaï, l’éruption du volcan Kilaue provoque un gaz toxique[/size]
https://www.la-croix.com/Monde/Ameriques/VIDEO-A-Hawai-leruption-volcan-Kilaue-provoque-gaz-toxique-2018-05-22-1200940875?utm_source=Newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=welcome_media&utm_content=2018-05-23

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Chine : le boom des voitures électriques augmente la pollution ?[/size]


  • Hugo LARA


Messagers de l’apocalypse écologique?  Flickr-Bafac-Pollution-sur-la-cit%C3%A9-interdite-de-Beijing-730x494
Flickr – Bafac – Pollution sur la cité interdite de Beijing
Pour lutter contre la pollution extrême de l’air, la Chine incite à l’achat de véhicules électriques. Problème : avec une production largement issue du charbon, les centrales électriques tournent à plein régime et augmentent donc leurs rejets. D’après une étude récente, les comportements de recharge des électromobilistes chinois ne sont pas adaptés au mix énergétique encore trop carboné du pays.
La Chine fait-elle fausse route sur l’électrification de ses transports ? Si le pays diminue peu à peu la part des énergies fossiles et augmente celle des énergies renouvelables dans sa production électrique, 70% du courant est toujours issu des centrales à charbon. Une électricité « sale » qui alimente un parc de véhicules électriques engagé dans une croissance explosive.


Recharger rapidement en heure de pointe, le mauvais réflexe


Selon une étude conjointe d’universitaires chinois et américains publiée en avril 2018, les habitudes de recharge des utilisateurs de véhicules électriques chinois auraient pour conséquence d’augmenter les émissions polluantes. En effet, la plupart des automobilistes privilégieraient la recharge rapide pendant les heures de pointe pour faire le plein de leurs véhicules. Un comportement qui sollicite davantage les centrales à charbon au détriment des énergies renouvelables, lors des pics de consommation.
Messagers de l’apocalypse écologique?  Flickr-Gustavo-M-Centrale-%C3%A9lectrique-au-charbon-en-Chine-Usage-commercial-autoris%C3%A9-730x491
Flickr – Gustavo M – Centrale électrique au charbon en Chine
Pour diminuer la pollution indirecte des véhicules électriques, les chercheurs recommandent de les recharger lentement, en plusieurs heures, le soir ou en heures creuses en journée et sur les lieux de travail. Ainsi, les batteries peuvent faire le plein d’électrons plus largement issus, entre autres énergies renouvelables, des éoliennes. L’étude insiste également sur l’utilité des autobus électriques, bien moins polluants que les moyens de transports individuels.


Éduquer les électromobilistes à la recharge responsable


Avec un quota de production de 10% de véhicules hybrides ou électriques fixé pour 2019 et 20% pour 2025, la Chine va devoir éduquer les nouveaux conducteurs à la recharge responsable. Des mesures simples, comme la tarification incitative de l’électricité en fonction des heures et des pics de consommation et la facturation majorée sur les bornes de recharge rapide, peuvent changer rapidement les comportements.
L’augmentation du nombre de bornes de recharge lentes dans les lieux publics et parkings d’entreprises peut également inciter les automobilistes à ne pas faire escale sur les chargeurs rapides.

Rene philippe

Rene philippe

La mienne ne pollue pas, elle utilise l’energie cinétique lors des descentes ou des freinages pour recharger la batterie, donc, l’énergie récupérée est gratuite au lieu d’etre gaspillée dans des plaquettes de frein Wink et sert dans les petites vitesses, surtout en ville

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est quoi ta voiture ?

Rene philippe

Rene philippe

Mikael a écrit:C'est quoi ta voiture ?
Toyota prius+ hybride

samuel

samuel
Administrateur

N'empêche que l'exemple de la Chine concernant les recharges des batteries et pas vraiment un bon point pour ce genre de voitures.

BenFis

BenFis

Et l’énergie pour alimenter ces batteries provient d’où, si ce n’est de la combustion des énergies fossiles et du nucléaire ?

papy

papy

Le monde se trouve devant une impasse, le charbon pollue le nucléaire est dangereux et les gens ralent quand il faut installer des éoliennes car ça défigure le paysage.
Mais ils veulent quand même avoir de l'électricité chez eux.

Josué

Josué
Administrateur

En Chine où la production d'électricité utilise bien souvent des procédés très polluants, les autos électriques polluent au moins autant que les thermiques.






Tout le monde le sait, une voiture électrique ne rejette aucune émission polluante mis à part les particules dégagées par son système de freinage et le frottement de ses pneu. Mais il n'existe cependant pas de miracle électrique, un véhicule de ce type émettant toujours du CO2 et de la pollution lors de sa fabrication et de la production de son électricité.

Plus l'électricité qu'elle consomme est issue de procédés polluants, et moins bon sera le bilan écologique global de l'utilisation de la voiture électrique. A ce sujet, les experts se divisent depuis quelques années, certains spécialistes (contestés par ailleurs) estimants qu'ils posent même plus de problèmes écologiques que les véhicules à moteur thermique.


PUBLICITEPEUGEOT 108 SURÉQUIPÉE
Les Jours Suréquipés PEUGEOT : 108 Style dès 79 €/mois

Le problème de la Chine


La Chine fait partie des pays qui misent le plus sur les automobiles électriques, jusqu'à influer sur le marché automobile mondial. Mais là-bas, la production d'électricité utilise toujours en grande partie des usines au charbon (72% de l'électricité totale en 2015) ce qui complique sensiblement le bilan écologique des autos électriques actuelles.

Ainsi d'après une étude de l'institut de recherche des transports à l'université du Michigan (Etats-Unis), tout véhicule thermique chinois consommant moins de 7 litre de carburant aux 100 kilomètres polluerait moins qu'une voiture électrique chinoise. Par ailleurs, des chercheurs de l'université d'Harvard et de Tsinghua en Chine estiment que la production des véhicules électrifiés en Chine produit 50% de gas à effet de serre en plus que celle des véhicules thermiques classiques.


Rene philippe

Rene philippe

C'est un peu jouer avec les mots. Sur ma voiture hybride, je visualise en temps réel la forme d'énergie utilisée; essence, courant, et la charge de la batterie selon la configuration de la route. Quand je freine, ou que la voiture descend une côte, même très légèrement, on voit l'énergie récupérée de l'énergie cinétique; or, quand c'est le moteur thermique (essence) qui prend le relais, ma consommation est inférieure ou égale à environ 5l/100 km, mais je sens et je vois aussi l'apport du moteur électrique qui "aide" le thermique. Or, l'énergie électrique utilisée vient en grande partie de la récupération, et donc sans pollution de quelque sorte aucune.

BenFis

BenFis

Rene philippe a écrit:C'est un peu jouer avec les mots. Sur ma voiture hybride, je visualise en temps réel la forme d'énergie utilisée; essence, courant, et la charge de la batterie selon la configuration de la route. Quand je freine, ou que la voiture descend une côte, même très légèrement, on voit l'énergie récupérée de l'énergie cinétique; or, quand c'est le moteur thermique (essence) qui prend le relais, ma consommation est inférieure ou égale à environ 5l/100 km, mais je sens et je vois aussi l'apport du moteur électrique qui "aide" le thermique. Or, l'énergie électrique utilisée vient en grande partie de la récupération, et donc sans pollution de quelque sorte aucune.

Puisque l'énergie électrique utilisée vient en grande partie de la récupération de l’énergie cinétique, d’où vient l’autre partie ? Et sais-tu quel est le ratio de chacune des parties ?

Rene philippe

Rene philippe

Pas facile ta question. Quand on lance la voiture, soit elle démarre avec le moteur électrique, soit le moteur essence, soit les deux si on appuie fort (elle a de la reprise). Quand on freine, la voiture, au lieu de gaspiller l'énergie cinétique pour user les plaquettes de freins (elle en use quand même), elle transmet cette énergie au même moteur électrique comme un alternateur, qui recharge donc l'accu. La résistance du moteur électrique sert donc de frein et d'alternateur. Même chose quand on est en côte descendante, mon régulateur force la voiture à garder la vitesse programmée, et donc le moteur électrique récupère l'énergie. Quand au ratio, je ne sais pas, ce qui est sûr, c'est que c'est surtout en ville qu'on dépense le moins, le moteur thermique n'ayant pratiquement pas besoin de fonctionner.

BenFis

BenFis

Effectivement, je découvre que ce dispositif de récupération l’énergie inertielle permet de faire des économies substantielles de carburant allant de 10 à 20% à puissance de motorisation égale; c’est bien plus que je ne l'imaginais.

Si les véhicules du monde entier en étaient équipés, cela permettrait d’économiser en moyenne, disons 15% de pétrole, et d'éviter d'envoyer dans l’atmosphère une bonne proportion de CO² inutile.

Malheureusement, ce n’est pas avec cette solution qu’on va sauver la planète, du fait notamment que le parc automobile augmente de 3,5% par an; ce qui fait que le bénéfice environnemental serait rattrapé par le nombre supplémentaire de véhicules en circulation... au bout de 5 ans seulement.

Rene philippe

Rene philippe

Entièrement d'accord avec toi Benfis.

Josué

Josué
Administrateur

papy a écrit:Le monde se trouve devant une impasse, le charbon pollue le nucléaire est dangereux et les gens ralent quand il faut installer des éoliennes car ça défigure le paysage.
Mais ils veulent quand même avoir de l'électricité chez eux.
La preuve.

Le département est l’un des derniers en France à ne compter aucune éolienne. Mais plusieurs projets sont à l’étude au grand dam d’élus locaux.

Les éoliennes de Bridoré pourraient bien être les premières dans le sud de la Touraine, qui compte moult châteaux et parcs. Si le département d’Indre-et-Loire est sans doute celui qui abrite le plus de monuments au mètre carré, c’est aussi l’un des derniers en France à ne compter aucune éolienne.
« On peut pourtant mêler l’ancien et le moderne, clame Christian Baritaud, maire de Bridoré, fervent défenseur des énergies renouvelables. A Paris, la tour Eiffel a bien été implantée en vue de monuments classés ! »
Un projet de 5 machines porté par la société Soleil du midi devrait voir le jour prochainement dans un bois de sa commune.
Non loin de là, à Brizay, le conseil municipal a validé un autre projet compris entre 4 et 8 éoliennes.

«On ne peut pas brader notre paysage pour des impôts»

Dans le département limitrophe de la Vienne, c’est le projet de Nueil-sous-Faye qui fait bondir Hervé Novelli, maire de Richelieu et ancien secrétaire d’Etat au Tourisme : « Conçue au XVIIe, ma ville compte 103 monuments classés intra-muros. Si les éoliennes se font, on les verra depuis le parc. Qui viendra encore le visiter ? Je ne souhaite pas un encerclement de ce patrimoine. »
L’élu, qui a porté l’affaire en justice, craint surtout un « appel d’air » pour d’autres, d’autant plus que les investisseurs promettent des retombées fiscales substantielles aux élus locaux.

chico.

chico.

[size=36]La France n'en a pas fini avec les orages "diluviens" [/size]

H.F. avec AFP

Depuis la mi-mai, la vague orageuse a concerné toutes les régions. Le feuilleton orageux devrait se poursuivre toute la semaine encore, week-end prochain inclus.
  Messagers de l’apocalypse écologique?  AAyeAMK  ©️ LAURENT DARD, AFP Quartier inondé à Adé près de Tarbes, le 3 juin 2018
Atmosphère électrique, trombes d'eau et risque d'inondations-éclair : la France n'en a pas fini avec des orages qui s'accrochent et peuvent de nouveau s'annoncer "diluviens".

Rare zone jusqu'ici épargnée, le Finistère a été particulièrement touché dimanche, notamment Morlaix et des communes environnantes, où les dégâts se sont concentrés.

Depuis la mi-mai "la vague orageuse a concerné toutes les régions, un peu moins les plages bretonnes ou normandes, mais ce week-end elles se sont malheureusement bien rattrapées", note le prévisionniste Etienne Kapikian.

Dans la région de Morlaix, les pompiers ont reçu 250 appels entre 16h et 19h dimanche, surtout pour des caves et commerces inondés. 
 Messagers de l’apocalypse écologique?  AAyeHYl  ©️ Fred TANNEAU, AFP Une rue inondée à Morlaix, le 4 juin 2018

450 interventions de pompiers



Lundi après-midi, un orage a touché le nord de Tarbes (Hautes-Pyrénées) durant 30 à 45 minutes provoquant des inondations de rues et de caves, a-t-on appris auprès des pompiers. Selon Météo65, il est tombé un peu plus de 30 mm d'eau en 30 minutes.

Un orage a aussi touché le secteur de Montréjeau (Haute-Garonne), à l'est de Tarbes, nécessitant une quinzaine d'interventions des pompiers pour des caves et des rues inondées.

Les orages ont été particulièrement nombreux sur le Haut-Rhin entre 19h et 20h. De la grêle a été observées sous certaines cellules orageuses, notamment à Spechbach-le-Bas (Haut-Rhin). De fortes intensités de pluie sont également relevées, de l'ordre de 20 à 40 mm par endroit en moins d'une heure. Plus de 450 interventions de pompiers ont été dénombrées.


182.000 impacts de foudre ce mois-ci



Ce mois de mai aura été "exceptionnellement foudroyé", avec 182.000 impacts relevés au sol, doublant quasiment le précédent record (datant de mai 2009), relève Météo-France.




"Et on ne voit pas d'accalmie particulière", poursuit Etienne Kapikian, qui décrit "une situation de blocage" avec de hautes pressions accrochées sur le nord de l'Europe et de basses pressions sur le sud, du côté de la péninsule ibérique.




La situation, qui dure depuis début mai et s'est encore renforcée en milieu de mois, s'est notamment nourrie de températures plus élevées, en particulier au nord.




"On a des anomalies chaudes un peu partout en Europe", explique l'expert de Météo-France. "L'Allemagne par exemple a eu un mois de mai exceptionnellement chaud. La France a bénéficié de flux (de chaleur) continentaux et de secteur sud, qui tournaient facilement à l'orage" car l'atmosphère était humide.







Des orages toute la semaine



Nationalement la température a ainsi été d'1,3°C au-dessus de la normale (par rapport à la période 1981-2010), bien que loin du record absolu (11e mois de mai le plus chaud depuis 1900).

Une anomalie encore plus marquée au nord de la Seine : +2°C par rapport à la normale. Ce mois a été le plus chaud depuis 1917 sur le nord-est. En revanche les régions proches de l'Espagne ont connu un mai proche des moyennes, "voire presque frais" sur les Pyrénées.

Côté pluviométrie aussi, le bilan est excédentaire par rapport à un mois de mai moyen, mais seulement de 11 % à l'échelle nationale, souligne Météo-France.

Le feuilleton orageux devrait se poursuivre toute la semaine encore, week-end prochain inclus.

Josué

Josué
Administrateur

[size=40]Mystère des sargasses : pourquoi les plages antillaises se couvrent-elles d’algues ?[/size]
>[size=10][size=10]Société[/size]|Ronan Tésorière (@RonTesoriere)|07 juin 2018, 13h45|MAJ : 07 juin 2018, 14h35|2[/size]
Messagers de l’apocalypse écologique?  7758657_6a67157c-6a3e-11e8-a91b-e269237e5271-1_1000x625
Sargasses sur la plage de Sainte-Anne en Martinique (illustration). AFP






Depuis plusieurs mois, des amas d’algues brunes s’amoncellent sur les plages antillaises. Les élus demandent un classement en catastrophe naturelle.


[size=13]C’est une invasion. Une invasion d’algues qui empoisonne au sens propre comme au figuré la vie des Antilles françaises et plus particulièrement les archipels de la Guadeloupe et de la Martinique. Ces algues brunes toxiques, plus connues sous le nom de sargasses, débarquent par vagues successives sur les plages et bords de mer de la région depuis plusieurs semaines. Une situation catastrophique à tout point de vue pour l’économie du tourisme local mais aussi l’écologie.
[/size]

Les sargasses, qu’est-ce que c’est ?

[size=13]
La sargasse, Sargassum en latin, est un type d’algues brunes. Selon l’hydrographe et météorologiste du XIXe siècle Matthew Fontaine Maury, auteur de « la Géographie physique de la mer », le nom de sargasse vient du mot espagnol sargazo, qui signifie varech. Il décrit la sargasse comme un « varech-nageur » qui forme principalement le « banc immense » de la mer des Sargasses, dans l’Atlantique Nord. Ces algues seraient drainées par les courants circulaires de l’océan.
La mer des Sargasses aurait été observée en 1492 par les équipages de Christophe Colomb. Elle s’étend sur plus de trois millions de kilomètres carrés à l’est de la Floride et des îles des Bermudes.

Mais depuis 2011, les sargasses prolifèrent aussi dans les Caraïbes. Un phénomène qui inquiète scientifiques et élus locaux. Les algues sargasses dégagent du sulfure d’hydrogène en se décomposant. Ce gaz toxique peut provoquer des intoxications aiguës chez l’homme mais est aussi dangereux pour la faune et la flore locale.



Messagers de l’apocalypse écologique?  D0321dc4-6a4e-11e8-a91b-e269237e5271_1
/

[/size]

Pourquoi les sargasses inquiètent-elles les Antilles ?

[size=13]
Depuis le début de la semaine, les invasions d’algues portées par les courants venus du Sud-Est ont repris de plus belle en Guadeloupe. Plusieurs communes ont subi des échouages exceptionnels. En conséquence, de nombreuses communes ont interdit la baignade sur leurs plages dont certaines emblématiques comme les Salines, sur la commune du Gosier.





[/size]
[ltr]


Messagers de l’apocalypse écologique?  YNq1thAG9unZJS4r?format=jpg&name=small[/ltr]

Messagers de l’apocalypse écologique?  Lq9oAYth_normal

CargoParis16@CargoParis16



10:32 PM - Jun 5, 2018






  • See CargoParis16's other Tweets


[ltr]
Twitter Ads info and privacy[/ltr]



Selon Guadeloupe Première, à Sainte-Anne, le maire a fermé jusqu’à nouvel ordre une maternelle et une crèche. La décomposition de ces algues engendre un risque sanitaire pour les jeunes enfants, particulièrement vulnérables. Un collège et un lycée ont été fermés pendant quatre jours dans la commune de Petit-Bourg.
En Martinique, une majorité de la côte Atlantique reste sérieusement impactée, du Marigot à Sainte-Anne, de même que le littoral Sud, entre Sainte-Luce et Le Diamant, selon France Antilles. Des « radeaux » de sargasses étaient par ailleurs toujours visibles au large de la côte Caraïbes.





[ltr]


Messagers de l’apocalypse écologique?  -vMyYGGyTdqd9RGV?format=jpg&name=small[/ltr]

Messagers de l’apocalypse écologique?  VPeshY7J_normal

Audrey PULVAR

✔️@AudreyPulvar





[ltr]Si vous vous interrogiez sur l’ampleur du phénomène #Sargasses en Martinique... Messagers de l’apocalypse écologique?  1f62aMessagers de l’apocalypse écologique?  1f62a (précisons qu’en plus de la largeur, il y a la profondeur du banc d’algues toxiques... le truc marronnasse là...)[/ltr]

Toujours selon les médias locaux, à la Deal (Direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement), la veille est quotidienne et quasi permanente grâce à « toutes les ressources technologiques existantes ». Son but : faire des prévisions pour déterminer quelles plages précises seront impactées et dresser des points de situation.
Selon Franck Robine, le préfet de Martinique, une centaine de personnes et 35 engins sont mobilisés pour le ramassage quotidien. « Cela a coûté 1,6 million d'euros en mars et avril », précise-t-il. Les communes martiniquaises touchées ont déjà estimé à plus de 1,5 million d’euros les dégâts et coûts divers. Pour le tourisme local, c’est un énorme manque à gagner à l’heure de la saison estivale.
Résultat : ce mercredi, les élus de la Martinique ont demandé un classement en catastrophe naturelle face à l’invasion continue des sargasses. Dans ce contexte tendu, la venue aux Antilles de Nicolas Hulot, le ministre de la Transition écologique et solidaire, les 10 et 11 juin prochains, est fortement attendue, avec l’espoir d’annonces pour un plan à long terme.





[ltr]
[/ltr]

Josué

Josué
Administrateur


Pourquoi des manifestants ont lancé des algues avant la visite de Nicolas Hulot aux Antilles

Les sargasses, qui envahissent les plages des îles, sont considérées comme un problème de santé publique par les élus et la population.



  • Par Jade Toussay





[size=15]SARGASSES - Samedi 9 juin, environ 70 personnes se sont réunies devant la préfecture de Fort-de-France en Martinique, où ils ont lancé des sacs de "sargasses" -des algues nauséabondes- pour dénoncer "l'immobilisme" de l'état face à ce qu'ils considèrent comme une catastrophe sanitaire. Une action qui est intervenue à la veille de l'arrivée des ministres de la Transition Ecologique et des Outre-mer pour se pencher sur ce problème.


Les manifestants se présentés devant l'hôtel de ville munis de sacs remplis de sargasses, qu'ils ont ensuite lancés par-dessus les grilles du bâtiment, comme le rapporte La 1ère. Ces algues dont l'origine reste encore incertaine et qui en se décomposant dégagent une odeur incommodante, ont envahi les plages de Martinique, de Guadeloupe, de Saint-Martin et même de Guyane ces derniers mois, provoquant la colère des populations qui critiquent l'inaction des pouvoirs publics.

[/size]


[ltr]
Voir l'image sur Twitter
Messagers de l’apocalypse écologique?  DfRugxiUYAAgUkX?format=jpg&name=small[/ltr]


Messagers de l’apocalypse écologique?  Sz7vY2w7_normal

RCI Martinique@RCI_MQ




Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

De San Francisco, où doit se tenir le Sommet mondial sur l’action pour le climat la semaine prochaine, à Bangkok, où a lieu une réunion de préparation de la COP24, les rassemblements destinés à prendre conscience de l’urgence à agir contre le dérèglement climatique ont lieu dans une centaine de pays, samedi 8 septembre.
En France, des milliers de personnes ont entamé samedi après-midi une marche citoyenne au cœur de Paris. Elles ont répondu à l’appel du collectif « Rise for climate » (« Debout pour le climat ») en préambule du Sommet mondial de San Francisco, rassemblement du 12 au 14 septembre de pouvoirs publics, d’entreprises et de membres de la société civile. Une rencontre organisée par le gouverneur de Californie en réponse à la politique de Trump
i Pourquoi lire La Croix ?

  • La Croix vous explique, avec pédagogie et clarté, le monde qui vous entoure, afin que vous puissiez bâtir votre opinion.


+


Les manifestants ont été également sensibles à l’appel à la mobilisation lancé sur les réseaux sociaux par Maxime Lelong, journaliste de 27 ans, après la démission du ministre de la transition écologique Nicolas Hulot, qui s’était plaint d’un manque de soutien populaire pour l’environnement.
À lire aussi

Messagers de l’apocalypse écologique?  Impuissance-comme-avait-coupe-ailes-fameux-petits-colibris-chers-Pierre-Rabhi-tentaient-encore-deteindre-lincendie_0_190_135

Nicolat Hulot ou la désespérance d’un combat déjà perdu


« Je vais être papa (d’un fils) en décembre, je veux qu’il ait une planète vivable, qu’il ait un endroit où habiter, qu’il puisse avoir des petits-enfants », a expliqué Maxime Lelong.

« Les ONG ne font pas le poids face à aux lobbys »

Des événements avaient lieu dans d’autres villes du pays, notamment à Marseille, où 2 500 personnes ont défilé selon les organisateurs, et 700 selon la police.
En outre, 700 scientifiques français ont lancé samedi un appel, publié par le journal Libération, aux dirigeants politiques afin qu’ils passent « de l’incantation aux actes pour enfin se diriger vers une société sans carbone ».
À Bruxelles, un rassemblement organisé devant le Parlement européen a réuni environ un millier de personnes selon les organisateurs (Greenpeace et la Coalition Climat, collectif d’associations et d’ONG de la société civile belge).
« L’idée était d’interpeller les élus et les gouvernements à partir de la capitale européenne. Il y a beaucoup de lobbys ici et on se rend compte que les ONG ne font pas forcément le poids face à eux. En tant que citoyens on veut montrer qu’on peut organiser des campagnes pour les interpeller », a déclaré à l’AFP Kim Le Quang, un professeur participant au rassemblement.

Les États-Unis montrés du doigt

En Asie, c’est à Manille que la mobilisation avait été la plus forte, avec 800 manifestants. L’un d’eux, habillé en dinosaure, tenait une pancarte « Go Fossil-free » (« Finissons-en avec les énergies fossiles »). Les Philippines sont en effet très dépendantes des centrales à charbon.
À Bangkok, près de 200 manifestants se sont réunis devant le siège régional de l’ONU où est organisée jusqu’à dimanche une réunion de préparation du prochain sommet sur le climat, dit COP24, prévu en Pologne dans trois mois.
Des participants à cette réunion préparatoire de Bangkok ont dénoncé samedi le rôle de sape joué par les États-Unis. « Ils ne sont plus dans le jeu, mais c’est toujours eux qui imposent les règles », a critiqué un négociateur de premier plan, pointant du doigt une délégation américaine venue pour « empoisonner » les débats. Aucun commentaire n’a pu être obtenu dans un premier temps côté américain.

Josué

Josué
Administrateur

Le monde a deux ans pour agir contre le changement climatique sauf à affronter des "conséquences désastreuses", a averti lundi le chef de l'ONU, en appelant la société civile à réclamer "des comptes" aux dirigeants de la planète.

"Si nous ne changeons pas d'orientation d'ici 2020, nous risquons (...) des conséquences désastreuses pour les humains et les systèmes naturels qui nous soutiennent", a déclaré Antonio Guterres.

Son discours à l'ONU survient trois jours avant un sommet mondial inédit pour l'action climatique qui doit réunir à San Francisco des milliers d'élus, de maires, de responsables d'ONG et d'entreprises.

"Il est impératif que la société civile --jeunes, groupes de femmes, secteur privé, communautés religieuses, scientifiques et mouvements écologiques dans le monde-- demande des comptes aux dirigeants", a insisté le secrétaire général des Nations unies.

En dressant un tableau noir des menaces pesant sur la chaîne alimentaire et l'accès à l'eau, M. Guterres a martelé que le monde faisait "face à une menace existentielle directe" et au "plus grand défi" de l'époque.

"Le changement climatique va plus vite que nous", a-t-il relevé. "Nous avons les outils pour rendre nos actions efficaces mais nous manquons --même après l'accord de Paris-- de leadership et d'ambition pour faire ce que nous devons faire", a-t-il déploré.

Ainsi, "nous devons arrêter la déforestation, restaurer les forêts détériorées et changer notre manière de cultiver". Il faut aussi revoir "la manière de chauffer, de refroidir et d'éclairer nos bâtiments pour gaspiller moins d'énergie".

Antonio Guterres a rappelé qu'il organisera à l'ONU un sommet mondial sur le climat en septembre 2019, soit un an avant l'échéance imposée aux signataires de l'accord de Paris de 2015 pour s'acquitter de leurs engagements.

©️ 2018 AFP

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Ces objets du quotidien qui nuisent insidieusement à la planète[/size]

  • Par  Messagers de l’apocalypse écologique?  Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> Mathilde Golla 
     

  • Publié le 26/09/2018 à 18:36


FIGARO DEMAIN - Appareils électroménagers, téléphones, vêtements... L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie a calculé la pollution générée par les produits utilisés quotidiennement. La publication de ce bilan édifiant vise à inciter les Français à revoir leur consommation et à lutter contre la tendance au suréquipement.
De plus en plus de Français refusent de consommer des fraises en hiver pour, notamment, limiter leur bilan carbone. Mais la question se pose moins pour les objets du quotidien. Or un quart des émissions de CO2 des Français sont issues de la consommation des produits utilisés couramment, selon l'étude «la Face cachée des objets» menée par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe).
» LIRE AUSSI - Lutte contre l'obsolescence: un «indice de réparabilité» est-il vraiment utile? 
«Aujourd'hui, nous connaissons le bilan carbone des transports ou même de l'alimentation mais il y avait un angle mort sur la question de la fabrication de nos objets du quotidien. Nous avons donc mené une étude pour lever le voile sur cette question et connaître la quantité d'émissions de gaz à effet de serre produites par la conception des objets que nous utilisons tous les jours, de la phase d'extraction des matières premières à celle des transports en passant par la conception», explique Pierre Galio, chef du service consommation à l'Ademe.

2,5 tonnes d'objets dans la maison


L'agence a ainsi passé 45 catégories de biens à la loupe. Les conclusions sont édifiantes. «L'ensemble des équipements, meubles et électroménagers, présents dans la maison pèse en moyenne 2,5 tonnes. Pour fabriquer ces 2,5 tonnes d'équipements il a fallu mobiliser 45 tonnes de matières premières et le CO2 émis pendant tout le cycle de fabrication est de 6 tonnes», souligne l'Ademe. Autre enseignement de l'étude: «Hormis les équipements de la cuisine, et contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'usage de la plupart des objets utilisés au quotidien est moins néfaste à l'environnement que leur fabrication», indique Pierre Galio. Il cite «l'exemple d'une télévision dont la fabrication a occasionné l'émission de 350 kg de CO2 alors que son utilisation tout au long de sa durée de vie, générera l'émission de 60 kg de CO2».


«Mieux vaut privilégier l'usage des objets à leur accumulation»
Pierre Galio, chef du service consommation à l'Ademe.


Les consommateurs n'ont pas non plus conscience du poids des matériaux utilisés pour la fabrication de leurs objets. Par exemple, une machine à laver est composée, entre autres, de 37 kg d'acier, 18 kg de béton, 13 kg de plastique 2,7 kg d'aluminium et 1,4 kg de cuivre. Pour recueillir cette modeste quantité de cuivre, il a fallu déplacer 11,2 tonnes de roches pour l'extraire! De même pour l'acier, dont l'obtention nécessite le déplacement d'importantes quantités de roches. Ainsi, un simple four à micro-ondes de 13 kg «pèse» en réalité plus de 2 tonnes de matières premières, et la production de chaussures en tissu requiert 38 fois plus de ressources que leur poids final.

Pour une prise de conscience


La pollution générée par tous ces objets est d'autant plus importante que les Français sous-estiment le nombre d'objets qu'ils détiennent. «Les Français pensent posséder en moyenne 34 équipements électriques et électroniques par foyer ; ils en possèdent en réalité 99 en moyenne... et 6 d'entre eux ne sont pas utilisés», souligne l'Ademe. D'autant que, sans s'en rendre compte, ils consomment un peu plus d'objets chaque année depuis 50 ans, selon l'Insee.
» LIRE AUSSI - Comment et pourquoi ne rien acheter de neuf pendant un an 
Ainsi, l'Ademe tente de faire prendre conscience aux Français de la nécessité de moins consommer et de mieux orienter leurs achats. L'étude incite les consommateurs à ne pas se suréquiper, à se tourner vers des biens plus durables, éviter les équipements surdimensionnés (écrans de télévision et portables), prendre soin de leurs objets pour les faire durer et les revendre s'ils ne les utilisent plus. «Il faut privilégier l'usage des objets à leur accumulation, se poser la question de nos besoins avant d'acheter de nouveaux produits, se tourner vers des objets d'occasion ou la location quand c'est possible», souligne Pierre Galio. L'agence souhaite également inciter les fabricants à davantage «écoconcevoir» leurs produits, à l'image de Seb qui développe la réparabilité de ses produits ou la Camif qui privilégie les biens made in France. «Mais rares sont les grands constructeurs à être implantés en France», déplore Pierre Galio.

Josué

Josué
Administrateur


[size=48]L’humanité est en train de vivre ses derniers moments sur Terre


[/size]

Messagers de l’apocalypse écologique?  Cross@2x
[size=16]
RESTEZ CURIEUX. SUIVEZ NOUS !



La fin de la civilisation humaine incarne l’une des grandes craintes des spécialistes car c’est l’Homme lui-même qui en est responsable. La NASA s’est penchée sur la question et d’après ses analyses, ce n’est qu’une question de décennies avant que l’Homme ne disparaisse complètement. Cependant, nous pouvons encore agir pour changer cela.

UNE FIN PROGRAMMÉE ET PLUS PROCHE QUE L’ON NE LE PENSE ?

C’est une réalité : la civilisation humaine semble condamnée à disparaître. Si le constat a de quoi effrayer, il s’inscrit dans une logique qui s’est reproduit plusieurs fois au cours de notre histoire. Au cours des 5 000 dernières années, plusieurs civilisations avant nous ont disparu comme l’empire Romain ou les tribus précolombiennes. Et d’après la NASA, nous connaîtrons le même sort, mais à une échelle planétaire.
L’agence aérospatiale américaine a réalisé une étude sur le sujet, émettant des hypothèses quant à la disparition de la civilisation humaine. Loin de ce que l’on pourrait croire, elle pourrait survenir d’après leurs analyses dans seulement quelques décennies. Nous pourrions sans nous en rendre compte être témoins de la disparition de notre espèce.https://dailygeekshow.com/nasa-fin-civilisation/?utm_source=maplanete&utm_medium=e-mail&utm_campaign=MaPlanete_NL_Journaliere_20181015
[/size]

Josué

Josué
Administrateur

https://dailygeekshow.com/nasa-fin-civilisation/?

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Déperdition des coraux: «Au réchauffement climatique s’ajoutent aussi les pressions locales»[/size]

INTERVIEW Pendant deux ans et demi, «Tara» a sillonné le Pacifique pour prendre le pouls des récifs coralliens. Romain Troublé livre les premiers enseignements de cette mission inédite…

Propos recueillis par Fabrice Pouliquen
 
Publié le 27/10/18 à 13h35 — Mis à jour le 27/10/18 à 13h42



  • mai 2016. — FRED TANNEAU / AFP


  • 100.000 km parcourus, 70 escales dans 30 pays différents, 40 archipels étudiés, 36.000 échantillons prélevés… Pendant deux ans et demi, la goélette scientifique « Tara » a étudié les récifs coralliens du Pacifique.
  • Il reste encore un gros travail à faire en laboratoire. Mais la Fondation Tara dresse déjà des premières observations : aux Samoa ou dans la rivière des Perles, les coraux ont quasi disparu tandis qu’ils sont en bonne santé ailleurs.
  • « Au réchauffement climatique, qui cause le blanchissement des coraux, s’ajoutent des pressions locales qui font que des récifs ne récupèrent pas en certains endroits », analyse Romain Troublé, directeur général de la Fondation Tara.


Revoilà enfin «Tara». La goélette scientifique doit jeter l’ancre à 16h30 ce samedi à Lorient, son port d’attache. Voilà deux ans et demi qu’elle n’y avait plus pointé le bout de sa proue, préférant mettre le cap vers le Pacifique pour une vaste campagne scientifique. Vaste tant par la distance parcourue (100.000 km) que par l’objectif poursuivi : prendre le pouls des récifs coralliens, qui a connu des épisodes de blanchissement sévères ces dernières années.
Le retour de la goélette au bercail ne signifie pas pour autant que la mission « Tara Pacific » soit terminée. Il reste encore à analyser une bonne partie des 36.000 échantillons prélevés pendant ces deux années et demie. Un travail que Romain Troubléévalue à deux bonnes années encore. Mais le biologiste marin, directeur général de lafondation Tara expédition livre déjà à 20 Minutes les principales observations sur l’état de santé des coraux du Pacifique.




Dans quel état termine-t-on une mission scientifique de deux ans et demi comme celle de «Tara» ?


Forcément, oui, on est content d’arriver. En deux ans et demi, «Tara» a parcouru 100.000 km, fait 70 escales dans 30 pays différents, a étudié 40 archipels au cours de 2.677 plongées. Et donc prélevé 36.000 échantillons sur les récifs coralliens du Pacifique. Ce fut un vrai marathon. Certes, le cadre était magnifique, mais les conditions de navigation ne sont pas toujours faciles. Il y fait très chaud notamment. Mais je vous rassure tout de suite : aucun membre de cette expédition n’est resté les deux ans et demi sur le bateau. Des relèves étaient fréquemment assurées. Certains sont venus plusieurs fois mais ils restaient au maximum six mois à bord. En tout, 70 scientifiques de huit nationalités ont embarqué à bord de la goélette au cours de cette mission « Tara Pacific ».
Ce fut d’ailleurs une autre difficulté de cette campagne scientifique. Ces escales, ces relèves d’équipages, ces échantillons à prélever et à envoyer dans les labos ont nécessité une importante logistique. Cela fait beaucoup d’opérationnels et beaucoup de pression sur les équipes de la Fondation Tara restées à terre. Voilà pourquoi nous ne sommes pas mécontents que Tara en termine avec ces deux ans et demi de navigation. Mais ce fut une aventure fabuleuse, extrêmement riche.

Est-ce inédit une campagne scientifique de cette ampleur ?


Les campagnes scientifiques que nous avons l’habitude de voir durent généralement entre un et trois mois et se focalisent sur une zone précise du globe. A ma connaissance, « Tara Pacific » est la première mission à étudier l’état de santé des récifs coralliens à l’échelle d’un océan. Le point de départ de cette campagne était le constat dressé par des scientifiques d’importants épisodes de blanchiments des coraux sur tout le Pacifique, en particulier au niveau de la grande barrière de corail d’Australie, et causé a priori par une température anormalement élevée de l’eau. Cette décoloration est un premier phénomène de dépérissement de ces animaux. Ils n’en meurent pas automatiquement mais deviennent plus vulnérables aux autres stress. Le Pacifique avait ainsi connu un épisode sérieux de blanchissement du corail en 1998 et deux épisodes plus sérieux encore, coup sur coup, en 2016 et 2017. Avec cette mission « Tara Pacifique », nous voulions comprendre alors pourquoi des récifs coralliens blanchissent en certains endroits alors qu’ils sont en bonne santé ailleurs. Voilà pourquoi nous voulions mener cette mission scientifique à l’échelle de l’océan Pacifique. Il nous fallait analyser des récifs coralliens dans des environnements différents.

Quel bilan tirez-vous du coup de ces deux ans et demi d’observation ?


Il nous reste encore beaucoup de travail à faire en laboratoire pour analyser la totalité des 36.000 échantillons prélevés. Mais nous pouvons d’ores et déjà dresser des constats. Aux abords des îles de Chesterfield, un archipel de la Nouvelle-Calédonie, comme à Wallis-et-Futuna, nous avons trouvé des récifs coralliens quasi intacts. Ils ont pourtant eux aussi connu par le passé un épisode de blanchiment, mais ils ont récupéré. A l’inverse, aux Samoa ou dans la Rivière des Perles, au large de Hong-Kong en Chine, les récifs coralliens sont quasi tous morts. Ce qui est surprenant est qu’il n’y a parfois que quelques centaines de kilomètres entre une zone intacte et une zone très impactée sans qu’on puisse savoir toujours pourquoi. Au réchauffement climatique s’ajoutent très certainement des pressions locales qui font que des récifs coralliens ne parviennent plus à récupérer d’un épisode de blanchiment en certains endroits. Il s’agit par exemple le développement des littoraux, le non-traitement des effluents, les eaux usées notamment, la pollution plastique, la pêche qui continue en certains endroits à se faire à la dynamite… Autant inverser la courbe du réchauffement climatique prendra vraisemblablement des dizaines d’années, autant nous pouvons parvenir très rapidement à obtenir des résultats contre ces pressions locales. Via des programmes d’éducation et de formation, via aussi des décisions politiques fortes.

Avons-nous finalement peu de connaissance sur le fonctionnement des récifs coralliens ?


Il nous reste encore énormément de choses à découvrir en effet. Nous nous intéressons véritablement aux coraux depuis une cinquante d’années seulement et les outils technologiques qui nous permettent d’entrer finement dans l’analyse de ces récifs coralliens datent d’il y a six ans à peine. Tout cela est récent. En revanche, on connaît déjà bien l’importance écologique de ces récifs. Ce sont des oasis de vie. Ils abritent un tiers de la biodiversité marine. Ces coraux sont aussi d’une importance cruciale pour les îles qu’ils entourent. Ces barrières naturelles brisent les grosses vagues venues du large. Si les Tuvalu, des îles au ras de l’eau, n’avaient plus leurs barrières de corail, elles disparaîtraient de la carte. Et puis, ces récifs coralliens sont enfin de formidables atouts touristiques.

PLANÈTE

Réchauffement climatique: Le blanchissement des récifs coralliens s'accélère et inquiète les scientifiques

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 2]

Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum