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18 mai Lecture de la Bible : 2 Samuel 9-12

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Josué

Josué
Administrateur

Méphiboscheth se maria très jeune et eut un fils du nom de Mica. Il habita avec sa famille chez un certain Makir, un homme riche et influent de Lo-Débar, ville de Galaad. — II Sam. 9:4, 12; voir aussi II Samuel 17:27-29.
Puis le jour vint où le fils de Jonathan retint l’attention du roi David. Quand, après plusieurs années de règne, ce dernier eut bien assis sa royauté sur tout Israël, il accorda une grande attention au serment qu’il avait fait à son ami Jonathan (I Sam. 20:42). En souvenir de ce dernier, David éprouva le désir d’étendre sa bonté à quiconque resterait de la maison de Saül. C’est alors que Ziba, un ancien serviteur de Saül, lui parla de Méphiboscheth. David fit donc appeler sans tarder le fils de Jonathan, qui vint se prosterner humblement devant le roi. “Alors David dit: ‘Méphiboscheth!’ Et il dit: ‘Voici ton serviteur.’” Sans doute la voix de Méphiboscheth trahissait-elle quelque crainte, car David le rassura aussitôt par ces mots: “N’aie pas peur, car j’exercerai sans faute envers toi la bonté de cœur, à cause de Jonathan, ton père; et je dois te rendre tous les champs de Saül, ton grand-père, et toi, tu mangeras constamment le pain à ma table.” — II Sam. 9:1-7.
Pourquoi Méphiboscheth avait-il peur? Il ne faut pas oublier que son oncle, Isch-Boscheth, avait régné en rival du roi David et que, par conséquent, Méphiboscheth pouvait sembler avoir droit à la royauté. Comme les souverains orientaux avaient coutume d’assurer leur position en tuant tous les hommes susceptibles de devenir des rivaux, on comprend que Méphiboscheth ait pu craindre pour sa vie.
Quelle surprise ce dut être pour lui de se voir l’objet de la faveur du roi! Il fallait tout d’abord régler la question des terres qui avaient appartenu à Saül. Peut-être David les avait-il annexées lorsqu’il était devenu roi sur tout Israël ou d’autres en avaient-ils pris possession après la mort de Saül. Quoi qu’il en soit, David décréta que ces biens devaient revenir à l’héritier légal, Méphiboscheth. Mais ce n’était pas tout. Méphiboscheth allait recevoir une position honorifique à la cour du roi et aurait le privilège de manger régulièrement à sa table, faveur que l’on accordait généralement, non à des impotents, mais à des hommes qui s’étaient distingués par de hauts faits.
Plein de gratitude, Méphiboscheth se prosterna devant David et dit: “Qu’est-ce que ton serviteur pour que tu aies tourné ta face vers un chien mort tel que moi?” (II Sam. 9:Cool. En voyant la bonté de David, Méphiboscheth était confus. Il s’en estimait profondément indigne. D’ailleurs, en se comparant à un “chien mort”, il montrait qu’il était conscient de se trouver dans la plus basse des conditions.

Josué

Josué
Administrateur

TSIBA
Le serviteur de la maisonnée de Saül qui, interrogé par David, apprit à celui-ci l’existence de Mephibosheth, fils boiteux de Yonathân. David fit venir Mephibosheth à Jérusalem et chargea Tsiba, ses 15 fils et ses 20 serviteurs de prendre soin de l’héritage de Mephibosheth (2S 9:2-12 [l’expression “ ma table ” au verset 11 est généralement considérée comme une erreur de scribe, l’expression correcte étant “ la table de David ” ; une autre possibilité est que Tsiba ait répété exactement les paroles de David]). Quand David se sauva de Jérusalem à cause de la rébellion d’Absalom, Tsiba lui apporta des provisions et des animaux dont il avait grand besoin, mais il ne prit pas avec lui Mephibosheth, qui pourtant voulait venir. Il dit à David que Mephibosheth était resté délibérément à Jérusalem dans l’espoir de recouvrer la royauté pour la maison de Saül. Sans se renseigner davantage, David réagit en donnant à Tsiba les biens de Mephibosheth. — 2S 16:1-4.
Quand David revint à Jérusalem après que la rébellion eut été réprimée, Tsiba fut parmi les premiers à l’accueillir. Ensuite, Mephibosheth vint à la rencontre de David, lui souhaita la bienvenue et l’informa de la fourberie et des calomnies de Tsiba. À la lumière de ces faits nouveaux, David ordonna alors que les biens soient partagés entre Mephibosheth et Tsiba. Toutefois, Mephibosheth déclara : “ Qu’il [Tsiba] prenne même le tout, maintenant que mon seigneur le roi est revenu en paix dans sa maison. ” — 2S 19:17, 24-30.

Josué

Josué
Administrateur

L’importance du port de la barbe et des soins à lui réserver fut un facteur qui influença la réaction d’Akish, roi de Gath, envers David, quand celui-ci déguisa sa raison en laissant sa salive couler sur sa barbe. Cela contribua à convaincre le roi Akish que David était fou (1S 21:13). Par la suite, quand Hanoun, roi d’Ammôn, insulta scandaleusement les ambassadeurs de David en leur coupant la moitié de la barbe, David compatit et leur dit de rester à Jéricho jusqu’à ce que leur barbe ait repoussé en abondance. Les Ammonites savaient que c’était le comble de l’insulte pour David et que cet incident les avait rendus fétides à ses yeux ; c’est pourquoi ils se préparèrent à la guerre. — 2S 10:4-6 ; 1Ch 19:1-6.

Josué

Josué
Administrateur

Après la défaite des Syriens que les Ammonites avaient pris à leur solde pour combattre David, Hadadézer renforça ses troupes en enrôlant d’autres Syriens de la région de l’Euphrate (2S 10:6, 15, 16 ; 1Ch 19:16). C’est peut-être ce à quoi fait allusion 2 Samuel 8:3 (voir aussi 1Ch 18:3), qui semble montrer que Hadadézer s’efforçait de rétablir son pouvoir sur l’Euphrate. À ce sujet, le Commentary de F. Cook fait remarquer que, littéralement, l’expression hébraïque signifie “ faire retourner sa main ”, et il ajoute : “ La portée véritable de cette métaphore doit [...] être déterminée par le contexte. Si, comme cela paraît hautement probable, ce verset se rapporte aux événements décrits de façon plus détaillée [en 2S 10:15-19], le sens de l’expression qui nous intéresse doit être : Quand il (Hadadézer) vint pour réitérer son attaque (contre Israël), ou pour recruter ses troupes contre Israël, près du fleuve Euphrate. ”

Josué

Josué
Administrateur

. Père de Bath-Shéba, la femme d’Ouriya que prit ensuite David (1Ch 3:5). En 2 Samuel 11:3, il est appelé Éliam, nom qui est une simple transposition des constituants du nom Ammiël et qui signifie “ Dieu du peuple ”. Il était peut-être le fils d’Ahithophel, le Guilonite, qui fut le conseiller de David, mais qui le trahit ensuite. — 2S 23:34 ; 15:31.

Josué

Josué
Administrateur

● Dans la Traduction du monde nouveau, le texte de II Samuel 11:4, 5, se lit comme suit : “David envoya des messagers pour qu’il pût la prendre [Bath-Schéba]. Elle vint donc vers lui et il coucha avec elle, alors qu’elle se sanctifiait de son impureté. (...) Et la femme devint enceinte.” Cette “impureté” concerne-t-elle sa menstruation et, si c’est le cas, comment Bath-Schéba a-t-elle pu devenir enceinte à ce moment-là ?
La Bible ne précise pas pour quelle impureté Bath-Schéba s’est sanctifiée. Cela pouvait concerner sa menstruation, ou un écoulement, ou encore quelque chose d’autre qui la rendait impure. Certains traducteurs ont même rendu ce texte de sorte qu’il suggère qu’elle s’est sanctifiée de l’impureté qui résulta de ses relations avec David. La Bible Segond rend ainsi le texte : “Elle vint vers lui, et il coucha avec elle. Après s’être purifiée de sa souillure, elle retourna dans sa maison.” D’après cette traduction, Bath-Schéba s’est conformée à la loi consignée dans Lévitique 15:18, savoir : “Si une femme a couché avec un tel homme, ils se laveront l’un et l’autre, et seront impurs jusqu’au soir.”
Quoi qu’il en soit, si Bath-Schéba s’est sanctifiée de son impureté en raison de sa menstruation, elle pouvait néanmoins devenir enceinte. Selon Lévitique 15:19, 29, une femme qui était en période de menstruation était impure pendant sept jours (à compter du début de ses menstrues) et devait se sanctifier le huitième jour. Pour ce qui est de savoir si une femme peut devenir enceinte le huitième jour, cela dépend de son cycle dont la longueur varie selon les femmes. Si Bath-Schéba avait un cycle menstruel compris entre vingt et un et vingt-six jours, elle a pu devenir enceinte le huitième jour. Par exemple, une femme ayant un cycle menstruel de vingt et un jours peut devenir enceinte si elle a des relations avec un homme entre le troisième jour et le dixième jour (à compter du début de ses menstrues).
● Durant la Seconde Guerre mondiale, dans certains camps de concentration allemands où n’étaient emprisonnées que des femmes, des chrétiennes vouées ont baptisé d’autres femmes. Ainsi, une chrétienne relate qu’après être parvenue à la connaissance de la vérité dans un camp de concentration et s’être vouée à Jéhovah, elle a été baptisée par une chrétienne. Un tel baptême est-il valable ?
Le récit biblique n’indique pas que des femmes aient procédé à des baptêmes. En revanche, il fournit des exemples d’hommes voués qui en ont baptisé d’autres (Mat. 3:13-17 ; Jean 4:2 ; Actes 8:38). La Parole de Dieu ne nous permet pas de dire qu’un baptême accompli par une sœur est acceptable. Dans le cas susmentionné, la sœur aurait dû être baptisée par un frère voué, conformément aux exigences de la Bible.
Toutefois, cela ne signifie pas que l’offrande de soi faite par cette sœur dans un camp de concentration n’est pas valide. Le seul fait qu’elle serve toujours Jéhovah des années après avoir été libérée de ce camp indique qu’elle comprenait ce qu’elle faisait et qu’elle s’était vraiment vouée à Dieu. La date de son baptême dans ce camp peut donc être considérée par elle comme la date de l’offrande de sa personne à Dieu.
Si une personne parvient à la connaissance de la vérité alors qu’elle se trouve en prison ou en tout autre lieu où il n’y a pas de chrétien voué ou en mesure de procéder à un baptême et qu’elle souhaite se vouer à Jéhovah, que peut-elle faire ? Dans Romains 10:10, nous lisons : “Avec le cœur on exerce la foi pour la justice, mais avec la bouche on fait la déclaration publique pour le salut”. Une femme croyante peut se tourner vers Jéhovah dans la prière et lui faire l’offrande de sa personne. Elle peut ensuite faire la déclaration publique de sa foi et faire connaître aux sœurs vouées qui sont présentes qu’elle a ‘exercé la foi dans son cœur’ et qu’elle attend la première occasion de se faire baptiser par un frère. Jéhovah sonde les cœurs (Prov. 17:3 ; 21:2), et il est certain que la condition de cœur d’une telle femme la conduira au salut. Dans le cas de Corneille et de sa maison, leur condition de cœur fut manifestement reconnue par le ciel, car l’esprit saint tomba sur eux avant qu’ils ne soient baptisés. Six frères circoncis de Joppé, qui avaient accompagné Pierre en cette occasion, ne pouvaient rien objecter quand celui-ci a ordonné que ces premiers croyants gentils, qui avaient reçu l’esprit saint, fussent baptisés. — Actes 10:44-48.
De même, un homme se trouvant en prison peut apprendre la vérité et faire l’offrande de sa personne d’une manière tout à fait valable, même si, malgré la présence de frères voués, il ne peut être baptisé à cause de l’absence d’une pièce d’eau appropriée (Jean 3:23 ; Actes 8:36). Il pourra, lui aussi, procéder de la manière expliquée ci-dessus.
Il y a donc une possibilité tant pour les hommes que pour les femmes qui ne peuvent être baptisées parce que les circonstances ne le permettent pas ou parce qu’il n’y a pas d’homme voué. En faisant l’offrande de sa personne d’une manière valide et en l’indiquant devant d’autres chrétiens voués présents, une telle personne, homme ou femme, est désormais reconnue comme vouée. Cependant, selon la Bible, il ne semble pas convenable qu’une sœur procède à un baptême.
À ce propos, remarquons encore qu’un baptême peut être fait par un chrétien voué même s’il n’y a pas d’autre témoin présent. On peut citer des précédents bibliques : les cas de Jésus et de l’eunuque éthiopien, par exemple. Puisqu’une prière est offerte avant de procéder au baptême, il y a toujours des témoins célestes.
Il faut toujours garder présent à l’esprit que ce qui compte le plus, c’est d’accomplir son vœu après avoir fait l’offrande de sa personne.

Josué

Josué
Administrateur

Jéhovah envoie le prophète Nathân vers David (verset 1). Sous l’impulsion de l’esprit saint, Nathân s’adresse au roi avec beaucoup de tact ; il doit peser ses mots. Parviendra-t-il à ôter le voile qui aveugle le cœur de David et l’empêche de voir la gravité de ses péchés ?
Pour éviter que David ne se mette sur la défensive, Nathân lui conte une histoire, qui ne peut que toucher le cœur de ce roi qui avait été berger. Celle-ci met en scène deux hommes, un riche et un pauvre. Le riche avait des “ moutons et des bovins en très grand nombre ”, mais le pauvre n’avait qu’“ une agnelle ”. Un visiteur arrive chez le riche. Ce dernier veut lui offrir un repas. Au lieu de se servir dans son propre troupeau, il s’empare de l’agnelle de l’homme sans ressources. David croit manifestement que l’histoire est réelle. Outré, il s’exclame : ‘ Il mérite de mourir, l’homme qui a fait cela, parce qu’il n’a pas eu pitié ! ’ — Versets 2-6.
L’histoire de Nathân a atteint son but, car sans le savoir David s’est condamné. Nathân lui dit alors franchement : “ Cet homme, c’est toi ! ” (Verset 7). Maintenant, le prophète parle ouvertement de la part de Dieu, qui à l’évidence a été offensé par le comportement de David. En transgressant les lois de Dieu, David a en fait manqué de respect envers l’Auteur de ces lois. “ Tu m’as méprisé ”, lui dit Dieu (verset 10). Cette réprimande a l’effet d’une flèche dans le cœur du roi, qui confesse : “ J’ai péché contre Jéhovah. ” Nathân certifie alors à David que Jéhovah lui pardonne, mais le roi devra subir les conséquences de ses péchés. — Versets 13, 14.
C’est dans ces circonstances que David a écrit le texte que nous trouvons dans nos bibles au Psaume 51. Dans ce psaume, le roi épanche son cœur, révélant ainsi la sincérité de son repentir. Par ses péchés, David a méprisé Jéhovah. Toutefois, après avoir vu le pardon divin s’exprimer dans toute sa beauté, le roi contrit peut à juste raison dire à Jéhovah : “ Un cœur brisé et broyé, ô Dieu, tu ne le mépriseras pas. ” (Psaume 51:17). N’est-ce pas là l’une des plus belles assurances qui puissent être données à un pécheur repentant ?

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