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4 mai Lecture de la Bible : 2 Samuel 1-3

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Josué

Josué
Administrateur


4 mai Lecture de la Bible : 2 Samuel 1-3
*** si p. 59-60 Livre de la Bible numéro 10 — 2 Samuel ***
Écrivains : Gad et Nathân
Lieu de composition : Israël
Fin du travail de composition : vers 1040 av. n. è.
Période qu’embrasse le texte : 1077-vers 1040 av. n. è.
LA DÉFAITE de Guilboa et les incursions des Philistins vainqueurs qui s’ensuivirent avaient plongé la nation d’Israël dans le désespoir. Les guides d’Israël et les meilleurs de ses jeunes hommes étaient morts. C’est dans ce contexte que David, jeune “ oint de Jéhovah ” et fils de Jessé, fit son entrée sur la scène nationale (2 Sam. 19:21). Ainsi commence le livre de Deux Samuel, qui pourrait bien être appelé le livre de Jéhovah et de David. Le récit est riche en événements de toutes sortes, passant des plus cuisantes défaites aux plus glorieuses victoires, de la détresse d’une nation déchirée par les querelles à la prospérité d’un royaume uni, de la vigueur de la jeunesse à la sagesse de la vieillesse. Ce livre relate la vie de David, qui a cherché à suivre Jéhovah de tout son cœur. Cette histoire devrait inciter chaque lecteur à sonder son cœur, afin d’affermir ses relations avec son Créateur et d’être agréé par lui.
2 Le nom de Samuel ne figure même pas dans le deuxième livre qui porte son nom ; ce nom a vraisemblablement été donné au livre parce qu’à l’origine il formait un seul rouleau ou volume avec Un Samuel. Les prophètes Nathân et Gad, qui ont achevé la rédaction de Un Samuel, ont poursuivi leur travail d’écriture avec Deux Samuel (1 Chron. 29:29). Ils étaient tout à fait qualifiés pour cette tâche. Gad se trouvait aux côtés de David au temps où on le pourchassait en Israël comme un hors-la-loi, et, vers la fin des 40 années du règne de David, il collaborait toujours avec lui. C’est Gad qui prononça le jugement de Jéhovah sur David quand il manqua de sagesse en dénombrant Israël (1 Sam. 22:5 ; 2 Sam. 24:1-25). Quant au prophète Nathân, proche compagnon de David, il exerça son activité du vivant de Gad et même après la mort de celui-ci. Il eut le privilège de révéler l’importante alliance conclue par Jéhovah avec David, alliance pour un royaume éternel. C’est également lui qui, courageusement et sous l’inspiration divine, dévoila le péché grave commis par David avec Bath-Shéba et prononça la sentence (2 Sam. 7:1-17 ; 12:1-15). Ainsi, Jéhovah se servit de Nathân, dont le nom signifie “ [Dieu] a donné ”, et de Gad, dont le nom veut dire “ Bonne fortune ”, pour consigner le récit inspiré et utile de Deux Samuel. Ces historiens modestes n’ont pas cherché à demeurer vivants dans les mémoires, car rien n’est dit au sujet de leurs ancêtres ou de leur vie privée. Leur seul souci était de préserver le texte inspiré de Jéhovah Dieu à l’intention de ses futurs adorateurs.
3 Deux Samuel reprend le récit de l’histoire biblique après la mort de Saül, premier roi d’Israël, et le poursuit jusque vers la fin des 40 années de règne de David. Ce livre couvre donc la période comprise entre 1077 et environ 1040 av. n. è. Le fait qu’il ne rapporte pas la mort de David prouve que sa rédaction était achevée vers 1040 av. n. è., ou juste avant sa mort.
4 Nous reconnaîtrons que Deux Samuel appartient au canon de la Bible pour les mêmes raisons qui nous ont fait accepter Un Samuel. L’authenticité de ce livre est incontestable. La franchise même de ses écrivains, qui n’ont pas cherché à passer sous silence les péchés et les manquements du roi David, constitue en elle-même une preuve indirecte puissante.
5 Mais la preuve la plus convaincante de l’authenticité de Deux Samuel est la réalisation de ses prophéties, particulièrement celles relatives à l’alliance du Royaume conclue avec David. Dieu promit à ce roi : “ Ta maison et ton royaume seront stables pour des temps indéfinis ; ton trône s’établira solidement pour des temps indéfinis. ” (7:16). Même au déclin du royaume de Juda, Jérémie parla de la pérennité de cette promesse faite à la maison de David, disant : “ Car voici ce qu’a dit Jéhovah : ‘ Il ne sera pas retranché, en ce qui concerne David, un homme pour siéger sur le trône de la maison d’Israël. ’ ” (Jér. 33:17). Cette prophétie n’est pas restée sans effet, car par la suite Jéhovah a suscité de Juda “ Jésus Christ, fils de David ”, comme l’atteste clairement la Bible. — Mat. 1:1.

Josué

Josué
Administrateur

Ce livre nous montre d’abord David obtenant la royauté sur Juda pendant son séjour à Hébron (I-IV), puis son règne s’étendant sur tout Israël et son pouvoir arrivé à son apogée (IV-IX).

Nous y voyons ensuite les chutes par lesquelles ce grand roi s’attire les châtiments divins (X-XX).

Enfin suivent une série de suppléments (XXI-XXIV).

On voit de nouveau dans ce récit combien peu l’historiographie israélite cherche à idéaliser les héros de la théocratie et avec quelle franchise elle met en plein jour leurs fautes les plus graves.

I, 1-16. La nouvelle de la mort de Saül et de Jonathan.

— Nous trouvons ici un second récit de la mort de Saül. Le premier avait été présenté objectivement comme celui de l’auteur lui-même ; le second est mis dans la bouche d’un jeune homme qui cherche évidemment son intérêt dans le rôle qu’il s’attribue, en contradiction avec le premier récit. On ne peut donc douter que les différences entre le second récit et le premier ne doivent être mises sur le compte du jeune Amalékite qui espérait être richement récompensé.
bible annotée.

Josué

Josué
Administrateur

le mot grec philia, qui désigne l’affection (sans aucune connotation sexuelle) entre amis, deux femmes ou deux hommes mûrs par exemple. Nous en avons un excellent exemple dans l’amour que David et Jonathan éprouvaient l’un pour l’autre. Lorsque Jonathan fut tué à la guerre, David le pleura en ces termes: “Je suis dans l’angoisse pour toi, mon frère Jonathan, tu étais pour moi plein de charme. Ton amour était pour moi plus merveilleux que l’amour des femmes.” (2 Samuel 1:26). Nous apprenons aussi que le Christ était particulièrement attaché à l’apôtre Jean, qui est connu comme le disciple “pour qui Jésus avait de l’affection”. — Jean 20:2.

Josué

Josué
Administrateur

On peut considérer que la psalmodie est à mi-chemin entre le chant et la parole. L’accent y est mis sur le rythme, tandis que le ton est plutôt monotone et répétitif. Alors que la psalmodie demeure assez en vogue dans certaines grandes religions du monde, dans la Bible son usage était limité aux chants funèbres. Ainsi, David chanta un chant funèbre sur la mort de son ami Yonathân et sur celle du roi Saül (2S 1:17 ; 2Ch 35:25 ; Éz 27:32 ; 32:16). La psalmodie n’est préférable à la mélodie de la musique ou à la modulation et à l’accentuation du simple discours que pour un chant funèbre ou une lamentation.

Josué

Josué
Administrateur

ISH-BOSHETH
(Homme de Honte).
Sans doute le plus jeune fils de Saül, son successeur sur le trône. Les listes généalogiques indiquent qu’il portait aussi le nom d’Eshbaal, lequel signifie “ Homme de Baal ”. (1Ch 8:33 ; 9:39.) Toutefois, dans d’autres endroits, comme en Deux Samuel, il est appelé Ish-Bosheth, nom dans lequel “ Bosheth ” remplace “ Baal ”. (2S 2:10.) On rencontre le terme hébreu boshèth en Jérémie 3:24, où il est traduit par “ chose honteuse ” (MN) ou “ honte ”. (CT ; Da ; Od.) Dans deux autres passages, baʽal et boshèth se trouvent en parallèle et en apposition, de sorte que l’un explique et définit l’autre (Jr 11:13 ; Ho 9:10). Dans d’autres exemples encore, le terme “ Bosheth ” ou une de ses formes se substitue à “ Baal ” dans des noms de personnages. Par exemple, “ Yeroubbésheth ” pour “ Yeroubbaal ” (2S 11:21 ; Jg 6:32) et “ Mephibosheth ” pour “ Merib-Baal ”, ce dernier étant un neveu d’Ish-Bosheth. — 2S 4:4 ; 1Ch 8:34 ; 9:40.
On ne connaît pas la raison d’être de ces noms doubles ou de ces substitutions. Une des théories avancées par des spécialistes tente d’expliquer la dualité des noms par un changement apporté lorsque le nom commun “ baal ” (propriétaire, maître) en vint à désigner particulièrement Baal, le répugnant dieu cananéen de la fertilité. Toutefois, le même livre biblique de Deux Samuel, où figure le récit concernant Ish-Bosheth, rapporte que le roi David lui-même appela un lieu de bataille Baal-Peratsim (qui signifie “ Propriétaire des Brèches ”) en l’honneur du Seigneur Jéhovah, car il dit : “ Jéhovah a fait une brèche chez mes ennemis. ” (2S 5:20). D’autres pensent que le nom Ish-Bosheth était peut-être prophétique, annonçant la mort honteuse que connaîtrait le personnage et la fin désastreuse de la dynastie de Saül.
Après la mort de Saül et de ses autres fils sur le champ de bataille à Guilboa, Abner, parent de Saül et chef de son armée, emmena Ish-Bosheth de l’autre côté du Jourdain à Mahanaïm, où il fut fait roi sur toutes les tribus à l’exception de Juda, qui reconnaissait la royauté de David. À cette époque, Ish-Bosheth avait 40 ans, et il est dit qu’il régna deux ans. Puisque la Bible ne précise pas à quel moment ces deux années de règne se situent dans la période de sept ans et demi où David régna à Hébrôn, il est impossible de résoudre les divergences d’opinions qui séparent les biblistes sur cette question. Malgré tout, il semble plus raisonnable de penser qu’Ish-Bosheth fut fait roi peu après la mort de son père (et non cinq ans plus tard) ; dans ce cas, un intervalle d’environ cinq ans dut s’écouler entre son assassinat et le moment où David fut fait roi sur tout Israël. — 2S 2:8-11 ; 4:7 ; 5:4, 5.

Josué

Josué
Administrateur

Finalement, les armées des deux rois rivaux se rencontrèrent dans une épreuve de force à la piscine de Guibéôn, sur le territoire de Benjamin, à environ un tiers du chemin entre Hébrôn et Mahanaïm. Après que les deux armées se furent jaugées, Abner proposa un combat qui opposerait 12 jeunes guerriers de chaque camp. L’équilibre des forces était tel que les adversaires s’exterminèrent mutuellement, ce qui provoqua l’affrontement général des deux armées. Pour chaque soldat de Yoab tué, l’armée d’Abner en perdit 18 ; en fin de compte, elle battit en retraite vers le désert. — 2S 2:12-17, 30, 31.
Abner fut poursuivi par Asahel, frère de Yoab, qui courait vite. Il lui enjoignit à plusieurs reprises de tourner son attention ailleurs, afin d’éviter un combat qui lui coûterait la vie. Mais comme Asahel refusait d’obtempérer, Abner le frappa d’un puissant revers avec le talon de sa lance, qui lui transperça l’abdomen et le tua (2S 2:18-23). À la tombée de la nuit, sur les instances d’Abner, Yoab ordonna de mettre fin à la poursuite d’Israël, et les deux armées se retirèrent en direction de leurs capitales respectives. On peut se faire une idée de la résistance de ces hommes quand on considère que l’armée d’Abner parcourut alors au moins 80 km à pied. Il lui fallut descendre dans le bassin du Jourdain, traverser le fleuve à gué, puis remonter de l’autre côté jusqu’aux collines de Guiléad pour atteindre finalement Mahanaïm. Après avoir enterré Asahel à Bethléhem (peut-être le lendemain), les hommes de Yoab firent une marche de plus de 22 km, qui dura toute la nuit, à travers les montagnes jusqu’à Hébrôn. — 2S 2:29-32.

Josué

Josué
Administrateur

Abner se trouvait à la citerne de Sira quand les messagers de Yoab le firent revenir à Hébrôn, où il fut tué par la suite (2S 3:26, 27). Sira correspond peut-être à ʽAïn Sara, source ou puits à environ 2,5 km au N.-O. de Hébrôn. Josèphe affirme que Sira, qu’il nomme Bésira, était à 20 stades (env. 4 km) de Hébrôn. — Antiquités judaïques, VII, 34 (I, 5).

Josué

Josué
Administrateur

3:29 — Que faut-il comprendre par l’expression “ homme saisissant le fuseau qui tourne ” ? Traditionnellement, c’étaient les femmes qui tissaient. Par conséquent, cette expression désigne peut-être des hommes qui étaient inaptes aux activités telles que la guerre, et donc obligés d’effectuer un travail confié normalement à une femme.

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