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L'ATTITUDE DU JUDAISME FACE A LA MORT

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Josué

Josué
Administrateur

[*][size=undefined]L'ATTITUDE DU JUDAISME FACE A LA MORT
[size=undefined]De tout temps, les questions de l'origine et de sa finalité hante l'individu[/size][size=undefined]Dans l'espoir d'y répondre, les humains se bâtissent des temples et des oratoires afin d'y célébrer les cultes qui apaiseront leurs angoisses existentielles.[/size][size=undefined]
Le monde s'apparente à une roue qui tourne, c'est la raison pour laquelle D.ieu
[/size][size=undefined]a donné au peuple juif des lois relatifs à la mort.[/size] [size=undefined]Dans l'espoir d'y répondre nous allons réfléchir sur la notion de mort dans le judaïsme pour en arriver ensuite aux différents rites relatifs aux morts.[/size]
 [/size]

[*][size=undefined]DEFINITION DE LA MORT :[size=undefined]
Si nous ouvrons un dictionnaire et que nous cherchons la définition de &laqno;mort » ont nous dit &laqno; fin de la vie humaine, décès ».A propos de la mort, la Bible se préoccupe surtout de deux questions :
[/size] [size=undefined]- Pourquoi l'homme doit-il mourir ?[/size][size=undefined]- Quel est le destin de l'homme après la mort ?[/size] [size=undefined]Pour répondre à la première question, nous nous référons à un passage dans la genèse ou D. ieu informe l'homme qu'il retournera à la poussière. Une autre allusion est faîtes lors de la faute d'Adam lorsqu'il mangea du fruit de la connaissance. 
A maintes reprises, la Tradition juive souligne le caractère éphémère de la vie. Le judaïsme ne se contente pas de constater les faits, elle va plus loin en nous expliquant notre vie de la manière suivante :
&laqno; Ceux qui naissent sont destinés à mourir, et ceux qui meurent sont destinés à vivre ?(Pirké Avoth 4/55).
[/size] [size=undefined]La mort dans le judaïsme n'est donc qu'une étape n'ayant rien de définitif. En effet, de la même manière que la mère donne naissance à son enfant, chaque être humain après son séjour plus ou moins long sur terre donne naissance à son âme en la libérant au terme de sa vie de toutes contingences physiques.[/size]  [size=undefined]De même que la mère est attentif aux soins de ses enfants, de même lorsque l'âme quitte se monde , elle doit retourner auprès de son créateur dans les meilleures conditions .[/size] [size=undefined]Le judaïsme ne prône pas le culte des morts, c'est la raison pour laquelle des lois sont établis, que nous étudierons par la suite.[/size] [size=undefined]Ainsi, les rites de deuil ne sont pas stériles, il conduisent l'homme à prendre conscience du sens éphémère de la vie, de la nécessité pour chacun d'essayer tout au long de sa vie de remplir sa mission en accomplissant les préceptes divins, de prendre conscience que les biens matériels, que les plaisirs de ce monde ne sont qu'éphémères, qu'il ne sont qu'illusions. Comme le souligne Rabbi Yaacov 
"le monde présent n'est que l'antichambre du monde futur, prépare toi dans le vestibule afin de pouvoir entrer dans le palais"
[/size]
 [/size]

[*][size=undefined]VIE ET MORT DANS LE JUDAISME :
[size=undefined]D'ores et déjà, nous pouvons nous poser la question suivantes : A quoi sert la vie puisque nous finirons par mourir ? . pour certains se seras avoir tout au long de sa vie, de l'argent, une belle maison, une bellePorsche, une réussite professionnelle, une reconnaissance.[/size] [size=undefined]Je ne dis pas qu'il ne faut rien posséder, à vrai dire, je n'ai jamais encore vue lors d'un enterrement un cercueil suivie par la maison, la voiture etc, la vie sert à s'attacher à l'Eternel, de se préparer aux mieux par le biais de sescommandements à entrer véritablement à la maison, car la véritable récompense nous seras donné dans le monde futur.[/size]  [size=undefined]Pour ceux qui ont déjà à une cérémonie d'inhumation ont pu entendre réciter par le Rabbin les versets suivants : &laqno; La mort sera un jour banni à perpétuité et l'Eternel essuiera les larmes de tous les visages et les morts ressusciteront (Isaie 26/18).[/size][size=undefined]Pour le moment, la mort est là, quoi que l'homme puisse faire, entreprendre, elle triomphe du riche comme du pauvre. 
Personne n'y échappe , la mort place chaque individu sur le même plan d'égalité. Ce qui compte c'est la préparation que l'homme aura réussit à entreprendre durant son séjour sur terre.
[/size][size=undefined]L'âme contrairement au corps reste éternelle, en effet le passage dans ce monde n'est pour l'âme l'occasion de s'affiner et de se parfaire. C'est ainsi qu'il faut accepter la maladie, la souffrance , les épreuves comme une occasion de se préparer à la vie future. Et de prendre conscience que la mort n'est pas une fin. Je dirais que la vie et la mort sont intimement liées même si elles sont opposés.[/size][size=undefined]Alors quel paradoxe ? ? et pourtant il y a vie et il y a mort. 
Le roi Salomon dans Koeleth écrit " Il y'a un temps pour vivre, il y'a un temps pour mourir..il y'a un temps pour rire il y'a un temps pour pleurer "
[/size][size=undefined]Dans le judaïsme nous avons la croyance la résurrection des morts, et en la vie éternelle.[/size][size=undefined]La valeur d'une vie ne se mesure pas à sa durée. Chaque être humain a été mis dans ce monde pour y accomplir une mission en rapport avec son âme. Que quelqu'un vive une heure ou 100 ans il a quelque chose à accomplir.[/size][size=undefined]Celui qui apprécie la vie comme un cadeau de Dieu appréciera chaque jour comme étant une ascension spirituelle.[/size][size=undefined]Dans cette perspective la mort n'est douloureuse que sur le plan affectif, par l'absence physique par le départ de l'être cher vers le grand voyage de l'âme vers sa source.[/size] 
 [/size]

[*][size=undefined]LES RITUELS MORTUAIRES [size=undefined]Règles relatives à l'agonisant[/size] [size=undefined]L'agonisant est considéré comme étant un être vivant à part entière. Voici quelques signes probables de la mort, la liste n'est pas exhaustive[/size][size=undefined]Lèvres blanches et froides, nez pincé, regard vitreux, mains et pied froids, râle, sueur froide et collante etc. En tout état de cause le diagnostic reste l'affaire du corps médical.[/size] [size=undefined]Tant que la mort n'est pas constaté, on soignera l'agonisant comme un être à part entière même si sa vie ne tient qu'à un fil. Il sera interdit de lui attacher les mâchoires, de lui ôter son oreiller, de l'effrayer, de crier, de pleurer devant lui, de parler de choses futiles, de parler des préparatifs de l'enterrement, on ne laissera pas un agonisant seul, aucune oraison funèbre sera prononcée[/size] [size=undefined]Au moment de son agonie, la personne s'élève spirituellement, c'est pourquoi on à l'usage d'appeler un rabbin pour assister l'agonisant, surtout pour dire des prières relatives à l'agonisant. Ceux qui se trouvent au chevet de l'agonisant doivent réveiller leur coeur au repentir.[/size] [size=undefined]C'est une grande Mitsva d'assister le mourant à ses derniers instants.
On veillera à ne pas le laisser mourir seul .
Dans le traité Chabbath, on considère le mourant comme une bougie en train de s'éteindre, qu'un homme mette le doigt dessus, elle s'éteint aussitôt. C'est pourquoi durant toute l'agonie, on veillera à ne pas toucher le mourant de peur de hâter sa mort, car on sera considéré comme un assassin. Pendant toute la durée de l'agonie, on récitera des Téhilims, et des paroles de Torah, pour accompagner l'âme qui &laqno; souffre » de quitter ce monde.
[/size] [size=undefined]Voici les psaumes que nous pourront lire dans la mesure du possible[/size] [size=undefined]PSAUMES : 16, 20, 22, 23, 24, 25, 30, 42, 43, 51, 67, 84, 91, 102, 103, 117, 118, 120, 121, 123, 130, 140, 141, 142, 143, 148, 149, 150.[/size] [size=undefined]Si l'agonie se prolonge, on peu réciter le psaume 91 sept fois[/size][size=undefined]Si on craint que le décès soit eminent on peu réciter les psaumes 121, 130 et 91.[/size][size=undefined]Nous avons également l'habitude de lire Chir Hachirim, Ygdal , Adom Olam Olam, Ana Békoa'h, Al ken Nékavé Lékha.[/size] [size=undefined]On se conformera à sa coutume concernant les prières avant le décès, on avisera une autorité rabbinique.[/size] [size=undefined]Tant que la personne est encore en vie, il seras interdit de faire des préparatifs concernant la toilette ; préparatif concernant l'enterrement, on ne prononcera pas d'oraison funèbre.[/size] [size=undefined]Nous verrons prochainement avec l'aide d'Achem le chapitre : Après le décès.[/size]
 [/size]

Josué

Josué
Administrateur

Etant semblables à des ombres, les morts ne jouissent, au « cheôl », que d'une vie diminuée, mais, à leur manière, ils y vivent cependant : quoique « sans forces », ils se meuvent et parlent (Esa 14 : 9) ; ils y conservent le souvenir de leur vie passée (1Sa 28: 17) et même, en un certain sens, ils y gardent leur caractère social :les rois y sont encore des rois (Esa 14 : 9) ; les héros guerriers y sont toujours des héros (Ezékiel, 32 : 21) et y portent, comme jadis, « leurs armes de guerre » (Eze 32:2) ; Pharaon y demeure Pharaon et ses .»sujets y demeurent ses sujets (Eze 32 : 32).



Mais un caractère essentiel de la vie présente disparaît dans le séjour des morts : les trépassés y sont à toujours séparés de leur Dieu. Cette triste persuasion explique la prière d'Ezéchias malade: que Yahvé prolonge sa vie et se conserve ainsi un fidèle adorateur, car « ce n'est pas le séjour des morts qui te loue, ce n'est pas la mort qui te célèbre ; ceux qui sont descendus dans la fosse n'espèrent plus en ta fidélité. Le vivant ! le vivant ! voilà celui qui te loue, comme je le fais aujourd'hui ! » (Esa 38 : 18,19). Yahvé règne sur Israël, sur la terre des vivants, mais non pas sur la demeure des morts.



Mais comme c'est un fait que la religion ne se limite jamais aux horizons terrestres et se préoccupe toujours, et souvent essentiellement, de la vie d'outre-tombe, on comprend que l'adoration d'un Dieu des seuls vivants n'ait pas suffi aux anciens Hébreux. Ceux-ci, dès qu'ils pensaient à la mort et à leurs morts, oubliaient donc, dans une certaine mesure, ce qu'on pourrait appeler la religion officielle et revenaient tout naturellement à cet antique culte des morts que l'on retrouve à l'origine de toutes les croyances primitives et que leurs ancêtres avaient si longtemps pratiqué avant eux. Ce culte s'est ainsi perpétué à côté du culte de Yahvé. Les morts, dans le « cheôl », sont des êtres divins, en quelque manière. La magicienne d'En-Bot, après avoir évoqué l'ombre de Samuel, dit à Saül : « Je vois un dieu qui monte de la terre » (1Sa 28 : 13). Si l'on évoquait les morts, comme on l'a fait en Israël jusqu'à une époque très tardive (Le 20 : 27), c'est bien qu'on leur attribuait une connaissance surnaturelle. Les coutumes du deuil (voir ce mot) conduisent celui qui les étudie à la même conclusion : la croyance populaire divinisait les trépassés.



Les prophètes luttèrent âprement contre ces conceptions et contre les usages qu'elles perpétuaient : « Si l'on vous dit Consultez ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l'avenir, qui poussent des sifflements et des soupirs, répondez Un peuple ne consultera-t-il pas son Dieu ? S'adressera-t-il aux morts en faveur des vivants » (Esa 8 . 19 ; comparez : 2Ro 21 : 6 ; Deutéronome 18 11 ; 2Ro 23: 24 ; Le 19 : 31 ; 20 : 6 et 27) ?



II. - Les résultats de cette lutte des prophètes contre tout ce qui rappelait le culte des morts se firent sentir graduellement et apparaissent aux yeux du lecteur attentif de la Bible quand il passe des écrits qui précèdent l'exil à ceux qui le suivent.

Josué

Josué
Administrateur

Le cycle juif annuel de la lecture biblique commence le shabbat qui suit directement les fêtes des tabernacles (Souccot) et de Simhat Torah (la joie de la Torah)


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