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Le judaïsme pour les nuls.

+3
chico.
Psalmiste
Josué
7 participants

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1Le judaïsme pour les nuls. Empty Le judaïsme pour les nuls. Sam 8 Fév - 18:09

Josué

Josué
Administrateur

Le judaïsme pour les nuls. 20140215

2Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Sam 8 Fév - 19:12

Josué

Josué
Administrateur

Le judaïsme pour les nuls. 20140216

3Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Sam 8 Fév - 19:21

Josué

Josué
Administrateur

Le judaïsme pour les nuls. 20140217

4Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Sam 8 Fév - 21:16

Psalmiste

Psalmiste

Je comprends pas pourquoi on dit que les juifs ne doivent pas prononcer le nom de Dieu, car il suffit de lire les psaumes, pour se rendre compte que les psalmistes prononcent à de nombreuses reprises le nom de Dieu !

Et jusqu'à preuve du contraire, les psalmistes étaient bien juifs !

chico.

chico.

Et de quel droit ont ils remplacer le tétragramme par Seigneur ?
La bible tu ne doit pas retrancher n'y rajouter.

samuel

samuel
Administrateur

C'est là tout le problème du nom de Dieu .il à été trifouillé.

Josué

Josué
Administrateur

Enlever le nom et le replacer par Seigneur n'est pas pas innocent. C’est un acte de désinformation !
En Droit, le nom est une appellation propre, un attribut incessible,
imprescriptible et protégé, de la personnalité qu’il désigne et identifie. l’entité agissante de la Bible est privée du droit,
élémentaire et fondamental, d’être identifiée sous son véritable nom. Ce n’est pas
correct. Mais ce qui l’est encore moins, c’est que le lecteur est privé du droit élémentaire et fondamental, de connaître le véritable nom de l’entité à laquelle il s’intéresse. Il y a tromperie !

8Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Jeu 18 Déc - 16:02

Josué

Josué
Administrateur

Calendrier juif.
http://www.calj.net/fetes

Josué

Josué
Administrateur


JUDAÏSME
Partir ou rester ? Le désarroi des juifs de France
Propos recueillis par Matthieu Stricot - publié le 04/01/2016

Depuis les attentats de janvier 2015, la communauté juive de France peut être tentée par l’alya, l’émigration vers Israël. Dans le Grand désarroi : enquête sur les juifs de France (1), Salomon et Victor Malka sillonnent les villes de France pour capter le ressenti de leurs coreligionnaires. Si le traumatisme est là, certains se battent pour défendre le vivre-ensemble. Salomon Malka témoigne.

DR
DR

Le Grand désarroi. Ce terme représente-t-il le sentiment des juifs de France ?

Nous avons réalisé notre enquête du lendemain des attentats de janvier, jusqu’à ceux du 13 novembre. Nous avons pu évaluer l’ampleur de ce désarroi, à travers différents segments du judaïsme français : les communautés juives, l’aspect politique, les intellectuels, le monde religieux... Nous ne nous étions pas trompés sur le diagnostic : le désarroi est grand, le mal est profond. Il y a des mutations, des bouleversements de toutes sortes. Même s’ils sont moins nombreux qu’on le dit, 6000 à 7000 juifs émigrent chaque année. Notamment de Toulouse, suite au choc de l’affaire Merah. D’autres communautés se déplacent, comme à Lyon, quittant le quartier de la Duchère pour Villeurbanne. Dans d’autres communautés, rien ne bouge, comme à Strasbourg. À Marseille, il n’y a pas véritablement de désarroi... Mais partout en province, on perçoit des tensions très vives. On a vu des juifs qui baissent les bras, des pessimistes, et des juifs qui se battent au jour le jour pour continuer à soutenir le vivre-ensemble.

Les attentats du début d’année, suivis de la marche du 11 janvier, représentent-ils un tournant ?

Le double choc de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher a été suivi par le sursaut du 11 janvier. On a eu l’impression qu’on ouvrait les yeux, que la République se mettait debout et défendait ses valeurs. On s’apercevait que les juifs n’étaient pas les seuls agressés, car on s’en prenait aussi à des journalistes et à des policiers. La République décidait de protéger l’ensemble de ses enfants. Les gens pensaient qu’on allait dépasser les frictions et prendre des décisions, que la droite et la gauche allaient faire front commun pour résister au désastre. Chose qui ne s’est pas produite, sauf en terme de sécurité. Mais tous les problèmes de fond – école, fractures de la laïcité, antisémitisme, radicalisation des jeunes – n’ont pas été pris à bras le corps. Malheureusement, quand nous avons terminé le livre, la génération de nos enfants a été prise pour cible, le 13 novembre. Les problèmes restent entiers aujourd’hui.

Le 31 janvier, le Premier ministre Manuel Valls affirmait que « la France sans les juifs n’est pas la France ». Vous répondez dans votre livre que le judaïsme sans la France ne serait pas le judaïsme non plus. Comment la France a-t-elle façonné le judaïsme ?

Je ne sais pas si la France sans les juifs serait la France ou pas, mais sans la France, il manquerait quelque chose d’essentiel au judaïsme. Il est inscrit dans l’Histoire du pays. De grandes figures s’y sont illustrées autant sur le plan religieux que dans la littérature, la philosophie, les arts, la science, avec des figures comme Rachi, René Cassin, Pierre Mendès-France, Alfred Dreyfus, Bernard Lazare, Emmanuel Lévinas, Romain Gary, Albert Cohen... Leur identité française est inséparable de leur dimension juive.

En 1967, après la Guerre de six jours, de nombreux intellectuels, enseignants ou simples hébraïsants ont fait leur alya. Qui sont ceux qui décident de partir en Israël aujourd’hui ?

À Jérusalem, nous avons rencontré Natan Sharansky, qui dirige l’Agence juive (2). Il est très fier de cette alya, car elle est très cultivée. Il ne s’agit pas d’une alya de gens qui fuient une quelconque persécution. Ces personnes ont librement décidé de partir, sans renier leur citoyenneté ni leur culture française. Ce sont souvent des juifs religieux, très attachés à Israël, ayant moins de difficultés avec la langue. Allons-nous passer dans une nouvelle phase, où des juifs moins structurés décideront de partir ? Je ne sais pas. Nous sommes encore dans le désarroi et l’interrogation. Un homme nous a confié que lorsqu’il amène ses enfants et vient les chercher à l’école, ceux-ci voient des militaires à l’entrée, matin et soir. Même chose le samedi, à la synagogue. Bien sûr, les militaires peuvent rassurer. Mais d’un autre côté, le père ne veut pas donner à ses enfants l’image d’un judaïsme sous la protection de l’Armée. On ne peut pas totalement lui donner tort. Espérons que l’état d’urgence, qui a commencé pour les juifs bien avant le 13 novembre, ne va pas durer éternellement.

Alors que la situation se dégrade dans de nombreux quartiers, comment faire pour maintenir le dialogue avec les musulmans ?

Toutes les religions sont amenées à se repositionner, à faire de la pédagogie. Le judaïsme autant que les autres. Il existe des fractures de la laïcité. Pourtant, la laïcité est une conquête pour nous tous. Il a fallu du temps, s’en accommoder, mais on s’y est fait. Malheureusement, nous sommes sortis de l’époque de la pluralité heureuse en France. Il faut ouvrir les yeux. On ne peut pas se contenter de tenir un discours de dialogue interreligieux, affirmant que tout va bien. Les religions, dont on a minimisé le poids, ont un rôle à jouer pour proposer des sorties de crise. Nous avons rencontré de jeunes psychologues juifs qui travaillent sur la formation contre la radicalisation et l’antisémitisme. Les djihadistes sont des fanatiques religieux. Ils instrumentalisent la religion, à travers des lectures littéralistes de l’islam. Cette affaire de djihadisme doit être réglée à l’intérieur de l’islam. C’est pourquoi nous avons essayé de mettre en lumière des figures d’intellectuels musulmans qui ont tenté de présenter un islam du dialogue, un islam éclairé : celui d’Abdelwahhab Meddeb, d’Abdennour Bidar... L’islam éclairé a vécu en bonne intelligence avec des chrétiens et des juifs pendant des siècles. Cet islam-là a un rôle crucial à jouer aujourd’hui.

Comment les musulmans de France peuvent-ils lutter contre la radicalisation ?

Il manque une représentation claire du culte musulman. Nicolas Sarkozy a tenté de le faire avec le Conseil français du culte musulman. Mais ce n’est manifestement pas une réussite, les intellectuels musulmans le reconnaissent. Il nous faudrait cependant des voix pour dire ce qu’est l’islam et ce qui ne l’est pas. Lorsque Napoléon Bonaparte a organisé le Sanhédrin en 1806-1807, il a pris des notables juifs et des rabbins, leur a posé douze questions, leur demandant leurs positions vis-à-vis du divorce, de la bigamie, etc. Ils y ont répondu. Il les a enfermés jusqu’à ce qu’ils trouvent un accord. Au sortir de cet accord a été créé le Consistoire, organisation représentative du culte. Certains proposent que l’on refasse le même schéma avec l’islam, comme l’a suggéré un ancien haut-fonctionnaire, sous le pseudonyme de Camille Desmoulins. Une proposition un peu naïve car, depuis Bonaparte, il s’est passé beaucoup de choses, parmi lesquelles la séparation de l’Église et de l’État. Néanmoins, c’est une piste. On aurait tort de l’écarter d’un revers de la main.



(1) Salomon Malka et Victor Malka, Le grand désarroi : Enquête sur les juifs de France, Paris, Albin Michel, janvier 2016.

(2) Créée en 1929 sous le nom d’Agence juive pour la Palestine, l’Agence juive est, depuis la création de l’État d’Israël en 1948, un organisme public du gouvernement. Elle est chargée de la propagande en faveur de l’immigration au sein de la diaspora, et de l’accueil des nouveaux immigrants en Israël.

10Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Ven 10 Fév - 15:00

Josué

Josué
Administrateur

Le judaïsme en Angleterre La place des juifs dans la société Les Juifs participent activement à la vie politique britannique. Au parlement, les Juifs représentent respectivement environ 3 % et 7 % des membres de la chambre des communes et de la chambre des Lords, alors qu’ils ne représentent que 0,5 % de la population. Michael Howard, chef du parti d’opposition aux dernières élections (les conservateurs), est juif. On pense souvent que les juifs britanniques exercent une certaine influence sur la vie publique, mais beaucoup de ses représentants estiment que l’influence de la communauté a beaucoup diminué. Bien que l’antisémitisme classique semble diminuer, on a assisté à une augmentation de l’hooliganisme et de la violence physique, les musulmans asiatiques étant responsables d’une part accrue des attaques contre les communautés juives locales. En 2004, un total de 532 incidents antisémites ont été rapportés par les services de sécurité de la communauté, contre 375 l’année précédente. L’hostilité envers Israël s’est transformée, aux yeux de nombreux commentateurs juifs, en un anti-sémitisme gauchiste. En 2005, l’association des professeurs d’université a décidé de boycotter les universités d’Israël, cette décision controversée est un exemple récent des actions qui soulève une certaine inquiétude. La journée britannique de commémoration de l’holocauste a eu lieu pour la première fois le 27 janvier 2001 et est désormais inscrite au calendrier national. Les principaux événements commémoratifs se déroulent à tour de rôle dans les grandes villes pour le 60ème anniversaire de la libération du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau en 2005, ils ont eu lieu à Londres. La reine, le premier ministre et d’autres personnalités de la vie publique ont pris part aux commémorations. Pour plus d’information, voir David Graham, L. D. Staetsky and Jonathan Boyd, Jews in the United Kingdom in 2013 : Preliminary findings from the National Jewish Community Survey, janvier 2014.

Read more / En savoir plus : http://www.eurel.info/spip.php?rubrique149&lang=fr

11Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Ven 9 Fév - 14:09

Josué

Josué
Administrateur

[size=36]Croissance du tourisme religieux en Terre Sainte[/size]

8 février 2018 par Cath.ch


Le judaïsme pour les nuls. Sans-titre-1Malgré la situation tendue, le nombre de pèlerins en Israël et en Terre Sainte a connu une forte croissante en 2017 et en janvier 2018, notamment grâce aux chrétiens évangéliques américains.
Le premier mois de 2018 a confirmé la forte croissance du tourisme religieux en Israël et en Terre Sainte, déjà constatée par les organismes gouvernementaux israéliens pour l’année 2017. Au début du mois de février, le Christian Information Center (CIC) de la Custodie franciscaine de Terre sainte a publié des données sur les pèlerinages montrant que la situation au Proche Orient n’a pas poussé les chrétiens à renoncer aux voyages en Terre Sainte. En janvier 2018, le CIC a ainsi enregistré 770 pèlerinages collectifs pour 26’000 pèlerins, contre 529 groupes enregistrés en janvier 2017 et 30 en janvier 2016.
Selon les données du ministère israélien du tourisme, l’année 2017 a vu arriver en Israël plus de 3,6 millions de touristes, chiffre qui représente un record absolu dans l’Etat d’Israël. De ce total, 54% étaient des chrétiens alors que 21,7% étaient des juifs. Parmi les pays de provenance, le plus grand nombre des touristes religieux venaient des Etats-Unis, avec en particulier la contribution des groupes chrétiens évangéliques envahissant Jérusalem à l’occasion de la fête juive de Soukkhot. On a  également enregistré une forte croissance des touristes chinois soit 139% depuis 2015.

En décembre dernier, Mgr Pierbattista Pizzaballa, administrateur apostolique du Patriarcat latin de Jérusalem et le Custode de Terre sainte, avaient diffusé un appel conjoint visant à rassurer les pèlerins et à les convaincre à me pas renoncer à visiter les Lieux Saints. Cela malgré les heurts et  violences à Jérusalem, après la décision de l’administration américaine de reconnaître la Ville Sainte comme capitale de l’Etat d’Israël. Le pèlerinage en Terre Sainte est sûr et les images à la télévision ne disent pas toute la vérité sur la beauté, la tranquillité et la sérénité à Jérusalem, avaient expliqué les prélats.
cath.ch/fides/mp

12Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Dim 10 Juin - 19:29

Josué

Josué
Administrateur

À la fin des années 60, on se passionne pour les kiboutzim ; on chante, on danse et on prie pour la paix à Jérusalem. Dalida est de la partie ; elle chante le vivre ensemble irénique du Psaume 133 : 
« Qu’il est doux, qu’il est bon pour des frères de vivre ensemble… » 

13Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Mar 6 Nov - 15:08

Josué

Josué
Administrateur

[size=32]Lisa Anteby-Yemini : « Les immigrants précédents n’ont jamais eu à prouver leur identité juive »[/size]


Propos recueillis par Catherine Dupeyron - publié le 06/11/2018
Au sein du judaïsme, les juifs éthiopiens constituent une branche tout à fait unique. Ces mardi et mercredi 6 et 7 novembre, ils célèbreront le Sigh à Jérusalem - l’occasion de revenir sur l’histoire difficile et exceptionnelle de cette communauté juive aux origines mystérieuses et sur le récent ouvrage que leur a consacré Lisa Anteby-Yemini, anthropologue au CNRS.
Le judaïsme pour les nuls. 7646_rea-240392-007_440x260


Du 6 novembre au soir au 7 novembre (soit 50 jours après Kippour), des milliers de juifs éthiopiens célèbrent à Jérusalem le Sigh, une fête spécifique à leur communauté. Ce jour de jeûne et de prière pour la reconstruction du Temple et en l'honneur de la montée en Israël, symbolise le don de la Torah sur le mont Sinaï et correspond donc à la fête de Shavouot dans le judaïsme rabbinique qui a lieu en mai-juin. Cette fête a été intégrée comme fête officielle dans le calendrier national en Israël en 2008. Un grand pas pour cette communauté qui représente un test pour le modèle d’intégration de la société israélienne.
Depuis les années 1980, l’assimilation des juifs éthiopiens est devenue un test pour le modèle d’intégration de la société israélienne. Dans Les Juifs d’Éthiopie de Gondar à la Terre promise *, Lisa Anteby-Yemini, anthropologue au CNRS, raconte l’histoire difficile et exceptionnelle de cette communauté juive aux origines mystérieuses, depuis les hauts plateaux de la Corne de l'Afrique jusqu'à leur alya en Israël.
 
Quelle est l’origine des juifs éthiopiens ?
Elle est incertaine. La mention d’un groupe juif en Éthiopie, les Ayhud, n’apparaît qu’au XIVesiècle dans les chroniques royales éthiopiennes. Il s’agit de populations des hauts plateaux qui se sont battues pendant des siècles contre les empereurs... 


14Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Lun 18 Mar - 17:42

Josué

Josué
Administrateur

Le Précis d’histoire biblique d’Israël conduit le lecteur sur le parcours de l’histoire du peuple d’Israël, ce peuple « suscité par Dieu en vue de la bénédiction de toutes les familles de la terre ». La période couverte par le Précis commence avec l’origine de l’humanité même – au livre de la Genèse – et s’achève avec la dernière révolte juive contre les Romains en 135 de notre ère. Le présent ouvrage, caractérisé par un respect sans réserve du texte biblique et par une prise en compte attentive de la science historique, répond à un besoin avéré en langue française où il est sans équivalent. Ce Précis sera apprécié par tous les « étudiants de la Bible », élèves à plein temps des instituts bibliques et chrétiens « laïques » prêts à se laisser enrichir par une étude méthodique de l’histoire biblique.
Brian Tidiman, diplômé de l’Institut Biblique de Nogent, professeur agrégé à la retraite, est docteur en théologie de l’Université de Strasbourg. Chargé d’enseignement dans les facultés et instituts bibliques d’Europe francophone depuis plusieurs années, il est l’auteur de plusieurs commentaires de l’Ancien Testament.

Table des matières :

  • Préface de l’auteur
  • Abréviations bibliographiques

[size]
Chronologie des principales étapes de l’histoire d’Israël
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]De la création à Abraham (datation problématique)
[*]Époque patriarcale (env. 2000-1600 av. J.-C.)
[*]Du séjour en Égypte à l’entrée en Canaan (1710?-1240?)
[*]Période des juges (env. 1230-1050)
[*]Débuts de la monarchie en Israël (v. 1050-931)
[*]Le royaume divisé (931-722)
[*]Le royaume de Juda face à l’impérialisme assyrien (722-609)
[*]Agonie du royaume de Juda (609-587)
[*]L’exil babylonien et un premier retour (partiel) (587-538)
[*]L’ère perse (539-333)
[*]La période hellénistique (333-167)
[*]Un siècle de quasi-indépendance : les Hasmonéens (167-63)
[*]La domination romaine (63 av. J.-C.-70 apr. J.-C.)
[/list]
[size]
Chapitre I. Introduction : L’histoire d’un peuple comme les autres ?
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Une histoire d’Israël : pour quoi faire ?
[*]Israël, membre du concert des nations
[*]« Un peuple qui a sa demeure à part » (Nb 23.9)
[/list]
[size]
Chapitre II. Le dessein du Créateur : les premiers temps de l’histoire de l’humanité
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Le livre de la Genèse : son propos, ses origines littéraires, sa structure
[*]Le traitement de l’histoire primitive de l’humanité (Gn 1-11)
[*]Création et chute (chap. 1-3)
[*]Les antédiluviens : d’Adam à Noé (chap. 4-5)
[*]Le déluge : acte de dé-création (chap. 6-9)
[*]La fin d’une ère : la tour de Babel (11.1-9)
[/list]
[size]
Chapitre III. Les patriarches
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Les ancêtres du peuple de l’alliance du Sinaï
[*]La vie spirituelle des patriarches
[*]La datation et l’historicité des récits des patriarches
[/list]
[size]
Chapitre IV. Les pères fondateurs (1) : Abraham et Isaac
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Abraham le migrant
[*]Abraham, l’homme de foi
[*]Isaac, le fils de la promesse
[/list]
[size]
Chapitre V. Les pères fondateurs (II) : Jacob et Joseph
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Jacob, ancêtre des Israélites
[*]Jacob, une vie faite de paradoxes
[*]Jacob, une carrière longue et variée
[*]L’éducation spirituelle de Jacob
[*]Jacob, la transmission de l’héritage (chap. 48-49)
[*]Joseph, un chef charismatique : ses rapports avec ses frères
[*]La famille élue en danger
[*]Joseph, sauveur de sa famille
[*]Le redressement spirituel et moral des élus
[*]L’annonce d’une ère nouvelle
[/list]
[size]
Chapitre VI. La sortie d’Égypte
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]La naissance d’une nation : une croissance rapide (Ex 1)
[*]La croissance menacée : l’hostilité des autorités envers Israël (1.8-22)
[*]L’apparition du libérateur (chap. 2-4)
[*]La manifestation de la puissance de Dieu : les dix plaies (5.1-12.36)
[*]La sortie d’Égypte et la traversée de la mer des Joncs (12.34-15.21)
[*]En route pour le Sinaï : la foi vacillante d’Israël (15.22-19.2)
[/list]
[size]
Chapitre VII. Un statut et une mission pour Israël : l’alliance du Sinaï
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Le calendrier du séjour du Sinaï
[*]Les préparatifs et la ratification de l’alliance (Ex 19.2-24.11)
[*]Le départ du Sinaï
[/list]
[size]
Chapitre VIII. En route pour la Terre promise : du Sinaï aux portes de Canaan
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]La présentation des événements dans le livre des Nombres
[*]L’armée de Dieu
[*]De nouvelles défaillances des élus (Nb 11-17)
[*]La fidélité du suzerain (Nb 22-36)
[/list]
[size]
Chapitre IX. L’entrée dans le Pays promis : la conquête de Canaan
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Une ère nouvelle
[*]La chronologie des événements
[*]La théologie de la conquête
[*]L’occupation du pays (1) : l’entrée en Canaan (Jos 1.1-5.12)
[*]L’occupation du pays (2) : les trois grandes campagnes de conquête (5.13-11.23; Jg 1)
[*]Le partage du pays (chap. 12-21)
[*]La vie exigée par le Suzerain de la nouvelle patrie (chap. 22-24)
[/list]
[size]
Chapitre X. Israël à l’époque des « juges »
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]La situation internationale à l’époque des juges
[*]Une conquête incomplète
[*]Le régime des « juges »
[*]Apport des livres des Juges et de Ruth
[*]Les principales phases de l’activité des juges
[*]Les héros nationaux (1) : Otniel, Éhoud, Chamgar, Débora et Baraq (Jg 3.7-5.31)
[*]Les héros nationaux (2) : Gédéon (et Abimélek) (chap. 6-9)
[*]Les héros nationaux (3) : deux chefs condamnés à une fin tragique, Jephté et Samson (10.6-16.31)
[/list]
[size]
Chapitre XI. L’instauration de la monarchie : Samuel et Saül
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Une documentation abondante
[*]La fin du gouvernement des « juges » : une ère de bouleversements
[*]La vocation particulière de Samuel
[*]Le règne de Saül, un premier règne avorté (1 S 13-31)
[*]La préparation du nouvel élu de Dieu
[/list]
[size]
Chapitre XII. L’apogée de la monarchie : David
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]David, une personnalité marquante du judéo-christianisme
[*]David, « un roi selon la pensée de Dieu » (cf. 1 S 13.14)
[*]Le règne de David : une première étape, Hébron (2 S 1-5)
[*]L’œuvre politique de David
[*]L’œuvre militaire : l’« empire de David »
[*]L’organisation administrative du royaume de David
[*]L’évolution spirituelle d’Israël sous David
[/list]
[size]
Chapitre XIII. L’apogée du royaume (suite et fin) : Salomon (v. 971-931)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Salomon, héritier de David
[*]Le règne de Salomon : la politique intérieure
[*]Le prestige de Salomon : une politique de constructions
[*]Salomon et les arts
[*]Salomon et la politique étrangère
[*]Le bilan du règne de Salomon
[*]Le schisme, conséquence du règne de Salomon
[/list]
[size]
Chapitre XIV. Le royaume du Nord (931-722)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Une instabilité chronique
[*]Les rapports avec Juda
[*]Le rôle joué par les prophètes
[*]La chute de Samarie et l’exil d’Israël (2 R 17)
[/list]
[size]
Chapitre XV. La lignée de David : Juda (931-722)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Stabilité politique et *institutions théocratiques
[*]Roboam (931-913) (1 R 14.21-31; 2 Ch 11-12)
[*]Abiya(m) (913-910) (1 R 15.1-8; 2 Ch 13)
[*]Asa (910-870) (1 R 15.9-24; 2 Ch 14-16)
[*]Josaphat (870-848) (1 R 22.1-51; 2 Ch 17-20)
[*]Yoram (853-841) (2 R 8.16-24; 2 Ch 21)
[*]Ahazia (841) (2 R 8.25-29; 9.16-29; 2 Ch 22.1-9)
[*]L’usurpation d’Athalie (841-835) (2 R 11; 2 Ch 22.10-23.21)
[*]Joas (835-796) (2 R 12; 2 Ch 24)
[*]Amatsia (796-767) (2 R 14.1-22; 2 Ch 25)
Ozias/Azaria (790-740) (2 R 15.1-7; 2 Ch 26)
[*]Yotam (751-732) (2 R 15.32-38; 2 Ch 27)
[*]Ahaz (735-716) (2 R 16; 2 Ch 28)
[/list]
[size]
Chapitre XVI. Le déclin de la théocratie : le royaume de Juda, d’Ézéchias à Josias (722-609)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Le contexte international
[*]Ézéchias (716-687) (2 R 18-20; 2 Ch 29-32; Es 36-39)
[*]Manassé (696-642) (2 R 21.1-18; 2 Ch 33.1-20)
[*]Amôn (642-640) (2 R 21.19-26; 2 Ch 33.21-25)
[*]Josias (640-609) (2 R 22.1-23.30; 2 Ch 34-35)
[*]Les verdicts prononcés sur les rois de Juda
[/list]
[size]
Chapitre XVII. La fin du royaume de Juda : les fils de Josias et la destruction de Jérusalem
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]L’agonie de la monarchie : les quatre derniers rois
[*]Première étape vers l’exil babylonien : de l’hégémonie égyptienne à celle des Babyloniens (609-605)
[*]La deuxième étape vers l’exil : l’attitude ambiguë de Yehoyaqim envers Nabuchodonosor (605-598)
[*]La troisième étape vers l’exil, une catastrophe annoncée (598-587)
[*]L’épilogue
[*]La voix des prophètes
[/list]
[size]
Chapitre XVIII. L’exil babylonien et le retour des exilés
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]L’éloignement des Israélites du pays promis à Abraham
[*]La terre de Palestine pendant l’exil babylonien
[*]L’évolution politique du Proche-Orient
[*]La fin de l’exil
[/list]
[size]
Chapitre XIX. Israël placé sous la domination des Perses (539-331)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]L’empire des Achéménides
[*]Une historiographie fragmentaire
[*]La nouvelle communauté politique
[*]La nouvelle communauté religieuse
[/list]
[size]
Chapitre XX. Israël dans le monde hellénistique (331-165)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]La période intertestamentaire
[*]Un événement majeur : l’arrivée sur la scène d’Alexandre III de Macédoine, dit « le Grand »
[*]La Palestine sous les Ptolémées (305-198)
[*]La Palestine sous les Séleucides (198-164)
[/list]
[size]
Chapitre XXI. L’illusion de la liberté : Israël sous les Hasmonéens (164-63)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]L’évolution de la Judée sous les Hasmonéens
[*]Une dynastie non-davidique, un sacerdoce non-tsadoqite
[*]L’état du judaïsme
[/list]
[size]
Chapitre XXII. Israël dans l’empire romain (à partir de 63)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]L’entrée en scène des Romains
[*]La famille d’Hérode
[/list]
[size]
Chapitre XXIII. Le judaïsme de la mort d’Hérode (4 av. J.-C.) au déclanchement de « la guerre juive » (66 apr. J.-C.)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]L’administration romaine
[*]L’évolution des tendances apparues au sein du judaïsme depuis l’exil babylonien
[*]Le judaïsme, Jésus de Nazareth et la naissance du christianisme
[*]Une tension croissante en Palestine
[/list]
[size]
Chapitre XXIV. De la « guerre des juifs » (66-70) à la révolte de Bar-Kochba (132-135)
[/size][list="box-sizing: border-box; margin: 7px 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]La guerre juive (66-70)
[*]Les conséquences de la guerre
[*]La perte de la Palestine : la révolte de Bar Kochba (132-135)
[*]Les conséquences de la défaite de Bar Kochba
[/list]


  • Lexique
  • Table des cartes et encadrés

15Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Ven 9 Aoû - 14:21

Josué

Josué
Administrateur

Faux messie.
https://www.jewbuzz.fr/top-12-des-preuves-que-albert-bitton-nest-pas-le-messie/

16Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Ven 25 Juin - 9:35

Josué

Josué
Administrateur

25.06.2021

Le judaïsme pour les nuls. 20210615

17Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Ven 25 Juin - 10:22

Lechercheur



Cela me fait penser aux marranes d''Espagne et du Portugal.
Juif ou descendant de juif d'Espagne ou du Portugal, converti au christianisme, mais resté secrètement fidèle aux croyances et aux pratiques juives ancestrales. Je puis me vanter de l'être [vieux chrétien], tout pauvre que je suis, quand il y a tant de gens plus riches que moi qui sentent le marrane (Mérimée,Mosaïque, Lettres Esp., 1833, p.323).Descendant de Siméon Lévy, l'un de ces marranes espagnols qui vinrent de Tolède à Bayonne après l'édit de tolérance d'Henri II, vers l'an 1550 (Vogüé,Morts,1899, p.25).V. infra ex. de Poliakov.
Rem. ,,L'appellation de marranes s'est récemment généralisée: on l'emploie à propos des juifs d'Union soviétique, qui subsistent tels sous un vernis marxiste-léniniste. On l'applique parfois également à des juifs ayant connu un destin comparable − une conversion forcée − en terre d'islam`` (Encyclop. univ. t. 19 1975, p.1219).
− Emploi adj. Relatif, propre aux marranes. Tradition marrane. De Pourim, les Marranes ne conservèrent que le jeûne d'Esther, dont le rituel juif fait très peu de cas, mais qui devint un thème central de foi marrane (L. Poliakov,De Mahomet aux Marranes,Paris, Calmann-Lévy, 1961, p.237).
− P. ext. Traître, renégat (cf. Vogüé, op. cit., p.31).
Prononc.: [maʀan]. Étymol. et Hist. 1. xves. marran, maran «juif ou Maure converti au catholicisme» (Valenciennes, ap. La Fons, Gloss. ms., Bibl. Amiens ds Gdf.); ca 1508 marrane (J. d'Auton, Chron. [ms. BN] 5082, fo13 voibid.); 2. 1557 marrane adj. p. ext. épithète injurieuse à Espagnol (O. de Magny, Souspirs, sonn. 149 ds Hug.); 1584 subst. «Espagnol» (Fr. d'Amboise, Les Neapolitaines, II, 8 ds Anc. théâtre fr., t. 7, p.285). Empr. à l'esp. marrano «porc» (965 ds Cor.), puis «juif ou Maure converti au catholicisme» (xiiies., ibid.), par sarcasme pour ceux-ci en raison de la répugnance qu'ils éprouvaient pour la viande de porc. L'esp. marrano est empr. à l'ar. maḥram (ar. d'Espagne maḥran) «ce qui est défendu, illicite» (en partic. dans le lang. relig.), dér. de ḥarama «défendre, prohiber, déclarer illicite; exclure, excommunier» (v. Cor.; FEW t. 19, pp.113-114). Bbg. Kidman (J.). Les Empr. lexicol. du fr. à l'esp. des orig. jusqu'à la fin du 1es. Paris, 1969, pp. 172-177.

18Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Sam 26 Juin - 17:52

papy

papy

Enquête sur une femme « portugaise » tuée par la foule à Saint‐ Jean‐de‐Luz en 1619 (extrait) Correspondance programmes : Quatrième, éducation civique. I Lʹexercice des libertés ; thème 1 : conquête progressive des libertés individuelles et collectives. Seconde E.C.J.S. Le citoyen et la justice. La justice garante des droits du citoyen. Mots clés notions : sacrilège, lynchage, juif Lieux : Saint‐Jean de Luz, place publique « A quatre heures nous nous acheminâmes vers la prison près du cimetière de lʹéglise dʹoù la Portugaise fut tirée et mise entre les mains des officiers de Bayonne et de Labourd, Ceux‐ci pour mieux éviter la rage et tumulte du peuple la firent conduire en la sacristie de lʹéglise où le Lieutenant particulier procéda à son audition, où nous assistâmes aussi. [Elle nous dit quʹ]elle avait nom Catherine de Farandea, quʹelle était veuve et âgée de cinquante ans où environ, native de la ville de Francose en Portugal habitant depuis un mois où environ dans ce lieu et professant depuis son enfance la religion chrétienne et catholique. [Elle nous répondit] que sʹétant présentée à la communion en compagnie dʹautres de sa nation, elle aurait craché la sainte hostie dans son mouchoir qui lui fut saisi incontinant par un prêtre et que le diable quʹelle nommait « el pecado » lui avait fait venir une toux qui la pressa si fort quʹelle fut contrainte de la cracher ainsi. Il se serait levé un grand bruit et tumulte dans lʹ église qui nous aurait poussé à sortir de la sacristie pour en savoir le sujet et empêcher quʹil ne sʹy commit des irrévérences, et aurions soudain aperçu tout lʹenclos de lʹéglise rempli de monde discutant les uns avec les autres à haute voix et confusément sur le sacrilège, commis par cette malheureuse. Et un peu après ceste malheureuse fut tirée de la sacristie […] toute la populace se rua sur elle, criant à haute voix, « la voici, la voici, » et le tocsin sonnant elle fut amenée vers la place publique. Et ensuite nous retirant vers le logis dʹArguibel […] passant par la place, [nous vîmes] grand feu environné de force peuple, auquel cette misérable fut brûlée toute vive chacun y apportant du bois et y accourant comme à un feu de joie. De cette violence nous fûmes bien marris et déplaisants, nous nous retirâmes chacun chez soi. Certains attribuaient cette émotion et fureur à lʹénormité du sacrilège exécrable de cette malheureuse. Et son exécution si précipitée, au zèle de Dieu et de la religion et à la crainte que ce peuple avait quʹétant absents vers les Terres‐neuves comme ils étaient sur le point de partir ce crime demeurât impuni. »
https://ent2d.ac-bordeaux.fr/disciplines/clesjustice64/wp-content/uploads/sites/19/2017/09/portugaise-prof.pdf

19Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Lun 28 Juin - 15:06

Josué

Josué
Administrateur

28.06.2021

Le judaïsme pour les nuls. 20210618

20Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Sam 7 Aoû - 14:36

Josué

Josué
Administrateur

Quelle différence entre Torah et Talmud ?



Le judaïsme pour les nuls. Images?q=tbn:ANd9GcRzwFX8BGiHC6q1C1pdGPV1UWFlZkCthBh-qE7wzqbmCA&s


Le Talmud contient l'histoire de la religion juive, ainsi que ses lois et ses croyances. C'est l'outil de base pour apprendre l'éthique derrière les coutumes de leur religion. La Torah, en revanche, est le mot hébreu pour «instruction». La Torah est connue sous le nom de «cinq livres de Moïse».

21Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Dim 8 Aoû - 6:56

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le Talmud est plus basé sur la tradition des sages juifs que sur la bible.

22Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Ven 11 Mar - 8:24

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Qui sont les juifs ultra-orthodoxes en France ? [/size]

Analyse
 

Les communautés juives haredim, souvent dites ultra-orthodoxes, sont très minoritaires en France. Le 31 janvier, une école appartenant à ce courant du judaïsme et située en Seine-et-Marne a été fermée, soupçonnée de dérives sectaires.



  • Juliette Paquier, 
  • le 08/03/2022 à 14:31




Le judaïsme pour les nuls. Sur-place-Trocadero-19-2014un-rassemblement-lappel-Crif_0



Sur la place du Trocadéro, le 19 mars 2014, pour un rassemblement à l’appel du Crif.VINCENT ISORE/IP3 PRESS/MAXPPP


Le 31 janvier dernier, 17 responsables d’une école juive ultra-orthodoxe de Seine-et-Marne étaient placés en garde à vue, après le signalement de dérives sectaires auprès de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, Miviludes. La police y a découvert une soixantaine d’enfants, étrangers, vivant en autarcie dans un château délabré, au milieu de la forêt pour suivre une stricte éducation religieuse.
→ À LIRE. À la yeshiva Beth Yossef, assurer la continuité de la vie juive
L’affaire

23Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Sam 28 Mai - 16:15

Josué

Josué
Administrateur

Souvent opposés, les Ashkénazes et les Séfarades sont tous fondamentalement des Juifs. Cependant, bien qu’ils soient issus du même peuple, des différences géographiques et culturelles parfois importantes les distinguent. Aujourd’hui, les Juifs ashkénazes sont sensiblement plus nombreux que les Juifs séfarades.

24Le judaïsme pour les nuls. Empty Re: Le judaïsme pour les nuls. Sam 11 Fév - 16:21

Josué

Josué
Administrateur

La Torah imaginait un monde en trois parties, avec les cieux (shamayim) au-dessus, la terre (eres) au milieu, et le monde souterrain (shéol) dessous. Après le IVe siècle av. J.-C., ce concept fut peu à peu remplacé par le principe cosmologie scientifique grec d'une terre sphérique entourée par de multiples cieux concentriques.

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