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Lecture de la Bible : Genèse 40-42

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1Lecture de la Bible :  Genèse 40-42 Empty Lecture de la Bible : Genèse 40-42 Lun 10 Mar 2014 - 7:45

Josué

Josué
Administrateur

10 mars Lecture de la Bible : Genèse 40-42
J. Duncan, dans son livre New Light on Hebrew Origins (1936, p. 174), écrit-il à propos de l’auteur du récit concernant Joseph : “ Il fait un emploi exact des titres authentiques en usage à l’époque dont il parle, et là où il n’y a pas de terme hébreu équivalent, il adopte tout simplement le mot égyptien et le transcrit en hébreu. ” Les noms égyptiens, la fonction de gérant domestique de Potiphar confiée à Joseph, les maisons d’arrêt, les titres de “ chef des échansons ” et de “ chef des panetiers ”, l’importance que les Égyptiens accordaient aux rêves, l’habitude des boulangers (panetiers) égyptiens de porter les corbeilles de pain sur la tête (Gn 40:1, 2, 16, 17), la fonction de premier ministre et d’administrateur des vivres que le pharaon accorda à Joseph, la façon dont il l’investit de cette fonction, l’horreur que les gardiens de moutons inspiraient aux Égyptiens, la forte influence des magiciens à la cour égyptienne, l’installation des Israélites dans le pays de Goshèn, les coutumes funéraires des Égyptiens, toutes ces indications et bien d’autres contenues dans la Bible sont clairement corroborées par les découvertes archéologiques faites en Égypte. — Gn 39:1–47:27 ; 50:1-3.

Josué

Josué
Administrateur

Quand on disait qu’on avait relevé la tête d’un homme, c’était parfois une manière symbolique d’indiquer qu’il avait retrouvé son rang ou qu’il était de nouveau en faveur. — Gn 40:13, 21 ; Jr 52:31.

Josué

Josué
Administrateur

voilà ce que dit la TOB.
C’était le geste par lequel un supérieur exprimait qu’il accordait son pardon à un subordonné prosterné devant lui

Josué

Josué
Administrateur

Ce culte polythéiste n’était pas bénéfique pour les Égyptiens ni ne les élevait, comme le fait remarquer l’Encyclopædia Britannica (1959, vol. 8, p. 53) : “ L’imagination classique et moderne leur attribue d’étranges mystères qui auraient renfermé sous forme occulte des vérités profondes. Certes, ils avaient des mystères, comme les Ashantis ou les Ibos [tribus d’Afrique]. Cependant, il est erroné de croire que ces mystères recelaient la vérité et qu’il y avait derrière eux une ‘ foi ’ occulte. ” En réalité, les faits dont on dispose montrent que le culte égyptien reposait essentiellement sur la magie et sur une superstition primitive (Gn 41:Cool. On employait la magie religieuse pour empêcher la maladie ; le spiritisme était partout, avec ses nombreux “ charmeurs ”, ses “ médiums ” et “ ceux qui font métier de prédire les événements ”. (Is 19:3.) Les Égyptiens portaient des amulettes et des porte-bonheur, et ils s’attachaient autour du cou des bouts de papyrus sur lesquels étaient inscrites des formules magiques (voir Dt 18:10, 11). Lorsque Moïse et Aaron firent des miracles par la puissance divine, les prêtres-magiciens et les sorciers de la cour de Pharaon parurent les reproduire par les arts magiques jusqu’à ce qu’ils soient obligés d’admettre leur échec. — Ex 7:11, 22 ; 8:7, 18, 19.

Josué

Josué
Administrateur

‘ lever le pied ’ signifiait entreprendre ou commencer quelque chose (Gn 41:44) ; ‘ faire que son pied soit rare dans la maison de son semblable ’ voulait dire ne pas abuser de son hospitalité (Pr 25:17) ; ‘ circuler pieds nus ’ était un signe d’humiliation et de deuil (les captifs étaient souvent emmenés pieds nus) (Is 20:2) ; ‘ déposer quelque chose aux pieds de ’ quelqu’un, c’était le lui donner ou le lui offrir (Ac 5:1, 2) ; ‘ tomber aux pieds ’ de quelqu’un, c’était lui rendre hommage (Mc 5:22) ; ‘ mettre sous les pieds ’, c’était assujettir, soumettre (1Co 15:27 ; Hé 2:Cool ; ‘ meurtrir sous ses pieds ’ ou ‘ fouler aux pieds ’, c’était vaincre (Ml 4:3 ; Rm 16:20) ; ‘ mettre le pied sur la nuque d’un ennemi ’ symbolisait le fait de le soumettre ou de le vaincre (Jos 10:24) ; ‘ baigner son pied dans le sang ’, c’était exécuter des ennemis (Ps 68:22, 23) ; ‘ se couvrir les pieds ’, c’était satisfaire un besoin naturel (Jg 3:24 et 1S 24:3, notes). Une prophétie au sujet de la tribu d’Asher contenait l’expression ‘ tremper son pied dans l’huile ’, qui signifiait qu’Asher aurait une part grasse, c’est-à-dire abondante, parmi les autres tribus d’Israël (Dt 33:24). Ruth se coucha aux pieds de Boaz après les avoir découverts, et par ce geste elle lui enjoignait de suivre la procédure légale concernant le mariage léviratique. — Ru 3:4, 7, 8.

Josué

Josué
Administrateur

On trouve avec le mot “ pied ” d’autres expressions figurées : ‘ un lieu de repos pour la plante du pied ’ était un lieu de résidence ou une propriété (Gn 8:9 ; Dt 28:65) ; “ la largeur d’un pied ” représentait la plus petite parcelle de terrain que quelqu’un pouvait posséder (Ac 7:5 ; Dt 2:5 ; voir aussi Jos 1:3) ; ‘ lever le pied ’ signifiait entreprendre ou commencer quelque chose (Gn 41:44) ; ‘ faire que son pied soit rare dans la maison de son semblable ’ voulait dire ne pas abuser de son hospitalité (Pr 25:17) ; ‘ circuler pieds nus ’ était un signe d’humiliation et de deuil (les captifs étaient souvent emmenés pieds nus) (Is 20:2) ; ‘ déposer quelque chose aux pieds de ’ quelqu’un, c’était le lui donner ou le lui offrir (Ac 5:1, 2) ; ‘ tomber aux pieds ’ de quelqu’un, c’était lui rendre hommage (Mc 5:22) ; ‘ mettre sous les pieds ’, c’était assujettir, soumettre (1Co 15:27 ; Hé 2:Cool ; ‘ meurtrir sous ses pieds ’ ou ‘ fouler aux pieds ’, c’était vaincre (Ml 4:3 ; Rm 16:20) ; ‘ mettre le pied sur la nuque d’un ennemi ’ symbolisait le fait de le soumettre ou de le vaincre (Jos 10:24) ; ‘ baigner son pied dans le sang ’, c’était exécuter des ennemis (Ps 68:22, 23) ; ‘ se couvrir les pieds ’, c’était satisfaire un besoin naturel (Jg 3:24 et 1S 24:3, notes). Une prophétie au sujet de la tribu d’Asher contenait l’expression ‘ tremper son pied dans l’huile ’, qui signifiait qu’Asher aurait une part grasse, c’est-à-dire abondante, parmi les autres tribus d’Israël (Dt 33:24). Ruth se coucha aux pieds de Boaz après les avoir découverts, et par ce geste elle lui enjoignait de suivre la procédure légale concernant le mariage léviratique. — Ru 3:4, 7, 8.

Josué

Josué
Administrateur

Joseph occupait donc une position enviable. La vie des habitants de l’Égypte, dont celle de Potiphar et de sa femme, était entre ses mains. Mais elle n’était pas menacée. Joseph avait déjà démontré qu’il était un homme miséricordieux et clément et qu’il n’était pas rancunier et ne cherchait pas à se venger. Cependant, sa miséricorde allait être sérieusement mise à l’épreuve. Cela arriva quand la famine s’étendit sur toute la terre et que toutes sortes de peuples vinrent en Égypte pour chercher du grain. Un jour, alors que Joseph s’acquittait de ses responsabilités et pourvoyait avec compassion à la nourriture des peuples affamés et des Égyptiens, ses dix demi-frères se présentèrent à lui et se prosternèrent la face contre terre. Joseph se rappela immédiatement les rêves qu’il avait faits à ce sujet, mais, bien qu’il les eût reconnus, il ne se fit pas connaître d’eux et leur parla uniquement par l’entremise d’un interprète. Comment allait-il agir envers eux ? Après plus de vingt ans, l’heure de leur jugement était arrivée. Étant donné qu’ils n’avaient pas manifesté la moindre pitié, ils méritaient un jugement impitoyable. Agissant en tant que représentant de Jéhovah, Joseph ne pouvait pas transgresser les lois divines de justice. Cependant, il n’était pas rancunier et il allait devoir rendre compte à Dieu de la façon dont il les traiterait. C’est pourquoi, influencé par la sagesse d’en haut, il les mit à l’épreuve. — Gen. 41:53 à 42:8.
Leur parlant durement, Joseph accusa ses demi-frères d’être des espions. Quand ils protestèrent de leur innocence et lui dirent qu’ils étaient tous fils d’un seul homme et qu’un de leurs frères était resté avec leur père, il lia Siméon devant eux et leur dit qu’il resterait emprisonné jusqu’à ce qu’ils reviennent avec leur autre frère. Bouleversés, les demi-frères de Joseph manifestèrent une attitude tout à fait repentante ; ils acceptèrent ce malheur comme un châtiment venant de Dieu, “car, se dirent-ils, nous avons vu, la détresse de son âme [de Joseph], quand il nous suppliait d’avoir compassion, mais nous n’avons pas écouté”. Joseph, qui les entendait, bien qu’ils n’en soient pas conscients, fut très ému ; il s’éloigna d’eux et se mit à pleurer. Toutefois, leur épreuve n’était pas terminée. Il ne devait subsister aucun doute quant à la sincérité de leur repentir. Ayant fait remplir leurs réceptacles de grain, Joseph fit remettre secrètement leur argent dans leurs sacs et les renvoya chez eux, alors qu’il gardait Siméon. — Gen. 42:9-28.
Finalement, quand ils n’eurent plus de céréales, ils durent redescendre en Égypte. Mais ils avaient été avertis de ne pas se présenter devant le préposé à la nourriture en Égypte à moins d’amener leur frère avec eux. Craignant de perdre le seul fils qui lui restait de sa femme bien-aimée Rachel depuis qu’il avait perdu Joseph, Jacob refusait toujours de le laisser aller. Finalement, il n’y eut plus d’autre solution. Juda se porta garant pour lui. Quand ils se présentèrent devant Joseph et que celui-ci vit Benjamin, son propre frère, il ne put se contenir. Ses émotions intimes s’étant ravivées pour son frère, il alla dans une chambre intérieure où il donna libre cours à ses larmes. Ensuite, il soumit ses demi-frères à une dernière épreuve. Par ruse, il fit croire que Benjamin avait volé sa coupe d’argent très précieuse. Il ordonna donc que Benjamin reste pour être son esclave et que les autres retournent dans la maison de leur père. Affligés et le cœur brisé parce qu’ils savaient que la perte de Benjamin, le fils bien-aimé de Jacob, ferait descendre les cheveux gris de leur père dans la tombe, ils supplièrent Joseph de leur rendre Benjamin. Finalement, quand Juda s’offrit volontairement à prendre la place de Benjamin, Joseph n’arriva plus à se dominer. Alors, en pleurant, il se fit connaître à ses frères, en disant : “Je suis Joseph, votre frère, que vous avez vendu pour l’Égypte. Mais à présent, ne soyez pas peinés et ne soyez pas irrités contre vous-mêmes, de m’avoir vendu pour ici ; car c’est pour la préservation de la vie que Dieu m’a envoyé en avant de vous.” Sur l’ordre de Pharaon, Joseph fit en sorte que Jacob, son père, et toute sa maisonnée, viennent en Égypte où ils reçurent la meilleure partie du pays. — Gen. 42:29 à 47:31.

Josué

Josué
Administrateur

L’étendue et la qualité de la miséricorde de Joseph sont mises en évidence par les circonstances dans lesquelles elle a été exercée. Il a été cruellement traité, voire menacé de mort, par ses demi-frères, il a été accusé faussement et avec ruse par la femme de Potiphar, celui-ci a agi durement envers lui en le faisant injustement emprisonné, et le chef des échansons, qu’il avait encouragé avec compassion, l’oublia avec ingratitude. Malgré cela, Joseph ne songea nullement à se venger quand il en eut le pouvoir. Bien au contraire, avec amour et une considération profonde et sincère, il veilla à satisfaire leurs besoins, étendant sa compassion jusqu’à la maison de son père et à tous les membres de la nation égyptienne. Joseph n’a certainement pas cultivé cette qualité seulement après qu’il eut été élevé à une position qui lui conférait honneur et puissance. Au contraire, la miséricorde que Jéhovah témoigna à Joseph durant ses épreuves en le protégeant, en le soutenant et en le rassurant, est un témoignage de l’attitude clémente et miséricordieuse qu’il a dû garder pendant tout ce temps. Cela paraît tout à fait certain à en juger par la règle suivante énoncée par Jésus : “Heureux les miséricordieux, puisqu’il leur sera fait miséricorde.” (Mat. 5:7). Cette attitude de Joseph ressemble beaucoup à celle de Jésus qui, sur le poteau de supplice où il allait mourir, déclara : “Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font”, ou à celle d’Étienne qui, alors qu’il était lapidé à mort, s’écria : “Jéhovah, ne leur compte pas ce péché.” (Luc 23:34 ; Actes 7:60). La miséricorde dont chacun de ces hommes témoigna dans ces différents cas fut récompensée par Jéhovah.

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