Feliks Kraspouët a écrit:
Dites, si un type se présente à votre domicile, qu'il vous dit qu'il va tuer votre femme et vos enfants, vous allez lui dire que vous avez de l'amour pour lui ?
C'est confondre la violence individuelle et la violence collective.
Si un tel individu se présente chez moi, je défendrais les miens en essayant de protéger la vie de tous, agresseur compris.
La violence collective, c'est de faire partie d'une armée qui agresse les autres, quelqu'en soit la raison.
Feliks Kraspouët a écrit:
Et pendant qu'il fait tout ce qu'il a dit, vous lui préparez un bon repas chaud et un petit café ?
Ce n'est pas on ou off. Ton raisonnement est simpliste.
Feliks Kraspouët a écrit:
D'accord pour avoir de l'amour chrétien pour ses ennemis, pour être triste de leur comportement et pour prier pour eux. Mais pas question que je les laisse tuer ceux que j'aime, des personnes qui craignent et qui aiment Dieu !
Tu te poses uniquement en victime ici comme si l'armée d'en face n'était composée que de méchants. Seulement, eux, ils pensent la même chose que toi, et certains d'entre eux seront mormons.Ils voient en toi LE méchant, celui qui viendra tuer leurs familles.
La différence, c'est que tu peux être certain que ceux qui s'attaqueront à ta famille ne seront pas TJ. C'est déjà suffisant pour que je ne renonce pas à ce choix.
Feliks Kraspouët a écrit:
Je veux bien être bon, mais je suis pas con !
Un peu simpliste cette conclusion.
Je te raconte une histoire vraie. Médite dessus !
Un TJ d'origine Européenne prêchait en compagnie d'un autre frère à un vieille dame aux Etats Unis. Celle-ci, quand elle eut compris qu'ils s'agissaient de TJ a haussé le ton.
"Vous devriez avoir honte d'être TJ car vous n'avez pas servi notre pays pendant la guerre. Mon fils, lui, est mort en Allemagne à la fin de la guerre."
Le frère au fort accent allemand lui a répondu: " Vous auriez du prier, madame, pour que je sois TJ pendant la guerre car j'ai servi dans l'armée de mon pays, l'Allemagne et j'ai été décoré pour avoir tué x américains, à la fin de la guerre."