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24 sept. Lecture de la Bible : Daniel 1-3

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Josué

Josué
Administrateur

24 sept. Lecture de la Bible : Daniel 1-3.
ALORS que toutes les nations de la terre sont à la veille d’un grand désastre, le livre de Daniel attire l’attention sur des messages prophétiques d’une portée capitale. Les livres bibliques de Samuel, des Rois et des Chroniques sont basés sur le témoignage de témoins qui ont rapporté l’histoire du royaume typique de Dieu (la dynastie davidique), tandis que Daniel se concentre sur les nations du monde et décrit, au moyen de visions, la lutte pour le pouvoir à laquelle les grandes dynasties se livrent à partir de son époque et jusqu’au “ temps de la fin ”. C’est en quelque sorte une histoire du monde écrite à l’avance. Elle atteint son point culminant avec la révélation de ce qui doit arriver “ dans la période finale des jours ”. À l’exemple de Neboukadnetsar, les nations doivent apprendre à leurs dépens que “ le Très-Haut est Chef dans le royaume des humains ” et qu’il le donne finalement à celui qui est “ semblable à un fils d’homme ”, le Messie et Guide, Christ Jésus (Dan. 12:4 ; 10:14 ; 4:25 ; 7:13, 14 ; 9:25 ; Jean 3:13-16). En observant attentivement la réalisation prophétique du livre écrit par Daniel sous l’inspiration divine, nous accorderons plus de prix au pouvoir prophétique de Jéhovah et à ses promesses qui garantissent la protection et la bénédiction à son peuple. — 2 Pierre 1:19.
Le livre porte le nom de son écrivain. “ Daniel ” (hébreu : Daniyéʼl) signifie “ Mon Juge, c’est Dieu ”. Ézékiel, qui vécut à la même époque, confirme que Daniel a bel et bien existé, en le nommant avec Noé et Job (Ézék. 14:14, 20 ; 28:3). Daniel fixe le début de la rédaction de son livre “ dans la troisième année du règne de Yehoïaqim le roi de Juda ”. Il s’agit de 618 av. n. è., soit la troisième année de Yehoïaqim en tant que roi tributaire de Neboukadnetsar. Les visions prophétiques de Daniel se sont poursuivies jusque dans la troisième année de Cyrus, vers 536 av. n. è. (Dan. 1:1 ; 2:1 ; 10:1, 4.) Quelle vie riche en événements que celle de Daniel ! Son enfance s’est déroulée dans le royaume divin de Juda. Puis, prince adolescent, il a été emmené à Babylone avec ses compagnons judéens de naissance noble, où il a été témoin de l’apogée et de la chute de cette Troisième Puissance mondiale de l’histoire biblique. Il a survécu à l’événement et est devenu fonctionnaire de la Quatrième Puissance mondiale, l’Empire médo-perse. Daniel a dû vivre environ cent ans.

Josué

Josué
Administrateur

Commençons par exposer ce qui ressort du livre de Daniel touchant sa personne et son histoire.

D'après chapitre 1, verset 3, Daniel paraît avoir été de la race royale et être né à Jérusalem. Dans tous les cas, il descendait d'une famille illustre. Il n'était âgé probablement que de 14 à 16 ans, lorsque, après la première prise de Jérusalem, sous Jéhojakim (an 606 avant J-C), il fut emmené à Babylone avec d'autres jeunes gens également de noble extraction, destinés comme lui à servir un jour le roi. Sa naissance remonte par conséquent aux derniers temps du règne de Josias, alors que ce roi cherchait, de concert avec Jérémie, à ramener le peuple idolâtre au culte du vrai Dieu. La piété et l'attachement scrupuleux aux préceptes de la loi de Moïse qu'il manifesta dès son jeune âge au milieu des séductions d'une cour païenne, peuvent être envisagés comme un fruit de l'éducation qu'il reçut dans cette époque de rénovation religieuse. Il était en quelque sorte un fils spirituel de Jérémie.

Josué

Josué
Administrateur

Les trois années de rééducation et de préparation prirent fin. Arriva l’épreuve décisive : un entretien avec le roi en personne. “ Au terme des jours où le roi avait dit de les amener, le fonctionnaire principal de la cour se mit alors à les amener devant Neboukadnetsar. ” (Daniel 1:18). C’était le moment où les quatre jeunes devaient rendre des comptes. Leur avait-il été bénéfique de suivre les lois de Jéhovah plutôt que d’adopter les coutumes babyloniennes ?
“ Le roi parlait avec eux, et parmi eux tous il ne s’en trouva pas comme Daniel, Hanania, Mishaël et Azaria ; et ils continuèrent à se tenir devant le roi. ” (Daniel 1:19). Quelle démonstration incontestable du bien-fondé de leur comportement des trois années précédentes ! Il n’avait donc pas été sot de leur part de suivre un régime dicté par leur foi et par leur conscience. En ayant été fidèles dans ce qui aurait pu sembler être peu de chose, Daniel et ses amis étaient récompensés par de grandes choses. Le privilège de “ se tenir devant le roi ” était l’objectif poursuivi par tous les jeunes qui recevaient la formation. La Bible n’indique pas si les quatre jeunes Hébreux furent les seuls à être sélectionnés. Toujours est-il que leur fidélité leur valut “ une grande récompense ”. — Psaume 19:11.

Josué

Josué
Administrateur

Quand Neboukadnetsar fit-il le rêve concernant l’image immense ? D’après le récit, c’était “ dans la deuxième année du règne de Neboukadnetsar ”. Celui-ci est devenu roi en 624 avant notre ère. La deuxième année de son règne a donc commencé en 623, autrement dit des années avant qu’il n’envahisse Juda. Or, à ce moment-là, Daniel n’était pas à Babylone pour interpréter le rêve. Il semble donc que “ la deuxième année ” soit comptée à partir de 607 avant notre ère, date à laquelle le roi babylonien est devenu le souverain du monde en détruisant Jérusalem.

Josué

Josué
Administrateur

commentaire de la bible de Vigouroux.
24 sept.  Lecture de la Bible :  Daniel 1-3  Daniel10

Josué

Josué
Administrateur

24 sept.  Lecture de la Bible :  Daniel 1-3  Daniel11

Josué

Josué
Administrateur

Nom donné à Azaria, un des jeunes Juifs nobles ou de sang royal qui furent emmenés en captivité par Neboukadnetsar en 617 av. n. è. — Dn 1:3, 4, 7.
Certains biblistes croient que “ Négo ” est une déformation de Nebo, nom d’une divinité babylonienne, déformation opérée volontairement afin de ne pas offenser Azaria (Voir NEBO No 4). Le nom Azaria signifie, quant à lui, “ Jéhovah a secouru ”. Il semble qu’entre eux les jeunes Hébreux continuèrent à s’appeler par leurs noms d’origine (Dn 2:17). À Babylone, Azaria, de même que Daniel, Hanania et Mishaël, réussit avec de grands honneurs une formation de trois ans suivie d’un examen présidé par le roi Neboukadnetsar en personne ; il avait auparavant démontré son intégrité religieuse dans le domaine du manger et du boire (Dn 1:4, 5, 8-20). Plus tard, sur la demande de Daniel, le roi nomma Azaria et ses deux compagnons administrateurs du district administratif de Babylone. — Dn 2:49.
Abed-Négo (Azaria) et ses deux compagnons hébreux furent quelque temps après dénoncés au roi par certains Chaldéens parce qu’ils avaient refusé de se prosterner, à un signal musical, devant sa statue d’or (Dn 3:5, 8, 12). Le roi en colère les interrogea donc ; mais comme ils refusaient catégoriquement de transiger avec leur conscience et qu’ils professaient leur foi en Jéhovah, le roi les fit jeter dans un four chauffé à outrance, où ils furent miraculeusement protégés par un représentant angélique de Dieu. Le roi, stupéfait, les fit libérer, et les gens de la cour virent qu’ils étaient sains et saufs. Tous trois recouvrèrent alors la faveur royale. — Dn 3:15-30 

Josué

Josué
Administrateur

Il ne suffisait pas de révéler le rêve prophétique; il fallait encore en indiquer l’interprétation. C’est à ces conditions que Daniel et les autres sages de Babylone auraient la vie sauve. Le prophète avait bien une explication de l’image vue en rêve à donner, mais cette explication allait-elle satisfaire Nébucadnezzar, le roi païen qui avait détruit le temple de Jéhovah à Jérusalem? La jugerait-il bonne? Et en ce qui nous concerne, cette interprétation nous donne-t-elle satisfaction aujourd’hui? Estimons-nous qu’elle est non seulement raisonnable et logique, mais également conforme au reste de la Parole révélée et inspirée par Dieu, la Bible? Nous qui de toute évidence, vivons au temps de la “fin” de la réalisation de ce rêve, nous devrions y trouver un plus grand intérêt que Nébucadnezzar, qui n’a connu que le “commencement” de son accomplissement. Le monarque babylonien n’était pas, comme nous, sous la menace de la destruction universelle à venir.
Arioch, chef de la garde du corps du roi, qui avait la main crispée sur son épée, a dû desserrer son étreinte lorsque Daniel adressa les paroles suivantes à son commandant en chef: “C’est là le rêve, et son interprétation nous la dirons devant le roi. Toi, ô roi, le roi des rois, toi à qui le Dieu du ciel a donné le royaume, la puissance, et la force, et la dignité, et dans la main duquel, en tout lieu où habitent les fils des humains, il a livré les bêtes des champs et les créatures ailées des cieux, et qu’il a fait chef sur eux tous, toi, tu es la tête d’or.” — Daniel 2:36-38.

Josué

Josué
Administrateur

Sans doute dans le but de renforcer l’unité de son empire, Neboukadnetsar dressa une image d’or dans la plaine de Doura. Cette image mesurait 60 coudées (27 mètres) de haut et 6 coudées (2,70 mètres) de large. Certains pensent que ce n’était qu’une colonne, un obélisque. Elle consistait peut-être en un piédestal très haut sur lequel s’élevait une statue immense à forme humaine, qui représentait Neboukadnetsar lui-même ou le dieu Nebo. Quoi qu’il en soit, ce monument impressionnant était un symbole de l’Empire babylonien. À ce titre, il était fait pour être vu et vénéré. — Daniel 3:1.

Josué

Josué
Administrateur

Trois Hébreux furent accusés de ne pas adorer l’image d’or de Neboukadnetsar et jetés dans le four. Cette accusation était justifiée, quoique fondée sur une loi mauvaise. Ils étaient malgré tout innocents, car, lorsqu’ils firent appel devant la Cour suprême des cieux, Jéhovah les disculpa entièrement (Dn 3:8-25). Daniel fut de même délivré de la mort, et les accusateurs qui avaient comploté contre lui furent jetés aux lions (Dn 6:24). Dans ces deux récits, le mot “ accuser ” traduit une expression araméenne qui signifie littéralement ‘ avoir mangé les morceaux [de chair arrachés du corps] ’ et qu’on peut rendre aussi par “ calomnier ”. (Dn 3:8 ; 6:24 ; notes.) Ceux qui s’opposaient à la reconstruction du temple de Jérusalem écrivirent une lettre accusant les bâtisseurs de mal agir, et le travail fut interdit sur la base de cette fausse accusation ; l’interdiction fut toutefois reconnue illégale par la suite (Ezr 4:6–6:12). De la même manière, les chefs religieux cherchèrent des moyens d’accuser Jésus de transgresser la Loi (Mt 12:10 ; Lc 6:7). Ils réussirent finalement à faire arrêter cet innocent et, lors du procès, ils lancèrent leurs fausses accusations avec grande véhémence contre ce Juste, Jésus (Mt 27:12 ; Mc 15:3 ; Lc 23:2, 10 ; Jn 18:29). Ces exemples montrent combien il est mal d’accuser quelqu’un faussement, surtout si on détient une certaine autorité. — Lc 3:14 ; 19:8.

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