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Dimanche 28 janvier N’avez-vous pas lu ? (Mat. 12:3).

5 participants

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golias

golias

Dimanche 28 janvier


N’avez-vous pas lu ? ().


Jésus a posé la question « N’avez-vous pas lu ? » pour révéler que les pharisiens se servaient mal des Écritures (). Ces derniers avaient prétendu que les disciples de Jésus avaient violé le sabbat. Jésus a alors cité deux exemples tirés des Écritures et un verset du livre d’Osée pour montrer que les pharisiens n’avaient pas compris le véritable but du sabbat et qu’ils avaient manqué de miséricorde. Pourquoi ces chefs religieux n’étaient-ils pas façonnés par leur lecture de la Parole de Dieu ? Parce qu’ils la lisaient avec une mentalité orgueilleuse et pour s’en servir contre les autres. Cet état d’esprit les empêchait de saisir la signification de ce qu’ils lisaient (). Note aussi qu’en , Jésus pose aux pharisiens cette même question : « N’avez-vous pas lu ? » Ces hommes avaient bien sûr lu le récit de la création, mais ils n’avaient pas saisi ce qu’enseigne ce récit sur la manière dont Dieu considère le lien conjugal. Les paroles de Jésus nous enseignent l’importance de lire la Bible avec le bon état d’esprit. Contrairement aux pharisiens, nous devons être humbles et disposés à nous laisser enseigner. 

w23.02 11-12 § 12-13.

-

Lechercheur



Oui il faut  lire la bible avec un bon état d'esprit.

golias

golias

Il nous faut ‘accepter avec douceur l’implantation de la parole’ (). Si nous sommes doux, nous permettrons à la Parole de Dieu de s’enraciner dans notre cœur. Les leçons bibliques sur la miséricorde, la compassion et l’amour ne nous façonneront que si nous bannissons l’orgueil et toute mentalité critique.

Josué

Josué
Administrateur

À Jérusalem, les chefs religieux ont cherché à tuer Jésus en prétendant qu’il violait le sabbat. Des Pharisiens portent maintenant contre lui cette accusation: “Voilà que tes disciples font ce qu’il n’est pas permis de faire pendant le sabbat.”
Les Pharisiens prétendent que cueillir des céréales et les frotter dans ses mains pour les manger revient à moissonner et à battre le grain. Mais leur interprétation étroite de ce qu’est le travail a fait du sabbat un fardeau, alors qu’il devait être un moment de joie et d’édification spirituelle. C’est pourquoi Jésus oppose aux Pharisiens des exemples tirés des Écritures montrant que le dessein de Jéhovah Dieu n’avait jamais été de faire une application aussi exagérément stricte de Sa loi sur le sabbat.
Lorsque David et ses hommes eurent faim, dit Jésus, ils s’arrêtèrent au tabernacle et mangèrent des pains de présentation. Bien que les pains aient déjà été ôtés de devant Jéhovah et remplacés par de nouveaux, ils étaient normalement réservés à la consommation des prêtres. Toutefois, dans cette circonstance, David et ses hommes n’ont pas été condamnés pour en avoir mangé.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Les pharisiens tordaient le sens dès écriture, il filtraient le moucheron, mais avalaient le chameau.

chico.

chico.

Eu égard à ce que dit Matthieu 12:1-8, est-il permis de transgresser la loi de Dieu afin de sauver une vie?
Bien que certaines personnes se réfèrent à Matthieu 12:1-8 pour soutenir ce point de vue, un examen attentif des Écritures montre qu’une telle conclusion est erronée.
Alors qu’ils traversaient un champ de céréales, les disciples de Jésus glanèrent une petite quantité de grains, comme la Loi les y autorisait (Lévitique 19:9, 10; Deutéronome 24:19-21). Les Pharisiens les critiquèrent parce qu’ils avaient agi ainsi durant le sabbat. Ces chefs religieux avaient ajouté à la Loi beaucoup d’interprétations afin de définir notamment quel genre de “travail” était illicite pendant le sabbat. Selon ces règles humaines où transparaissait la mentalité rigoriste de leurs auteurs, les disciples étaient répréhensibles parce qu’ils avaient accompli deux formes de travail: ils avaient moissonné (‘arraché les épis’) et battu le grain (ils l’avaient ‘frotté entre leurs mains’) (Matthieu 12:1; Luc 6:1). Cependant, Jésus déclara:
“N’avez-vous pas lu ce que fit David, lorsqu’il eut faim, lui et les hommes qui étaient avec lui? Comment (...) ils mangèrent les pains de présentation, chose qu’il ne lui était pas possible de manger, ni à lui ni à ceux qui étaient avec lui, mais aux prêtres seuls? Ou n’avez-vous pas lu dans la Loi que, pendant les sabbats, les prêtres dans le temple tiennent le sabbat pour non sacré, sans se rendre coupables? Mais je vous dis qu’il y a ici quelque chose de plus grand que le temple. Et si vous aviez compris ce que signifie: ‘Je veux la miséricorde et non le sacrifice’, vous n’auriez pas condamné les innocents. Car le Fils de l’homme est Seigneur du sabbat.” — Matthieu 12:3-8.
Christ rappelait ici les circonstances dans lesquelles David et ses hommes, fuyant le roi Saül qui voulait leur mort, allèrent vers le grand prêtre Ahimélech, à Nob. David déclara alors que le roi lui avait confié une mission secrète et demanda du pain. “Il n’y a pas sous ma main de pain ordinaire, lui répondit Ahimélech, mais il y a du pain sacré, pourvu que les jeunes hommes se soient au moins gardés de la femme.” Il faisait allusion aux pains de présentation, c’est-à-dire douze gâteaux non fermentés qu’on disposait chaque semaine sur une table du Saint du tabernacle. Comme on présentait de nouveaux gâteaux lors de chaque sabbat, on retirait les précédents et ils étaient ‘pour Aaron et pour ses fils’, qui devaient les ‘manger dans un lieu saint’. David expliqua que ses hommes étaient cérémoniellement purs et il sous-entendit qu’ils étaient saints, d’une certaine manière, puisque investis d’une mission par le roi oint de Jéhovah. Alors Ahimélech “lui donna ce qui était saint, (...) le pain de présentation, celui qu’on avait retiré de devant Jéhovah”. — I Samuel 21:1-6; Lévitique 24:5-9.

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