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La célébration de messes est suspendue dans l'Oise.

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Josué
papy
Marmhonie
samuel
chico.
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Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

En raison de l'épidémie de coronavirus, les messes sont suspendues "jusqu'à nouvel ordre" dans les 41 paroisses de l'Oise, a indiqué samedi le diocèse du département. 
La célébration de messes est suspendue jusqu'à "nouvel ordre" dans l'Oise, conformément à l'interdiction des "rassemblements collectifs" annoncée dans ce département par le gouvernement samedi pour limiter la propagation du nouveau coronavirus, a-t-on appris auprès du diocèse.
"L'évêque (de Beauvais, Mgr Jacques Benoit-Gonnin) et le préfet Louis le Franc se sont parlés, on suppose cette demande fondée et on l'applique, dans l'objectif du bien commun", a indiqué l'AFP la communication du diocèse, qui va informer la centaine de prêtres et la vingtaine de diacres qui officient dans les 41 paroisses du département. Les premières messes dominicales devaient se dérouler à partir de samedi, à 18h.

Cinq communes de l'Oise particulièrement touchées


Cette décision s'inscrit dans la logique des annonces du ministre de la Santé, Olivier Véran, dont l'annulation de tous les "rassemblements de plus de 5.000 personnes" en milieu fermé et certains événements en extérieur, face à l'intensification de l'épidémie causée par le nouveau coronavirus. Des mesures encore plus strictes ont été prises pour les deux principaux foyers de propagation du virus en France, la commune de La Balme-de-Sillingy en Haute-Savoie et l'Oise, où "tous les rassemblements seront interdits jusqu'à nouvel ordre".
Dans les cinq communes de l'Oise particulièrement touchées, Creil, Crépy-en-Valois, Vaumoise, Lamorlaye, Lagny-le-Sec, ainsi qu'à La Balme, le gouvernement recommande "aux habitants de limiter leurs déplacements" et "si possible recourir au télétravail".


La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Europe-1
Par Europe 1 avec AFP


Josué

Josué
Administrateur

Rassemblements devant plusieurs églises ce week-end, rencontre entre Jean Castex et les représentants des cultes ce lundi, préparation d’un nouveau protocole sanitaire dans les églises… La reprise des messes publiques reste une demande forte pour de nombreux catholiques. Une reprise des messes publiques est désormais envisagée début décembre.

Paris, Reims, Rennes, Chambéry, Bayonne… Une vingtaine de rassemblements ont finalement eu lieu ce week-end dans plusieurs villes de France, devant des églises ou sur des places afin de demander la reprise des messes publiques. Pour la plupart déclarées en préfectures, ces mobilisations se sont déroulées paisiblement, dans le respect des règles sanitaires. « C’est une grande joie de voir que des catholiques se mobilisent de la sorte pour avoir la liberté de retourner à la messe », se réjouit auprès d’Aleteia Jean-Benoît Harel, l’un des co-fondateurs de la pétition en ligne « Pour la messe ».
Ces rassemblements, émaillés parfois d’un « Je vous salue Marie » ou d’un « Notre Père », ont emporté le soutien de plusieurs évêques… et des mises en garde d’autres. L’archevêque de Rennes, Mgr Pierre d’Ornellas, a ainsi appelé à ne pas mélanger manifestation et prière « sous peine d’engendrer une confusion qui ne respecte pas la Loi de Séparation de 1905 et qui nuit au dialogue des représentants des cultes avec l’État ». Si l’enjeu est essentiel, les avis sont nombreux et variés chez les pratiquants. « L’important est d’apporter un message d’apaisement et en aucun cas d’émettre un jugement », reprend Jean-Benoît Harel. « Ceux qui n’ont pas voulu participer à ces rassemblements ne sont pas des tièdes et ceux qui participent ne sont pas irresponsables. Chacun fait ce qui lui semble le mieux en tant que chrétien dans sa foi, avec charité, sans insulte ni véhémence ».

Une atteinte à une liberté fondamentale

Dans nos colonnes, Mgr Valentin, évêque auxiliaire de Versailles, estimait à propos de ces rassemblements que sa « responsabilité de pasteur est de les accompagner, sans absolutiser leur démarche. […] Il y a plein de débats autour de ces manifestations : il y a non seulement le débat de savoir s’il faut ou pas réclamer la messe, mais aussi le débat de savoir si une manifestation de rue est la bonne manière de la réclamer. » Sans faire l’unanimité ces manifestations interrogent néanmoins sur les libertés fondamentales, dont fait partie la liberté de culte, et la manière dont celles-ci sont assujetties – à tort ? – au contexte sanitaire. « Il est bien évidemment essentiel de prendre en compte le contexte sanitaire », reconnaît Jean-Benoît Harel. « Ce que nous dénonçons, c’est le caractère disproportionné qu’est la suspension des messes publiques ».



Un caractère disproportionné qu’a également dénoncé ce dimanche le président du Sénat, Gérard Larcher. « On est là sur une liberté fondamentale et le gouvernement doit y être attentif », a-t-il affirmé lors de son passage dans l’émission « Le grand jury » de RTL en prononçant pour une reprise des messes publiques dans le respect des « conditions sanitaires ». Dans une tribune adressée à Jean Castex publiée quelques heures auparavant dans Le Figaro, une quarantaine de parlementaires ont aussi appelé à la reprise des messes publiques. « Il en va du respect de l’esprit de la loi de 1905 de séparation de l’Église et de l’État, qui a pris soin de placer haut sur l’échelle des libertés la liberté de culte, qui exige une protection particulière et qui ne peut pas être confondue avec la liberté de réunion ou encore la simple liberté de manifestation », ont-ils assuré.

Lechercheur



Les catholique doivent faire comme les autres religion.

Rene philippe

Rene philippe
MODERATEUR
MODERATEUR

Lechercheur a écrit:Les catholique doivent faire comme les autres religion.

C'est pas demain la veille. D'abord, les gens mélangent tout; la liberté de culte, les droits de l'homme, la liberté de conscience; tout ça relève de l'intellectuel, et rien ni personne ne peut s'opposer à ça puisque ça se passe dans nos cerveaux.

Et puis ensuite, il y a les rites. L'un des rites est, chez les catholiques, la croyance que les osties qu'ils consomment à la messe est en réalité le corps du Christ. D'où leur frustration de ne pouvoir assister à leur messe.

Amaytois

Amaytois
MODERATEUR
MODERATEUR

Bonsoir

Comme tu le dis très bien René, il y a les rites et les traditions, pas plus tard qu'à 19h00 le JT "RTL TVI" signalait qu'à cause du covid les gens préparaient Noël plus tôt, et il est vrai que j'ai déjà vu des sapins ainsi que qlqs magasins avec des guirlandes.

Mais si nous réfléchissons les personnes qui font cela sont certainement d'obédiences chrétiennes, mais en écoutant pourquoi ils préparent à l'avance cette fête, ce n'est pas en l'honneur de la naissance (pour eux) de Jésus, mais pour festoyer tout simplement.

Rene philippe

Rene philippe
MODERATEUR
MODERATEUR

Amaytois a écrit:Bonsoir

Comme tu le dis très bien René, il y a les rites et les traditions, pas plus tard qu'à 19h00 le JT "RTL TVI" signalait qu'à cause du covid les gens préparaient Noël plus tôt, et il est vrai que j'ai déjà vu des sapins ainsi que qlqs magasins avec des guirlandes.
Justement, le fait que le comportement des gens soit dicté par les rites, les traditions, "l'esprit" de noël est le genre de choses qui m'énerve; ils font comme tout le monde, tel des moutons, ont peur de se faire remarquer s'ils ne le font pas; quelle tristesse


Mais si nous réfléchissons les personnes qui font cela sont certainement d'obédiences chrétiennes, mais en écoutant pourquoi ils préparent à l'avance cette fête, ce n'est pas en l'honneur de la naissance (pour eux) de Jésus, mais pour festoyer tout simplement.  
Mais ça tout le monde le sait Very Happy pour te dire, lors de mon séjour de 4 ans à Mayotte où 99% des gens sont musulmans, les magasins ne se gênent pas pour vendre toutes sortes de choses lors de noël, en plus bien sûr de leurs fêtes religieuses musulmanes. D'ailleurs, un collègue m'a un jour demandé pourquoi les mzougous (les blancs) ne travaillaient pas lors des fêtes musulmanes puisqu'on ne l'était pas (et alors que les administrations sont d'ailleurs fermées); je lui ai tout simplement répondu que c'était pour la même raison qu'eux, musulmans, fêtaient "nos" fêtes sans être de la religion chrétienne.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Cela ne donne pas le bon exemple de manifester contre une décision de César.

Rene philippe

Rene philippe
MODERATEUR
MODERATEUR

Mikael a écrit:Cela ne donne pas le bon exemple de manifester cont une décision de César.

Mais encore ? « Cont » ?

Josué

Josué
Administrateur

c'est surement contre.

Rene philippe

Rene philippe
MODERATEUR
MODERATEUR

Josué a écrit:c'est surement contre.

ni de falsifier le culte de Jéhovah avec des faussetés

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

J'ai rectifié ma réponse.

Rene philippe

Rene philippe
MODERATEUR
MODERATEUR

Mikael a écrit:Cela ne donne pas le bon exemple de manifester contre une décision de César.

Sauf si ça contredit un commandement de Jéhovah

Josué

Josué
Administrateur

Rene philippe a écrit:
Mikael a écrit:Cela ne donne pas le bon exemple de manifester contre une décision de César.

Sauf si ça contredit un commandement de Jéhovah
Pas dans ce cas de figure,surtout que maintenant il y a zoom.

Josué

Josué
Administrateur

[size=59]Un rassemblement catholique de 190 personnes dans l’Orne à l’origine de plusieurs cas de Covid[/size]

Les responsables de cette retraite spirituelle, organisée avant le reconfinement fin octobre, n’ont prévenu ni l’Agence régionale de Santé ni la CPAM pour assurer le traçage.


Par L'Obs
Publié le 19 novembre 2020 à 10h57 Mis à jour le 19 novembre 2020 à 11h10




La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 PlaceholderLa basilique de La Chapelle-Montligeon, petite commune de la région du Perche, dans le sud-est du département de l’Orne. (Jimmy Beunardeau / Hans Lucas via A

A l’heure où les catholiques demandant la reprise rapide des cultes en public, les révélations tombent mal. Selon les informations de « Ouest-France », des catholiques se sont rassemblés dans le village de La Chapelle-Montligeon (Orne) du 22 au 25 octobre à l’occasion d’une retraite spirituelle organisée par la communauté de l’Emmanuel. Les participants venant du Grand Ouest sont ensuite rentrés chez eux à Brest, Angers ou encore Nantes.

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]"Ridicule", "pathétique", "humiliante"... la jauge des 30 personnes critiquée[/size]
La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Godong-fr557341a
:copyright: Godong



Timothée Dhellemmes - Publié le 24/11/20


Le chef de l’État a annoncé ce mardi 24 novembre que les célébrations publiques seraient de nouveau autorisées à partir de samedi "dans la stricte limite de 30 personnes". Une jauge que de nombreux fidèles, prêtres et évêques ne comprennent pas.


« J’ai mal entendu », « Ça ne va pas être possible », « C’est absurde », « Ridicule »… Dans la foulée des annonces d’Emmanuel Macron ce mardi 24 novembre, les réactions se sont enchaînées sur les réseaux sociaux. Pour de nombreux catholiques, dont plusieurs évêques, la jauge fixée à 30 personnes n’a pas de sens.

« 30 personnes dans ma cathédrale, c’est ridicule et absurde. Elle fait 96 m de long et 25 m de large (transept 40m) sur 30 m de hauteur. Total = 2500 m² : avec 4 m² par personne, on peut mettre 600 personnes ! Il faut apprendre à compter ! » a réagi photo à l’appui Mgr François Touvet, évêque de Châlons (Marne).







Même son de cloche chez Mgr Xavier Malle, évêque de Gap et d’Embrun, qui s’est fendu d’une série de tweets. « J’ai bien entendu ? 30 personnes !!!!!!!!!!!!!!! Sur la forme : le président Macron a expédié le déconfinement des cultes en quelques secondes, même pas repris dans l’infographie, avec seulement un chiffre ! Reprenant simplement le chiffre de 30 personnes pour les sépultures », a-t-il notamment déclaré.

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Vent debout contre la jauge de 30 personnes, les catholiques mettent la pression[/size]
La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 REPRISE-DES-MESSES-080_HL_GITALIANO_1261194
Giacomo Italiano / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP



Agnès Pinard Legry - Publié le 25/11/20


Alors que le gouvernement doit annoncer ce jeudi 26 novembre une nouvelle jauge pour la reprise des messes publiques dès ce samedi, l'ensemble des catholiques semblent vouloir faire entendre leur voix. Ils envisagent plusieurs scénarios.


Des messes publiques à nouveau autorisées mais dans la limite de 30 personnes, peu importe qu’elles soient célébrées dans une cathédrale ou dans une chapelle, voilà ce qu’a annoncé Emmanuel Macron dans la soirée du 24 novembre. Une nouvelle qui n’a pas manqué d’agacer et de décevoir des milliers de catholiques. Une vague de réactions sur les réseaux sociaux et un échange téléphonique entre Emmanuel Macron et le président de la CEF Mgr Eric de Moulins-Beaufort plus tard, une nouvelle jauge « plus réaliste » est actuellement en discussion et devrait être annoncée ce jeudi 26 novembre. « Nos vives réactions d’hier soir ont dû alerter sur la grossière erreur qui a été faite par le gouvernement », assure à Aleteia Mgr Xavier Malle, évêque de Gap et Embrun. « Elle relève une grande méconnaissance de la réalité de nos diocèses, de notre foi mais aussi du travail qui est fait depuis plusieurs semaines par l’Église de France ».



De nouveaux rassemblements à prévoir ?


« Ça suffit, il faut arrêter de nous infantiliser », a quant à lui réagi Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris, au micro de Radio Notre-Dame. « Jusqu’à présent nous avons été extrêmement loyaux avec les autorités légitimes – comme Saint-Pierre et Saint Paul nous le demandent – mais quand on va trop loin et que l’on touche à notre conscience et à notre bon sens, cela ne va pas passer du tout. »

En attendant de connaître cette ‘jauge’, les catholiques sont donc dans l’expectative…et s’impatientent. Sur les réseaux sociaux, des centaines d’entre eux ont fait part de leur volonté de retourner manifester si les messes reprenaient dans ces conditions « méprisantes ». « Pour le moment seuls deux rassemblements sont prévus », explique à Aleteia Jean-Benoît Harel, l’un des co-fondateurs de la pétition en ligne « Pour la messe ». « Mais les fidèles sont tellement remontés qu’il pourrait y en avoir d’autres : dans certaines villes les rassemblements ont été déclarés en préfectures mais les organisateurs attendent l’annonce de la nouvelle jauge pour les rendre publics ».

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Les juifs ont la Mishnah, les protestants la Bible selon Luther, les musulmans la Sira, & les catholiques ont la messe. Que diriez-vous si le gouvernement interdisait de lire la Bible parce qu'un virus attaque les yeux ? On a le droit de consommer. Le coronavirus est moderne.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Comparaison n'est pas raison.

Josué

Josué
Administrateur

Marmhonie a écrit:Les juifs ont la Mishnah, les protestants la Bible selon Luther, les musulmans la Sira, & les catholiques ont la messe. Que diriez-vous si le gouvernement interdisait de lire la Bible parce qu'un virus attaque les yeux ? On a le droit de consommer. Le coronavirus est moderne.
Content de te relire.
Ceci dit les autres religions sont a la même enseigne et ne descendent pas dans la rue pour autant.

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Jauge de 30 personnes : les catholiques unis pour contester une mesure "inapplicable"[/size]
La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 MONTMARTRE-MASS-000_8UC3ZK-1
THOMAS COEX / AFP



Agnès Pinard Legry - Publié le 26/11/20 - Mis à jour le 27/11/20 à 07:37


Le Premier ministre, Jean Castex, a annoncé ce jeudi le maintien de la jauge de 30 personnes dans les églises, peu importe la taille de l'édifice, pour la reprise des messes publiques dès ce samedi 28 novembre. Regrettant cette obstination qu'ils jugent inapplicable, des évêques envisagent des recours juridiques. Certains encouragent d'ores et déjà leurs prêtres à refuser de "sélectionner" les fidèles.


C’est une annonce qui ne passe pas. Lors de sa conférence de presse détaillant les modalités du déconfinement ce jeudi matin, le Premier ministre, Jean Castex, a confirmé la reprise des cultes ainsi que la jauge de 30 personnes mardi soir. « Ces lieux accueilleront d’abord 30 personnes, dans le respect des règles sanitaires », a-t-il indiqué. « Puis cette jauge évoluera progressivement en fonction de la situation sanitaire et de l’échéance du 15 décembre […] Comme d’autres établissements recevant du public, il pourra s’agir d’une jauge en fonction de la capacité globale d’accueil du lieu. Les discussions se poursuivent avec les autorités religieuses. »

Des discussions en cours


Depuis l’annonce de cette limite de 30 personnes par Emmanuel Macron mardi soir, l’incompréhension et la colère des catholiques ne cesse de prendre de l’ampleur. La Conférence des évêques de France (CEF), dont le président Mgr Eric de Moulins-Beaufort s’est entretenu par téléphone avec Emmanuel Macron dans la foulée de l’annonce, avait assuré qu' »une jauge réaliste, tout en restant stricte, sera définie d’ici jeudi matin ».

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Reprise des messes : les évêques ont renoué le dialogue avec le gouvernement[/size]

Les faits 

Reçue dimanche 29 novembre au soir à Matignon, une délégation d’évêques catholiques menée par Mgr de Moulins-Beaufort a pu exprimer son souhait de critères plus adaptés à la reprise des messes. Le gouvernement et l’Église souhaitent revenir à des échanges moins contentieux.



  • Christophe Henning, 
  • le 29/11/2020 à 21:13 
  • Modifié le 30/11/2020 à 10:19



La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Jean-Castex-delegation-lepiscopat-menee-Mgr-Eric-Moulins-Beaufort_0



Jean Castex a reçu la délégation de l’épiscopat menée par Mgr Éric de Moulins-Beaufort.[size=12]GEOFFROY VAN DER HASSE
[/size]

« Confiant et prudent », telle est l’impression de Mgr Dominique Lebrun, au sortir du rendez-vous des évêques de France avec le premier ministre dimanche 29 novembre au soir à Matignon. Confiant, car le dialogue était cordial et la discussion s’est prolongée

Josué

Josué
Administrateur

Cultes : une capacité d’accueil élargie pour les célébrations religieuses
Les faits Après des discussions très tendues entre le gouvernement et les représentants de cultes, le ministère de l’intérieur a annoncé, mardi 2 décembre dans la soirée, un assouplissement des règles sanitaires pour les rassemblements religieux. La nouvelle jauge est applicable jusqu’au 15 décembre, date d’une prochaine évaluation.
Christophe Henning, le 03/12/2020 à 08:00 Modifié le 03/12/2020 à 11:14
Lecture en 2 min.
Cultes : une capacité d’accueil élargie pour les célébrations religieuses
Lors de la messe dominicale à la cathédrale de Saint-Louis-de-Versailles, le 29 novembre.
THOMAS PADILLA//MAXPPP
https://www.la-croix.com/Religion/Cultes-capacite-daccueil-elargie-celebrations-religieuses-2020-12-03-1201127981?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=welcome_media&utm_content=20201203

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

À la « messe pour la France », les prières pour Emmanuel Macron

Les faits

Au cours d’une messe célébrée lundi 14 décembre à la basilique Saint-Jean-de-Latran « pour le bonheur et la prospérité de la France », le cardinal Angelo de Donatis, vicaire de Rome, a mentionné sa « belle rencontre » avec le président français, en 2018.


  • Loup Besmond de Senneville (à Rome),
  • le 15/12/2020 

[size]
La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Icon_reimg_zoom_inLa célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Emmanuel-Macron-visite-basilique-Saint-Jean-Latran-26-2018_0

Emmanuel Macron en visite à la basilique Saint-Jean de Latran, le 26 juin 2018.  ALESSANDRA TARANTINO/AP


Le vicaire de Rome, le cardinal Angelo de Donatis a assuré lundi 14 décembre prier régulièrement pour [ltr]Emmanuel Macron[/ltr]. Au cours d’une messe pour la France, célébrée à la basilique Saint-Jean-de-Latran, à Rome, il a évoqué sa « belle rencontre » avec le président français, lorsqu’il était venu, en 2018, prendre possession de son titre de chanoine d’honneur de la basilique romaine. « J’ai continué à prier pour lui », a assuré le cardinal italien à la fin de son homélie, après y avoir parlé de « l’imprévisible action de Dieu dans la vie des hommes ».
→ RELIRE. [ltr]L’allocution d’Emmanuel Macron à Saint-Jean-de-Latran[/ltr]

Devant plusieurs ambassadeurs, dont ceux des [ltr]États-Unis[/ltr], de Belgique, de Côte d’Ivoire, de Grande-Bretagne ou de Bulgarie, venus assister à cette messe, tous placés sur des chaises espacées d’un mètre pour respecter les protocoles sanitaires, le célébrant a également appelé à prier pour la France.

« Pour le bonheur et la prospérité de la France »
Au début de la cérémonie, Mgr Patrick Valdrini, chanoine du Latran, avait également mentionné les « victimes des actes terroristes », dont ceux qui ont été assassinés dans la [ltr]basilique de Nice[/ltr] le 29 octobre.
La messe annuelle « pour le bonheur et la prospérité de la France » est célébrée chaque année en la basilique Saint-Jean-de-Latran, la cathédrale du [ltr]pape[/ltr], à Rome. Toujours célébrée aux alentours de la Sainte-Lucie (13 décembre) son origine remonte au roi Henri IV, né le 13 décembre 1553 à Pau.

→ À LIRE. [ltr]Au sommet pour le climat, la voix singulière du pape pour une « écologie intégrale »[/ltr]

En 1604, le roi avait voulu marquer la reprise du dialogue entre la France et la papauté en faisant don de l’abbaye de Clairac (Lot-et-Garonne) au chapitre du Latran. En remerciement, le roi – et tous les chefs d’État français après lui – a reçu du « premier et unique chanoine honoraire de l’archibasilique majeure de Saint-Jean-de-Latran », le chapitre s’engageant à célébrer chaque année à la date anniversaire de sa naissance une messe pour la France.

[ltr]https://www.la-croix.com/Religion/A-mes ... 1201130270[/ltr][/size]

chico.

chico.

Le culte de la personnalité n'est pas enseigné dans les évangiles, loin de là!

Josué

Josué
Administrateur

La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Delign10

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Des catholiques belges manifestent pour défendre la liberté de culte[/size]
Les faits 

Une manifestation organisée par le collectif « Pour la messe libre » se tiendra mardi 12 janvier devant le ministère belge de la Justice, afin de « faire entendre la voix des catholiques belges »

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Des restrictions imposées pour la célébration de messes à Saint-Pierre de Rome Abonnés[/size]

Explication 

À partir de lundi 22 mars, les prêtres ne pourront désormais plus célébrer seuls la messe tous les matins dans la basilique Saint-Pierre au Vatican. Ils seront invités à se joindre à des concélébrations ou à présider une cérémonie en présence de fidèles dans une des chapelles des grottes vaticanes.



  • Xavier Le Normand, 
  • le 17/03/2021 à 07:03 
  • Modifié le 17/03/2021 à 07:05



Lecture en 3 min.

La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Fideles-assistent-messe-dirigee-Francois-Notre-Dame-Guadalupe-basilique-Saint-Pierre-Vatican-12-decembre-2020_0



Des fidèles assistent à une messe dirigée par le pape François le jour de la fête de Notre-Dame de Guadalupe dans la basilique Saint-Pierre, au Vatican, le 12 décembre 2020.[size=12]REMO CASILLI/AFP
[/size]

Avant son ouverture aux touristes, la basilique Saint-Pierre de Rome est, tous les matins, le cadre d’un étonnant ballet : souvent accompagnés d’un ou deux enfants de chœur, des prêtres vont et viennent de la sacristie, pour aller célébrer la messe à l’un des nombreux autels de la basilique, que ce soit au niveau principal, ou à celui inférieur, dans les grottes vaticanes. Pour célébrer dans la plus grande église du monde catholique, nul privilège : tout

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

La pratique du culte sera-t-elle suspendue au cours du reconfinement localisé ? Au cours de sa conférence de presse, les mots du premier ministre Jean Castex ont été très clairs : « Les règles s’appliquant aux lieux de culte demeureront inchangées ». Les célébrations religieuses seront donc maintenues.
→ RÉCAP. Covid-19 : reconfinement dans 16 départements, vaccination avec AstraZeneca… Les principales annonces de Jean Castex

« Pour les messes, nous avons observé ce qui se faisait ailleurs, comme à Dunkerque et à Nice », expliquait Karine Dalle, directrice de la communication pour le diocèse de Paris avant la conférence de presse du premier ministre. Depuis fin février, les Alpes-Maritimes, le Dunkerquois et le Pas-de-Calais étaient en effet sous le coup d’un confinement partiel, désormais total. S’il avait été un temps question de suspendre les messes dans les Alpes-Maritimes, la préfecture avait finalement ajouté une case « Déplacement à destination ou en provenance d’un lieu de culte » aux attestations de déplacement.
→ RELIRE. Les messes autorisées à Nice et Dunkerque malgré le confinement partiel
En ce qui concerne les départements confinés dès vendredi 19 mars minuit, le même genre d’attestation de déplacement pourrait entrer en vigueur. « C’est une bonne nouvelle que le culte soit considéré comme un droit fondamental et soit ainsi sur les attestations », se réjouit la responsable communication.

Dans les Alpes-Maritimes, la messe avait d’abord été réduite à 30 minutes au début du confinement pour ne pas excéder l’heure de sortie autorisée. La mesure avait ensuite été abandonnée, puisque seules les sorties pour activité physique sont limitées dans le temps. « La limite de distance et de durée ne concerne que le point 10 (sur les activités physiques) », a expliqué à Nice-Matin, le père Cyril Geley, vicaire général du diocèse de Nice, qui a étudié les attestations. Cette limitation de durée des célébrations ne devrait donc pas s’appliquer dans les départements concernés par ce nouveau confinement.

Le programme de Semaine sainte adapté

En ce qui concerne l’organisation de la Semaine sainte du 28 mars au 4 avril, les diocèses s’y préparent depuis plusieurs semaines, en prenant en compte les mesures sanitaires et de couvre-feu. Des célébrations en extérieur ont notamment été imaginées. « Cela reste à confirmer, mais nous encouragerons peut-être les paroisses à demander les autorisations aux préfectures pour organiser des célébrations en extérieur, comme celle des Rameaux ou du Chemin de Croix », évoque Karine Dalle, qui souligne l’adaptation des paroisses aux mesures de restriction. « Nous avions déjà anticipé les mesures de couvre-feu, que les paroisses ont bien intégré dans leur façon de vivre le Carême et la préparation de la Semaine sainte. »
→ LES FAITS. Avant Pâques, Pessah et le Ramadan, la sécurité des lieux de culte renforcée
Le diocèse précise cependant ne pas avoir été contacté par le préfet avant l’annonce de ce nouveau confinement. « Mais si une attestation avec la case “Culte’’ est mise en place, le problème ne devrait pas se poser» Du côté de la Conférence des Évêques de France (CEF), aucune consigne ni marche à suivre n’ont pour l’instant été transmises aux diocèses concernés. « Mais cela pourrait évoluer », précise-t-on à la CEF.

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]En Belgique, « le mépris total des cultes »[/size]
La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 043_2507413
THIERRY ROGE / BELGA MAG / Belga via AFP
Messe dans la basilique du Sacré-Cœur de Koekelberg, Bruxelles, juin 2020.




Agnès Pinard Legry - Publié le 19/03/21


En Belgique, les messes publiques sont limitées à 15 personnes depuis le mois de décembre 2020 et cela quelle que soit la taille de l’édifice. Une situation jugée injustifiable et discriminatoire pour de nombreux fidèles. "Il y a deux poids et deux mesures dans la définition de l’Essentiel", regrette auprès d'Aleteia Thérèse Van Houtte, porte-parole du collectif "Pour la messe libre".


Discriminatoire, injustifiée, méprisante… Les mots ne manquent pas aux catholiques de Belgique pour dénoncer la situation qu’ils vivent depuis le mois de décembre 2020. Après un deuxième confinement au mois de novembre dernier qui a contraint les églises belges à fermer leurs portes aux fidèles, une décision du Conseil d’État belge prise début décembre 2020 a obligé le gouvernement à autoriser à nouveau les messes publiques… dans la limite de 15 participants maximum, peu importe la taille de l’église. « Pendant ce temps, les commerces de Bruxelles étaient surpeuplés et certains d’entre eux étaient autorisés à accueillir un nombre de clients sans aucune proportion avec les restrictions imposées aux églises », s’insurge auprès d’Aleteia Thérèse Van Houtte, porte-parole du collectif « Pour la messe libre » qui organise depuis le mois de décembre des rassemblements autour des cathédrales afin de demander le retour de la messe. « Par exemple, 2.200 clients étaient autorisés à Inno Galeria (une chaîne de grands magasins belge, ndlr), et 550 à Primark, mais seulement 15 à la basilique de Koekelberg qui fait 10.000 m² ! ».

Une situation ubuesque que les évêques, qui sont rémunérés par l’État comme les prêtres, ont tant bien que mal dénoncée en janvier en adressant une lettre au gouvernement lui demandant d’adapter la jauge à la taille de l’édifice. Mais alors qu’une rencontre était planifiée entre les représentants des cultes reconnus et le ministre de la Justice, Vincent Van Quickenborne (en charge des cultes ndlr), ce dernier a publié à peine quelques heures avant le rendez-vous une note rendant plus strictes encore les conditions d’accès aux lieux de cultes, la limite de 15 personnes dans un édifice religieux étant désormais valable autant pour les cérémonies publiques que pour le recueillement personnel ou une simple visite, et ce, quelle que soit la taille de l’infrastructure, ou le nombre de pièces qu’elle comprend. « Avoir publié ces décisions avant même la rencontre avec les ministres des cultes a été ressenti par les croyants comme un mépris total des demandes qui étaient adressées depuis des mois au gouvernement, et comme une volonté déterminée de faire fi de l’opinion d’un nombre important de citoyens belges », regrette Thérèse Van Houtte. Entretien.

Aleteia : Comment les catholiques belges traversent-ils cette épreuve ?
Thérèse Van Houtte : Les difficultés rencontrées sont diverses selon la situation de chacun. Les parents disent en général qu’il leur est très difficile de maintenir l’habitude de sanctifier le dimanche, lorsque « ce n’est pas leur tour » d’aller à la messe, parce que malgré les efforts que font nos prêtres pour multiplier les messes, l’accès limité à 15 personnes ne permet pas à tous de s’inscrire chaque dimanche. Les personnes âgées ou seules, sont privées de la vie de paroisse qui, pour certaines, était leur bol d’oxygène hebdomadaire. Il en est de même pour les mères de familles au foyer. En effet, même les dimanches où l’assistance physique est possible, les messes s’enchaînent et il n’est pas possible de prolonger un peu son action de grâce ou de rencontrer du monde sur le parvis. Certains soignants quant à eux témoignent de leur difficulté à garder le cap dans leur métier. Se donner au jour le jour, dans un sourire, garder la disponibilité et la patience requises auprès des malades, sans pouvoir se ressourcer à la fontaine d’eau vive de l’Eucharistie est mission quasiment impossible. 




Et les prêtres ?
Ils souffrent eux aussi douloureusement de cette situation. Malgré l’ingéniosité dont ils font preuve pour maintenir un maximum de lien avec leurs fidèles et poursuivre coûte que coûte leur apostolat (conférences spirituelles sur Youtube, lettres d’encouragement à leur fidèles, cérémonies rediffusées…), en leur enlevant leurs paroissiens, on leur enlève une grande partie de leur raison d’être ! 


Votre collectif « Pour la messe libre » est né en décembre dernier. Concrètement comment faites-vous entendre votre voix ?
La première initiative a été celle des rosaires autour des cathédrales du pays. La symbolique des cathédrales voulait signifier que nous nous tournions vers Dieu, bien sûr dans la prière, et par l’intermédiaire de Marie, mais aussi vers nos évêques qui le représentent. Le silence pesant de nos pasteurs nous a causé une grande souffrance. Il nous a semblé qu’ils ne mesuraient pas l’importance de la messe dans nos vies. C’est parce qu’il nous a été interdit de nous rassembler pour prier, les « manifestations revendicatives » seules permettant de rassembler plus de 4 personnes, que nous avons changé notre fusil d’épaule et organisé des manifestations. La foi n’étant rien sans les œuvres, nous n’avons pas voulu en rester là. Une action publique nous semblait capitale pour faire entendre la voix des catholiques belges auprès du gouvernement qui s’obstine à faire la sourde oreille ! 



La prière restant la plus puissante des armes, chaque initiative temporelle a été accompagnée d’une initiative spirituelle.
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Nous avons aussi pris contact avec nos évêques et avons rencontré ceux qui le voulaient bien, afin d’échanger avec eux sur la situation dramatique de l’église en Belgique, et sur les moyens que nous pouvons déployer pour tâcher d’y remédier. Afin d’encourager les catholiques à se tourner vers nos évêques, nous avons préparé des modèles de lettres reprenant les arguments pour lesquels nous jugeons ces restrictions comme injuste, et pour redire combien nous avons besoin de la messe ! La prière restant la plus puissante des armes, chaque initiative temporelle a été accompagnée d’une initiative spirituelle : neuvaine nationale à Notre-Dame pour les fêtes de l’Immaculée Conception et de la Chandeleur, à Saint Joseph pour sa fête…

Qu’espérez-vous dans les prochaines semaines ?
Ce que nous attendons exactement, c’est que tout le monde soit logé à la même enseigne. Nous sommes conscients de la gravité de la situation, et de l’importance que chacun fasse preuve d’une grande prudence pour limiter l’expansion de l’épidémie. Mais pour l’instant, il y a deux poids et deux mesures dans la définition de l’Essentiel. Les piscines sont ouvertes, sous certaines conditions, certes, mais qui pourraient démontrer que le risque de contamination est moindre à la piscine que dans une église ? Les transports en commun sont bondés, les grands magasins peuvent proportionner leur clientèle à leur surface, les marchés grouillent de monde… et les cérémonies religieuses ne peuvent rassembler que 15 personnes habituellement et 50 pour les enterrements. Eventuellement 50 en extérieur d’ici peu ! C’est absurde et discriminatoire. Le culte ne se limite pas à enterrer nos morts : l’eucharistie est la source de Vie.


La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 TOULOUSE-FRANCE-080_HL_ANOWAK_1292699
Lire aussi :Reprise des messes : César n’est pas Dieu


Nous attendons donc de notre gouvernement qu’il applique des règles proportionnelles à la superficie de nos édifices. C’est ce que nous demandons depuis des mois, sans obtenir d’autre réponse que des adaptations ridicules et toujours bien en dessous de ce qui est accordé aux autres infrastructures. Les paroisses ont, comme tout le monde mis en place toutes les mesures nécessaires pour éviter la contamination, et il n’a jamais été prouvé, qu’un édifice religieux était un foyer de contamination plus important qu’un métro ou pourtant les gens sont agglutinés, touchent les portes, se bousculent… Le gouvernement doit cesser d’ignorer les croyants belges, qu’il cesse de renier l’article 19 de sa constitution qui garantit la liberté des cultes et leur exercice public. Ce que nous attendons très concrètement, c’est de pouvoir célébrer la semaine sainte et Pâques dans nos églises, avec des mesures raisonnables et acceptables, et de pouvoir retrouver la vie liturgique dont nous sommes privés depuis bientôt un an.
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Josué

Josué
Administrateur

[size=59]A Paris, une messe de Pâques dans une église sans masque ni respect des gestes barrières[/size]

« Le Parisien » a diffusé la vidéo d’une messe samedi montrant prêtres et fidèles sans masque lors d’une messe. Le diocèse de Paris se désolidarise et témoigne de sa stupéfaction.


Par L'Obs
Publié le 06 avril 2021 à 09h03 Mis à jour le 06 avril 2021 à 09h15




Vidéo du « Parisien » montrant une messe tenue sans respect des mesures sanitaires samedi 3 avril à Paris (capture d’écran). (Le Parisien)

Une église remplie de personnes, sans masques. L’image a de quoi surprendre alors que l’épidémie de Covid-19 circule fortement en France, qui vient d’entamer un troisième confinement. Samedi 3 avril, une messe de Pâques célébrée dans l’église Saint-Eugène-Sainte-Cécile (9e arrondissement de Paris), s’est tenue sans aucun respect des règles sanitaires.
Une vidéo transmise au « Parisien » par un témoin venu assister à un baptême, dévoile de nombreux fidèles serrés dans l’édifice. Beaucoup sont sans masque alors qu’ils sont très proches. « L’église est pleine à craquer », précise le témoin anonyme au quotidien qui évoque la présence de 300 à 400 personnes.

Plusieurs images interrogent : « Les gamins qui sont baptisés tous dans la même flotte, les gens qui communient tous à la main, le curé qui passe sa main de bouche en bouche… J’étais vraiment estomaqué, raconte le témoin. J’ai vu du point de vue sanitaire… À un moment où quand même la situation est grave et où on se serre tous la ceinture, on fait tous des efforts… »

[size=42]Le diocèse de Paris se désolidarise[/size]


Face aux images et à la polémique, le diocèse de Paris a réagi ce week-end de Pâques. Interrogé sur Franceinfo lundi, celui-ci s’est dit « stupéfait devant le non-respect évident des consignes essentielles de distanciation » et « de port de masque ». L’institution catholique oblige normalement à respecter une distanciation sociale dans les églises et à porter le masque pour les enfants de plus 11 ans.

https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20210406.OBS42332/a-paris-une-messe-de-paques-dans-une-eglise-sans-masque-ni-respect-des-gestes-barrieres.html?cm_mmc=Acqui_MNR-_-NO-_-WelcomeMedia-_-edito&from=wm#xtor=EREC-10-[WM]-20210406

papy

papy

Les responsables de cette église sont des inconscients et devraient êtres mis en quarantaine.

papy

papy

[size=62]Messe sans gestes barrières : une enquête ouverte par le parquet de Paris[/size]

[size=30]Le parquet de Paris a ouvert une enquête, mardi, pour « mise en danger de la vie d’autrui ». En cause : une messe sans masques lors du week-end de Pâques.[/size]

Rene philippe

Rene philippe
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Je vous mettrai la vidéo demain

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Messe sans gestes barrières : une enquête ouverte par le parquet de Paris[/size]

[size=30]Le parquet de Paris a ouvert une enquête, mardi, pour « mise en danger de la vie d’autrui ». En cause : une messe sans masques lors du week-end de Pâques.[/size]


La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 21514281lpw-21516480-article-jpg_7822378_660x281
La nef de l'église Saint-Eugène-Sainte-Cécile, dans le 9[size=17]e arrondissement de Paris.© BEAUVIR-ANA / ONLY FRANCE / Only France via AFP
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Source AFP
Publié le 06/04/2021 à 16h45

[size=40]La vidéo a beaucoup choqué, à l'heure où les écoles et les restaurants sont fermés dans une France entièrement confinée. Sur les images dévoilées par Le Parisien, on distingue des prêtres et des fidèles, sans masques ni distanciation sociale, réunis samedi en l'église Saint-Eugène-Sainte-Cécile, dans le 9e arrondissement de Paris. Face au tollé provoqué par cette vidéo, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « mise en danger de la vie d'autrui », mardi. Sollicité par l'Agence France-Presse, le parquet indique avoir confié les investigations à la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP).
Plus tôt dans la journée, le diocèse de Paris s'est, de son côté, dit « stupéfait », par la tenue d'une telle messe, pendant les célébrations pascales, sans respect des gestes barrières. D'après les images mises en ligne par Le Parisien, des prêtres très proches les uns des autres ont donné l'hostie directement dans la bouche des fidèles, au cours d'un office d'une durée de quatre heures.[/size]

Rene philippe

Rene philippe
MODERATEUR
MODERATEUR

Voila le lien :

https://youtu.be/1c5eHsscFYg

samuel

samuel
Administrateur

Rene philippe a écrit:Voila le lien :

https://youtu.be/1c5eHsscFYg
Merci.

Rene philippe

Rene philippe
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Vous vous rendez compte : Jésus ne peut pas voir à travers un masque Shocked c’est n’importe quoi

Josué

Josué
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Et oui Jésus fait des quantités de miracles, mais ne voie pas a travers les masques. Very Happy Very Happy

Josué

Josué
Administrateur

[size=49]Enquête pénale à Reims après deux messes traditionalistes sans respect du port du masque
Un élu ardennais ne décolère pas après la découverte, sur Facebook, d’images de messes célébrées en latin dans le non-respect des règles sanitaires, en présence de près de deux cents personnes.
Le Monde avec AFP
Publié le 07 avril 2021 à 17h41 - Mis à jour le 07 avril 2021 à 20h57 

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La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Bea5e8d_621996289-reims-eglise-sainte-jeanne-d-arcL’église Sainte-Jeanne-d’Arc de Reims, où ont été célébrées deux messes sans que le port du masque soit respecté. CC BY-SA 4.0
Après Paris, c’est à Reims que les fidèles catholiques ignorent les consignes sanitaires. Le parquet de Reims a ouvert, mercredi 7 avril, une enquête pénale pour « non-respect des gestes barrières en période de pandémie » après deux messes traditionalistes de Pâques organisées par l’Institut du Christ roi souverain prêtre (ICRSP) et regroupant près de deux cents fidèles en l’église Sainte-Jeanne-d’Arc de Reims.

Le procureur de Reims, Matthieu Bourrette, a expliqué à l’Agence France-Presse (AFP) s’appuyer sur les « directives générales de politique pénale adressées par le garde des sceaux le 3 avril » pour ouvrir cette enquête, « notamment pour non-respect du port du masque ». Elle a été confiée au commissariat de Reims.

Le silence de l’archevêque


La décision du parquet fait suite à la publication d’un article du quotidien L’Union relayant la colère d’un maire ardennais. L’élu avait découvert, sur Facebook, les images de deux messes célébrées en latin, samedi 3 et dimanche 4 avril, dans une église de Reims, où les participants, qui ne portaient pas de masque, ne respectaient ni les gestes barrières ni la distanciation physique. « Ce n’est pas vrai », a contesté Jean Maïdanatz, le chanoine rémois de l’ICRSP, sollicité par l’AFP. S’il admet « enlever son masque lorsqu’il parle », il affirme que « la majorité des fidèles, quatre-vingt-dix le samedi et une centaine le dimanche, ont respecté les gestes barrières et les distances ». Et d’ajouter que « des masques et du gel hydroalcoolique sont diffusés. Mais je n’ai pas les moyens d’astreindre les fidèles aux masques ».

Contacté par l’AFP, l’archevêque de Reims, Eric de Moulins-Beaufort, n’a pas souhaité réagir à l’ouverture de cette enquête pénale. « Il laisse la justice faire son travail », a expliqué Sixtine Rousselot, chargée de communication à l’archevêché. Avant d’insister sur le fait qu’« il rappelle, à cette occasion, la nécessité de respecter le port du masque dès 11 ans » ainsi que la règle « des deux sièges d’écart entre les fidèles dans les églises ».

Cette enquête fait écho à celle ouverte, mardi 6 avril, pour « mise en danger de la vie d’autrui » après une messe célébrée samedi 3 avril dans une église parisienne au cours de laquelle ni les prêtres ni les fidèles ne portaient de masque ou ne respectaient la distanciation physique.

Mercredi soir, le diocèse de Paris a fait savoir que l’archevêque de Paris, Michel Aupetit, avait ouvert une procédure canonique contre le curé de la paroisse Sainte-Eugène-Sainte-Cécile. Cette procédure, qui relève du droit de l’église, pourrait aboutir à des sanctions. « En attendant la conclusion de cette procédure canonique, il lui est demandé de faire strictement appliquer le respect des mesures sanitaires dans cette église et de relayer, au cours du week-end, une communication de l’archevêque de Paris à l’attention des paroissiens, afin de leur rappeler à nouveau les règles qui s’imposent à tous. »

https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/04/07/enquete-penale-a-reims-apres-deux-messes-traditionalistes-sans-respect-du-port-du-masque_6075896_3224.html

Josué

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[size=38]Des catholiques belges manifestent pour défendre la liberté de culte Abonnés[/size]

Les faits 

Une manifestation organisée par le collectif « Pour la messe libre » se tiendra mardi 12 janvier devant le ministère belge de la Justice, afin de « faire entendre la voix des catholiques belges »



  • Carlos De Sousa, 
  • le 12/01/2021 à 13:12 
  • Modifié le 12/01/2021 à 13:19



La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Manifestation-organisee-Bruxelles-mardi-12-janvier-catholiquesdefendre-liberte-culte_0



Une manifestation est organisée à Bruxelles mardi 12 janvier par des catholiques pour défendre la liberté de culte.[size=12]KENZO TRIBOUILLARD/AFP

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L’appel du collectif « Pour la messe libre », relayé sur les réseaux sociaux, est clair : « La seule possibilité que nous avons aujourd’hui pour faire entendre la voix des catholiques belges est la manifestation. »
Selon La Libre Belgique, le

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[size=38]Covid-19 et aération : que risque-t-on à chanter dans une église ?[/size]

Explication 

Les études scientifiques convergent pour mettre en avant l’importance d’une bonne aération des locaux pour prévenir les contaminations par l’air. Qu’en est-il dans une église, un cinéma ou un restaurant ?



  • Mathieu Laurent, 
  • le 09/05/2021 à 09:50 
  • Modifié le 09/05/2021 à 13:38




La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Chant-durant-messe-leglise-Notre-Dame-Champs-Paris-septembre-2020_0



Un chant durant la messe à l’église Notre-Dame-des-Champs, à Paris, en septembre 2020.[size=12]CORINNE SIMON/CIRIC
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L’air plutôt que les surfaces. Un an après le premier confinement durant lequel la désinfection des paniers de courses était source d’anxiété, les scientifiques insistent sur le rôle des contaminations par voie aérienne, via des aérosols, c’est-à-dire de fines gouttelettes qui restent en suspension dans l’air pendant un temps plus long, permettant leur transport sur des distances plus grandes.
→ À LIRE. Covid-19 : pourquoi il faut maintenir les gestes barrières
«

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Face aux importantes restrictions sanitaires qui perdurent en Irlande, de nombreux prêtres renouent avec la tradition des messes en plein air, sur des autels de fortune. Une pratique qui remonte aux persécutions infligées aux catholiques irlandais, du XVIè au XVIIIè siècle.
En Irlande, on appelle cette pratique les « Mass Rocks » (« rochers de messe »). À l’époque où la pratique de leur foi était interdite, les fidèles irlandais se retrouvaient en extérieur, dans des endroits isolés et cachés, pour assister à la messe. Avec des gros rochers en guise d’autels, au sommet des montagnes ou dans des champs en pâture, les prêtres célébraient ainsi l’Eucharistie clandestinement pour échapper aux persécutions.

Depuis le début du XIXè siècle et la fin des persécutions, cette pratique est tombée en désuétude, même si certaines paroisses locales continuent de célébrer une messe annuelle sur l’un ou l’autre autel préservé. D’autres restent cachés dans la nature, intacts ou non.

Sur les traces de leurs ancêtres
Alors que la plupart des pays du monde impose des restrictions sanitaires pour l’exercice des cultes à cause de la pandémie, l’Irlande figure parmi ceux qui ont les mesures les plus strictes. Entre le mois d’octobre et le 10 mai, les messes publiques ont été suspendues, avec une très courte parenthèse à Noël. Désormais, les célébrations religieuses sont autorisées mais limitées à 50 personnes, tout comme les réceptions de mariages.

Face à cela, plusieurs diocèses renouent depuis quelques mois avec la tradition des « Mass Rocks ». Les prêtres célèbrent ainsi la messe sur des rochers en granit qui parsèment le paysage irlandais et qui rappellent le temps où les catholiques pratiquaient secrètement leur foi sur l’île d’Emeraude. Cela donne lieu à des scènes étonnantes, que l’Aide à l’Église en Détresse (AED) a immortalisé dans une vidéo publiée sur la chaîne Youtube. Le 20 juin dernier, jour de la fête des bienheureux martyrs irlandais, l’association avait invité les 26 diocèses à organiser des messes en plein air en leur mémoire. « Ces saintes messes ont été offertes pour le renouveau de la foi en Irlande par l’intercession des martyrs irlandais », précise l’AED.

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[size=44]Le pass sanitaire va-t-il être obligatoire dans les églises ?[/size]
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Agnès Pinard Legry - Publié le 13/07/21 - Mis à jour le 13/07/21



Le pass sanitaire va devenir obligatoire à partir du 21 juillet dans les "lieux de loisirs et de culture" et début août pour entrer dans les restaurants, centres commerciaux et les transports longue distance. Et pour les églises ?



Les catholiques vont-ils être contraints de présenter un pass sanitaire (preuve de vaccin ou d’un test PCR négatif) pour assister à la messe ? Lors de son allocution télévisée lundi 12 juillet, Emmanuel Macron a annoncé qu’à partir du 21 juillet, le pass sanitaire sera nécessaire pour pénétrer dans des « lieux de loisirs et de culture » comme les cinémas. Dès le début août, il deviendra obligatoire pour entrer dans les cafés, les restaurants, les centres commerciaux mais aussi dans les avions, trains ou autocars de longs trajets, ainsi que pour les établissements médicaux.




Une protection institutionnelle pour les lieux de culte ?



Les lieux de culte rassemblant facilement plus de 50 personnes, quelle règle va s’y appliquer ? « Les lieux de culte bénéficiant d’une protection constitutionnelle, ils ne sont pas concernés par le pass sanitaire », a indiqué Matignon au Figaro ce mardi. En effet, fin novembre 2020 le Conseil d’État avait sommé le gouvernement de revoir la jauge de 30 personnes imposées pour les messes. Même si les églises sont des établissements recevant du public (ERP), il avait souligné que la comparaison entre des lieux de culte à des établissements recevant du public, comme les théâtres et les cinémas, n’était pas valable puisque les activités qui s’y tiennent « ne sont pas de même nature et les libertés fondamentales qui sont en jeu ne sont pas les mêmes ».



« Les cultes et leur pratique n’ont pas été cités dans la liste des lieux qui nécessiteront le pass sanitaire pour leur accès », a indiqué la Conférence des évêques de France (CEF) au lendemain de l’allocution du président de la République. En conséquence, elle a annoncé que « les règles en cours actuellement restent valables :  à savoir l’utilisation du gel hydro alcoolique, le port du masque et tout autre mesure sanitaire liée à la pratique du culte ». Les évêques de France ont également fait savoir qu’ils resteraient vigilants « comme depuis le début de la crise quant au respect de la liberté de culte ».



Les annonces télévisées n’ayant pas de poids juridique, il faudra néanmoins attendre la publication des décrets. « C’est ce que l’on a fait tout l’hiver », confie-t-on au diocèse de Paris. Les décrets, qui devraient être publiés d’ici la fin de la semaine, préciseront a priori les établissements pour lesquels le pass sanitaire est obligatoire. « Entre les annonces et les orientations prises par la suite il peut y avoir des évolutions », reprend le service communication du diocèse de Paris.

À la suite du discours d’Emmanuel Macron, plusieurs prêtres et évêques ont fait part de leur inquiétude ou de leurs interrogations. Évêque du diocèse de Gap et Embrun, Mgr Xavier Malle a ainsi tenu à rappeler qu’avant d’être des lieux de culture, les églises et sanctuaires étaient bien des lieux de culte. « Je me vois bien en train de scanner des QR code et refouler les non vaccinés qui voudraient aller à la messe », a quant à lui réagi l’abbé Simon d’Artigue, prêtre du diocèse de Toulouse, sur Twitter. « Rendre l’accès à l’église ou à un office contraint par un pass sanitaire va à l’encontre de la nature même d’un lieu de culte ouvert à tous », a réagi auprès d’Aleteia un prêtre parisien.

Josué

Josué
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Variant Omicron : le Québec ferme les lieux de culte jusqu’à nouvel ordre

meunierd / Shutterstock

Notre-Dame de Québec.


Agnès Pinard Legry - publié le 02/01/22 - mis à jour le 02/01/22

Face à la hausse des contaminations liées au variant Omicron, le Québec a annoncé la fermeture des lieux de culte à partir du 31 décembre et pour une durée indéterminée.
Afin de tenter d’enrayer la recrudescence des contaminations liées au variant Omicron, le Québec a annoncé une série de mesures restrictives qui sont entrée en vigueur le 31 décembre et pour une durée indéterminée. Parmi elles se trouve la fermeture des lieux de culte, dont les églises, sauf pour y célébrer des funérailles à 25 personnes. Comme cela avait déjà été le cas par lors des précédentes fermetures, les offices et autres activités liturgiques peuvent être diffusées en ligne.

Messes en extérieur autorisées
À noter que les « organismes communautaires », notamment l’aide aux personnes démunies, « peuvent continuer leur activité, souvent dans les salles communautaires au sous-sol de nos églises », précise l’Église catholique du Québec. Les messes en extérieur restent quant à elles permises. « Plusieurs paroisses nous ont déjà signifié leur intérêt, malgré la température froide », a indiqué le service communication de l’Église catholique du Québec.

Au-delà des cultes, le Québec a réinstauré un couvre-feu de 22 heures à 5 heures du matin. La rentrée dans les écoles et universités a été repoussée au 17 janvier et les rassemblements privés sont à nouveau interdits. Les contrevenants s’exposent à des amendes allant de 1.000 à 6.000 dollars (4.100 euros) s’ils ne sont pas en mesure de justifier adéquatement la raison de leur sortie.

Josué

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[size=38]Covid-19 : ce qui change dans les églises à compter du lundi 14 mars [/size]

Les faits
 

Le port du masque et le passe sanitaire ne seront plus obligatoires en France à partir de ce lundi 14 mars. Concernant les pratiques à nouveau autorisées dans les églises, la responsabilité de l’organisation à adopter revient aux évêques pour leurs diocèses respectifs.



  • Matthieu Lasserre, 
  • le 13/03/2022 à 18:15



La célébration de messes est suspendue dans l'Oise. - Page 2 Comme-masque-plusieurs-dispositions-liturgiques-adoptees-raison-pandemie-seront-levees-lundi-14-femme-portant-masque-FFP2dune-messe-Nancy-31-2020_0



Comme le port du masque, plusieurs dispositions liturgiques adoptées en raison de la pandémie seront levées lundi 14 mars. (ici, une femme portant un masque FFP2 lors d’une messe à Nancy le 31 mai 2020)ALEXANDRE MARCHI/PHOTOPQR/L'EST REPUBLICAIN/MAXP

Les catholiques de France s’apprêtent à renouer avec la messe à visage découvert. À compter de lundi 14 mars, le port du masque ne sera plus obligatoire en intérieur, y compris dans les lieux de culte, après de longs mois passés avec des contraintes destinées à freiner la propagation de la pandémie

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