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nouvelle traduction du Missel romain.

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Le Vatican valide la nouvelle traduction du Missel romain[/size]
nouvelle traduction du Missel romain. Web3-missel-roman-latin-pascal-deloche-i-godong
Pascal Deloche I Godong

Missel romain.
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La rédaction d'Aleteia | 05 novembre 2019

La Conférence des évêques de France a reçu de la part de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements le décret de confirmation de la traduction de la nouvelle édition du Missel romain.

La France obtient la validation de la nouvelle traduction du Missel romain, vient d’indiquer la Conférence des évêques de France. Fruit d’un travail de plusieurs années, initié depuis 2002, cette traduction qui a réuni évêques et experts répond aux attentes formulées dans le motu proprio Liturgiam authenticam (2001), puis de Magnum principium (2017). Ce dernier texte demandait aux conférences épiscopales de respecter trois principes de fidélité au texte de l’Editio typica : fidélité au texte original, fidélité à la langue dans laquelle il est traduit, et fidélité à l’intelligence du texte utilisé par les destinataires.


La nouvelle édition du missel Romain a pour objectif « de proposer une plus juste traduction du texte typique latin », précise la CEF. « S’il ne s’agit pas d’une réforme du Missel, cette nouvelle traduction permet de faire faire au peuple chrétien un pas supplémentaire pour entrer dans l’intelligence du mystère pascal du Christ ». Certaines paroles qui sont prononcées par le prêtre dans le déroulement de la messe ou par l’assemblée sont amenées à changer. C’est le cas, par exemple, du « consubstantiel au Père » dans le Credo.

Une version définitive à partie du 24 mai 2021

La phase d’édition de la nouvelle traduction du Missel romain débutera prochainement et la version imprimée devrait être accessible pour l’Avent 2020. Elle devrait être définitive dans les paroisses de France à partir du lundi 24 mai 2021, mémoire de « Marie, Mère de l’Église ».

Josué

Josué
Administrateur

L'un des versets du "Notre-Père" va changer. "Ne nous soumets pas à la tentation", le sixième verset, va être transformé en "Ne nous laisse pas entrer en tentation". Une formule décrite comme plus neutre par les spécialistes. "Soumettre… On a l'impression que c'est le serviteur qui est soumis à la volonté de son maître. Là c'est l'homme qui décide de ne pas entrer", explique Marie-Madeleine Tissot, Professeur de catéchèse. Cette modification est une première en cinquante ans. Cette nouvelle traduction ne concernera que les fidèles de France, soit 3 % seulement de l’ensemble des catholiques du monde. Le nouveau "Notre Père" résonnera dans les églises à partir du premier dimanche de l’Avent, le 3 décembre prochain.

Josué

Josué
Administrateur

traduction actuelle du Missel romain remonte aux années 1970 et a seulement fait l'objet de mises à jour mineures depuis. Une nouvelle traduction s'imposait afin de "manifester l'unité du rite romain". Elle entrera en vigueur le dimanche 28 novembre prochain, premier jour de l’Avent.

La traduction du Missel romain, le livre rassemblant toutes les prières récitées pendant la messe, n’a pas changé depuis cinquante ans, date de la première édition dite « typique ». Or la langue française, comme toute langue vivante, évolue au fil du temps. « La version initiale du Missel romain a été publiée en latin, le 3 avril 1969, suivant la constitution Missale Romanum du pape saint Paul VI », explique Bernadette Mélois, Directrice du Service national de la Pastorale liturgique et sacramentelle. Sa traduction en français intervient en 1970. La version initiale évolue à deux reprises, en 1975 et en 2002, et c’est cette dernière, la 3ème édition typique, qui a été traduite à nouveau, dans le but de se rapprocher au maximum du texte original latin.

Josué

Josué
Administrateur

 nouvelle traduction du Missel romain, qui entre en vigueur le 28 novembre prochain, privilégie le pluriel « les péchés » au singulier « le péché ». Quelle en est la raison et qu’est-ce que cela induit ?

Parmi les modifications liées à la nouvelle traduction du Missel romain, il en est une minime qui a cependant son importance. Un simple passage du singulier au pluriel, mais qui met l’accent sur le fait que le péché n’est pas une fatalité liée à notre condition de pécheur.

A deux reprises dans la nouvelle traduction de l’ordinaire de la messe, « le péché du monde » devient « les péchés du monde ». C’est le cas dans le Gloire à Dieu et dans l’Agnus Dei : « Toi qui enlèves les péchés du monde » remplace « Toi qui enlèves le péché du monde ». Le même glissement s’effectue dans l’introduction à l’acte pénitentiel : « Frères et sœurs, préparons-nous à célébrer le mystère de l’Eucharistie, en reconnaissant que nous avons péché » au lieu de « que nous sommes pécheurs ».

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Ajout de « sœur » dans le Missel : concession faite au féminisme ou fidélité au texte latin ?[/size]
nouvelle traduction du Missel romain. FRENCH-MISSAL-FRANCOIS-REGIS-SALEFRAN-MAME
François-Régis Salefran (Vivre la messe, Mame 2021


La nouvelle traduction du Missel romain, qui entre en vigueur ce dimanche 28 novembre, remplace dans certaines prières liturgiques « frères » par « frères et sœurs ». Eclairages du père Henri Delhougne, coordinateur de la Commission du Missel romain (Comiro), et du père Samuel Berry, délégué épiscopal pour la pastorale liturgique et sacramentelle.



Concession faite au féminisme ou fidélité au texte latin ? La nouvelle traduction du Missel romain remplace à plusieurs reprises le mot « frères » par la formule « frères et sœurs », et « serviteurs » par « serviteurs et servantes ». C’est le cas dans l’introduction du rite pénitentiel : « Frères et sœurs, préparons-nous à célébrer le mystère de l’eucharistie, en reconnaissant que nous avons péché » et à deux reprises dans le Je confesse à Dieu : « Je confesse à Dieu tout-puissant, Je reconnais devant vous, frères et sœurs, que j’ai péché en pensée, [….] C’est pourquoi je supplie la bienheureuse Vierge Marie, les anges et tous les saints, et vous aussi, frères et sœurs, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu. »



La nouvelle prière sur les offrandes inclut également cette nouvelle adresse : « Priez, frères et sœurs: que mon sacrifice, qui est aussi le vôtre, soit agréable à Dieu le Père tout puissant. » Enfin, la prière eucharistique I mentionne les serviteurs et les servantes : « Souviens-toi Seigneur, de tes serviteurs et de tes servantes…  ». « Ce n’est pas une concession faite au féminisme mais un retour à la richesse du texte latin », explique Bernadette Mélois, directrice du Service national pour la pastorale liturgique et sacramentelle : «  »Frères et sœurs » renvoie à la fraternité tant significative de l’Église du premier millénaire. En incluant les « sœurs » dans le discours, le Missel reprend l’antique manière des chrétiens de s’adresser les uns aux autres, comme « frères et sœurs », égaux dans le Christ-frère ».





Une très ancienne formulation



Inclure explicitement les femmes dans les prières de l’assemblée n’est pas une nouveauté. Depuis des siècles, le canon romain latin utilise la formule « Memento, Domine, famulorum famularumque tuarum » (« Souviens-toi, Seigneur, de tes serviteurs et de tes servantes ») dans la prière eucharistique I. « L’expression « serviteurs et servantes » était déjà présente dans la prière eucharistique I du Missale romanum. Ce n’est qu’en 1970 que, curieusement, les traducteurs ont fait disparaître le mot « servantes » », explique le père Henri Delhougne, docteur en théologie, moine bénédictin à l’Abbaye Saint-Maurice de Clervaux (Luxembourg) et coordinateur de la Commission du Missel romain.
« Famularum » reste la seule occurrence du féminin dans le canon romain. « Les autres adresses ne font mention que de « fratres » (« frères ») », précise père Henri Delhougne. Cependant, reprendre l’ancienne formulation évoquant le féminin et l’étendre aux autres prières est une manière de s’adapter à l’évolution de la langue et de la société. « La situation culturelle a évolué, et à des rythmes différents selon les pays », constate le père Henri Delhougne.
« La mention de « frères et sœurs » est une forme spécifique au Missel francophone, demandé avec insistance par les évêques canadiens pour qui le langage inclusif est plus ancré qu’en France », abonde le père Samuel Berry, délégué épiscopal pour la pastorale liturgique et sacramentelle dans le diocèse de Pontoise. Une formule qui selon lui permet d’inclure plus largement, et qui a du sens par rapport à la manière de s’exprimer aujourd’hui. « Le mot « frère » n’est pas un terme générique. S’il est évident que le mot « homme » est un terme générique qui comprend les hommes et les femmes, cela est moins évident avec le mot « frère ». « Frères et sœurs » permet ainsi de s’adresser à toute l’assemblée ». Une manière de favoriser un esprit de fraternité qui n’a pas échappé au Pape : « Le Pape François débute toutes ses catéchèses par « Frères et sœurs, bonjour », souligne le père Henri Delhougne. Le bon exemple vient de haut ! ».

https://fr.aleteia.org/2021/11/23/lajout-de-soeur-dans-le-missel-concession-faite-au-feminisme-ou-fidelite-au-texte-latin/?utm_campaign=EM-FR-Newsletter-Daily-&utm_content=Newsletter&utm_medium=email&utm_source=sendinblue&utm_term=20211124

Lechercheur



Le missel ce met au gout du jour concernant la parité.

Josué

Josué
Administrateur

[size=13]Auteur :[/size]
Comme chacun sait, nous venons, en France, de changer la sixième demande du Pater à laquelle l’abbé Carmignac était si opposé. Nous avons demandé au Professeur Luciani, l’excellent helléniste en titre de notre association, de nous dire ce qu’il pense du problème posé par le texte grec du Pater.
La sixième demande du Pater pose un redoutable problème ; la formule jusqu’à présent en usage dans l’Eglise catholique - « ne nous soumets pas à la tentation », choque le fidèle qui voit en Dieu un Père infiniment bon. L’Abbé J. Carmignac a parfaitement défini la difficulté : « car, si l’on demande à Dieu de ne pas nous introduire dans une tentation, c’est qu’il y a risque ou danger qu’il nous y introduise. Le dilemme est alors inévitable et irréfutable : Si Dieu exerce le moindre rôle positif dans la tentation, il ne peut plus être infiniment saint, puisqu’il contribue par la tentation à inciter au péché, et il ne peut plus être infiniment bon puisqu’il contribue à entraîner ses enfant de la terre vers le plus grands des malheurs ; et si, d’autre part, Dieu n’exerce aucun rôle positif dans la tentation, c’est l’insulter que de lui demander de ne pas faire un mal qu’il n’a pas l’intention de réaliser, tout comme chacun de nous se sent outragé quand on lui attribue une intention mauvaise que nous n’avons pas en réalité » (Recherches sur le « Notre Père », p. 236-237.)

chico.

chico.

Quel bilan pour la nouvelle traduction du missel un an après ?
Article réservé aux membres Aleteia Premium
Catholic mass.
Pascal Deloche | Godong


Valdemar de Vaux - publié le 26/11/22

L’Avent commence ce dimanche 27 novembre et avec lui une nouvelle année liturgique. Il y a un an débutait à cette occasion l’usage de la nouvelle traduction du missel pour les messes francophones. Un an, de quoi faire un premier bilan de ce changement loin d’être anodin.
Deux semaines. C’est il y a deux semaines seulement que Jacqueline, 82 ans, s’est rendue compte que les textes de la messe n’étaient pas ceux auxquels elle est habituée depuis bien longtemps. Une anecdote charmante qui montre s’il le fallait que le passage à une nouvelle version de la traduction (l’édition originale, ou typique, est en latin) du missel n’a pas suscité de troubles dans la prière des fidèles. Surtout, la chose s’est majoritairement faite avec fluidité dans les paroisses, les nouvelles habitudes s’installant plus facilement qu’imaginé.

Pourtant, en novembre 2021, quand les catholiques de France s’apprêtent à découvrir ces modifications durant l’eucharistie, certains ne comprennent pas. Un mois après la publication du rapport de la Ciase, l’Église en France ne devrait-elle pas plutôt s’occuper d’empêcher toute sorte d’abus au lieu d’une réforme accessoire ? Ceux qui s’interrogent de cette manière n’ont peut-être pas en tête que la nouvelle traduction, demandée par Rome dans toutes les langues vernaculaires, attendait depuis 2002…

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