L’homme doit vivre, non pas de pain seul, mais de toute parole qui sort par la bouche de Jéhovah (Mat. 4:4).
Dès le début de son ministère, Jésus s’est laissé guider par les Écritures. Même dans ses dernières paroles, il a cité des prophéties messianiques (Mat. 27:46 ; Luc 23:46). Les chefs religieux de l’époque, par contre, faisaient fi de la Parole de Dieu dès qu’elle contredisait leurs traditions. Citant ce qu’a déclaré Jéhovah par la bouche du prophète Isaïe, Jésus a dit d’eux : « Ce peuple m’honore des lèvres, mais leur cœur est très éloigné de moi. C’est en vain qu’ils continuent à me rendre un culte, parce qu’ils enseignent pour doctrines des commandements d’hommes » (Mat. 15:7-9). Jésus a laissé la Parole de Dieu guider non seulement ses actions, mais aussi son enseignement. Face à des controverses religieuses, il n’a fait appel ni à son immense sagesse ni à son expérience incomparable. Il a plutôt cité comme autorité suprême les Écritures (Mat. 22:33-40). w17.02 3:18, 19.
Dès le début de son ministère, Jésus s’est laissé guider par les Écritures. Même dans ses dernières paroles, il a cité des prophéties messianiques (Mat. 27:46 ; Luc 23:46). Les chefs religieux de l’époque, par contre, faisaient fi de la Parole de Dieu dès qu’elle contredisait leurs traditions. Citant ce qu’a déclaré Jéhovah par la bouche du prophète Isaïe, Jésus a dit d’eux : « Ce peuple m’honore des lèvres, mais leur cœur est très éloigné de moi. C’est en vain qu’ils continuent à me rendre un culte, parce qu’ils enseignent pour doctrines des commandements d’hommes » (Mat. 15:7-9). Jésus a laissé la Parole de Dieu guider non seulement ses actions, mais aussi son enseignement. Face à des controverses religieuses, il n’a fait appel ni à son immense sagesse ni à son expérience incomparable. Il a plutôt cité comme autorité suprême les Écritures (Mat. 22:33-40). w17.02 3:18, 19.