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Restriction d’usage de l’eau dans 8 départements

+4
Mikael
Psalmiste
samuel
Josué
8 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

Sécheresse
Restriction d’usage de l’eau dans 8 départements
Publié le 22.04.2011
A la date du 22 avril 2011, 8 départements au total appliquent des mesures de limitation d’usage de l’eau en France métropolitaine.
D’après la carte de France des arrêtés de restriction en vigueur, les départements suivants sont concernés :
Charente (16)
Cher (18)
Charente-Maritime (17)
Nièvre (58)
Seine-et-Marne (77)
Deux-Sèvres (79)
Vienne (86)
Val de Marne (94)
Ces limitations d’usage de l’eau doivent permettre d’éviter l’interruption de l’alimentation en eau potable.


Lechercheur



Tu ne connais pas cette chanson ?.
Les services de la Ville de Perpignan sont en train de mettre en place un dispositif pour récupérer les 25 000 litres d'eau que rejette au quotidien la piscine du quartier du Moulin-à-Vent.
25 000 litres. Le chiffre est impressionnant. Mais c'est pourtant le volume d'eau que rejette chaque jour aux égouts la piscine du Moulin-à-Vent. Le volume nécessaire au nettoyage de ses filtres. "L'Agence régionale de santé (ARS) nous impose ce renouvellement car nous accueillons entre 500 et 600 personnes par jour", précise le directeur de la régie communale des espaces aquatiques, Lionel Guillemin.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Sécheresse : « Si on ne fait pas des choix importants, on va dans un mur », prévient Yves Tramblay[/size]

SÉCHERESSE L’hydroclimatologue est l’un des auteurs du chapitre « Région méditerranéenne » du sixième rapport du Giec. Pour le scientifique, les marges de manœuvre existent face aux conséquences des changements climatiques, à condition d’agir vite

Propos recueillis par Jérôme Diesnis
Publié le 17/05/23 à 11h31 — Mis à jour le 17/05/23 à 11h48





Restriction d’usage de l’eau dans 8 départements - Page 2 310x190_l-hydro-climatologue-yves-tramblay-est-l-un-des-auteurs-du-chapitre-region-mediterraneenne-du-sixieme-rapport-du-giec
L'hydro-climatologue Yves Tramblay est l’un des auteurs du chapitre « Région méditerranéenne » du sixième rapport du Giec. — Y. Tramblay












  • Depuis le 10 mai, les Pyrénées-Orientales sont placés en situation de crise hydrique.
  • Pour 20 Minutes, l’hydroclimatologue Yves Tramblay, l’un des auteurs du chapitre « Région méditerranéenne » du sixième rapport du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), évoque cette situation et les enjeux.
  • « Je suis inquiet, car je trouve le contraste saisissant entre le contenu de nos études et la prise de décision derrière », explique-t-il.


Yves Tramblay est hydroclimatologue à l’IRD (institut de recherche pour le développement) à Montpellier. Il est l’un des auteurs du chapitre « Région méditerranéenne » du sixième rapport du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), dont le deuxième volet a été publié en février 2022. 
Un rapport où la vulnérabilité de l’espace méditerranéen apparaît clairement, entre hausse de la température atmosphérique (1,5 °C par rapport à 1850), celle de la mer (+0,29 à +0,44 °C par décennie) et acidification des eaux marines. Il décrypte, pour 20 Minutes, l’intense épisode de sécheresse que traverse le département des Pyrénées-Orientales, placé en situation de crise depuis le 10 mai.

La sécheresse que vivent les Pyrénées-Orientales depuis plus d’un an présage-t-elle de changements majeurs pour le sud de la France ?


C’est un très bon exemple d’une situation anormale, qui va être de plus en plus fréquente et sera potentiellement, dans quelques décennies, le nouveau climat. C’est clairement la conclusion de toutes les études et les scénarios du Giec : les grands épisodes de sécheresse en Méditerranée seront l’une des principales conséquences des changements climatiques. D’où la nécessité de l’anticiper et ne pas être confronté à des choix très violents dans dix ou vingt ans.

papy

papy

Sécheresse : vers un été de tous les records ?
Restriction d’usage de l’eau dans 8 départements - Page 2 153f691fbe909cc8
La pluie est arrivée trop tard. Malgré les précipitations des dernières semaines sur plusieurs régions, une large majorité des nappes phréatiques françaises restent à des niveaux préoccupants, confirmant les prévisions d'une nouvelle sécheresse estivale.

La mesure. Finie la pause cigarette lors d'une randonnée. Les députés ont voté l'interdiction de fumer dans tous les bois et forêts lors des périodes à risques d'incendie. Pour les cas les plus graves, les contravenants s'expose à une sanction de 150 000 euros et 10 ans d'emprisonnement. 

Restriction d’usage de l’eau dans 8 départements - Page 2 1x1 Aller plus loin. Afin de prévenir des sécheresses dévastatrices, certaines collectivités misent sur l'alimentation artificielle des nappes. "Cette technique de recharge artificielle est déjà déployée en Californie, en Australie ou en Israël. Mais elle reste rare en Europe, du moins pour un usage environnemental", souligne notre journaliste Baptiste Langlois.

Lechercheur



Restriction d’usage de l’eau dans 8 départements - Page 2 Logo

  •  Sécheresse



Sécheresse : pourquoi l'abondante pluie du printemps ne suffira pas à recharger les nappes phréatiques




  • Restriction d’usage de l’eau dans 8 départements - Page 2 ImageLe lac de la Bancalié dans le Tarn, le 28 mars 2023 DDM - DDM- MARIE PIERRE VOLLE



   
SécheresseMétéoGel, grêle, sécheresse et calamités agricoles
Publié le 19/05/2023 à 07:01
M.P.

Écouter cet article
byETX Studio
00:00/02:56
Les pluies tombées en abondance sur certaines régions de l'Hexagone ces deux derniers mois suffiront-elles à sauver l'été 2023 d'une sécheresse qui pourrait être historique ? 
Les pluies de ces derniers mois posent question... Après un hiver particulièrement sec, les précipitations inhabituelles du printemps seront-elles suffisantes pour éviter la sécheresse déjà annoncée pour cet été 2023 ? Non, si l'on en croit  le Bureau de recherches géologiques et minières. Ce dernier a annoncé ce mercredi 17 mai que 68% des nappes phréatiques françaises restaient à des niveaux préoccupants au 1er mai. Et ce malgré les pluies tombées en abondance sur certaines régions ces deux derniers mois, "En mars et en avril 2023, le cumul de précipitations a été excédentaire sur une grande partie du territoire" ce qui a eu "un impact bénéfique" sur les nappes des deux tiers nord du territoire, mais "la situation demeure peu satisfaisante sur une grande partie du pays", a indiqué le BRGM.

Lechercheur



La décision a été prise, à contre-coeur, par la municipalité d'Ille-sur-Têt, en raison de la sécheresse traversée par le département des Pyrénées-Orientales.
"Il y a des décisions difficiles, mais malheureusement parfois, il faut les prendre", explique William Burghoffer, maire d'Ille-sur-Têt, qui a donc convenu, après discussion avec le reste du conseil municipal, de ne pas ouvrir la piscine publique de la commune cet été, en raison de la sécheresse subie par le département des Pyrénées-Orientales.

Lechercheur



Les activistes écologistes ont déployé dans la nuit de samedi à dimanche 28 mai une banderole au sommet du château d'eau de Cabestany.  Avec un message "Eau Secours" et un avertissement "l'eaurage gronde". Extinction Rebellion demande une autre politique face à la sécheresse qui frappe les Pyrénées-Orientales.

papy

papy



Madame, Monsieur,
Compte tenu du déficit pluviométrique de ces derniers mois, des niveaux de nappes et des débits des cours d’eau, la Préfète de l’Oise a passé votre commune en alerte renforcée sècheresse impliquant des mesures de vigilance et de restriction.

 Vous pouvez retrouver ces mesures sur  klinikmrc.com
 
Ces mesures de bon sens et de sobriété de notre consommation d’eau sont l’affaire de chacun et peuvent permettre de préserver de façon efficace cette ressource. 
Merci d’avance à tous

chico.

chico.

[size=42]Sécheresse au Royaume-Uni ? Les « émissions nettes zéro » de CO2 ne rempliront pas les réservoirs d’eau[/size]

5 juillet 2023 16 h 26 min


Restriction d’usage de l’eau dans 8 départements - Page 2 Secheresse-Royaume-Uni-CO2-eau-e1688567074741
[size][size][url][/url]
 [/size]
Les Britanniques entendent les médias leur répéter en boucle que le mois de juin 2023 a été « le plus chaud » jamais enregistré, que cette chaleur record porte l’empreinte du « changement climatique », et que la seule solution pour remédier à ses périls est d’accélérer la course vers les « émissions nettes zéro » de CO2. Parmi ces périls : la sécheresse au Royaume-Uni, le manque d’eau dont les médias parlent de plus en plus, préparant le terrain à une gestion « supranationalisée » de cette ressource indispensable à la vie – encore un axe de la globalisation ! Mais outre qu’il s’agit d’un objectif politique au service de la collectivisation mondialiste, il est clair que cette approche ne réglera rien.
C’est que souligne, non sans ironie, Philip Johnston dans le Telegraph de Londres, montrant que si les réserves d’eau ne sont pas au sommet de leur forme, et si les besoins en eau vont croissant (il faudra quatre milliards de litres par jour supplémentaires par jour d’ici à 2050 en Angleterre pour répondre aux besoins, selon le National Drought Group chargé de surveiller la sécheresse), la première chose devrait être de répondre à ce problème de manière concrète, comme on l’a fait depuis des siècles. Et ne pas se fier à la restriction des « gaz à effet de serre ».
 

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La sécheresse au Royaume-Uni, prétexte au discours sur le CO2

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Premier constat du journaliste : il est faux de dire que le mois de juin 2023 a été le plus chaud jamais enregistré, « en tout cas en Angleterre ». C’est peut-être vrai si l’on s’en tient aux données de la « Met Office » (Office météorologique ») depuis 1884, mais des mesures antérieures indiquent qu’en 1846, la température du mois de juin s’était élevée à 18,2 °C, soit plus d’un degré de plus qu’en 2023. Et il a fait aussi chaud, ou davantage, en juin 1676, 1762, 1798, 1826 et 1976. D’aucuns attribueront ce dernier record aux émissions carbone, mais pour les dates antérieures, impossible d’incriminer l’activité humaine : l’ère industrielle n’avait pas commencé.
Au cours des 100 dernières années, les mois de juins chauds ont été rares en Angleterre ; ils ont été plus fréquents ces dernières années, et les météorologues ont sauté sur les données pour parler de la responsabilité du « réchauffement global », malgré l’insignifiance des données par rapport au temps long du climat.
Mais comme ils annoncent que les « 10 années les plus chaudes » depuis 1884 se situent parmi ces 20 dernières années, « la réponse des politiques face à cette tendance relève de l’hubris », note le journaliste. « Ils espèrent baisser le thermostat mondial en réduisant les émissions carbone et en se précipitant vers le net zéro à bride abattue. Mais ils se heurtent à la difficulté de faire participer les braves gens, malgré leurs prophéties apocalyptiques. La résistance face à l’approche “chemise de crin” et aux dépenses démentielles exigées par la réduction même minime des émissions ne fait que croître. »
 

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L’eau, ça se gère en fonction des réalités locales

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Mais alors, quid de l’eau dont on nous dit que le niveau baisse à cause du réchauffement, et donc à cause de l’homme et du CO2 ? Le journaliste note au passage que même s’il tombe des trombes d’eau celles-ci sont médiatiquement présentées comme incapables de remédier à la situation, et que les réserves en Angleterre étaient estimées à 83 % de leur capacité au 20 juin – pas si mal.
En admettant qu’il y ait un problème, qui est notamment celui de la consommation croissante, les autorités répondent : baisse des émissions, régulation de la qualité, assainissement des eaux sales, à un coût prohibitif pour les sociétés privées qui fournissent l’eau – mais il n’est jamais question d’augmenter l’offre, et ce alors que les zones les plus peuplées de l’Angleterre, comme Londres, ont une pluviométrie très basse – plus basse que celle de Jérusalem, pour ce qui est de l’Essex.
« Mais alors, où sont les usines de désalinisation ? Il en existe une dans l’est de Londres. Inaugurée en 2010, elle devait fournir 150 millions de litres d’eau potable par jour, assez pour 900.000 Londoniens, mais elle n’a fonctionné qu’à trois occasions, et aux deux-tiers seulement de sa capacité. Il nous en faut une demi-douzaine de plus, en bon état de marche », assure Philip Johnston. Il interroge encore : où sont les nouveaux lieux de stockage ? La construction d’un des rares super-réservoirs planifiés près de la capitale britannique s’enlise dans les contestations et les débats sur les autorisations.
 

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II y a deux mille ans, on créait des réseaux et des aqueducs…

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Et pourquoi ne pas faire comme les Chinois et les Romains ? Il y a deux mille ans, ils savaient amener l’eau des zones humides vers les centres de population, créaient des réseaux et même, pour ce qui est des Romains, construisirent un aqueduc de 50 kilomètres pour le seul plaisir d’alimenter les fontaines ornementales à Nîmes.
Désaliniser, construire des réseaux de canalisation – relier la Tamise au Severn pour assurer l’acheminement de 500 millions de litres par jour pendant les épisodes de sécheresse est parfaitement faisable sur le plan technique en l’espace de dix ans, tout cela peut se prévoir et se faire. Et ne se fait pas.
Tout cela a un coût, direz-vous. Mais plutôt que d’engloutir des milliards dans une non-solution à un non-problème, qui ne réglera pas la vraie question de l’eau – la très coûteuse réduction des émissions de CO2 – il vaut mieux dépenser, localement et en fonction de la réalité du terrain, ce qui répond aux besoins de la population. On préfère leur dire qu’elles exagèrent et que l’heure est à l’auto-flagellation.
 

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Anne Dolhein

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]La France à sec : en Vendée, « les vacanciers prennent plusieurs douches par jour ! »[/size]
Reportage 
Le service public de l’eau en Vendée lance une vaste campagne de sensibilisation aux économies d’eau. Le département ne possède pas de grandes nappes phréatiques mais puise 94 % de son eau dans des retenues et des barrages.

  • Florence Pagneux, correspondante régionale à Notre-Dame-de-Monts (Vendée), 
  • le 15/07/2023 à 19:15 
  • Modifié le 18/07/2023 à 18:11

Lechercheur



Infographie. 80 % de la population mondiale n’a pas d’accès permanent à une eau de qualité
Épuisement des ressources, infrastructures vétustes ou inadaptées, mauvaise qualité de l’eau... Une large partie de la population mondiale est en situation d’insécurité hydrique.

Lechercheur



Mayotte, île française de l'océan Indien, connaît actuellement sa pire sécheresse depuis 1997. Les agriculteurs subissent de plein fouet les conséquences du manque de pluie, d'autant que cultiver son lopin de terre fait partie intégrante de la culture mahoraise.

Josué

Josué
Administrateur

Restriction d’usage de l’eau dans 8 départements - Page 2 20231113
Ses jours c'est le monde à l'envers il y trop d'eau dans certains endroits.

Lechercheur





Pollution aux résidus de chlorothalonil : des eaux en bouteilles contaminées
Eau robinet
Publié le 24 nov. 2024 par Shoona Woolley

Une découverte alarmante. Le chlorothalonil, un fongicide cancérogène interdit en France depuis 2019, continue de polluer les ressources en eau, y compris l’eau du robinet et certaines eaux en bouteilles.


Sommaire
L’information a été révélée dans un post instagram concernant l'enquête de l’émission Sur le Front, diffusée sur France 5 lundi 25 novembre prochain. Cette investigation met en lumière une pollution largement sous-estimée et ses conséquences sur la qualité de l’eau consommée quotidiennement par des millions de Français.


Une pollution invisible mais omniprésente
Le chlorothalonil, utilisé pendant des années comme fongicide dans l’agriculture, a été interdit en raison de son impact sur l’environnement et de ses effets cancérogènes avérés. Pourtant, malgré cette interdiction, ses métabolites – des résidus issus de sa dégradation – continuent de contaminer les nappes phréatiques. Ces substances, particulièrement persistantes, résistent aux processus de filtration et se retrouvent dans des sources d’eau qui étaient jusqu’alors considérées comme sûres. Le plus préoccupant : ces résidus ont également été détectés dans des eaux en bouteilles, remettant en question leur statut de "refuge" pour les consommateurs qui souhaitent éviter l’eau du robinet.

Une décision controversée des autorités
Face à cette contamination généralisée, la France a pris une décision controversée. Plutôt que de fermer les puits contaminés ou de traiter les nappes affectées, les autorités ont choisi de relever les seuils autorisés de résidus chimiques dans l’eau potable. Ce choix a permis de maintenir l’exploitation des sources d’eau, mais il soulève de nombreuses questions sur les priorités en matière de santé publique et sur la transparence des décisions prises par l’État.

"Quand on a découvert ça, on a halluciné", confient les enquêteurs de l’émission.

Ils pointent également du doigt le processus qui a conduit à cette décision : selon leurs informations, l’État se serait appuyé sur des études fournies par l’industrie agrochimique elle-même, Syngenta, remettant en question l’indépendance des choix opérés.


Une enquête qui alerte sur l’avenir de l’eau potable
Ce scandale met une nouvelle fois en lumière les effets à long terme des pesticides sur l’environnement, même après leur interdiction. La contamination par le chlorothalonil s’ajoute à une longue liste de polluants détectés dans l’eau, reflétant l’héritage d’une agriculture intensive et de l’utilisation massive de produits chimiques.

Cette enquête, qualifiée d’"explosive" par ses auteurs, alerte sur l’urgence de revoir les politiques publiques en matière de gestion de l’eau et de protection des ressources naturelles. Pour découvrir l’intégralité de cette investigation et ses révélations, rendez-vous ce lundi 25 novembre à 21h sur France 5 dans Sur le Front. Une émission qui promet de faire réagir citoyens et responsables politiques.

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"Risque élevé" d'arsenic dans les eaux Vittel

chico.

chico.

Il est conseillé de ne pas boire toujours la même eau; il faut en changer de temps en temps.

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