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Le burn out, une maladie mal définie

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samuel
Josué
6 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Le burn out, une maladie mal définie
Mots clés : burn out
Par figaro icondamien Mascret - le 16/02/2016
L'Académie de médecine reconnaît la réalité de la souffrance mais demande d'affiner le diagnostic.
Quels que soient vos symptômes, vous ne souffrez pas de burn out. Cette maladie n'existe pas! Elle est absente des grandes classifications internationales des maladies mentales (DSM-V américain, CIM-10 de l'Organisation mondiale de la santé) encadrant la recherche internationale en psychiatrie. Et rien n'indique que cela soit envisagé prochainement.
«Le terme de burn out renvoie à une réalité mal définie», souligne l'Académie de médecine dans un rapport rendu public mardi. Une réalité qui va «d'un état de détresse psychologique, un état pathologique de syndrome d'inadaptation, à un facteur stressant chronique».
L'important, pour les psychiatres, reste de bien poser le diagnostic. Est-ce une dépression d'épuisement? Un état de stress post-traumatique? Un trouble de l'adaptation? Une pathologie anxieuse? Loin d'être une coquetterie d'académicien, il s'agit de bien nommer les choses pour mieux les traiter.
«Le malade c'est la plainte, et les personnes en burn out sont des malades, explique le Pr Bruno Falissard, polytechnicien et médecin pédopsychiatre. Mais pour parler de maladie, il faut un ensemble de caractéristiques statistiquement associées (phénotypes) qui permet de déterminer un diagnostic, un pronostic et une thérapeutique.»
Démêler l'écheveau
«En l'état actuel, le burn out n'est pas un diagnostic médical, insiste le Pr Jean-Pierre Olié, corapporteur de l'Académie, avec le Dr Patrick Légeron, au nom de la commission Psychiatrie et santé mentale. Mais il y a une réalité, décrite très finement il y a plus d'un demi-siècle par le psychiatre français Claude Veil, sous le nom d'épuisement professionnel.» Dès 1959, ce pionnier de la psychopathologie du travail met en garde ses confrères dans une revue médicale (Le Concours médical): «L'état d'épuisement est le fruit de la rencontre d'un individu et d'une situation. L'un et l'autre sont complexes, et l'on doit se garder des simplifications abusives.»
Tellement complexe qu'un demi-siècle plus tard l'Académie s'avoue toujours impuissante à démêler l'écheveau de la souffrance au travail. Les sages invitent les organismes en charge de la recherche médicale à définir des critères clairs, à identifier des mécanismes de la maladie et, in fine, à proposer des mesures de prévention et des traitements.
«Des recherches permettront peut-être de mieux délimiter le burn out, mais aujourd'hui il n'est pas sérieux, psychiatriquement, de valider ce diagnostic», espère le Dr Légeron. «Il faut voir ce qui doit rester dans le champ de la détresse psychologique et ce qui doit entrer dans celui de la pathologie, ajoute le Pr Olié. Le ministère de la Santé doit absolument se saisir de cette problématique et ne pas la laisser entre les mains du ministère du Travail.»
Dans une série de propositions, l'Académie recommande aussi de concentrer les efforts de la médecine du travail sur la prévention afin d'éviter l'épuisement professionnel.
LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE:
Nouvelle offensive pour reconnaître le burn out comme maladie professionnelle
Le burn out se rapproche de la maladie professionnelle
«Quand les gens se sentent bien, ils travaillent bien»
Le stress au travail augmente le risque d'infarctus

samuel

samuel
Administrateur

Pourquoi les vacances ne résolvent pas le burn-out
Mots clés : burn-out, Santé au travail
Par figaro icondamien Mascret - le 16/08/2016
Le repos ne modifie pas l'inadéquation entre les besoins motivationnels et les conditions de travail.
«Et nous voici lundi matin. À la seule idée de retourner travailler, j'ai des sueurs froides comme si j'allais gravir l'Everest. Je suis un soldat - disons un officier en permission - et retourner au combat du monde des affaires est au-dessus de mes forces, tout simplement», raconte Thierry Chavel, coach de dirigeant et professeur à l'université Panthéon-Assas dans son livre Je peux guérir (Flammarion, 2016).
Si vous étiez vous aussi «en burn-out» (épuisement au travail) avant de partir en vacances, peut-être espérez-vous repartir du bon pied à la rentrée en ayant «rechargé vos batteries»? Les choses ne sont malheureusement pas si simples, selon une étude germano-suisse publiée en plein moins d'août dans la revue Frontiers in Psychology. L'épuisement, qu'il soit émotionnel ou physique, s'amendera bien pendant les vacances (contrairement à la dépression) mais le burn-out comporte d'autres symptômes que le repos ne résout pas.
Incongruence de motivation
«Le burn-out est généralement défini comme une réponse prolongée à des facteurs de stress émotionnels et interpersonnels chroniques au travail », explique au Figaro le Pr Veronika Brandstätter (Université de Zurich, Suisse) qui a dirigé l'étude. «Il va sans dire qu'il y a une multitude de facteurs de stress possibles, ajoute-t-elle. Par exemple, la charge de travail excessive, la pression chronique du temps, les conflits sociaux, les procédures abusives, mais nous avons détecté une autre source importante de stress: l'incongruence de motivation. »
Qu'est-ce que cette incongruence? «Un écart qui se produit, explique le Pr Brandstätter, soit quand un individu a un fort besoin affectif de socialiser avec les autres (besoin d'affiliation) ou d'influencer les autres (besoin de puissance), mais n'a pas la possibilité d'agir dans ce sens ; soit au contraire quand il doit le faire alors que cela ne correspond pas à des besoins profonds. »
Avec ses collègues des universités de Zurich et Leipzig (Allemagne), elle a évalué les niveaux de burn-out dans un groupe de 97 salariés, puis les a comparés à l'écart qui pouvait exister entre les aspirations de chacun et leurs satisfactions au travail.
Coaching individuel
Les résultats révèlent que c'est avant tout l'inadéquation des besoins relationnels qui est liée au burn-out. Autrement dit, un poste avec beaucoup d'échanges et de contacts pour quelqu'un qui ne les aime pas pourrait conduire au burn-out, de même qu'un travail isolé pour une personne qui recherche les contacts.
«Évidemment, les gens ne peuvent pas toujours vivre leur rêve et satisfaire leurs besoins profonds au travail. Il y a des moments où l'on doit s'autodiscipliner et dépasser ceux-ci pour atteindre des objectifs importants ou répondre aux attentes sociales », explique le Pr Brandstätter. «Cependant, ajoute-t-elle, cela se révèle être un problème quand il y a une frustration chronique des besoins. Par conséquent, même dans des situations difficiles (économiquement ou socialement), on devrait au moins essayer d'améliorer la situation même par des petits changements ».
Et quand il n'est pas possible de changer de poste? L'une des contre-mesures proposées par les psychologues germano-suisses dans leur étude consiste, pour le salarié en situation de burn-out, à proposer des changements qui permettent de rapprocher son travail de ses aspirations, par exemple davantage de travail d'équipe, s'il aspire aux contacts. Un coaching individuel peut aussi s'avérer précieux. «Le coaching amène la personne à se positionner en tant qu'acteur et non victime des situations qu'il vit, même dans une situation extrême où la personne a peu de leviers, la manière dont il va vivre et agir dans cette situation est primordiale, explique la coach Isabelle Bérard. Soit il se positionne en victime, se morfond et prend la situation de plein fouet, soit il prend du recul, recherche les actions qu'il peut poser pour améliorer la situation et adopter la posture qui lui permettra de vivre au mieux cette situation.»
Épuisement, perte d'empathie, désinvestissement…
Bien que le «burn-out» ne soit pas reconnu en France comme une maladie par l'Académie de médecine, ce qui complique sa prise en charge, une vaste littérature scientifique s'est constituée sur le sujet depuis son apparition dans les années 1960. Mais c'est surtout au début des années 1980 que s'est imposé un modèle développé par le Pr Christina Maslach (Université de Berkeley, Californie) décrivant le burn-out comme «un état d'épuisement physique, émotionnel et mental résultant d'une exposition à des situations émotionnellement exigeantes».
Le test qu'elle a mis au point (Maslach Burnout Inventory ou MBI) repose sur 22 questions. Certaines portent sur l'épuisement professionnel: «Je sens que je craque à cause de mon travail ; je me sens au bout du rouleau ; je me sens fatigué(e) lorsque je me lève le matin.» C'est généralement cette dimension qui est la plus facilement reconnue par les individus.
D'autres questions concernent la dépersonnalisation: «Je suis devenu(e) insensible aux gens depuis que j'ai ce travail ; je crains que ce travail ne m'endurcisse émotionnellement.»
Enfin, la dernière série de questions aborde l'accomplissement personnel: «J'ai accompli beaucoup de choses qui en valent la peine dans ce travail, j'arrive facilement à créer une atmosphère détendue avec mes patients/clients/élèves.»
LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE:
Le burn out se rapproche de la maladie professionnelle
Réforme du dialogue social: des amendements sur le burn-out
Le burn out est-il le mal des entreprises du XXIe siècle?
Le bhttp://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/08/16/25300-pourquoi-vacances-ne-resolvent-pas-burn-outurn out, une maladie mal définie

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Si nous emportons notre déprime en vacance il fort à pensé qu'elle nous suivra partout.
De dire qu'avec les vacances cela va passer et un faux raisonnement.

samuel

samuel
Administrateur

Grandes écoles : le blues des cracks
Par Paul de Coustin Publié le 16/08/2016 à 17:37
Rythme de travail, encadrement, environnement… le passage de la classe «prépa» à la grande école de commerce ou d’ingénieur n’est pas toujours aisé. Certains étudiants sont déstabilisés par autant de nouveautés.

Dans quelques semaines, des milliers d’étudiants vont débuter leur scolarité au sein d’une grande école. Qu’elle soit de commerce ou d’ingénieur, elle représente aujourd’hui un passeport sécurisé vers l’emploi. Et la voie royale pour y accéder reste le passage par deux ou trois ans de classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE), particulièrement si l’on vise les meilleures, en tête desquelles on trouve le prestigieux binôme, HEC et l’École polytechnique.

Mais pour les élèves de «prépa», l’arrivée en grande école n’est pas toujours aisée. Rythme de travail, encadrement, environnement: tout change de manière radicale. Pour des élèves habitués à être stimulés et choyés par des professeurs omniprésents, la découverte de l’autonomie peut être déstabilisante, voire déprimante. «L’intégration d’une école de commerce après la prépa suscite beaucoup d’excitation durant l’été, mais au bout d’un mois ou deux on commence à se lasser des cours trop ennuyeux. On sent que nos capacités acquises en prépa s’amenuisent…», reconnaît Clara, qui a rapidement «commencé à avoir des coups de blues». Il y a «un énorme fossé entre la prépa et l’école», précise Karelle, qui a intégré Télécom École de management après deux années de CPGE. Elle mentionne un «rythme de travail totalement différent» qui permet de «sortir en semaine, c’est dire!» et des cours «où l’on s’ennuie parfois, surtout en amphi».

«Désœuvrés»
Nicolas*, lui, mâche moins ses mots. Après deux ans de prépa, il décide de «khûber», soit de faire une troisième année pour tenter d’obtenir de meilleurs résultats aux concours, et obtient une place à HEC. Très fier, il l’a «ressenti comme la plus grande réussite de [sa] vie». Mais très vite, il déchante. Il déplore «un manque total d’intérêt pour des cours superficiels et un emploi du temps très léger» qui laisse les étudiants «désœuvrés». Suleiman, étudiant sur le campus bordelais de Kedge Business School, nuance en parlant de «cours complètement différents», et de la difficulté de s’adapter à la logique du travail en groupe après deux années de concurrence exacerbée entre étudiants. Autre facteur potentiellement aggravant, l’implantation de certains campus loin des centres-villes. «Le fait que le campus d’HEC soit à Jouy-en-Josas (au sud de Versailles à 45 minutes du centre de Paris, NDLR), et qu’il soit impossible d’en sortir pour ceux qui n’ont pas de voiture est vite pénible», regrette Nicolas.

«Le blues des prépas a toujours existé, relativise Martine Mordant, directrice générale adjointe de Kedge Business School, pas inquiétée outre mesure. Ces jeunes, qui sont de très bons élèves, ont passé deux ans avec une pression et une charge de travail conséquentes tout en étant dans l’incertitude sur les résultats. En arrivant en école, d’un coup, ils sont plus libres et font face à de nombreuses opportunités». «Ils passent d’un monde très structuré à un monde fait d’inconnu, de tests et d’approximations. L’apprentissage se fait de manière différente et pour eux, cela peut être un changement brutal», confirme Bernard Belletante, directeur général de l’École de management de Lyon (EM Lyon).

POUR ÉVITER LE COUP DE BLUES, VOIRE LA DÉPRESSION, LES ÉCOLES MISENT SUR LES PREMIÈRES SEMAINES POUR «TRANSFORMER» LEURS ÉTUDIANTS

Pour éviter le coup de blues, voire la dépression, les écoles misent sur les premières semaines pour «transformer» leurs étudiants. À l’Edhec, ils débutent leur scolarité par le «Coop Tour»: par groupes de 12, ils doivent réaliser une vidéo de 25 secondes sur un thème donné. Une manière de les habituer au travail en groupe et de les familiariser avec le «système grande école». À l’École polytechnique, qui jouit d’un statut particulier d’école militaire, la rupture est plus brutale encore. Les étudiants débutent leur scolarité par une formation militaire d’un mois, dont trois semaines se déroulent au camp de La Courtine (Creuse). Puis, ils enchaînent par un stage de six mois: 60 % des étudiants iront en stage militaire, et le reste dans le civil, la plupart dans des organisations humanitaires. Une entrée en matière qui «leur apprend à travailler en section, avec de nombreux exercices collectifs qui rompent avec l’accomplissement individuel recherché en prépa, explique Frank Pacard, directeur de l’enseignement à l’X. Ces étudiants «souvent immatures» à la sortie de la prépa ne sont «pas préparés» au stage qui suit. «Cela les aide à grandir et à sortir du système de bachotage: ils entrent dans le concret». L’EM Lyon fait aussi le pari de la semaine d’intégration au côté d’anciens étudiants et de professeurs.

Surtout, les grandes écoles comme leurs étudiants misent sur la vie associative. Nicolas admet que «le temps libre nous est laissé pour qu’on puisse faire des choses constructives». «J’ai diversifié mes activités, donné des cours, fait plus de sport et participé à des associations», raconte l’étudiant d’HEC. Clara, Karelle ou Suleiman font tous partie d’une association qui leur demande un investissement conséquent, et profitent des joies des fêtes étudiantes nombreuses en école. Après un an de scolarité, tous disent avoir oublié leur déprime et apprécient leur nouvelle vie autonome, loin de la rigueur de la classe préparatoire.

* Le prénom a été changé.
«Ces jeunes font la fête pour ne pas se sentir isolés»
INTERVIEW - Xavier Pommereau est psychiatre, chef du Pôle aquitain de l’adolescent au CHU de Bordeaux et auteur du «Goût du risque à l’adolescence» (Albin Michel).

Xavier Pommereau.
Xavier Pommereau. Crédits : MEHDI FEDOUACH/AFP
LE FIGARO. - Comment expliquez-vous que les étudiants issus de classes préparatoires soient touchés par ces périodes de déprime?

Xavier POMMEREAU. - C’est une population particulière. La majorité de ces jeunes gens sont bien formés intellectuellement et issus de milieux favorisés, donc on pourrait se dire que ce sont des jeunes sans problèmes. Ce n’est pas la réalité: ils sont très sensibles au stress et ses conséquences, associés à un culte de la performance développé en classe préparatoire. Le problème, c’est que leur comportement ne change pas quand ils entrent en école, où ils se trouvent confrontés à une formation qui ressemble à un magasin de grande surface. On met à leur disposition des paquets gigantesques de connaissances mais rien qui fasse l’unité, et peu d’encadrement. Souvent, ils se retrouvent perdus dans la masse d’informations.

Quels problèmes de santé récurrents observez-vous dans votre centre, chez les étudiants issus des classes préparatoires?

Ils viennent chez nous lorsqu’ils ressentent un sentiment d’épuisement. Ils commencent à réellement s’inquiéter lorsqu’ils ont le sentiment de ne plus pouvoir travailler, car chez eux, tout est centré sur la réussite des études. Ils présentent souvent des signes de déprime, ils ont des gros problèmes de sommeil mais également des symptômes d’addictions, particulièrement à l’alcool. Ces étudiants font beaucoup la fête pour ne pas se sentir isolés. C’est une sorte de marquage, un rite d’intégration dans les grandes écoles. Pour bien faire, il faut avoir une pinte à la main, cela fait partie de la reconnaissance au sein de ces groupes. Chez les jeunes femmes, il est fréquent de voir également des troubles alimentaires, avec des crises d’anorexie ou de boulimie.
http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/grandes-ecoles-le-blues-des-cracks-21305/

Elqana



Les multiples visages de la dépression

A l’opposé, une simple fatigue, un syndrome d’épuisement ou carrément un « burn out », quand on n’y arrive plus, ni dans sa vie personnelle et parentale, ni dans sa vie professionnelle (ou pire, dans les deux) peuvent précéder et annoncer la dépression.

D'autres douleurs peuvent aussi la masquer: le "mal au dos", le "mal au ventre" ou "la migraine"... et divers troubles de l'attention et de la mémoire, du sommeil.

Le diagnostic de dépression est trop facilement et rapidement porté : c’est tellement facile pour un thérapeute (pas toujours un médecin !) de « bousculer » son patient : Allez, vous n’avez rien, allez voir un psy !

C’est souvent ce qui arrive. La personne ne prend aucune mesure. Et ses douleurs physiques et autres « bleus de l’âme » [1] ne trouvent pas de solution.

A l’opposé, il y a beaucoup de dépressifs "qui s'ignorent" et de ce fait ont recours à des solutions qui ne sont pas toujours bien adaptées.

La dépression peut être difficile à reconnaître et à diagnostiquer. Elle est trop souvent traitée par ses symptômes : anxiété, angoisse, insomnie, douleurs musculaires… car remonter le chemin vers ses origines peut être long et douloureux.

Josué

Josué
Administrateur

Les fonctionnaires biterrois, comme leurs collègues de tout le département, n'assurent plus leur service depuis ce dimanche 13 h.

Rien ne ressemble plus à un équipage de police secours, qu'un autre équipage de police secours. À part que depuis ce dimanche 13 h, les policiers du commissariat de Béziers sont tombés malades. Du coup, ce sont les hommes de la Bac qui font police secours.
Une épidémie

Aucun des fonctionnaires n'a pris son poste à 13 h comme beaucoup l'imaginaient après Sète, Agde et Montpellier. Ce sont tous les commissariats de l'Hérault qui sont touchés par cette épidémie de burn out. Et pour l'heure, du côté de la direction centrale où de l'État, c'est silence radio. Pas de commentaires.
"Nous demandons une modification des cycles horaires de travail"
Selon Bruno Bartocetti, président régional Unité SGP police : "Les maladies commencent à se déclarer d'une manière alarmante dans l'Hérault après Sète, Agde c'est maintenant Montpellier qui est au bord du KO et Béziers. Nous avons tout essayé pour dénoncer que la situation était préoccupante dans ce département. Le préfet doit réagir et refuser de nier l'évidence ! Il doit réunir une cellule de crise. Unité SGP police demande aux représentants de l'administration de prendre au sérieux cet appel au secours et parallèlement entendre notre organisation syndicale qui a toujours travaillé pour la défense du service public pour la défense des conditions de travail des policiers. Nous demandons une modification des cycles horaires de travail pour préserver les policiers et le service public."
Jeudi, Stéphane Navarro, le secrétaire départemental de SGP Police FO a été reçu par le député (PS) Sébastien Denaja pour faire remonter le malaise des policiers .
Midi Libre.

samuel

samuel
Administrateur

France, une personne sur dix souffre au cours de sa vie d’un épisode dépressif caractérisé - une dépression vraie - qui peut être unique ou récidiver.

C’est une des maladies les plus fréquentes, au nom si banalisé qu’on oublie parfois ce qu’il signifie vraiment. «Pour le médecin, parmi les symptômes de la dépression, deux ont une sensibilité et une spécificité telles que leur présence continue pendant plus de 15 jours suffit à repérer de façon fiable une authentique dépression: l’humeur dépressive, c’est-à-dire la tristesse que rien n’arrive à distraire, et l’anhédonie, la perte de la capacité à éprouver du plaisir avec ce que l’on aime faire en temps normal», explique le Pr Pierre-Michel Llorca, psychiatre (CHU Clermont-Ferrand). En France, une personne sur dix souffre au cours de sa vie d’un épisode dépressif caractérisé - une dépression vraie - qui peut être unique ou récidiver. Et environ 30 % des patients en médecine générale présentent à un moment un ou plusieurs symptômes dépressifs: ceux cités, mais aussi fatigue matinale, troubles du sommeil, troubles alimentaires, sentiment de culpabilité, difficulté à se concentrer, idées noires…
«On sait qu’un suicide sur deux survient chez quelqu’un qui fait ou a fait une dépression»
Pr Chris­tophe Lançon, psychiatre
«Il est important de consulter alors son médecin en raison des conséquences possibles de la dépression, insiste le Pr Christophe Lançon, psychiatre (hôpital Sainte-Marguerite, Marseille). On sait qu’un suicide sur deux survient chez quelqu’un qui fait ou a fait une dépression. Même si la dépression n’est pas directement responsable du suicide, elle est un facteur de risque important qu’on peut réduire en la soignant.»
Des facteurs de vulnérabilité au suicide permettent de repérer un risque accru de passage à l’acte. «Une tentative de suicide antérieure ou des antécédents familiaux de suicide, la maltraitance précoce augmentent ce risque et doivent être recherchés, explique le Pr Philippe Courtet, psychiatre (CHU Montpellier). Plus le risque est imminent et le soutien de l’entourage faible, plus le médecin aura tendance à hospitaliser.» Mieux former les médecins généralistes au diagnostic, à l’évaluation de la gravité et au traitement de la dépression est efficace dans la prévention du suicide.
Même un épisode unique laisse une vulnérabilité

Le médecin va aussi demander un bilan sanguin pour éliminer une cause médicale à cet état dépressif. «Ne pas faire ce minimum constitue une perte de chance pour les patients», insiste le Pr Lançon. «Outre l’augmentation du risque suicidaire, la dépression retentit aussi sur la santé en perturbant des fonctions majeures de l’organisme comme le sommeil, l’alimentation, la libido…», indique le psychiatre. Or le risque de récidive est élevé - 50 % après un premier épisode dépressif - et même un épisode unique laisse une vulnérabilité.
Le Figaro santé.

chico.

chico.

C'est un vrais phénomène de notre société actuel.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

La dépression : comment la vivent-ils ?

“ JE ME suis réveillé un matin et, assis sur le bord de mon lit, je me suis dit : ‘ Si seulement je pouvais mourir aujourd’hui ! ’ ” James * avait alors 12 ans et il était victime d’une dépression majeure. Trente ans plus tard, il confie : “ Chaque jour de ma vie, il m’a fallu lutter contre ces troubles psychiques et affectifs. ” Il souffrait d’un tel manque d’estime de lui-même quand il était jeune qu’à un moment donné il a déchiré ses photos d’enfance. “ Je ne pensais pas mériter qu’on se souvienne de moi ”, se rappelle-t-il.

Étant donné que nous passons tous par des phases de tristesse, nous pourrions croire que nous savons ce qu’est la dépression. Mais que vivent ceux qui en souffrent réellement ?

Un ennemi implacable

Plus qu’une mélancolie passagère, la dépression est un trouble grave qui souvent empêche celui ou celle qui en est victime d’assumer ses tâches quotidiennes.

Álvaro en sait quelque chose. Pendant plus de 40 ans, il a connu “ la panique, la confusion mentale, l’anxiété et une profonde tristesse ”. “ Du fait de ma dépression, j’étais très sensible à ce que les autres disaient. Et puis, dès que quelque chose allait mal, je me sentais responsable. ” Pour lui, la dépression, c’est “ éprouver une douleur atroce sans savoir d’où elle provient, être gagné par la panique sans savoir pourquoi et, pour ne rien arranger, n’avoir aucune envie d’en parler ”. Il se sent aujourd’hui un peu soulagé d’avoir découvert la cause de ses symptômes. “ Le simple fait de savoir que d’autres sont dans le même cas que moi m’aide à me sentir mieux ”, ajoute-t-il.

En raison de la dépression, Maria, une Brésilienne de 49 ans, était sujette à l’insomnie, à la douleur, à l’irritabilité et à “ une tristesse qui semblait ne jamais devoir prendre fin ”. Le jour où on a diagnostiqué sa maladie, elle s’est d’abord sentie soulagée de pouvoir mettre un nom sur la cause de son mal-être. “ Mais mon anxiété a ensuite redoublé, explique-t-elle, parce que très peu de gens savent vraiment ce qu’est la dépression. Du coup, leur regard est très lourd à porter. ”

Une tristesse sans raison apparente ?

Le facteur déclenchant est parfois évident, mais le plus souvent la dépression surgit sans crier gare. “ Sans raison apparente, un nuage de tristesse vient tout d’un coup assombrir votre vie, explique Richard, un Sud-Africain. Personne n’est mort dans votre entourage, rien de dramatique n’est arrivé ; pourtant, vous vous sentez abattu et sans énergie. Et rien ne parvient à dissiper ce nuage. Vous êtes submergé par le désespoir sans savoir pourquoi. ”

Il n’y a pas lieu d’avoir honte de la dépression. C’est pourtant ce qu’Ana, une Brésilienne, a ressenti quand le diagnostic est tombé. “ Huit ans après, j’ai toujours honte de moi ”, reconnaît-elle. Elle trouve particulièrement difficile de composer avec sa souffrance affective. “ Elle est parfois si intense que je la ressens physiquement. Tous mes muscles me font mal. ” Dans ces moments-là, il lui est  presque impossible de sortir de son lit. Et puis, il y a toutes les fois où Ana ne peut pas s’arrêter de pleurer. “ Je pleure tellement fort et ça m’épuise à un tel point que j’ai l’impression que mon sang se fige. ”

“ Sans raison apparente, un nuage de tristesse vient tout d’un coup assombrir votre vie. ”
La Bible atteste que des humains peuvent se sentir extrêmement abattus. L’apôtre Paul, par exemple, s’est inquiété pour un homme qui risquait d’être “ englouti par sa tristesse excessive ”. (2 Corinthiens 2:7.) Certaines personnes dépressives sont si désespérées qu’elles n’aspirent qu’à mourir pour trouver le repos. Beaucoup partagent les sentiments du prophète Yona : “ Mieux vaut pour moi mourir que vivre. ” — Yona 4:3.

Que peuvent faire les victimes de la dépression pour se soigner et lutter contre cette maladie éprouvante ?
https://www.jw.org/fr/la-bible-et-vous/familles/adolescents/jeunes-s-interrogent/comment-faire-face-depression/

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Haute Autorité de santé émet de nouvelles recommandations pour mieux repérer les travailleurs en souffrance.

«Sujet à débat et à controverse, le syndrome d’épuisement professionnel peut avoir des conséquences graves sur la vie des personnes et nécessite une prise en charge médicale.» C’est ainsi que la Haute Autorité de santé (HAS) explique la publication d’une «fiche mémo» destinée aux médecins pour les aider à repérer et à prendre en charge le burn-out.
Pragmatique, la HAS adopte une définition consensuelle: «Le syndrome d’épuisement professionnel, équivalent en français du terme anglais burn out, se traduit par un épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel.»
L’année dernière, l’Académie de médecine avait avoué son impuissance à définir clairement ce qu’était le burn-out, mais, dans le même avis, les sages avaient surtout insisté pour que cette souffrance au travail soit mieux étudiée et prise en charge, maladie ou pas. Car si le syndrome n’est pas reconnu par les deux grandes classifications internationales des maladies mentales, la CIM de l’OMS et le DSM américain, il n’en répond pas moins à un ensemble de caractéristiques identifiables.
En rendant son avis, l’Académie de médecine avait aussi plaidé pour que le sujet ne soit pas confiné au ministère du Travail. Message reçu 5 sur 5 à l’époque par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, qui avait aussitôt saisi la HAS. Le résultat est donc la fiche mémo publiée ce 22 mai.
Manquer d’énergie pour accomplir son travail, avoir des problèmes de concentration, être facilement irritable, tout cela peut signer un épuisement émotionnel
Avec un focus intéressant axé sur l’accompagnement du retour au travail. Un moment toujours délicat après l’arrêt de travail de plusieurs semaines qui est généralement l’un des piliers de la prise en charge: «À cet effet, il est recommandé d’organiser une visite de préreprise avec le médecin du travail, à l’initiative du patient, du médecin traitant ou du médecin-conseil des organismes de Sécurité sociale, à tout moment pendant l’arrêt. Celle-ci peut être répétée.»
Avant d’en arriver là, il faut bien sûr repérer le travailleur en burn-out. Manquer d’énergie pour accomplir son travail, avoir des problèmes de concentration, manquer de «disponibilité» au travail, y être facilement irritable, tout cela peut signer un épuisement émotionnel. C’est d’ailleurs ce qui explique que le burn-out soit plus fréquent chez les soignants. La HAS insiste à juste titre sur cette population chez qui fut initialement identifié le burn-out.
«Les professionnels de santé en activité ou en formation sont exposés au risque d’épuisement professionnel, étant donné la pénibilité de leur travail, que ce soit pour des causes intrinsèques liées à la nature même de l’activité médicale (confrontation avec la souffrance et la mort, prises en charge impliquant l’entrée dans l’intimité des patients, etc.) ou des causes extrinsèques (charge et organisation du travail, etc.).»
Difficile d’agir sur les causes intrinsèques, mais il est dommage que les pouvoirs publics n’aient toujours pas entrepris un programme d’action sur les causes extrinsèques. Il est vrai que les ministres de la Santé qui se succèdent avenue Duquesne ont une grille de lecture essentiellement budgétaire qui laisse peu de place à l’humain.
«La santé des salariés ne s’externalise pas, c’est d’abord l’affaire des managers»
Muriel Pénicaud, ministre du Travail
En préambule de sa fiche pratique, la HAS signale que ses recommandations «se limitent au volet clinique du thème: l’action sur le milieu et l’organisation du travail est exclue du champ de ces recommandations. Elle est néanmoins indispensable dans une démarche de prévention du burn-out».
Il y a quelques semaines, le «rapport de la mission d’information relative au syndrome d’épuisement professionnel (ou burn-out)» présenté par la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale pointait parmi les causes de «la multiplication des cas d’épuisement professionnel»,l’inquiétante dégradation des conditions de travail: «La démarche de compression des coûts de production devient une course sans fin, et la compétitivité le maître mot de toutes les politiques économiques, aux dépens des éléments constitutifs du travail.»
Toutefois, une initiative favorable à la santé mentale des travailleurs pourrait venir du premier gouvernement d’Emmanuel Macron. Agnès Buzyn, la nouvelle ministre des Solidarités et de la Santé, était il y a quelques jours encore à la tête de la HAS et a supervisé la recommandation qui vient de sortir. Quant à la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, elle cosignait en 2010 un rapport remis au premier ministre qui rappelait que «la santé des salariés ne s’externalise pas, c’est d’abord l’affaire des managers».
La menace du burn-out planerait au-dessus de la tête de plus de 3 millions de salariés dans notre pays, il est plus que temps de prendre le problème à bras-le-corps.

Josué

Josué
Administrateur

Travail : comment vaincre le blues de l'automne ?
Chronique de Thibaut Behaghel
L'automne est arrivé parmi nous. Et beaucoup vont ressentir une forme de mélancolie qui peut avoir des conséquences sur notre humeur et notre vie professionnelle. Par chance, il existe des solutions pour la vaincre.

Fin septembre, les salariés ont désactivé leurs messages d’absence, mais peinent souvent à revenir du mode vacances et à retrouver leur productivité malgré l’accumulation de cafés. Cette situation peut avoir des effets indésirables sur le plan de la sécurité compte tenu des nombreux mots de passe oubliés et des mises à jour (très) en retard. C’est donc le moment idéal pour réaliser un audit des processus et pratiques en place pour améliorer les workflows et renforcer la sécurité. En effet, cette approche aidera les salariés à réussir au mieux leur reprise et permettra de tenir le blues du retour de vacances à l’écart.

Faites respecter les protocoles des réunions

Respectez les heures de début et de fin des réunions (et assurez-vous de n’en laisser aucune sans heure de fin). Terminez chacune par des points d’action pour pousser les participants à rester concentré et productif. Désignez une personne pour prendre des notes. N’y voyez pas une formalité désuète, mais plutôt une pratique essentielle pour rendre compte des thèmes abordés, des points d’action énoncés et des individus responsables de leur exécution. Sans prise de notes, il devient difficile de faire part des attentes et de maintenir une comptabilité après coup. Enfin, fixez un ordre du jour et laissez un peu de temps pour des questions. Cela vous permettra de garder le contrôle de vos réunions, tout en laissant la place pour des remarques intéressantes.

Effectuez toutes vos mises à jour en attente

N’ignorez pas les boîtes de dialogue vous invitant à mettre à jour vos logiciels. Bien que ces derniers fonctionnent probablement normalement, et même si vous trouvez l’opération peu pratique voire pénible, n’oubliez pas que les développeurs ne proposeraient pas des mises à jour sans raison. Souvent, leur but est de rendre votre appareil plus sécurisé et à l’abri des menaces non identifiées. Ne commencez pas votre rentrée en cliquant sur le bouton "Me le rappeler ultérieurement" sous peine d’exposer votre infrastructure informatique à des risques inconnus.

Mettez à jour vos mots de passe arrivés à expiration

Vous connaissez le refrain : vous revenez de deux semaines de vacances au soleil et êtes incapable de vous souvenir de ce que vous avez mangé la veille, alors vos mots de passe... De son côté, le service informatique doit s’assurer que les codes des employés ne soient pas faibles, réutilisés à l’identique sur différents services, ou arrivés à expiration. Cette pratique prend encore plus d’importance lors des retours de vacances, notamment parce que les salariés sont susceptibles d’avoir accédé à leurs messageries d’entreprise sur des réseaux sans fil ouverts, mettant ainsi leurs données professionnelles à portée de main des pirates. Pour simplifier ce processus et sécuriser l’ensemble de vos identifiants, utilisez un gestionnaire de mots de passe. Ces outils évaluent le niveau de sécurité des mots de passe de votre coffre-fort et vous permettent de repérer ceux qui posent problème.

Adoptez une culture favorable au travail à distance

Avec les outils adaptés, le travail à distance ne rime pas forcément avec une baisse de productivité. En réalité, cette pratique peut offrir de précieuses économies de temps et de ressources. Les employés peuvent ainsi rester productifs même lors de déplacements professionnels, de réunions, de déjeuners, etc.
La collaboration et l’organisation sont le dénominateur commun de l’ensemble de ces suggestions, et sont essentielles pour vaincre le blues du retour de vacances. Avec une collaboration saine, tout le monde se sent écouté, les réunions sont plus productives, les idées novatrices donnent naissance à des résultats de meilleure qualité, et tout cela profite en retour à l’entreprise. N’importe qui peut mettre ces conseils simples en pratique pour une rentrée moins difficile.
http://www.journaldunet.com/management/expert/67630/travail---comment-vaincre-le-blues-de-l-automne.shtml

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le changement de saison à une incidence sur le comportement humain.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est une invention pharmaceutique pour soigner ce qui n'existe pas.

Je suis désolé, dans les années 1890, un enfant travaillait en France dès l'âge de 7 ans, 12 heures.
Avant 1936, on travaillait sans sécurité sociale, sans vacances, et il n'y avait ni burn out, ni rien. Surtout pas de médecine du travail.

Comment vendre de plus en plus de médicalents ? En inventant des maladies. La spasmophilie était bien une ânerie, l'opération systématique dans les années 1960 des végétations.
Et maintenant tout le monde se découvre du cholestérol, le bon et le mauvais.

Résultat en France, passé 60 ans, la personne prend au minimum 7 médicaments.

Si on arrêtait un peu de se plaindre et si on apprenait à encaisser les coups durs, comme avant, on ne serait pas tenté de se faire assister en tout.
Avis personnel.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Invité


Invité

Pour toi Les burn out c'est de la fiction aussi?
Meme dire que on est vivant c'est de la fiction Marmhonie?
Crois tû en quelques chose Toi? Aime tû quelques choses car tout ce qui ne sort pas de ta bouche tu crache dessus ...
Il y a d'autres personnes sur terre Marmhonie, y a pas que toi, Et Sï DIeu est prêt à réconforter ceux qui on le cœur briser c'est Que Ca arrive aussi d'être blesser intérieurement surtout Dans ce monde qui demande de toujours etre olus performant dans tout ...

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Il y bien plus de déprimés a l'entrée de l'hiver.

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