Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon EV6.5 : où trouver le Bundle Lot 6 Boosters Fable ...
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

la maladie de Crohn

4 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1la maladie de Crohn Empty la maladie de Crohn Mer 8 Mai - 8:13

Josué

Josué
Administrateur

9 choses à savoir sur la maladie de Crohn

digestion,maladie de crohn
En France, la maladie de Crohn touche environ 1 personne sur 1000. Causes, symptômes, examens de dépistage, traitements... Medisite fait le point sur cette maladie digestive chronique qui peut apparaître à tout âge.
C'est quoi ?

La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique de l'intestin, qui peut toucher toutes les parties de l'intestin. Mais généralement, trois zones sont particulièrement atteintes : le côlon, l'anus, et la partie terminale de l'intestin grêle (l'iléon).
Il s'agit d'une maladie qui évolue par poussées, en alternance avec des périodes de rémission où la personne peut observer une complète disparition des symptômes. Aujourd'hui, s'il est possible de soulager les symptômes et de cicatriser les lésions pour de longues périodes, la maladie ne se guérit pas.
En France, "6 cas de maladie de Crohn sur 100 000 personnes sont découverts chaque année", explique le Pr Laurent Beaugerie, gastro-entérologue à l'hôpital Saint-Antoine à Paris. La maladie peut survenir à tout âge, mais le diagnostic est souvent posé entre 15 et 40 ans.
Le 29/04/2013 - Florence Massin, journaliste santé - Validé par Pr Laurent Beaugerie, gastro-entérologue

2la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Lun 28 Juil - 7:45

Josué

Josué
Administrateur

[size=30]La douche responsable de la maladie de Crohn ?[/size]
-20140728#comment-form]
Pour la première fois, des scientifiques établissent un lien entre les pommes de douche et la maladie de Crohn. Explications.[size=13]Pour éviter de contracter la
 [url=http://www.medisite.fr/dictionnaire-des-maladies-crohn-maladie-de.90450.5.html]maladie de Crohn, il faudrait laisser couler l'eau avant de se servir de la douche. Tels sont les conseils de scientifiques de l'université de Lancaster (Royaume-Uni) qui ont analysé les douches de particuliers vivant au Royaume-Uni. Ils ont en fait retrouvé des bactéries dites "mycobacterium avium", responsables de la maladie de Johne chez les animaux et significativement associée à la maladie de Crohn chez les humains, dans les pommes de ces douches. C'est la "première fois" que de telles bactéries sont identifiées dans des eaux domestiques, a souligné le Pr Roger Pickup de l'université de Lancaster.
Des études antérieures menées par la même équipe de chercheurs avaient montré la présence de cette bactérie dans des rivières proches de bétail contaminé. Les scientifiques estiment que l'inhalation d'eau de ces rivières, portée par le vent, pourrait être liée aux cas importants de patients touchés par la maladie de Crohn à Cardiff.
Les résultats de l'étude ont été publiés dans Pathogens
.
[/size]

3la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Ven 31 Oct - 8:47

Josué

Josué
Administrateur

[size=30]Maladie de Crohn : les symptômes[/size]

La maladie de Crohn est une pathologie inflammatoire chronique qui peut toucher tous les organes du tube digestif, de la bouche à l'anus. Medisite fait le point sur ses signes caractéristiques avec le Dr Robert Benamouzig, gastro-entérologue.
la maladie de Crohn 1875530-inline-310x206
PUBLICITÉ
[size][size]

Des diarrhées sévères

Si les causes de la maladie de Crohn restent inexpliquées, les répercussions qu'elle entraîne dans l'organisme sont mieux connues. Par exemple, la diarrhée. "On constate un déséquilibre du système immunitaire qui provoque une inflammation et une destruction de la barrière épithéliale du côlon" explique le Dr Robert Benamouzig, gastro-entérologue. Abîmé, le système digestif fonctionne mal, le patient va beaucoup aux toilettes, ses selles sont molles (pas liquides), parfois avec des saignements si les vaisseaux sanguins ont été attaqués.[/size][/size]

4la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Sam 1 Nov - 20:42

Josué

Josué
Administrateur

Des douleurs abdominales du côté droit

La maladie de Crohn peut causer des douleurs dans la partie inférieure droite de l'abdomen, appelée "fosse iliaque". Lorsque le tube digestif est touché, "les cellules immunitaires relâchent des cytokines", explique le gastro-entérologue. Ces molécules sont à l'origine de nombreuses douleurs parce qu'elles attaquent des neurones sensoriels.
Attention : La moindre douleur abdominale ne signifie pas une maladie de Crohn. Pour qu'il y ait un vrai soupçon, il faut que d'autres symptômes se cumulent.

5la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Ven 22 Jan - 9:30

Josué

Josué
Administrateur

LA DOUCHE RESPONSABLE DE LA MALADIE DE CROHN ?

Pour la première fois, des scientifiques établissent un lien entre les pommes de douche et la maladie de Crohn. Explications.
Pour éviter de contracter la maladie de Crohn, il faudrait laisser couler l'eau avant de se servir de la douche. Tels sont les conseils de scientifiques de l'université de Lancaster (Royaume-Uni) qui ont analysé les douches de particuliers vivant au Royaume-Uni. Ils ont en fait retrouvé des bactéries dites "mycobacterium avium", responsables de la maladie de Johne chez les animaux et significativement associée à la maladie de Crohn chez les humains, dans les pommes de ces douches. C'est la "première fois" que de telles bactéries sont identifiées dans des eaux domestiques, a souligné le Pr Roger Pickup de l'université de Lancaster.

Des études antérieures menées par la même équipe de chercheurs avaient montré la présence de cette bactérie dans des rivières proches de bétail contaminé. Les scientifiques estiment que l'inhalation d'eau de ces rivières, portée par le vent, pourrait être liée aux cas importants de patients touchés par la maladie de Crohn à Cardiff.

Les résultats de l'étude ont été publiés dans Pathogens.

6la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Lun 15 Fév - 5:41

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Louis XIV était atteint de cette maladie.,

A lire ces travaux universitaires :
http://campus.cerimes.fr/hepato-gastro-enterologie/enseignement/item118/site/html/cours.pdf
&
http://hepatoweb.com/DES/exposes/DES_121209_COFFIN/SEKSIK.pdf

Sur son traitement actuel dont les progrès sont spectaculaires :
http://www.cnhim.org/dossier%20du%20cnhim%20-%20pdf/dossiers/dossier%202001%20n%B06.pdf

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

7la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Lun 15 Fév - 8:36

Josué

Josué
Administrateur

En fait on ne guerrie pas de cette maladie.

8la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Dim 21 Fév - 3:56

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Non, actuellement en 2016, on ne guérit pas de cette maladie.

Il y a cependant d'énormes progrès pharmaceutiques faits depuis 2 ans qui préviennent les crises.
J'ai le fils d'un ami dont je me suis occupé en Médecine Traditionnelle Chinoise, et on a trouvé un médicament qui venait juste d'apparaître, qui lui a calmé tellement les crises qu'il n'en parle plus, tant c'est quasiment parfait.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

9la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Dim 21 Fév - 8:38

Josué

Josué
Administrateur

J'ai une belle fille qui vie avec cette maladie depuis pas mal d'années.

10la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Ven 7 Oct - 9:03

samuel

samuel
Administrateur

Selon des chercheurs, cette maladie pourrait être provoqué par l'association de bactéries de l'intestin et d'un champignon. Cette découverte pourrait avoir des applications très importantes, notamment en matière de développement de nouveaux traitements pour les malades.

C'est peut-être une bonne nouvelle pour les personnes touchées par la maladie de Crohn, dont l'origine, à l'heure actuelle, est toujours une énigme pour la science. Une équipe de chercheurs de l'université Case western reserve, dans l'Ohio, aux Etats-Unis, a identifié pour la première fois un champignon susceptible de jouer un rôle majeur dans le développement de cette pathologie très invalidante: le Candida tropicalis.

La maladie de Crohn est une pathologie inflammatoire chronique de l'intestin, qui peut toucher n'importe quelle partie du tube digestif, de la bouche à l'anus.

11la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Mer 24 Mai - 13:05

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

pourrait atténuer l’un des processus inflammatoires à l’œuvre dans l’intestin des malades.

Un diagnostic en cinq lettres tombe, et toute une vie s’en trouve bouleversée… La maladie de Crohn, du nom du médecin américain qui l’a identifiée en 1932, est un véritable cataclysme intestinal. En France, plus de 82.000 personnes souffrent de façon cyclique de douleurs abdominales, de diarrhées à répétition (entre 4 et 20 par jour), d’une perte d’appétit et d’une grande fatigue engendrées par cette maladie. Alors que, pour l’heure, aucun traitement ne permet la guérison - la racine du mal n’ayant pas encore été identifiée -, plusieurs pistes de recherche sont explorées pour tenter d’atténuer les symptômes. Parmi elles, celle des microbes intestinaux figure en bonne place.
«Toutes les études montrent de manière flagrante que les patients atteints de maladies inflammatoires de l’intestin ont un microbiote intestinal très appauvri »
Pr Joël Doré, directeur scientifique de MetaGenoPolis à l’Inra
«Toutes les études montrent de manière flagrante que les patients atteints de maladies inflammatoires de l’intestin ont un microbiote intestinal très appauvri», commence le Pr Joël Doré, directeur scientifique de MetaGenoPolis à l’Institut national de la recherche agronomique (Inra).
Selon lui, trois facteurs apparus autour des années 1950 expliquent l’augmentation du nombre de malades dans les pays occidentaux. D’une part un changement des comportements nutritionnels, avec une hausse des apports en graisses, en protéines animales, en sucres simples et une diminution de la consommation de fibres. D’autre part une hausse du nombre de naissances par césarienne, alors que le passage par la voie basse est un moment clé de la mise en place du microbiote intestinal. Enfin, le recours fréquent aux antibiotiques et l’exposition globale aux substances chimiques environnementales et alimentaires.
«À l’origine, la maladie de Crohn est due à une réaction aberrante du système immunitaire à l’encontre du microbiote intestinal», poursuit Joël Doré. Plus connu sous le terme de «flore intestinale», le microbiote est l’ensemble des micro-organismes qui cohabitent dans notre tube digestif. Chez les malades, cet affolement du système immunitaire «conduit à une inflammation et à un stress oxydatif, ainsi qu’à l’élimination de certaines espèces bactériennes indispensables au bon fonctionnement de notre organisme», précise le chercheur, qui souligne également l’existence d’une susceptibilité génétique pouvant conduire à la maladie.
Mais une bactérie est capable de passer à travers les mailles du filet. Profitant de cette hécatombe de la flore intestinale, alors que ses congénères sont prises pour cibles, Escherichia coli développe un facteur de virulence lui permettant de se cramponner à la paroi intestinale et d’y activer une tempête de molécules de l’inflammation. C’est ainsi que plus de 80 % des malades en phase active de la maladie présentent une quantité d’Escherichia coli bien supérieure à la normale. En empêchant les autres espèces de s’installer en raison de son expansion massive, cette bactérie induit un déséquilibre et une inflammation encore plus importante.
Test diagnostic

Cette tactique de survie a conduit des chercheurs de l’Inra à s’intéresser de plus près à cette bactérie. Leurs premiers travaux ont motivé la création en 2012 d’une start-up, Enterome, dont les projets enthousiasment des firmes pharmaceutiques japonaise et américaine. «Nous développons actuellement un médicament qui empêche cette bactérie de déclencher une réaction inflammatoire, explique Pierre Bélichard, pharmacien et fondateur d’Enterome. Il agit uniquement dans l’intestin sans pénétrer dans le sang et il est éliminé dans les selles.»
Pour l’heure, cette molécule a seulement été testée chez des volontaires sains, étape indispensable pour s’assurer qu’elle est correctement tolérée et n’induit pas d’effet indésirable. Par ailleurs, un essai in vitro réalisé sur des échantillons d’iléon - la partie terminale de l’intestin grêle - prélevés chez une quinzaine de patients a montré que le médicament permettait effectivement de diminuer la réaction inflammatoire induite par la bactérie pathogène. D’autres tests chez l’homme sont toutefois attendus.
«La plupart des médicaments actuellement utilisés sont des anti-inflammatoires qui ne peuvent pas être prescrits trop longtemps en raison d’un risque important d’effets secondaires»
Pierre Bélichard, pharmacien et fondateur d’Enterome
«La plupart des médicaments actuellement utilisés sont des anti-inflammatoires qui ne peuvent pas être prescrits trop longtemps en raison d’un risque important d’effets secondaires, explique Pierre Bélichard. Réprimer le système immunitaire sur le long terme peut fragiliser l’individu vis-à-vis des maladies infectieuses.»
Autre cheval de bataille: mieux suivre l’évolution de la maladie. Les 20 chercheurs de l’entreprise œuvrent ainsi à la mise au point d’un test diagnostic qui permettrait de vérifier régulièrement l’état inflammatoire des intestins du patient, et ainsi de mieux doser ses traitements. Le niveau de douleur n’est en effet pas un indicateur suffisant, et une coloscopie doit être réalisée tous les deux ans. Mais cet examen est très invasif. Enterome a donc entrepris de développer un test permettant, en quelques heures, d’analyser les micro-organismes présents dans les selles du patient, qui sont le reflet de l’inflammation.

12la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Mer 18 Oct - 21:52

Josué

Josué
Administrateur

Maladie de Crohn: et si la clé de la guérison était dans l'alimentation ?
Par Cécile Thibert Mis à jour le 15/09/2017 à 14:06 Publié le 14/09/2017 à 19:30
Maladie de Crohn: et si la clé de la guérison était dans l'alimentation ?
LE PLAISIR DES LIVRES - Dans Diagnostiquée Crohn, Jeanne Deumier raconte avec franchise et assurance comment elle a été touchée de plein fouet par la maladie de Crohn.

C'est un témoignage porteur d'espoir pour toutes les personnes atteintes d'une maladie inflammatoire chronique de l'intestin. Ce récit, c'est celui de Jeanne Deumier, une jeune femme de 25 ans, qui raconte comment elle a été touchée de plein fouet par la maladie de Crohn. Causée par une inflammation persistante des parois intestinales aux origines mystérieuses, cette maladie touche plus de 80.000 personnes en France.

Avec franchise et assurance, Jeanne se livre sans demi-mesure. Elle raconte les douleurs atroces, les vomissements sans fin, l'indifférence des médecins, la défiance de ses amis et les mois d'errance à arpenter les couloirs des services de gastro-entérologie, en vain. Au fil des pages, le tableau s'éclaircit et le lecteur découvre que la jeune femme finit par trouver en elle les clés de sa propre guérison, en s'affranchissant partiellement du monde médical et en se tournant vers un mode de vie résolument plus sain.
Mais dès les premières pages, elle met en garde ses lecteurs: «(Ce livre) n'est en aucun cas un appel à abandonner une structure médicale et des professionnels compétents. Aujourd'hui guérie, je reste suivie par mon gastro-entérologue qui me prescrit régulièrement des coloscopies et fibroscopies de contrôle. Je suis également surveillée tous les trois mois par des prises de sang complètes afin de vérifier que je ne présente aucune carence.»
Les années d'encrassement

Lorsque les premiers symptômes de la maladie apparaissent, en 2010, Jeanne a 18 ans. Elle partage sa vie entre les cours, les repas pris sur le pouce et, surtout, les soirées arrosées entre amis. Tout bascule le jour des résultats du baccalauréat, où un apéro de trop rend Jeanne malade pour de bon. Commence alors un défilé de maux bien décidés à ne plus la quitter: crampes d'estomac, vomissements, sang dans les selles, fatigue intense, douleurs articulaires... Elle le comprendra plusieurs mois plus tard: ces troubles sont le résultat d'un «encrassement», fruit de nombreuses années passées à consommer de la nourriture «artificielle et transformée». Fast-food, sandwichs triangle ou kebabs se succèdent alors dans l'assiette de la jeune femme. «Je ne saurais dire si le mal est venu d'un coup ou tout doucement, avec des signaux annonciateurs que j'ai refusé de voir (...). Ma peau avait bien essayé (de me prévenir) depuis pas mal de temps, mais je n'avais jamais fait le lien, pensant à de simples désordres cutanés d'adolescente», se souvient-elle.
«Je ne saurais dire si le mal est venu d'un coup ou tout doucement, avec des signaux annonciateurs que j'ai refusé de voir»
Jeanne Deumier
Lorsque le diagnostic tombe, Jeanne interroge le spécialiste quant à son régime alimentaire: «Du coup, il y a un rapport avec ce que je mange?», lui demande-t-elle. Le médecin répond par la négative. Les traitements s'enchaînent, les doses sont ajustées au fil des mois, mais rien n'y fait. Et même pire: le corps de Jeanne se désagrège un peu plus chaque jour.
Après deux ans d'échec thérapeutique, la jeune femme se voit proposer un nouveau traitement, plus contraignant. Cette fois, c'est trop. Jeanne refuse et se donne six mois pour suivre son instinct : «J'en suis venue à cette déduction très simple: avec Crohn, chaque fois que je mettais quelque chose dans ma bouche, c'était le début des souffrances. Il y avait donc bel et bien un lien évident entre ce que je donnais à mon estomac (...) et ces vilains ulcères.» Alimentation saine, sport, zéro alcool: elle se met avec ardeur en quête d'un nouvel équilibre... En quelques mois, tous les symptômes disparaissent et la jeune femme peut reprendre une vie normale, tout en conservant son nouveau mode de vie.
«Diagnostiquée Crohn», Jeanne Deumier, à paraître aux Éditions

13la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Lun 20 Nov - 13:19

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Maladie de Crohn: et si la clé de la guérison était dans l'alimentation ?[/size]

  • Par  la maladie de Crohn Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> Cécile Thibert 
     

LE PLAISIR DES LIVRES - Dans Diagnostiquée Crohn, Jeanne Deumier raconte avec franchise et assurance comment elle a été touchée de plein fouet par la maladie de Crohn.
C'est un témoignage porteur d'espoir pour toutes les personnes atteintes d'une maladie inflammatoire chronique de l'intestin. Ce récit, c'est celui de Jeanne Deumier, une jeune femme de 25 ans, qui raconte comment elle a été touchée de plein fouet par la maladie de Crohn. Causée par une inflammation persistante des parois intestinales aux origines mystérieuses, cette maladie touche plus de 80.000 personnes en France.


la maladie de Crohn XVM2ac0426a-9972-11e7-91ff-2039c9f81857-300x470


Avec franchise et assurance, Jeanne se livre sans demi-mesure. Elle raconte les douleurs atroces, les vomissements sans fin, l'indifférence des médecins, la défiance de ses amis et les mois d'errance à arpenter les couloirs des services de gastro-entérologie, en vain. Au fil des pages, le tableau s'éclaircit et le lecteur découvre que la jeune femme finit par trouver en elle les clés de sa propre guérison, en s'affranchissant partiellement du monde médical et en se tournant vers un mode de vie résolument plus sain.
Mais dès les premières pages, elle met en garde ses lecteurs: «(Ce livre) n'est en aucun cas un appel à abandonner une structure médicale et des professionnels compétents. Aujourd'hui guérie, je reste suivie par mon gastro-entérologue qui me prescrit régulièrement des coloscopies et fibroscopies de contrôle. Je suis également surveillée tous les trois mois par des prises de sang complètes afin de vérifier que je ne présente aucune carence.»

Les années d'encrassement


Lorsque les premiers symptômes de la maladie apparaissent, en 2010, Jeanne a 18 ans. Elle partage sa vie entre les cours, les repas pris sur le pouce et, surtout, les soirées arrosées entre amis. Tout bascule le jour des résultats du baccalauréat, où un apéro de trop rend Jeanne malade pour de bon. Commence alors un défilé de maux bien décidés à ne plus la quitter: crampes d'estomac, vomissements, sang dans les selles, fatigue intense, douleurs articulaires... Elle le comprendra plusieurs mois plus tard: ces troubles sont le résultat d'un «encrassement», fruit de nombreuses années passées à consommer de la nourriture «artificielle et transformée». Fast-food, sandwichs triangle ou kebabs se succèdent alors dans l'assiette de la jeune femme. «Je ne saurais dire si le mal est venu d'un coup ou tout doucement, avec des signaux annonciateurs que j'ai refusé de voir (...). Ma peau avait bien essayé (de me prévenir) depuis pas mal de temps, mais je n'avais jamais fait le lien, pensant à de simples désordres cutanés d'adolescente», se souvient-elle.


«Je ne saurais dire si le mal est venu d'un coup ou tout doucement, avec des signaux annonciateurs que j'ai refusé de voir»
Jeanne Deumier


Lorsque le diagnostic tombe, Jeanne interroge le spécialiste quant à son régime alimentaire: «Du coup, il y a un rapport avec ce que je mange?», lui demande-t-elle. Le médecin répond par la négative. Les traitements s'enchaînent, les doses sont ajustées au fil des mois, mais rien n'y fait. Et même pire: le corps de Jeanne se désagrège un peu plus chaque jour.
Après deux ans d'échec thérapeutique, la jeune femme se voit proposer un nouveau traitement, plus contraignant. Cette fois, c'est trop. Jeanne refuse et se donne six mois pour suivre son instinct : «J'en suis venue à cette déduction très simple: avec Crohn, chaque fois que je mettais quelque chose dans ma bouche, c'était le début des souffrances. Il y avait donc bel et bien un lien évident entre ce que je donnais à mon estomac (...) et ces vilains ulcères.» Alimentation saine, sport, zéro alcool: elle se met avec ardeur en quête d'un nouvel équilibre... En quelques mois, tous les symptômes disparaissent et la jeune femme peut reprendre une vie normale, tout en conservant son nouveau mode de vie.
«Diagnostiquée Crohn», Jeanne Deumier, à paraître aux Éditions Flammarion le 18 septembre 2017, 214 pages, 19 EUR

14la maladie de Crohn Empty Re: la maladie de Crohn Mer 7 Avr - 14:48

Josué

Josué
Administrateur

07.04.2021

Maladie de Crohn, rectocolite hémorragique : vivre avec une Maladie inflammatoire de l’intestin (MICI)

l'équipe Ça m'intéresse 05/04/2021, 15:00 Santé
la maladie de Crohn PictureMaladie de Crohn, rectocolite hémorragique : vivre avec une Maladie inflammatoire de l’intestin (MICI) :copyright: :copyright: Hiroshi Watanabe/Getty Images

La rectocolite hémorragique (RCH)

En général, cette pathologie est diagnostiquée chez les personnes jeunes (15-30 ans).
Quelles en sont les manifestations ?
Les patients souffrent d’importantes douleurs abdominales, de perte d’appétit et de diarrhées, mais celles-ci contiennent fréquemment du sang et des glaires, associées à des envies pressantes d’aller aux toilettes. À la différence de la maladie de Crohn, la RCH touche le rectum et une partie du côlon, mais jamais l’intestin grêle. Les causes de la maladie sont également multiples et encore méconnues. À savoir : le tabac serait protecteur chez les patients souffrant de RCH, sans que les médecins ne puissent aujourd’hui expliquer pourquoi. L’arrêt du tabac est donc rarement conseillé à ces patients.
Quels traitements ?
« La classe la plus utilisée, qui fonctionne très bien, ce sont les 5-ASA (acide carboxylique), utilisés sous forme de suppositoires ou de lavements », indique le Pr Bourreille du CHU de Nantes. Les corticoïdes sont parfois utilisés en début de poussée. « Ils sont très rapidement efficaces. En général, on prescrit une forte dose pour une ou deux semaines puis on diminue pour éviter les effets secondaires pénibles », ajoute le gastro-entérologue.

La maladie de Crohn

Elle se déclare le plus souvent entre 15 et 30 ans, mais on constate un nouveau pic de diagnostic vers 60 ans.
Quelles en sont les manifestations ?
Fortes douleurs abdominales, diarrhées fréquentes, perte d’appétit, grande fatigue… La maladie de Crohn évolue par poussées de sévérité variable, suivies de phases de rémission. Elle peut atteindre tous les segments du tube digestif, de la bouche à l’anus, mais la localisation principale est le côlon. Les lésions sont des ulcérations sur les parois intestinales ; elles se transforment parfois en fistules, qui font communiquer anormalement des organes entre eux.
Quels traitements ?
« Comme c’est une maladie du système immunitaire, on utilise des immunosuppresseurs, les anti-TNF, qui fonctionnent très bien chez 30 % à 50 % des patients », explique le Pr Bourreille. Par ailleurs, les corticoïdes donnent de bons résultats au coup par coup mais, en raison de leurs effets secondaires, ils sont utilisés le moins possible.

Quel régime alimentaire adopter ?

Aujourd’hui, les traitements existants dans les MICI permettent de diminuer les symptômes et de vivre avec la maladie, pas d’en guérir. Cependant, les recherches sur le microbiote ouvrent de nouvelles pistes : « De nombreuses équipes essaient de comprendre comment se déclenchent ces maladies, indique le Pr Bourreille. Les facteurs sont certainement multiples (génétique, environnement, immunité, flore intestinale…). Les transplantations de matière fécale sont l’une des pistes. Leur répétition, en modifiant la flore intestinale, pourrait peut-être modifier le système immunitaire et être l’une des options thérapeutiques d’avenir ».
En attendant, les patients constatent par eux-mêmes que certains aliments majorent leurs diarrhées et douleurs, comme les crudités, le cidre ou la bière, souvent exclus de leur alimentation. « Il n’y a pas d’aliment responsable de la survenue d’une poussée inflammatoire, ni d’aliment capable de la prévenir », avertit le Pr Bourreille. Néanmoins, « la sensibilité digestive est modifiée » chez les personnes souffrant de MICI, admet le gastro-entérologue. Une certitude : diminuer sa consommation d’aliments transformés ne peut être que bénéfique.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum