Voici les différentes méditations que j'ai abordées, elles ont un fond universel.
Elles reposent sur une spirale du processus intellectuel qui devient de l'intuition.
1) La Concentration est le 1er acte par lequel nous nous concentrons par le biais de nos pensées.
2. La Méditation est de la concentration prolongée en attention, dans toute direction, la fixation persistante du mental sur une idée, son souffle naturel, un son, un mantra, une image qui se détermine en devenant stable.
3) La Contemplation s'en suit en une activité de l'âme, se détachant du mental qui est maintenu en un état quiescent ou sans appui.
4) L'illumination est alors lz conséquence des 3 étapes précédentes, l'état d'être ainsi dépasse tout approche consciente voulue tout en devenant de la pleine conscience.
5) L'inspiration est la terminaison finale, en se manifestant dans la vie de tous les jours, comme un apport de sagesse et un laisser faire de nos problèmes qui se décrochent de nous parce qu'acceptés et devenus inutiles.
La concentration est une faculté consistant à fixer la conscience sur un sujet précis ou indéfini et de l'y maintenir à volonté avec l'amplification de notre vacuité qui devient cettevqualité d'être inhérent à toute méditation. Qu'on l'appelle de pleine conscience ou de sans appui, ou autre, elle est la voie de la perception juste, et cette qualité promeut au méditant de percevoir et de connaître le champ de la perception tel quel sans plus d'illusion ou de gêne parasite.
Le meilleur moyen de se déplacer de l'attention vers la concentration qui se déconnecte de nos pensées automatiques consiste pratiquement à les remplacer par le moyen de les employer en se découvrant l'usage naturel encore inconnu de cette force de vie expulsive d'une impression subjective vers un état général de tout son être uni dans son confort stable, quel que soit le lieu, les circonstances.
En somme, toute méditation est un calme serein entre deux activités qui se rencontrent enfin, celle de l'intellect et celle de l'intuition, de l'esprit à l'âme. L'actuel instant reste inchangé, il est simplement maîtrisé en une offrande émettrice et réceptive.
Au commencement, cela ne durera qu'une brève seconde. Un éclair de perception intuitive, un moment de vision et d'illumination et tout est fini. L'intellect recommence à se modifier, devient actif ; la vision se dissipe, l'instant d'exaltation de la lumière de l'âme percue cesse ; la porte donnant sur le domaine de l'âme semble fermé soudain. Mais l'assurance est acquise ; le cerveau a enregistré la certitude d'une lueur de la réalité dépuillée de toute illusion et le progrès futur est garanti.
La pleine conscience spirituelle du méditant est développée non pas dans une mais dans deux directions, en apparence contraires mais en réalité complémentaires... D'une part, le méditant est suprabsensible en conscience de lui-même et se sait un avec le monde actif du devenir. Et bien qu'ayant rompu à jamais avec l'esclavage de ses sens, il découvre que toutes les manifestations de la vie ont un sens sacramentel, une beauté pure, une signification exaltée, cachée aux autres par le voile permanent de l'illusion. D'autre part, la pleine conscience méditative parvient à ce qui est, je crois, sa qualité divine corporelle caractéristique. Elle développe en lui la capacité d'appréhender l'Absolu, l'Etre Pur, ce qui est complètement transcendant et non résiduel permanent comme la souffrance qui dépose son emprise de la partie de son être affectée.
L'illumination de son intellect orphelin, la perception intuitive et une vie inspirée sur le plan physique en sont les manifestations concrètes.
Elles reposent sur une spirale du processus intellectuel qui devient de l'intuition.
1) La Concentration est le 1er acte par lequel nous nous concentrons par le biais de nos pensées.
2. La Méditation est de la concentration prolongée en attention, dans toute direction, la fixation persistante du mental sur une idée, son souffle naturel, un son, un mantra, une image qui se détermine en devenant stable.
3) La Contemplation s'en suit en une activité de l'âme, se détachant du mental qui est maintenu en un état quiescent ou sans appui.
4) L'illumination est alors lz conséquence des 3 étapes précédentes, l'état d'être ainsi dépasse tout approche consciente voulue tout en devenant de la pleine conscience.
5) L'inspiration est la terminaison finale, en se manifestant dans la vie de tous les jours, comme un apport de sagesse et un laisser faire de nos problèmes qui se décrochent de nous parce qu'acceptés et devenus inutiles.
La concentration est une faculté consistant à fixer la conscience sur un sujet précis ou indéfini et de l'y maintenir à volonté avec l'amplification de notre vacuité qui devient cettevqualité d'être inhérent à toute méditation. Qu'on l'appelle de pleine conscience ou de sans appui, ou autre, elle est la voie de la perception juste, et cette qualité promeut au méditant de percevoir et de connaître le champ de la perception tel quel sans plus d'illusion ou de gêne parasite.
Le meilleur moyen de se déplacer de l'attention vers la concentration qui se déconnecte de nos pensées automatiques consiste pratiquement à les remplacer par le moyen de les employer en se découvrant l'usage naturel encore inconnu de cette force de vie expulsive d'une impression subjective vers un état général de tout son être uni dans son confort stable, quel que soit le lieu, les circonstances.
En somme, toute méditation est un calme serein entre deux activités qui se rencontrent enfin, celle de l'intellect et celle de l'intuition, de l'esprit à l'âme. L'actuel instant reste inchangé, il est simplement maîtrisé en une offrande émettrice et réceptive.
Au commencement, cela ne durera qu'une brève seconde. Un éclair de perception intuitive, un moment de vision et d'illumination et tout est fini. L'intellect recommence à se modifier, devient actif ; la vision se dissipe, l'instant d'exaltation de la lumière de l'âme percue cesse ; la porte donnant sur le domaine de l'âme semble fermé soudain. Mais l'assurance est acquise ; le cerveau a enregistré la certitude d'une lueur de la réalité dépuillée de toute illusion et le progrès futur est garanti.
La pleine conscience spirituelle du méditant est développée non pas dans une mais dans deux directions, en apparence contraires mais en réalité complémentaires... D'une part, le méditant est suprabsensible en conscience de lui-même et se sait un avec le monde actif du devenir. Et bien qu'ayant rompu à jamais avec l'esclavage de ses sens, il découvre que toutes les manifestations de la vie ont un sens sacramentel, une beauté pure, une signification exaltée, cachée aux autres par le voile permanent de l'illusion. D'autre part, la pleine conscience méditative parvient à ce qui est, je crois, sa qualité divine corporelle caractéristique. Elle développe en lui la capacité d'appréhender l'Absolu, l'Etre Pur, ce qui est complètement transcendant et non résiduel permanent comme la souffrance qui dépose son emprise de la partie de son être affectée.
L'illumination de son intellect orphelin, la perception intuitive et une vie inspirée sur le plan physique en sont les manifestations concrètes.