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Il faudra au moins six mois pour ramener Fukushima sous contrôle

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papy
Mikael
Psalmiste
samuel
Josué
9 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Il faudra au moins six mois pour ramener Fukushima sous contrôle
Le Point.fr - Publié le 17/04/2011 à 09:16 - Modifié le 17/04/2011 à 09:27
L'opérateur de la centrale nucléaire japonaise, Tepco, estime qu'il faudra au moins trois mois pour réduire la radioactivité du site.

samuel

samuel
Administrateur

Admin a écrit:Il faudra au moins six mois pour ramener Fukushima sous contrôle
Le Point.fr - Publié le 17/04/2011 à 09:16 - Modifié le 17/04/2011 à 09:27
L'opérateur de la centrale nucléaire japonaise, Tepco, estime qu'il faudra au moins trois mois pour réduire la radioactivité du site.
Les autorités ne disent pas tout pour ne pas faire peur a la population.

Josué

Josué
Administrateur

Fukushima: nette hausse du niveau des substances radioactives en mer
Le niveau des substances radioactives a fortement augmenté en mer à une quinzaine de kilomètres au large de la centrale nucléaire de Fukushima, accidentée après le tsunami du 11 mars, a indiqué mercredi l'opérateur de la centrale.




Des échantillons collectés dans le lit marin à 15 km de la centrale contiennent 1.400 becquerels de césium 137 par kilogramme, selon Tepco Electric Power (Tepco).

Ce chiffre est 600 fois supérieur au niveau maximum de 2,3 becquerels trouvé jusqu'à présent au large de la côte nord-est où se trouve la centrale de Fukushima. Les échantillons prélevés vendredi dernier contenaient également 1.300 becquerels de cesium 134 et 190 becquerels d'iode 131, selon un communiqué de Tepco.

La présence de cesium 137 et 134 était trop faible jusqu'à présent pour être mesurée, a déclaré une porte-parole de Tepco. L'opérateur n'a pas précisé si les niveaux actuels sont considérés comme dangereux. Des échantillons prélevés à un autre endroit, à 20 km de la centrale, montrent des niveaux tout aussi élevés.

"Nous ne pouvons rien dire après ces analyses. Nous allons effectuer d'autres prélèvements et continuer à surveiller", a ajouté la porte-parole.

Les premiers échantillons ont été prélevés à une profondeur comprise entre 20 et 30 mètres, à 3 km de la côte.

Mardi, Greenpeace a entamé des mesures sur la qualité de l'eau au large de Fukushima. Ces premiers tests, menés au sud de la centrale, visent à mesurer le niveau de contamination de la faune et la flore marine et l'impact possible sur la chaîne alimentaire.

Début avril, quelque 520 tonnes d'eau très contaminée se sont écoulées dans la mer via une brèche, colmatée depuis, dans une fosse technique de la centrale Fukushima Daiichi (N°1), située au bord de l'océan Pacifique, à environ 250 km au nord-est de Tokyo.

A peu près au même moment, l'opérateur de la centrale, Tepco, a rejeté en mer des milliers de tonnes d'eau faiblement radioactive qui s'étaient accumulées dans les installations accidentées de Fukushima Daiichi.
http://news.fr.msn.com/m6-actualite/monde/article.aspx?cp-documentid=157288440

Psalmiste

Psalmiste

Seulement 6 mois ?????????

Ils prennent pas 1 peu les gens pour des andouilles ???

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Seulement 6 mois ?????????

Ils prennent pas 1 peu les gens pour des andouilles ???
surement Very Happy

Josué

Josué
Administrateur

L'IRSN recommande l'évacuation de 70 000 personnes supplémentaires au Japon
Le Point.fr - Publié le 25/05/2011 à 11:44 - Modifié le 25/05/2011 à 12:25
Des populations installées au-delà de 20 kilomètres autour de la centrale encourent des risques, selon l'organisme français.

Josué

Josué
Administrateur

[size=45]La centrale nucléaire de Fukushima reste une menace[/size]

Dorian Malovic , le 11/03/2019 à 10h57 
Mis à jour le 11/03/2019 à 12h18



 

 




[size=20]Huit ans après le tsunami de mars 2011 qui a dévasté la côte nord-est du Japon et mis en péril la centrale nucléaire Fukushima Daiichi, le site de Fukushima reste un énorme chantier où le risque immédiat semble écarté, mais où les tâches ardues et les imprévus perdurent.

Il faudra au moins six mois pour ramener Fukushima sous contrôle Employe-compagnie-delectricite-Tokyo-nucleaire-Fukushima_0_729_486ZOOM 
Un employé de la compagnie d’électricité de Tokyo sur le site nucléaire de Fukushima.  / Kimimasa Mayama/EPA


Combustible nucléaire, eau contaminée, déchets et main-d’œuvre sur le terrain, voici les principaux enjeux à résoudre pour la société japonaise Tepco qui gère la centrale nucléaire de Fukushima fortement endommagée il y a huit ans lors du tsunami du 10 mars 2011 sur la côte nord-est du Japon.

Après le tremblement de terre qui a provoqué un terrible tsunami en 2011, quatre des six réacteurs de la centrale ont été endommagés. Les cœurs des tranches 1 à 3 ont fondu au moment de l’accident et l’on sait désormais que le combustible est en quasi-totalité tombé au fond de l’enceinte de confinement primaire de chaque unité, enceinte qu’il a même en partie entamée.

Des manipulations récentes avec un robot dans l’enceinte du réacteur 2 ont permis de constater que ce combustible pouvait en partie être soulevé par petits morceaux à plusieurs endroits. Ce n’est qu’un tout début pour étudier des moyens concrets de l’extraire, une opération extrêmement délicate qui ne débutera pas avant 2021 au mieux, a récemment confirmé la compagnie exploitante Tepco et le ministère de l’Industrie.

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Au Japon les acteurs du nucléaire veulent partager les risques




Par ailleurs, dans ces mêmes réacteurs 1 à 3, des centaines d’assemblages de combustible usé sont toujours dans les piscines de refroidissement situées en haut des bâtiments. « En raison de différents problèmes, les opérations de retrait ont pris du retard dans le réacteur 3, elles ne commenceront pas ce mois-ci comme prévu. Et s’agissant de la piscine du réacteur 1, elle est couverte de détritus qu’il va falloir enlever, une opération que nous ferons avec une extrême prudence », expliquait à la presse fin février Akira Ono, directeur de la filiale de Tepco chargée du démantèlement. Tepco ne prévoit pas de retrait de ce combustible des piscines des réacteurs 1 et 2 avant 2023.

L’eau contaminée reste un des défis majeurs


L’autre défi de taille pour la compagnie nucléaire reste l’eau contaminée. Le site en regorge, « même si les différentes dispositions prises ont permis d’atténuer » le problème, selon Akira Ono. L’eau, c’est au départ celle du tsunami qui a ravagé les installations, eau qu’il a fallu pomper, assainir et stocker. C’est ensuite celle qui sert à refroidir les réacteurs et enfin celle qui tombe du ciel et descend de la montagne en amont et se contamine au passage.

Un mur de glace souterrain faisant barrière et des pompes permettent cependant de limiter la quantité d’eau contaminée par les installations. Les graphiques montrent cependant qu’en périodes de violents typhons (septembre, octobre), des pics à des niveaux bien plus élevés sont inévitables.

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Au total, environ 1,12 million de mètres cubes d’eau sont conservés dans des citernes sur le site, mais la capacité maximum (1,37 million) sera atteinte fin 2020. Cette eau est traitée par un système de décontamination qui élimine les éléments radioactifs à l’exception du tritium. Problème : Tepco a reconnu en fin d’année dernière que 85 % de l’eau était en fait toujours porteuse d’une teneur trop élevée concernant les 62 radionucléides censés être supprimés. La société a donc décidé de la filtrer une deuxième fois.

Que faire ensuite de cette eau encore pleine de tritium ? « Plusieurs solutions potentielles (injection dans les couches profondes de la Terre, rejet en mer, évaporation dans l’air, etc.) sont examinées par un groupe d’études constitué d’experts, mais nous n’avons encore rien décidé », explique Yumiko Hata, directrice de la gestion des déchets de Fukushima, au ministère de l’industrie. « Sans résolution de cette situation critique de l’eau, le plan, déjà irréaliste de Tepco d’en finir avec l’accident, est encore plus compromis », insiste auprès de l’Agence France-Presse, Shaun Burbie, spécialiste du secteur nucléaire au sein de l’organisme Greenpeace.

Les ouvriers sont exposés sans vraiment de contrôle du gouvernement


Enfin, entre 4 000 et 5 000 personnes travaillent chaque jour sur le site, un nombre presque deux fois moins important qu’il y a quatre ans, « car de gros chantiers ont été achevés (mur de glace, pose d’un revêtement sur le sol, construction de bâtiments divers) », précise Akira Ono. En moyenne, l’exposition des travailleurs aux radiations est désormais inférieure à 5 mSV par an, mais ce seul chiffre masque les fortes disparités entre individus, en fonction de leurs tâches. « Nous avons tous un carnet de suivi des radiations, mais cela n’est regardé que par notre employeur (dans mon cas, un sous-traitant de sous-traitant de sous-traitant d’une filiale de Tepco), mais nous ne sommes pas suivis spécialement par le gouvernement, ce n’est pas normal », se plaint Minoru Ikeda, un ancien travailleur du site.

Dorian Malovic[/size]

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

vont devenir les eaux contaminées par la catastrophe nucléaire de Fukushima ?

[url=whatsapp://send?text=Que+vont+devenir+les+eaux+contamin%C3%A9es+par+la+catastrophe+nucl%C3%A9aire+de+Fukushima+%3F - https%3A%2F%2Fwww.maxisciences.com%2Fnucleaire%2Fque-vont-devenir-les-eaux-contaminees-par-la-catastrophe-nucleaire-de-fukushima_art43764.html][/url]
Huit ans après la catastrophe, les autorités japonaises poursuivent le nettoyage du site de la centrale Fukushima. Mais une récente déclaration du ministre de l'environnement japonais concernant le recyclage des eaux polluées par l'incident inquiète les responsables.

Des réservoirs à l'étroit

Plus d'un million de litres d'eau de mer servant au refroidissement de la centrale (et bien entendu contaminés par la radioactivité du site) sont stockés jour après jour dans de grands réservoirs depuis l'accident survenu en mars 2011. Mais un nouveau problème se pose pour les autorités : les sites de stockage pourraient manquer de place d'ici 2022.
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Il faudra au moins six mois pour ramener Fukushima sous contrôle ThumbnailLes autorités ont essayé de traiter les eaux mais ne parviennent pas à filtrer le tritium, un isotope d'hydrogen radioactif. - IAEA Imagebank

Une déclaration qui fait bondir les plus hauts responsables

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Dans un récent communiqué, le ministre de l'environnement Yoshiaki Harada, a annoncé que la compagnie propriétaire de la centrale, la société Tokyo Electric Power Tepco envisagerait de déverser l'eau radioactive directement dans l'océan Pacifique : 
La seule option sera de la drainer vers la mer et de la diluer.

L'annonce eu l'effet d'une étincelle dans une poudrière au sein de l'exécutif qui a vu d'un très mauvais oeil cette éventualité. Le gouvernement de son côté attend le retour des experts, évaluant à la fois les impacts d'une telle mesure mais explorant également d'autres solutions comme la transformation à l'état gazeux ou le stockage dans la terre pour une période donnée.
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Personne n'en veut


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Le ministre n'a pas précisé les quantités d'eau qui pourraient être déversées dans la mer, mais une nouvelle étude indique qu'il faudrait 17 ans au Japon pour traiter, diluer et déverser les eaux correctement. Sur le plan local, une telle mesure mettrait en colère les pêcheurs qui essaient déjà tant bien que mal de reconstituer leur activité sur les côtes depuis l'accident. Sur le plan frontalier, la Corée du Sud a exprimé ses inquiétudes auprès du pays du soleil levant notamment pour le risque de contamination des aliments issus de la mer au sein de sa population.
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Des mesures à prendre rapidement

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Josué

Josué
Administrateur


[size=55]Ukraine : hausse de la radioactivité près de Tchernobyl après un feu de forêt


Les services d’urgence avaient déjà fait état de « difficultés » en raison d’une augmentation de la radioactivité par endroits.

[/size]












Par Le Parisien avec AFP
Le 6 avril 2020 à 00h03, modifié le 6 avril 2020 à 14h19


Un niveau 16 fois supérieur à la normale. L'Ukraine a signalé dimanche une hausse de la radioactivité dans la zone d'exclusion entourant la centrale de Tchernobyl, théâtre en 1986 du pire accident nucléaire de l'histoire, en raison d'un feu de forêt qui s'est déclaré la veille.

« Il y a de mauvaises nouvelles : la radioactivité est supérieure à la normale au cœur de l'incendie », admet Egor Firsov, à la tête du service d'inspection écologique, sur Facebook. Son message est accompagné d'une vidéo montrant un compteur Geiger affichant un niveau de radioactivité anormalement haut.




Les services d'urgence avaient déjà fait état de « difficultés » en raison d'une augmentation de la radioactivité par endroits… avant de se contredire et d'assurer qu'il n'y avait pas de hausse de radioactivité.

100 hectares en feu


Les flammes ont envahi plus de 100 hectares dans la parcelle forestière située autour de la centrale accidentée, à une centaine de kilomètres au nord de la capitale Kiev. Deux avions, un hélicoptère et une centaine de pompiers sont mobilisés. Les autorités affirment que les localités avoisinantes ne sont pas en danger.



Le réacteur numéro 4 de la centrale de Tchernobyl a explosé le 26 avril 1986 contaminant, selon certaines estimations, jusqu'aux trois quarts de l'Europe. Après cette catastrophe, les autorités ont évacué des centaines de milliers de personnes et un vaste territoire, couvrant plus de 2000 kilomètres carrés, est resté à l'abandon.

Trois autres réacteurs de la centrale ont continué de fonctionner après le drame. Le dernier a été arrêté en 2000, marquant la fin de toute activité industrielle à Tchernobyl. En 2009, ce drame a fait l'objet d'une série britannico-américaine, « Chernobyl », qui a participé à relancer le tourisme sur place.

Josué

Josué
Administrateur

Dix ans après Fukushima, une décontamination et de nombreuses inconnues 

Le 11 mars 2011, un séisme record, suivi d'un tsunami ont provoqué l'un des plus importants accidents nucléaires de l'histoire. Dix ans plus tard, quelles sont les conséquences environnementales et sanitaires ?




Il faudra au moins six mois pour ramener Fukushima sous contrôle Fukushima-8_6296646
[size=10][size=10]Vue de l'unité à l'unité 4 de la centrale de Fukushima Daiichi, prise en 2018. (Photo by Behrouz MEHRI / AFP)

AFP


[size=13]Par Yohan Blavignat
publié le 10/03/2021 à 15:45 , mis à jour à 17:23[/size]
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Le vendredi 11 mars 2011 commence comme beaucoup d'autres journées ensoleillées d'hiver sur la côte nord-est du Japon. Il fait frais, la température est de 8°C. À 14h46, un séisme sous-marin fait trembler la côte japonaise. Il est d'une magnitude de 9 sur l'échelle de Richter, le plus fort jamais enregistré au Japon. Parti à une profondeur de 24 kilomètres, à 130 km environ de la côte du département japonais de Miyagi, il est ressenti dans une grande partie du pays. Sa puissance est telle qu'il déplace Honshu, la principale île nippone, de 2,4 mètres vers l'est. Il aurait même décalé l'axe de rotation de la Terre de plus d'une dizaine de centimètres. Le point de départ de la plus grave catastrophe nucléaire depuis Tchernobyl, en 1986. 
Le tremblement de terre déclenche un tsunami qui atteint les côtes japonaises trente minutes plus tard. Située juste en face de l'océan, la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi est heurtée par un mur d'eau

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Fukushima : l’impossible retour à la vie d’avant[/size]

[size=30]REPORTAGE. Retourner ou non dans les zones du département de Fukushima, dix ans après l’accident nucléaire de mars 2011 ? Les avis divergent toujours.[/size]


Il faudra au moins six mois pour ramener Fukushima sous contrôle 21415138lpw-21415628-article-jpg_7761287_660x281
Une femme fait face au front de mer, à Hisanohama, préfecture de Fukushima, le 11 mars 2021.:copyright: CHARLY TRIBALLEAU / AFP
De notre correspondante à Tokyo, Karyn Nishimura
Publié le 11/03/2021 à 11h09

[size=55]«  Une vie normale est possible dans plus de 97,6 % du département de Fukushima, car l'ordre d'évacuation ne concerne désormais plus que 2,4 % de la surface de la région », répète à l'envi Katsuei Hirasawa, ministre japonais de la Reconstruction. Ne restent officiellement interdits d'habitat que le bourg de Futaba et une partie d'Okuma, de Namie ou encore de Tomioka. Cette affirmation de l'État tend à rassurer, mais elle est quelque peu discutable, d'une part, compte tenu du fait que plus de 70 % du département de Fukushima est couvert de forêts qui ne sont pas décontaminées et étaient de t...
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papy

papy

Le rejet en mer de l'eau de la centrale de Fukushima doit commencer ce jeudi
Par Le Figaro avec AFP
[size=16]Publié il y a 6 heures, mis à jour il y a 44 minutes
[/size]

Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi visite la centrale nucléaire de Fukushima en mai 2022. KYODO / REUTERS

Ce projet, validé début juillet par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), sera sans danger pour l'environnement et la santé humaine, assure Tokyo.
Le [size=18]rejet dans l'océan Pacifique de l'eau traitée de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima Daiichi (nord-est du Japon) doit commencer jeudi «si les conditions météo le permettent», a déclaré mardi 22 août le premier ministre japonais Fumio Kishida. Ce projet a été validé début juillet par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et Tokyo assure qu'il sera sans danger pour l'environnement et la santé humaine. Mais cette opération, qui doit durer des décennies, suscite aussi de vives inquiétudes et critiques, notamment de la part de la Chine.[/size]

Lechercheur



Rejet des eaux de Fukushima : les calculs risqués du gouvernement japonais

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La décision des dirigeants japonais de relâcher de l’eau radioactive dans l’océan laisse craindre des répercussions pour l’économie du pays, notamment pour le secteur de la pêche

papy

papy

Tout ça créer des tensions avec la Chine.

Yves



Ap 8.9,11. Et le troisième ange sonna de la trompette ; et il tomba du ciel une grande étoile, ardente comme une torche, et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux. 11 Le nom de cette étoile est Absinthe ; et le tiers des eaux fût changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent de ces eaux, parce qu'elles étaient devenues amères.
Savez vous que le mot tchernobyl veut dire absinthe en Russe ?
Quel peut être le moyen qui rendra le cycle des eaux amères ?
Ceci est une approche au premier degré de la prophétie, mais elle peut nous indiquer que la solution miracle de l’énergie nucléaire décarboné se passe bien dans un monde où ont que des amis, et ou les accidents n’existe pas.

BenFis

BenFis

papy a écrit:Tout ça créer des tensions avec la Chine.
C'est la Chine qui crée sciemment des tensions.
Le rejet en mer de l'eau de la centrale de Fukushima n'est qu'un prétexte avancé par ce pays pour justifier le blocage commercial du poisson japonais.

chico.

chico.

Mais tension existe point.

BenFis

BenFis

chico. a écrit:Mais tension existe point.
Est-ce que tu soutiens que refuser l'entrée en Chine de produits de la mer issus de Japon ne cause point de tensions, au moins commerciales ?

papy

papy

Il ne faut pas confondre soutient et constat d'un fait.

BenFis

BenFis

papy a écrit:Il ne faut pas confondre soutient et constat d'un fait.
Je ne vois pas où je confondrais les 2 mots ?

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