La Bible. On a tout, et toute une vie. C'est beaucoup trop d'un coup, et toujours trop.
On a donc les revues gratuites des TJ qui sont offertes, ainsi que l'étude de la Bible, avec la Bible de notre choix. Pas forcément une TMN, on est libre avec eux.
Pourtant, cette liberté qu'ils viennent nous offrir de leur temps et de leur argent, est un luxe dont on n'a plus idée, tant on s'est noyé en envies du monde et illusions.
Quand je vais en Chine, les TJ, vous le savez, sont là aussi au péril de leur vie.
On photocopie beaucoup, et on s'aperçoit qu'une Bible, c'est trop grand pour une vie, des passages suffisent à nous donner l'espoir de vivre et de croire encore.
Donc, suivant les méthodes de distributions volontaires si admirables, car elles épousent tous les contours de la foi, on ne peut pas dire combien en réalité.
Ils ne sont pas si riches que cela, tous sont bénévoles quasiment, des imprimeries de la Watchtower aux différents stades. Tous y sont de leur temps, de leur poche, ce n'est pas forcément une TMN, qui est un luxe. Une Bible de poche en papier journal qui perd ses pages vite fait et jaunie en quelques années, on en vend à quelques euros, l'encre s'en va sous les doigts. Les TMN sont toujours faites pour résister toute une vie. J'en ai réparé plus d'une ! Increvable. La mienne avec laquelle je vais à la messe a fait quelques tours du monde, elle a une histoire et on la partage. Usée, solide, pliée, et toujours identique, rien ne bouge qui ne soit réparé.
C'est une publication aussi, et elle est passée de mains en mains. Combien a-t-elle servie de catholiques, de malades, à y apprendre le français classique ? A lire un peu de poésie dedans pour faire la lecture de notre langue.
J'ai de vieilles publications chinoises qui sont écrites de partout, elles ont la valeur de ces notes, de ces partages.
On n'écoule pas le savoir, on le transmet, avec une passion pour la liberté de choisir librement la vie à son prochain. Et en retour on aime autant apprendre, c'est fascinant.
Combien de gouttes d'eau s'écoulent d'un maigre ruisseau perdu ? Et qui vient à la rivière qui se joint à d'autres faire un fleuve de vie sociale ? Combien de gouttes ? Une seule suffit, la première, on s'en rappelle toujours.
C'est comme les amis, on ne compte pas, on partage.
Merci pour ces belles revues qu'on achèterait cher pour les avoir, et que trop dénient quand on leur offre à leur porte avec un sourire, par tous les temps.
On a donc les revues gratuites des TJ qui sont offertes, ainsi que l'étude de la Bible, avec la Bible de notre choix. Pas forcément une TMN, on est libre avec eux.
Pourtant, cette liberté qu'ils viennent nous offrir de leur temps et de leur argent, est un luxe dont on n'a plus idée, tant on s'est noyé en envies du monde et illusions.
Quand je vais en Chine, les TJ, vous le savez, sont là aussi au péril de leur vie.
On photocopie beaucoup, et on s'aperçoit qu'une Bible, c'est trop grand pour une vie, des passages suffisent à nous donner l'espoir de vivre et de croire encore.
Donc, suivant les méthodes de distributions volontaires si admirables, car elles épousent tous les contours de la foi, on ne peut pas dire combien en réalité.
Ils ne sont pas si riches que cela, tous sont bénévoles quasiment, des imprimeries de la Watchtower aux différents stades. Tous y sont de leur temps, de leur poche, ce n'est pas forcément une TMN, qui est un luxe. Une Bible de poche en papier journal qui perd ses pages vite fait et jaunie en quelques années, on en vend à quelques euros, l'encre s'en va sous les doigts. Les TMN sont toujours faites pour résister toute une vie. J'en ai réparé plus d'une ! Increvable. La mienne avec laquelle je vais à la messe a fait quelques tours du monde, elle a une histoire et on la partage. Usée, solide, pliée, et toujours identique, rien ne bouge qui ne soit réparé.
C'est une publication aussi, et elle est passée de mains en mains. Combien a-t-elle servie de catholiques, de malades, à y apprendre le français classique ? A lire un peu de poésie dedans pour faire la lecture de notre langue.
J'ai de vieilles publications chinoises qui sont écrites de partout, elles ont la valeur de ces notes, de ces partages.
On n'écoule pas le savoir, on le transmet, avec une passion pour la liberté de choisir librement la vie à son prochain. Et en retour on aime autant apprendre, c'est fascinant.
Combien de gouttes d'eau s'écoulent d'un maigre ruisseau perdu ? Et qui vient à la rivière qui se joint à d'autres faire un fleuve de vie sociale ? Combien de gouttes ? Une seule suffit, la première, on s'en rappelle toujours.
C'est comme les amis, on ne compte pas, on partage.
Merci pour ces belles revues qu'on achèterait cher pour les avoir, et que trop dénient quand on leur offre à leur porte avec un sourire, par tous les temps.