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Ils étaient assidus à l'enseignement.

2 participants

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samuel

samuel
Administrateur

Dimanche 19 avril

Ils étaient assidus à l’enseignement des apôtres (Actes 2:42).

À partir de la Pentecôte 33, Christ ressuscité a nourri l’ensemble des disciples oints par le canal, ou l’intermédiaire, de ses apôtres. Les Juifs et les prosélytes devenus ce jour-là chrétiens oints de l’esprit ont clairement identifié ce canal. Spontanément, « ils [ont été] assidus à l’enseignement des apôtres ». D’après un spécialiste, le verbe grec traduit par « être assidu à » peut signifier « rester fidèlement attaché à quelqu’un ou [...] s’appliquer exclusivement à quelque chose, [...] s’y consacrer inlassablement ». Les nouveaux croyants étaient affamés de nourriture spirituelle et savaient exactement où la trouver. Avec une fidélité indéfectible, ils cherchaient auprès des apôtres à obtenir des explications sur les paroles et les actions de Jésus, et une compréhension affinée des passages bibliques le concernant (Actes 2:22-36). w13 15/7 3:8.

Josué

Josué
Administrateur

La plupart des commentateurs et éditeurs récents (Holtzmann, Wendt, Nestle) rattachent le #Ac 2:42 à ce qui précède. Ceux dont il parle sont les trois mille baptisés. Luc nomme quatre moyens de grâce dans lesquels ils persévéraient. Ces moyens sont, selon leur nature, placés deux à deux, unis par la conjonction et. Ce sont :

1. La doctrine ou plutôt l’enseignement des apôtres, d’autant plus nécessaire que la plupart de ces convertis avaient encore fort peu de lumières lors de leur baptême.
2. La communion, par où il ne faut entendre ni la sainte cène qui vient ensuite, ni la communauté des biens, ni la communication des aumônes aux pauvres (#Ro 15:26 ; #2Co 8:4), ainsi que l’ont pensé quelques exégètes ; mais bien la communion mutuelle, cette union intime dans l’amour du même Sauveur qui constitue l’Église. Les premiers chrétiens la pratiquaient, même au dehors, en s’assemblant chaque jour (#Ac 2:46). Le texte occidental portait : la communion mutuelle de la fraction du pain ; les deux moyens de grâce qui sont distingués dans le texte ordinaire sont donc réunis en un seul qui est la sainte cène. M. Blass affirme même que ce texte est le seul authentique et que la leçon des principaux manuscrits est le résultat d’une erreur de copiste.
3. La fraction du pain qu’on rompait en célébrant la cène et dans les repas pris en commun.
4. Enfin les prières. Ce pluriel ne désigne pas, selon l’opinion de Meyer, diverses espèces de prières, demandes, actions de grâces, etc., ni les heures réservées à la prière chez les Juifs (#Ps 55:18 ; #Da 6:10). Il est motivé par la fréquence de ces prières en commun, dans chaque assemblée, spécialement avant et après la cène.


Ces moyens de grâce étaient tout ce qu’il y avait de plus propre à développer la vie de l’Esprit dans les âmes et dans l’Église ; ils restent aujourd’hui encore, pour les chrétiens, les vrais éléments du progrès et de la sanctification. Mais pour cela il s’agit de persévérer.

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