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Don d'organes : un peu de bon sens !

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Don d'organes : un peu de bon sens !
Le Point - Publié le 07/04/2015 à 15:53 - Modifié le 07/04/2015 à 20:43
Sauf si le patient s'y est opposé ou si sa religion l'interdit, les prélèvements d'organes devraient être automatiques et faciliter le travail des médecins.

Le député Jean-Louis Touraine propose de revenir à l'idée "Qui ne dit mot consent".
Le député Jean-Louis Touraine propose de revenir à l'idée "Qui ne dit mot consent".
Par DIDIER RAOULT
Les lois de bioéthique ont permis de mettre fin à des pratiques abusives. Les patients pouvaient à leur insu être inclus dans des expérimentations thérapeutiques éventuellement dangereuses. Par ailleurs, leur vie privée pouvait être révélée par des photos de leur maladie ou par des descriptions permettant de les reconnaître. Ces dérives ont attiré l'attention lors de l'apparition du sida, maladie pour laquelle l'anonymat devenait crucial, et des lois ont été votées. Hélas, à cette occasion, de multiples comités se sont formés, ainsi que des administrations qui surenchérissent en permanence...

Josué

Josué
Administrateur

Les députés ont réécrit légèrement l'article sensible du projet de loi santé sur le renforcement du consentement présumé au don d'organes en laissant la voie à d'autres possibilités que le registre national des refus pour exprimer son opposition à un prélèvement. Selon l'amendement de la ministre Marisol Touraine voté par les députés vendredi, le registre national des refus serait le moyen "principal", et non plus exclusif, pour exprimer son refus d'un prélèvement d'organes à son décès. Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'État publié d'ici le 1er janvier 2017.

Le texte ainsi modifié maintient que le consentement au don d'organes sera présumé chez toute personne majeure décédée. Elle reprend la modification principale apportée en commission par le socialiste Jean-Louis Touraine, à savoir que les proches du défunt seront seulement "informés" par le médecin de la nature du prélèvement envisagé et de sa finalité, et non plus consultés comme c'est le cas jusqu'à présent.

40 % de refus

19 000 personnes sont aujourd'hui en attente d'une greffe en France. Et ce nombre augmente plus vite que le nombre d'organes prélevés en raison d'un taux de refus qui avoisine les 40 % alors même que, selon un sondage réalisé en 2013, près de 80 % des Français seraient prêts à donner leurs organes.

Pour la députée PS Michèle Delaunay, l'explication réside dans l'attitude souvent négative des familles qui, interrogées dans un moment de choc émotionnel, optent pour le non par précaution "quitte à le regretter par la suite".

Jean-Pierre Scotti, le président de la Fondation Greffe de vie, avait souligné que la modification de la loi permettrait de "sauver des centaines de vies" en augmentant le nombre de greffons disponibles.

Levée de boucliers

Mais, pour nombre de médecins et infirmiers chargés de faire les prélèvements, il paraît inconcevable de se passer du consentement des familles. "Personne ne prélèvera un organe si la famille n'y consent pas", selon le socialiste Gérard Sebaoun. "Votre article est très brutal pour les familles. Il faut faire l'inverse. Dire de son vivant qu'on est d'accord", a jugé l'UMP Bernard Debré. L'UDI Arnaud Richard a tenté en vain de faire adopter un amendement pour que l'accord ou le refus du prélèvement d'organes soit inscrit sur la carte Vitale.

ADAS



BONSOIR?QUE DIT LA BIBLE A SE SUJET? A MON AVIS SA DOIT ETRE INTERDIT .

Josué

Josué
Administrateur

*** w80 15/6 p. 31 Questions des lecteurs ***
Questions des lecteurs
● La congrégation doit-elle prendre des mesures disciplinaires à l’encontre d’un chrétien baptisé qui accepte la transplantation d’un organe humain, tel qu’une cornée ou un rein?
En ce qui concerne la transplantation de tissus ou d’os d’un corps humain dans un autre, il appartient à chaque Témoin de Jéhovah de prendre une décision en accord avec sa conscience. Certains chrétiens peuvent avoir le sentiment qu’accepter la greffe d’un tissu ou d’une partie quelconque du corps d’un autre humain est du cannibalisme. Soutenant que le transplant est destiné à devenir partie intégrante de l’organisme du receveur et à le maintenir en vie et en état de fonctionner, ils ne voient peut-être aucune différence fondamentale entre cette opération et l’ingestion de chair. Une telle façon de voir peut reposer sur le fait que lorsque Dieu permit à l’homme de manger la chair des animaux préalablement vidés de leur sang, il ne lui dit pas qu’il pouvait manger la chair de ses semblables. Les chrétiens dont nous parlons peuvent aussi se référer à la façon dont on considérait l’anthropophagie aux temps bibliques (voir, par exemple, les récits de II Rois 6:24-30, de Deutéronome 28:53-57 et de Lamentations 2:20 et 4:10). Quand, selon Jean 6:48-66, Jésus parla de manger sa chair et de boire son sang au sens figuré, certains de ses disciples qui entendirent ces paroles, mais qui n’en comprirent pas la signification spirituelle, s’en scandalisèrent et cessèrent de le suivre. Ceci montre bien comment certains hommes réagissaient à l’idée de consommer de la chair humaine.
D’autres chrétiens sincères peuvent cependant répondre que la Bible n’interdit pas expressément les transplantations d’organes, et que, dans certains cas, le transplant humain n’est pas destiné à toujours rester tel quel dans l’organisme du receveur. On dit en effet que les cellules du corps se renouvellent tous les sept ans environ, ce qui serait également vrai de n’importe quel tissu transplanté. Certains chrétiens ajouteront que les transplantations d’organes diffèrent du cannibalisme en ce qu’on ne tue pas le donneur pour se nourrir de sa chair. Des personnes qui étaient sur le point de mourir ont fait don volontairement de quelques-uns de leurs organes pour que ceux-ci servent à des transplantations. Si, maintenant, la greffe nécessite un apport de sang étranger, elle va alors incontestablement à l’encontre des commandements divins. — Actes 15:19, 20.
Il est évident que les avis et les consciences sont partagés sur cette question des transplantations. Nul n’ignore que l’emploi de composants du corps humain va de petits éléments tels que les hormones et les cornées aux organes vitaux que sont les reins et le cœur. Bien que la Bible interdise formellement la consommation du sang, elle ne renferme aucun commandement précis condamnant la greffe d’autres tissus humains. Chaque chrétien qui se trouve dans l’obligation de prendre une décision devrait donc peser avec soin et dans la prière les facteurs impliqués et décider, en accord avec sa conscience, de ce qu’il peut ou ne peut pas faire devant Dieu. Il s’agit là d’une affaire personnelle (Gal. 6:5), et le comité judiciaire de la congrégation ne prendra aucune mesure disciplinaire si quelqu’un accepte une transplantation d’organe.

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