Jeudi 19 mars
Un cœur qui est joyeux fait du bien comme guérisseur (Prov.17:22).
Quand la situation s’y prête, un peu d’humour de la part du « soignant » comme du « soigné » peut rendre plus supportables des soins quotidiens pénibles (Eccl. 3:1, 4). Nombre de personnes âgées se gardent bien de se montrer trop exigeantes. Elles savent que leur façon d’être peut avoir une incidence sur l’attention et les visites qu’elles recevront. Il n’est pas rare d’entendre ce genre de commentaires : « Je suis allé encourager tel ami âgé, mais c’est moi qui ai été encouragé ! » (Prov. 15:13). Nous attendons avec impatience le jour où la souffrance et les conséquences de l’imperfection disparaîtront. D’ici là, les serviteurs de Dieu doivent continuer d’espérer en ce qui est éternel. Nous savons qu’en temps de détresse ou d’adversité, la foi dans les promesses divines est une ancre. Grâce à cette foi, « nous ne renonçons pas ; au contraire, même si l’homme que nous sommes extérieurement dépérit, à coup sûr l’homme que nous sommes intérieurement se renouvelle de jour en jour » (2 Cor. 4:16-18 ; Héb. 6:18, 19). w14 15/3 3:18, 19.