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24 nov. Lecture de la Bible : Deutéronome 28-31

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Josué

Josué
Administrateur

24 nov.  Lecture de la Bible :  Deutéronome 28-31
L’Israël de l’Antiquité était le peuple choisi par Dieu. Jéhovah lui avait confié ses lois et s’était engagé à le mettre “très haut au-dessus de toutes les autres nations de la terre” s’il obéissait à sa voix (Deutéronome 28:1). Ce qui élevait les Israélites, ce n’était pas leur propre justice, mais celle de Jéhovah. Les commandements que Dieu leur avait donnés étaient de loin supérieurs aux lois des nations environnantes. Le peuple qu’ils formaient était aussi imparfait que les autres. Cependant, si les Israélites s’élevaient au-dessus des autres nations, ils le devaient à la Loi supérieure de Jéhovah, à condition d’y adhérer étroitement. Quand ils obéissaient à ses lois, Dieu leur accordait sa faveur et sa bénédiction. Salomon en a fait l’expérience au cours de son règne. Il a pu dire: “La justice, voilà ce qui élève une nation, mais, reconnaît-il, le péché est quelque chose de déshonorant pour les groupements nationaux.” — Proverbes 14:34.

Josué

Josué
Administrateur

29.1-31.8 Ultimes stipulations 

29.1-29 Renouvellement de l’alliance. 

   Le message des précédents discours est résumé en quelques déclarations, et le thème de l’alliance domine tout le passage. 

   1 L’alliance. L’accord originel signé au Sinaï avait vite été rompu. À présent, à la fin de sa vie, Moïse exhorte le peuple à une nouvelle consécration. Les malédictions de la loi peuvent être compensées par les bénédictions accordées à l’obéissance dans la Terre Promise.  

nouveau commentaire biblique

Josué

Josué
Administrateur

Devrions-nous juger étrange que Dieu garde cachés certains renseignements ? Alors que les Israélites approchaient de la Terre promise, le prophète Moïse écrivit sous l’inspiration de Dieu : “Les choses cachées appartiennent à Jéhovah, notre Dieu, mais les choses révélées nous appartiennent, à nous et à nos fils, jusqu’à des temps indéfinis, pour que nous exécutions toutes les paroles de cette loi.” (Deut. 29:29). Oui, tout ce dont nous avons vraiment besoin pour le servir fidèlement et pour affermir notre espérance et notre foi, Jéhovah Dieu nous le révèle. Mais quand cela convient mieux à la réalisation de son dessein, Dieu peut aussi cacher certaines choses, sans pour autant faire du tort à ses serviteurs ni les priver de quoi que ce soit.

Josué

Josué
Administrateur

L’alliance avec Israël en Moab. En 1473 av. n. è., juste avant que les Israélites n’entrent en Terre promise, Jéhovah fit en Moab une alliance avec l’Israël selon la chair (Dt 29:1 ; 1:3). En cette circonstance, Moïse répéta une bonne partie de la Loi et l’expliqua. Cette alliance avait pour but d’encourager les Israélites à rester fidèles à Jéhovah, mais aussi d’apporter des modifications et de donner certaines lois nécessaires aux Israélites du fait qu’ils passaient de la vie de nomades à celles de sédentaires dans le pays (Dt 5:1, 2, 32, 33 ; 6:1 ; comparer Lv 17:3-5 avec Dt 12:15, 21). Cette alliance prit fin quand fut abolie l’alliance de la Loi, car elle en faisait partie intégrante.

Josué

Josué
Administrateur

Nous devons nous rappeler que ces païens incirconcis étaient non seulement “sans Christ”, mais également “éloignés de l’État d’Israël et étrangers aux alliances de la promesse” et “sans Dieu dans le monde”. (Éph. 2:12.) Ces gens appartenaient à la classe des païens à qui Paul écrivit : “Vous savez que lorsque vous étiez gens des nations, vous étiez entraînés vers ces idoles sans voix comme vous vous trouviez être menés.” Il leur dit aussi : “De vos idoles, vous vous êtes tournés vers Dieu pour travailler comme des esclaves pour un Dieu vrai et vivant.” (I Cor. 12:2 ; I Thess. 1:9). Ils étaient voués à ces idoles ou aux faux dieux qu’elles représentaient. Ils portaient peut-être sur leur corps une marque indiquant ouvertement à quel dieu ils étaient particulièrement voués (voir Ézéchiel 9:4-6 ; Osée 9:10). En premier lieu, ces Gentils incirconcis et ignorants avaient besoin d’entendre parler du “Dieu vrai et vivant”, Jéhovah. Puis, pour obtenir le salut, ils devaient se vouer à lui pour faire sa volonté. C’est Dieu qui allait leur dire par l’entremise de qui ils pourraient se vouer à lui. Obéissant à Dieu, ces Gentils pouvaient alors se faire baptiser.
 Ces différents pas à faire sont clairement mis en évidence par l’apôtre Paul dans sa lettre aux Romains, au chapitre dix. Dans les versets cinq à dix, il fait l’application des paroles que prononça Moïse et qui furent inspirées par Jéhovah Dieu et rapportées dans Deutéronome 30:11-14. Voici ce que dit ce passage :
 “Ce commandement que je te prescris aujourd’hui n’est certainement point au-dessus de tes forces et hors de ta portée. Il n’est pas dans le ciel, pour que tu dises : Qui montera pour nous au ciel et nous l’ira chercher, qui nous le fera entendre, afin que nous le mettions en pratique ? Il n’est pas de l’autre côté de la mer, pour que tu dises : Qui passera pour nous de l’autre côté de la mer et nous l’ira chercher, qui nous le fera entendre, afin que nous le mettions en pratique ? C’est une chose, au contraire, qui est tout près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur, afin que tu la mettes en pratique.”

Josué

Josué
Administrateur

la nation d’Israël, aurait pu résider dans ce pays, le territoire que Dieu avait donné aux Israélites (Deut. 30:20). Mais nous savons que la majorité des Israélites se sont montrés infidèles et qu’ils n’ont pas accompli ce dessein de Dieu. En réalité, Dieu a finalement permis que les Assyriens et les Babyloniens conquièrent et dépeuplent temporairement le pays.

Josué

Josué
Administrateur

Par l’intermédiaire de son serviteur Moïse, Dieu a dit à la nation d’Israël : “ J’ai mis devant toi la vie et la mort ; [...] et tu dois choisir la vie [...] en aimant Jéhovah ton Dieu, en écoutant sa voix et en t’attachant à lui ; car il est ta vie et la longueur de tes jours. ” (Deutéronome 30:19, 20). Si Dieu avait prédestiné chaque Israélite à l’aimer — et donc à vivre —, ou à le rejeter — et donc à mourir —, alors ces paroles n’auraient pas eu de sens et auraient été hypocrites. Pensez-vous que Dieu, la personnification même de l’amour, celui qui “ aime la justice ”, puisse agir de manière si arbitraire ? — Psaume 37:28 ; 1 Jean 4:8.
L’invitation à choisir la vie que Dieu lance à ses serviteurs est encore plus d’actualité aujourd’hui, car l’accomplissement des prophéties bibliques indique que nous approchons à grands pas de la fin de l’actuel système de choses (Matthieu 24:3-9 ; 2 Timothée 3:1-5). Comment donc choisir la vie ? Dans les grandes lignes, comme les Israélites l’ont fait.

Josué

Josué
Administrateur

Dans ces paroles, adressées aux chrétiens hébreux, l’apôtre Paul se référait aux instructions que Moïse avait données aux Israélites peu de temps avant sa mort. “ Soyez courageux et forts, leur avait-il dit. N’ayez pas peur et ne tremblez pas devant eux, car c’est Jéhovah ton Dieu qui marche avec toi. Il ne te délaissera ni ne t’abandonnera complètement. ” (Deutéronome 31:6). Le contexte montre que Moïse invitait les Israélites à manifester en Jéhovah une confiance qui allait au-delà des questions matérielles. De quoi s’agissait-il ?
4 Pendant les 40 années où les Israélites avaient dû errer dans le désert, Dieu s’était montré fidèle en assurant leur subsistance (Deutéronome 2:7 ; 29:5). Il les avait également guidés, se servant notamment d’un nuage le jour et d’un feu la nuit pour les mener jusqu’à “ un pays ruisselant de lait et de miel ”. (Exode 3:8 ; 40:36-38.) Quand le moment de pénétrer en Terre promise était arrivé, Jéhovah avait désigné Josué comme successeur de Moïse. On pouvait s’attendre à ce que les occupants du pays opposent de la résistance. Mais il n’y avait pas lieu de craindre ; Jéhovah n’avait-il pas marché avec son peuple pendant des dizaines d’années ? Les Israélites avaient toutes les raisons de voir en Jéhovah un Dieu en qui ils pouvaient placer leur confiance.

Josué

Josué
Administrateur

Conformément à ce que Dieu lui avait demandé, Moïse donna à Josué certaines instructions et des encouragements qui lui permettraient de s’acquitter fidèlement de son mandat (Dt 3:21, 22, 28 ; 31:7, Cool. Finalement, alors que sa mort approchait, Moïse dut se placer avec Josué dans la tente de réunion. Jéhovah établit alors Josué dans sa charge, confirmant la nomination faite précédemment par l’imposition des mains de Moïse (Dt 31:14, 15, 23). Par la suite, Josué participa dans une certaine mesure à l’écriture du chant que Dieu avait inspiré à Moïse et à l’enseignement de ce chant aux Israélites. — Dt 31:19 ; 32:44.

Josué

Josué
Administrateur

ENSEIGNEMENT DU LIVRE

Par son thème dominant de l’alliance, le Deutéronome se rattache aux livres de l’Exode et de Josué. Les implications morales et religieuses du pacte du Sinaï sont exprimées dans un langage non technique, accessible à un peuple dont la responsabilité était de bien comprendre toutes ses obligations vis-à-vis d’une telle alliance. La perspective monothéiste du Deutéronome est caractéristique du livre : elle affirme d’une part la souveraineté du Dieu d’Israël, et souligne clairement d’autre part les dangers présentés par les divinités des nations païennes. La puissance divine constituait le sûr fondement d’une alliance aux stipulations nettes et précises, selon le modèle des pactes de suzeraineté du 2e millénaire. Le Deutéronome expose donc avant tout le principe d’une relation d’alliance ; il vise à montrer que la destinée future d’Israël, peuple de Dieu, dépend d’une observation scrupuleuse des stipulations du contrat pourvu de l’accord unanime de tous les Hébreux.

Dans ses paroles d’exhortation, Moïse rappelle la promesse divine : la puissance de délivrance, manifestée pendant l’Exode, et source de soutien pour le peuple durant la marche de toute une génération dans le désert, continuera à les entourer dans la Terre Promise, si la nation israélite respecte toutes les conditions attachées au traité. Le Deutéronome contient plus d’une ferme assurance dans ce sens : Dieu sera continuellement avec son peuple, dans l’adversité ou la prospérité, et combattra pour lui, comme jadis au sortir de l’Égypte. Dans leur toute nouvelle liberté, les Israélites ne devront jamais oublier leur ancienne servitude (#De 5:15), ni la puissance divine qui seule les a sauvés de cette situation désespérée (#De 4:21). Ils devront adorer leur Dieu de tout leur être (#De 4:29; 5:10), car il les a aimés le premier (#De 4:37) ; de plus, après leur serment d’allégeance à l’Éternel, ils ne devront en aucun cas se tourner vers les faux dieux vénérés par les peuplades païennes (#De 7:24; 11:16).

Dans l’alliance du Sinaï, Dieu s’est révélé comme un être moral et saint : toute personne liée à lui par un accord solennel devra nécessairement manifester dans sa conduite les mêmes caractéristiques morales. C’est pourquoi il incombe aux Hébreux de former un seul peuple instruit des préceptes divins (#De 5:1), et pardessus tout d’être une nation sainte, consacrée à l’Éternel (#De 7:6; 14:2,21). L’esprit profondément humanitaire, sensible dans l’ensemble du Deutéronome, demande aux Juifs, du fait de leur fraternité, de prendre soin des moins fortunés, c’est-à-dire de l’étranger, de l’orphelin et de la veuve (#De 10:18).

Le caractère prophétique du livre a de longue date été reconnu à la fois par les érudits libéraux et conservateurs ; l’attitude d’optimisme, de foi et de confiance en la puissance divine, manifestée par l’auteur confirme ce point de vue. Cette perspective futuriste et positive est bien marquée par l’usage le plus fréquent de deux expressions : « monte, prends-en possession », répétée trente-cinq fois, et « le pays que l’Éternel, ton Dieu, te donne », reprise trente-quatre fois. Selon la parole jurée à leurs pères, Dieu a pourvu les Israélites d’un bon pays (#De 1:25), destiné à être leur héritage (#De 4:21). Les promesses de bénédictions constituent un trait important du Deutéronome et celles-ci (#De 7:13) s’accompliront lorsque l’Éternel accordera à son peuple du répit de la part de ses ennemis (#De 3:20). Pourvu que les Hébreux se soumettent aux stipulations de l’alliance (#De 5:1), ils connaîtront la prospérité (#De 2:7; 4:40) ; ils seront bénis sur une terre fertile (#De 6:11; 12:15), et mèneront une vie longue et fructueuse (#De 4:26).

Mais si le livre offre des promesses de bénédictions, il contient aussi des avertissements contre l’apostasie. Les Israélites sont explicitement avertis des « malédictions » prêtes à fondre sur eux, s’ils désobéissent aux commandements divins (#De 28:15) ; ils seront alors décimés par les fléaux de l’antiquité : « fièvre, inflammation... dessèchement, jaunisse et gangrène » (#De 28:22). Leurs aspirations les plus élevées seront confondues (#De 28:29), des nations étrangères les opprimeront (#De 28:31 s.), et ils deviendront « un sujet de raillerie parmi tous les peuples » (#De 28:37). S’ils persistent dans la désobéissance, ces « malédictions » les poursuivront jusqu’à leur destruction complète (#De 28:45). Tous les « péchés » sont ainsi condamnés (#De 15:9), en particulier celui d’idolâtrie, qui est une « abomination » (#De 7:25). La question du péché national était d’une telle gravité que les chefs avaient reçu l’ordre de châtier avec une extrême rigueur les principales offenses contre la spiritualité de l’alliance (#De 13:Cool, afin de décourager le peuple de se mal conduire (#De 13:5,11). Un centre, choisi par Dieu (#De 12:5,11) sera établi comme point de rencontre pour la manifestation des aspirations nationales ; là, les Israélites adoreront le nom de l’Éternel et se prosterneront devant lui (#De 12:7). Toutefois, ils ne devraient pas s’attendre à recevoir des bénédictions régulières et automatiques, simplement à cause de leur relation d’alliance avec Dieu. Si les stipulations sont observées, et le pacte du Sinaï honoré en esprit, alors seulement, Dieu fera prospérer la fortune de son peuple.

CITATION NCB

Josué

Josué
Administrateur

Dernier livre du Pentateuque, le Deutéronome relie tous les événements antérieurs en proclamant et en sanctifiant le grand nom de Jéhovah Dieu. Lui seul est Dieu ; il exige un attachement exclusif et ne tolère aucune rivalité de la part des dieux-démons de la fausse religion. Aujourd’hui, tous les chrétiens doivent prêter une attention soutenue aux grands principes fondamentaux de la loi divine et obéir à Dieu pour ne pas encourir sa malédiction, car il aiguise son épée étincelante pour rendre la vengeance à ses adversaires. Le plus grand et le premier commandement de Dieu doit devenir le guide de leur vie : “ Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta force vitale. ” — 6:5.
Le reste des Écritures fait fréquemment référence au Deutéronome pour augmenter notre intelligence des desseins divins. Non seulement Jésus cita ce livre pour répondre au Tentateur, mais encore il s’y référa de nombreuses fois (Deut. 5:16—Mat. 15:4 ; Deut. 17:6—Mat. 18:16 et Jean 8:17). On trouve de telles citations jusque dans la Révélation, où Jésus glorifié condamne tout ajout ou retrait aux paroles du rouleau de la prophétie de Jéhovah (Deut. 4:2—Rév. 22:18). Pierre cite le Deutéronome pour appuyer son argument puissant selon lequel Jésus est le Christ et le Prophète plus grand que Moïse, celui que Jéhovah a promis de susciter en Israël (Deut. 18:15-19—Actes 3:22, 23). Paul puise dans le Deutéronome quand il parle du salaire de l’ouvrier, de l’enquête complète qui doit suivre la déposition des témoins et de l’éducation des enfants. — Deut. 25:4—1 Cor. 9:8-10 et 1 Tim. 5:17, 18 ; Deut. 13:14 et 19:15—1 Tim. 5:19 et 2 Cor. 13:1 ; Deut. 5:16—Éph. 6:2, 3.

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