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conseils pour bien supporter la chaleur

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

conseils pour bien supporter la chaleur
Avec l'été reviennent les grosses chaleurs ! Pour rester au frais et éviter toutes complications, les autorités sanitaires rappellent 6 consignes essentielles.

aliments, fraisaliments, frais

Gardez vos aliments aux frais

Mettre sa nourriture à l’abri de la chaleur empêche le risque de prolifération de micro-organismes. Pour maintenir la chaîne du froid il faut garder le bon niveau de température de réfrigération constamment.
En pratique : Depuis l’achat de vos aliments jusqu’à leur consommation, maintenez-les au frais. Utilisez des sacs isothermes, achetez vos surgelés à la fin de vos courses. Vérifiez la température du réfrigérateur et respectez les dates de limites de consommation.

Josué

Josué
Administrateur

Les coups de chaleur se produisent lorsqu'il y a un déréglement du système de thermorégularisation c'est-à-dire lorsque la température de notre corps dépasse soudainement les 37°c sans raison apparente. Aussi appelé "hyperthermie" ou dans sa forme mineure "insolation", le coup de chaleur est dangereux pour la santé et impose une prise en charge rapide.

En cas de coup de chaleur, appelez le 15. Pour toutes informations, contactez Canicule Info Service au 0 80 06 66 66 FREE.

samuel

samuel
Administrateur

chaleur, un choc potentiellement mortel
Mots clés : canicule, Chaleur, température corporelle
Par figaro icondamien Mascret - le 30/06/2015
Ses premiers signes sont les maux de tête, parfois violents, les vertiges, nausées, la confusion voire la perte de conscience. Il faut aussitôt appeler les secours et placer la personne dans l'endroit le plus frais du lieu, la dévêtir, l'asperger d'eau et la ventiler sans retenue.
Il faut des conditions caniculaires pour que le thermostat de notre corps, calé sur 37 °C, se dérègle. «Une personne peut être exposée nue pendant plusieurs heures à des températures comprises entre 13 °C et 65 °C sans modification de sa température corporelle», affirment même les professeurs Peter Vogelaere et Catarina Pereira, de l'université d'Evora (Portugal), dans une synthèse dela Revue portugaise de cardiologie.
À condition d'être jeune (pas trop!), en bonne santé et de pouvoir mettre en branle les systèmes de défense contre l'hyperthermie. Car dans le cas contraire, c'est le coup de chaleur.
Dérèglement du système nerveux central
Le principal mécanisme protecteur repose sur la vasodilatation cutanée, autrement dit une augmentation du flux sanguin au niveau de la peau (qui rougit) et le déclenchement de la transpiration. Un mécanisme qui permet d'évacuer jusqu'à 600 Kcal par heure. Mais cela a un prix: la perte de 2 à 3 litres d'eau par heure! Attention, une peau chaude qui ne transpire plus est au bord de la déshydratation.
D'où la nécessité de boire beaucoup et souvent. Sans même attendre d'avoir soif. La couleur des urines permet de vérifier que l'on boit correctement. Elles doivent rester jaune pâle. Si elles deviennent foncées ou pire, si l'on n'urine plus, c'est que le corps essaie d'économiser ses dernières réserves d'eau avant que ne survienne la déshydratation. Il y a urgence à boire.
«Le coup de chaleur est une maladie potentiellement mortelle caractérisée par une élévation de la température corporelle au-dessus de 40 °C et un dérèglement du système nerveux central qui aboutit à un délire, des convulsions et un coma», expliquent dans le New England Journal of Medicinele Pr James Knochel, de l'Hôpital presbytérien de Dallas, et le Pr Abderrezak Bouchama, du Centre international de recherche médicale Roi Abdallah à Riyad (Arabie saoudite).
Lésions parfois irréversibles
Avec des températures dépassant fréquemment les 40 °C à l'ombre en été, le royaume saoudien possède une grande expertise des coups de chaleur. Mais le risque de décès y reste tout de même très élevé, avec une mortalité d'environ 50 % pour les personnes touchées.
Car lorsque le centre thermorégulateur du cerveau se dérègle, une libération de protéines du choc thermique se produit et ses armées de messagers chimiques déferlent sur tous les organes, laissant sur leur passage des lésions parfois irréversibles. Voilà pourquoi «en dépit d'un refroidissement adéquat de la température corporelle et d'un traitement vigoureux, le coup de chaleur est souvent fatal et ceux qui survivent peuvent conserver des lésions neurologiques sévères», expliquent Bouchama et Knochel.
Les premiers signes du coup de chaleur sont les maux de tête, parfois violents, les vertiges, nausées, la confusion voire la perte de conscience. Il faut aussitôt appeler les secours et placer la personne dans l'endroit le plus frais du lieu, la dévêtir, l'asperger d'eau et la ventiler sans retenue pour faciliter l'évacuation de chaleur par évaporation de la sueur. Si l'on en dispose, un sac de glace enveloppé d'un linge sera posé sur les aines et sur les artères carotides du cou pour faciliter le refroidissement.

chico.

chico.

Comment l'été peut se faire meurtrier
Mots clés : santé publique, canicule, Chaleur, Mortalité, été, Températures
Par figaro icondamien Mascret - le 16/07/2015
La mortalité est étroitement liée à la saison, et c'est entre 14 et 26°C que la population française se porte le mieux.
On ne meurt pas autant, et pas de la même façon, tout au long de l'année, et les statistiques du nombre de décès en France montrent «une “courbe en U”, avec une surmortalité quand il fait très froid, une mortalité la plus basse en avril-mai et une surmortalité quand il fait très chaud», explique le Dr Grégoire Rey, directeur du Centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès (CépicDC de l'Inserm). Le fond de la courbe, c'est-à-dire l'optimum thermique auquel la mortalité est la plus basse dans la population française, se situe entre 14 °C et 16 °C pour les températures minimales, 23 °C et 26 °C pour les températures maximales.
«Chez les patients ayant des antécédents cardio-vasculaires (infarctus du myocarde, angine de poitrine, etc.) la mortalité suit la courbe de température: plus il fait chaud, plus il y a de décès», explique le Pr Philippe Amouyel, professeur de santé publique (Inserm, CHRU de Lille). «Il existe, en été, une corrélation très claire entre l'augmentation de la température et la mortalité», ajoute le Dr Rey. La modélisation mise au point avec ses collègues de l'Inserm Anne Fouillet, Éric Jougal et Denis Hémon «permet d'expliquer 80 % des variations de mortalité avec ce seul paramètre», ajoute-t-il.
Pollution et chaleur
Coup de froid comme coup de chaud sont ennemis des maladies respiratoires. Le Pr François Braun, président de Samu de France, confirme voir «plus de décompensations (déséquilibre brutal, NDLR) d'insuffisants respiratoires ou cardiaques en été, à cause de la chaleur, et en hiver, à cause des infections». L'an dernier, une étude de deux épidémiologistes de l'Institut de veille sanitaire, Véronique Olié et Christophe Bonaldi, avait ainsi montré en hiver une hausse de 25 % des hospitalisations pour embolie pulmonaire et des décès associés.
Selon le Dr Frédéric Le Guillou, pneumologue et président de l'Association BPCO (Bronchite chronique), «il existe un risque hivernal probablement dû aux viroses respiratoires et aux surinfections bactériennes chez des patients ayant une fonction respiratoire précaire, mais il existe aussi des pics d'exacerbations, sans forcément de mortalité, en fonction de la pollution aux particules fines et ozone, lors des épisodes de forte chaleur, souvent l'été». Président de la Fédération française de pneumologie, le Pr Bruno Housset confirme cette conjuration de la pollution et de la chaleur: «L'irritation des bronches et le chaud augmentent la demande respiratoire, et l'insuffisant respiratoire va avoir du mal à y faire face.»
Les maladies du système nerveux sont aussi une cause de surmortalité lors des canicules. Ce qu'explique le Pr Yves Agid, directeur scientifique de l'Institut du cerveau et de la moelle épinière (Paris): «Beaucoup de maladies neurologiques sont présentes chez les sujets âgés fragiles et sont source d'immobilité, de troubles de déglutition (et donc de pneumopathie), et de diminution de l'autonomie à l'origine de complications de décubitus» (station allongée, NDLR).
700 morts dues à la canicule de début juillet
Alors que la France subit un nouvel épisode de chaleur, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a dévoilé jeudi les premiers chiffres du nombre de décès dus à la canicule en ce début d'été.
Entre le 29 juin et le 5 juillet, l'Institut de veille sanitaire (InVS) estime l'excès de mortalité à 700 décès (+ 7 % par rapport au nombre attendu en dehors de tout événement inhabituel), essentiellement chez des plus de 65 ans. Des données extrapolées d'après les états civils de 1000 communes, et qui restent à consolider avec les chiffres concernant la seconde partie de la vague de chaleur, du 6 au 8 juillet. Les recours, en lien direct avec la chaleur, aux urgences (3577 passages) et à SOS Médecins (1464 consultations) ont aussi été en légère hausse. Déshydratation et hyponatrémie (baisse du taux de sodium dans le sang) ont concerné surtout les personnes âgées, les coups de chaleur s'observant «davantage chez les enfants et les adultes de moins de 75 ans», note l'InVS.
«Cet épisode caniculaire confirme que la chaleur demeure un risque important pour la santé en France», conclut l'InVS, indiquant que la prévention reste impérative. «Tout épisode de canicule s'accompagne nécessairement d'une surmortalité», précise cependant Marisol Touraine, les personnes déjà malades étant fragilisées par l'extrême chaleur. Mais l'on constate que, depuis 2003, population et institutions sont mieux préparées.

Josué

Josué
Administrateur

Une vague de chaleur frappe actuellement la moitié sud du pays et plus particulièrement le sud-ouest de l'Hexagone. Et alors que cet épisode est censé durer jusqu'à jeudi, Météo France prévoit que ce mardi soit la journée la plus chaude. L'Institut de prévisions météorologiques prévoit en effet 31°C en Corse, 34°C en Midi-Pyrénées, 32°C en Aquitaine, 31°C en Provence-Alpes-Côte d'Azur, 34°C en Rhône-Alpes, 33°C en Auvergne et jusqu'à 38°C dans le Languedoc-Roussillon.

Josué

Josué
Administrateur

Comment l'été peut se faire meurtrier
Mots clés : santé publique, canicule, Chaleur, Mortalité, été, Températures
Par figaro icondamien Mascret - le 16/07/2015
La mortalité est étroitement liée à la saison, et c'est entre 14 et 26°C que la population française se porte le mieux.
On ne meurt pas autant, et pas de la même façon, tout au long de l'année, et les statistiques du nombre de décès en France montrent «une “courbe en U”, avec une surmortalité quand il fait très froid, une mortalité la plus basse en avril-mai et une surmortalité quand il fait très chaud», explique le Dr Grégoire Rey, directeur du Centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès (CépicDC de l'Inserm). Le fond de la courbe, c'est-à-dire l'optimum thermique auquel la mortalité est la plus basse dans la population française, se situe entre 14 °C et 16 °C pour les températures minimales, 23 °C et 26 °C pour les températures maximales.
«Chez les patients ayant des antécédents cardio-vasculaires (infarctus du myocarde, angine de poitrine, etc.) la mortalité suit la courbe de température: plus il fait chaud, plus il y a de décès», explique le Pr Philippe Amouyel, professeur de santé publique (Inserm, CHRU de Lille). «Il existe, en été, une corrélation très claire entre l'augmentation de la température et la mortalité», ajoute le Dr Rey. La modélisation mise au point avec ses collègues de l'Inserm Anne Fouillet, Éric Jougla et Denis Hémon «permet d'expliquer 80 % des variations de mortalité avec ce seul paramètre», ajoute-t-il.
Pollution et chaleur
Coup de froid comme coup de chaud sont ennemis des maladies respiratoires. Le Pr François Braun, président de Samu de France, confirme voir «plus de décompensations (déséquilibre brutal, NDLR) d'insuffisants respiratoires ou cardiaques en été, à cause de la chaleur, et en hiver, à cause des infections». L'an dernier, une étude de deux épidémiologistes de l'Institut de veille sanitaire, Véronique Olié et Christophe Bonaldi, avait ainsi montré en hiver une hausse de 25 % des hospitalisations pour embolie pulmonaire et des décès associés.
Selon le Dr Frédéric Le Guillou, pneumologue et président de l'Association BPCO (Bronchite chronique), «il existe un risque hivernal probablement dû aux viroses respiratoires et aux surinfections bactériennes chez des patients ayant une fonction respiratoire précaire, mais il existe aussi des pics d'exacerbations, sans forcément de mortalité, en fonction de la pollution aux particules fines et ozone, lors des épisodes de forte chaleur, souvent l'été». Président de la Fédération française de pneumologie, le Pr Bruno Housset confirme cette conjuration de la pollution et de la chaleur: «L'irritation des bronches et le chaud augmentent la demande respiratoire, et l'insuffisant respiratoire va avoir du mal à y faire face.»
Les maladies du système nerveux sont aussi une cause de surmortalité lors des canicules. Ce qu'explique le Pr Yves Agid, directeur scientifique de l'Institut du cerveau et de la moelle épinière (Paris): «Beaucoup de maladies neurologiques sont présentes chez les sujets âgés fragiles et sont source d'immobilité, de troubles de déglutition (et donc de pneumopathie), et de diminution de l'autonomie à l'origine de complications de décubitus» (station allongée, NDLR).
700 morts dues à la canicule de début juillet
Alors que la France subit un nouvel épisode de chaleur, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a dévoilé jeudi les premiers chiffres du nombre de décès dus à la canicule en ce début d'été.
Entre le 29 juin et le 5 juillet, l'Institut de veille sanitaire (InVS) estime l'excès de mortalité à 700 décès (+ 7 % par rapport au nombre attendu en dehors de tout événement inhabituel), essentiellement chez des plus de 65 ans. Des données extrapolées d'après les états civils de 1000 communes, et qui restent à consolider avec les chiffres concernant la seconde partie de la vague de chaleur, du 6 au 8 juillet. Les recours, en lien direct avec la chaleur, aux urgences (3577 passages) et à SOS Médecins (1464 consultations) ont aussi été en légère hausse. Déshydratation et hyponatrémie (baisse du taux de sodium dans le sang) ont concerné surtout les personnes âgées, les coups de chaleur s'observant «davantage chez les enfants et les adultes de moins de 75 ans», note l'InVS.
«Cet épisode caniculaire confirme que la chaleur demeure un risque important pour la santé en France», conclut l'InVS, indiquant que la prévention reste impérative. «Tout épisode de canicule s'accompagne nécessairement d'une surmortalité», précise cependant Marisol Touraine, les personnes déjà malades étant fragilisées par l'extrême chaleur. Mais l'on constate que, depuis 2003, population et institutions sont mieux préparées.

samuel

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Administrateur

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ACTUALITÉ
BONZAMI Emmanuelle/cynoclub - Fotolia
La période d'hiver reste plus meurtrière que l'été, avec 30.000 morts en moyenne par an ce bilan représente deux canicules de 2003.






«La canicule est un évènement plutôt précipitant que mortel»
Mots clés : canicule, gériatrie
Par figaro iconNicolas Plantey - le 16/07/2015
INTERVIEW - Le professeur François Piette, médecin gériatre libéral et ancien chef de service à l'Hôpital Charles Foix (Ivry-sur-Seine), rappelle que les épisodes de chaleur tuent moins que le froid hivernal.
Sept cent décès supplémentaires ont été recensés entre le 29 juin et le 5 juillet, lors de la canicule qui a frappé la France, a annoncé mercredi la ministre de la Santé Marisol Touraine. Le Pr François Piette, président de la Société française des technologies pour l'autonomie et gérontechnologies (SFTAG), appelle à de la «prudence» face à cette annonce.
Le FIGARO. - Est-ce la canicule qui a tué ces 700 personnes?
Pr François PIETTE. - La canicule est un évènement plutôt précipitant que mortel. Lorsque l'on prend le bilan de la canicule de 2003, qui reste la référence, 15.000 personnes supplémentaires sont décédées mais cela s'est traduit un an plus tard par une sous-mortalité en 2004. Ainsi, le nombre des personnes qui ont succombé à la canicule de 2003 auraient dû mourir dans l'année. Les 700 morts sur le mois de juillet représentent une estimation non-finie du bilan de l'été, il faudrait voir sur l'ensemble de la saison pour ensuite pouvoir comparer et voir les répercussions sur le taux de mortalité. Sachant que le nombre annuel de décès est de l'ordre de 500.000, si on rapporte ces 700 morts sur un mois, on ne peut qu'être prudent face à cette annonce.
Entre l'hiver et l'été, quelle saison est la plus à risque?
La période d'hiver reste plus meurtrière que l'été, avec 30.000 morts en moyenne par an cela représente deux canicules de 2003. D'autant plus que l'épidémie de grippe cette année a été particulièrement meurtrière. Mais si la surmortalité hivernale est liée principalement aux virus et relève de mesures spécifiques comme la vaccination, les décès liés à la canicule sont principalement causés par la défaillance de l'organisation

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