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Roch Hachana / Nouvel an Juif

5 participants

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1Roch Hachana / Nouvel an Juif Empty Roch Hachana / Nouvel an Juif Jeu 5 Sep - 13:34

Psalmiste

Psalmiste

Aujourd'hui 5 septembre 2013, nous fêtons Roch Hachana (le nouvel an juif) !

Psalmiste

Psalmiste

Voir la vidéo : http://m.youtube.com/watch?v=I8syyoGC-RI&desktop_uri=%2Fwatch%3Fv%3DI8syyoGC-RI

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Salut Psalmiste.
Quelle rigolade hi hi hi clap 
Daftpunck va être jaloux.
Certain sont prêt à tout pour se faire remarquer y compris dans la "religion".
A+ BONNE SOIR2E

Psalmiste

Psalmiste

Et oui Philippe Wink

Heureusement que le ridicule ne tue pas Smile

Josué

Josué
Administrateur

Rosh Hashana, la nouvelle année juive
Mélanie Nunes - publié le 09/09/2013

Les 5 et 6 septembre, les Juifs ont célébré Rosh Hashana, soit le début de la 5774e année selon le calendrier hébreu.
Inaugurée mercredi 4 septembre 2013 par la célébration d' Erouv Tavchiline, Rosh Hashana a été célébrée durant deux jours : le jeudi 5 et vendredi 6 septembre. En hébreu, Rosh Hashana signifie « la tête de l'année », et représente le début de l'année juive. Cette année, les juifs fêtent la 5774e année selon le calendrier hébraїque. Une date qui n'a pas été choisie par hasard, puisque selon la tradition, elle correspond également à l'anniversaire de la création d'Adam et Eve, mais aussi au jour du couronnement du Roi de l'univers, et au premier jour du jugement de Dieu.

Des aliments sacrés

La veille de Rosh Hashana, la tradition veut que les croyants se regroupent autour d'un repas traditionnel. Les fidèles prennent alors un morceau de pain accompagné d'un plat cuisiné comme de la viande, du poisson ou un oeuf dur, qu'ils consommeront seulement durant le shabbat. Figues, poissons, ou encore pommes et miel seront dégustés par les croyants. « La pomme et le miel symbolisent la vie », souligne un fidèle. En trempant la pomme dans le miel, l'homme prie Dieu d'accorder au monde (la pomme) une année pleine de vie et de douceur (le miel). D'autres aliments font également partie du cérémonial : la tête de poisson exprime le souhait d'être dirigé par sa tête et non son corps, synonyme de faiblesse . Enfin, la grenade désigne une vie faite de bonnes actions, symbolisées par les délicieux grains de ce fruit qui portent chance pour la nouvelle année.

La cérémonie du Tachli'h

Un lac rempli de poissons, quelques prières et péchés jetés à l'eau. A Neuilly, « plus de 25 % des habitants sont juifs », note un pratiquant qui officie à la synagogue. Le jeudi, premier jour de Rosh Hashana, la prière du Tachli'h – qui signifie « jeter au loin » - est prononcée. Ainsi, les croyants se regroupent sur les rives d'un cours d'eau, une mer ou un lac contenant des poissons avant le crépuscule pour réciter la prière, l'eau poissonneuse symbolisant la bonté divine. « Il est obligatoire de prier auprès d'une eau qui contient des poissons », indique un jeune homme venu pour accueillir les juifs de Neuilly pendant ces deux jours. En effet, selon la tradition, les poissons dans l'eau n'ont pas le mauvais oeil et les péchés rejetés à l'eau n'auraient pas prise sur eux. « Nous comparons souvent nos vies à celle des poissons. La vie des poissons dépend de l'eau, comme la nôtre qui dépend de celle de Dieu », souligne-t-il. De même, « les adeptes ont jusqu'au jour de Kippour, dix jours plus tard pour se laver de tous les péchés », note le rabbin Zaoui, qui dirige l'association Beth'Habad-Loubavitch de Neuilly.

Pendant que certains prient au bord de l'eau sous les arbres, le rabbin Zaoui sonne le chofar, une corne de bélier : « Nous sonnons le chofar plusieurs fois par jours pour que les gens puissent l'écouter. Pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer, nous nous rendons à domicile », indique le jeune fidèle. Dans le parc situé rue Maurice Barrès, plus de 1 000 personnes se relayeront pour l'écouter. Utilisé pour annoncer les nouvelles dans la tradition juive, le chofar doit être entendu au moins une fois dans la journée par les croyants juifs durant ces deux jours. Le son de cette corne permet de faire vibrer les éléments les plus intimes de l'âme, afin de réveiller la foi personnelle. Puis vient la récitation de la bénédiction signifiant « bonne et heureuse année pleine de santé et de prospérité », prononcée par le rabbin.

Après l'annonce de la nouvelle année, durant dix jours, les juifs vivent la Techouva qui est le retour vers Dieu. Cette période leur permet de se corriger spirituellement en veillant à améliorer leur conduite générale pour le grand pardon, le jour de Yom Kipour, le 14 septembre 2013.
http://www.lemondedesreligions.fr/savoir/rosh-hashana-la-nouvelle-annee-juive-09-09-2013-3380_110.php

chico.

chico.

Un élu demande l'interdiction d'une manifestation juive
Par Olivier Francey. Mis à jour à 14:08
Le conseiller municipal Pierre Gauthier conteste la tenue de la fête de Hanouka sur la place du Molard. L'élu d'Ensemble à Gauche invoque une violation de la loi sur le culte extérieur.Alors que la communauté juive s'apprête à célébrer Hanouka, l'élu d'Ensemble à Gauche Pierre Gauthier demande aux autorités municipales d'annuler l'autorisation délivrée pour la tenue de cette fête des Lumières, qui consistera à allumer une Ménorah géante sur la place du Molard le 3 décembre. Selon celui qui est également secrétaire de la Coordination laïque genevoise, la manifestation violerait la loi sur le culte extérieur, qui stipule que «toute célébration de culte, procession ou cérémonie religieuse quelconque est interdite sur la voie publique».

«Je n'ai pas peur de me faire taxer abusivement d'antisémite parce que mon propos n'est pas dirigé contre une communauté religieuse! tranche d'emblée Pierre Gauthier se défendant d'une démarche agressive. Mais il existe une loi. Je m'étonne donc que les autorités ne la respectent pas en délivrant une autorisation à cette manifestation. Comment voulez-vous qu'on exige des citoyens qu'ils respectent les lois eux aussi.»

Pour l'élu, il n'y a pas à délivrer de «passe-droits» à la vue du caractère «éminemment cultuel» de la fête des Lumières. «Cette autorisation est illégale, elle pourrait donc être ressentie comme discriminante pour d'autres religions qui se seraient vues interdire des pratiques similaires dans l'espace public», argumente ce dernier. La tribune de Genève.

Josué

Josué
Administrateur

Yom Kippour aura lieu cette année du 15 au 16 septembre 2021. Cette fête "de la Torah" commémore le "grand Pardon de Dieu" au peuple juif et marque le début d'un jeûne de 25 heures.


CAMILLE MOREAU Publié le 15/09/2021 à 14h23 - Mis à jour le 25/11/2021
SAUVEGARDER L'ARTICLE
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La fête juive de Yom Kippour a lieu 10 jours après le nouvel an juif, Roch Hachana (communément appelé Shana Tova) et correspond donc au dixième jour du mois de Tichri, le premier mois de l'année juive marqué par plusieurs grandes fêtes.

Quand se déroule la fête juive de Yom Kippour ?

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Cette année, cette fête dite "de la Torah" débute le 15 septembre 2021 au soir, pour s'achever le jeudi 16 septembre 2021 au soir.
Les dates et horaires de Yom Kippour changent chaque année, car celles-ci dépendent du calendrier hébraïque composé de 12 ou 13 mois lunaires selon les années.
Les mois lunaires sont plus courts que les mois du calendrier grégorien, c'est pourquoi le 10 du mois de Tichri varie en fonction des années.
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Quelle est la signification de Yom Kippour ?

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Cette fête juive commémore un passage de la Bible : le "Pardon de Dieu" au peuple juif pour la faute du Veau d'Or, raconté dans le livre de l'Exode.
Yom Kippour signifie "jour de l'expiation". Cette fête s'inscrit dans la période des "jours redoutables" (yamim noraim). Durant ce moment de l'année, les Hommes demandant pardon directement à leurs proches ainsi qu'à Dieu pour expier leurs fautes.
Yom Kippour est le point d'orgue de cette période de pénitence. Considéré comme le "jour des Pardons" (shabbat des shabbat), il marque la fin de ces jours de repentir au terme desquels femmes et hommes sont lavés de leurs péchés. Cinq prières obligatoires se succèdent à la synagogue pour les croyants qui souhaitent obtenir le pardon divin :
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  • Maariv ;
  • Cha'harit et Yizkor ;
  • Moussaf ;
  • Min'ha ;
  • Néïla.


Les rituels à respecter durant la fête de Yom Kippour

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Le soir précédent la fête de Yom Kippour, un repas familial est généralement organisé. On allume alors une bougie du souvenir, en mémoire aux morts, puis deux bougies pour symboliser d'entrée dans la dimension sacrée de l'évènement.
Un jeûne total de 25 heures débute 30 minutes avant le coucher du soleil - à 19h47 à Paris - et se termine 30 minutes après le coucher du soleil le lendemain - à 20h48 à Paris -. Il implique une privation de nourriture et de boisson pour les hommes à partir de 13 ans et les femmes à partir de 12 ans. Le jeûne est proscrit chez les personnes pour qui cette privation comporte un risque.
La fin de ce jeûne total est traditionnellement marqué dans les synagogues par la sonnerie du shofar, un instrument à vent conçu à partir d'une corne de bélier.
En parallèle des prières et du jeûne, les croyants respectent plusieurs restrictions telles que :
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  • l'interdiction de se laver ;
  • l'interdiction d'avoir des relations conjugales ;
  • l'interdiction de porter des chaussures en cuir qui symbolisent le confort et la richesse matérielle ;
  • l'interdiction de s'oindre le corps avec des lotions ou des huiles.

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Il est également interdit de travailler. La fête de Yom Kippour est un jour chômé, mais pas férié.
Chez les juifs séfarades, la coutume veut que les croyants s'habillent en blanc afin de signifier leur volonté d'expier leurs pêché
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chico.

chico.

Qu'est-ce que la fête du Souccot ?

Clotilde Costil 29/09/2022, 10:06 Culture



La fête du Souccot est une fête importante du calendrier juif puisqu’elle fait référence à un événement fondateur du judaïsme : l’exode hors d’Egypte du peuple juif pendant quarante ans.


Sept fêtes importantes structurent le calendrier juif, parmi lesquelles Souccot. Célébrée durant sept jours à partir du 15 “tishri” (qui correspond, selon les années, aux mois de septembre ou octobre dans le calendrier grégorien), cette fête s’étale sur sept jours et le premier d’entre eux est férié en Israël. Cette année, Souccot tombe du 9 au 16 octobre 2022. Elle intervient après Yom Kippour et précède Hanoukkah. On y célèbre à la fois la dernière récolte de l’année, qui s’achève avec les vendanges, et l’exode hors d’Egypte, un épisode de la Torah durant lequel le peuple d'Israël réduit en escalvage en Egypte, a erré pendant 40 ans dans le désert, guidé par Moïse et assisté de Yahvé, pour trouver la terre promise. Cet événement, avec le don de la Torah sur le mont Sinaï, est fondateur du judaïsme.

Que signifie “Souccot” ?

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Le terme “Souccot” vient de soukka, une cabane qui servait aux juifs à s’abriter lors de leur exil dans le désert. On appelle d’ailleurs aussi la fête du Souccot, la “fête des cabanes”. Aujourd’hui, en souvenir de cet épisode, les juifs érigent de nouveau des soukka selon un procédé bien codifié pour se rapprocher des constructions traditionnelles : une installation décorée pour l’occasion, faite de branchages et feuillages laissant apercevoir les étoiles. A l’occasion de cette semaine de festivités, les croyants y prennent leur repas voire y résident, si le climat le permet.
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Comment fête-t-on Souccot ?

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La Torah recommande également aux Juifs d’accompagner ces festivités de quatre espèces de plantes : la loulav (une branche de palme), l'etrog (cèdrat), l’hadass (myrte), l’aravat (saule). Ensemble, ils constituent le bouquet des « quatre espèces ». Présenté en faisceau puis portées et balancées lors de la prière du Hallel, ce bouquet doit illustrer l’unité du peuple juif. Des rites religieux sont également répandus durant ces sept jours : des récitations de la Torah ou encore des bénédictions. Lors du dernier jour de Souccot, appelé “Hoshana Rabba”, les croyants sont invités à se rendre avec leur bouquet des quatre espèces à la synagogue pour lire de nouveau la Torah et observer certains rites. On frappe ainsi le sol avec les feuilles de saule, un geste symbolisant le renouveau de la vie.[/size][/size]

Lechercheur



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https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2024/10/02/qu-est-ce-que-le-schofar-ce-mysterieux-instrument-de-musique-utilise-pour-le-nouvel-an-juif_6189594_6038515.html

Qu’est-ce que le schofar, ce mystérieux instrument de musique utilisé pour le Nouvel An juif ?
Les juifs célèbrent Roch Hachana, le Nouvel An du calendrier hébraïque, à partir de ce mercredi et jusqu’à vendredi soir. Lors des célébrations, comme au moment de Yom Kippour – du 11 au 12 octobre –, les fidèles entendront à diverses reprises le son du schofar, une corne creusée riche en histoire.

Par Macha Fogel
Publié le 02 octobre 2024 à 14h39 (republication de l’article du 15 septembre 2023 à
Un juif indien joue du schofar lors de la cérémonie du tashlikh, à l’occasion de Roch Hachana, le Nouvel An juif, à Mumbai, le jeudi 13 septembre 2007. GAUTAM SINGH / ASSOCIATED PRESS
Chaque année à la fin de l’été ou au début de l’automne, les communautés juives à travers le monde fêtent le Nouvel An : Roch Hachana, la « tête de l’année ». Celui-ci précède de dix jours le jeûne de Yom Kippour, le « jour de l’expiation ». Cette période essentielle de l’année juive est symbolisée par un très ancien instrument : le schofar, une corne creusée pour émettre des sons caractéristiques, inhabituels aux oreilles contemporaines. Voici quatre questions pour comprendre la fonction et l’origine de cet instrument riche en histoire.

Quand est utilisé le schofar ?
A la synagogue ou dans une maison de prière, le schofar résonne tous les matins pendant le mois qui précède le Nouvel An. Lors de Roch Hachana, on fait même retentir la corne cent fois au cours des offices de mi-journée, durant les deux jours que dure la fête (sauf si l’un des deux jours tombe un shabbat, jour où il est interdit de l’utiliser). A la toute fin de Kippour, enfin, la sonnerie du schofar signifie la fin du jeûne. N’importe qui peut souffler dans le schofar même si la tâche revient généralement au chantre, celui qui lit les prières.

Quelle est l’origine du schofar ?
Cet instrument à vent est mentionné pour la première fois dans la Bible lors du récit de la Révélation divine sur le mont Sinaï, alors que les Hébreux ont fui l’Egypte (Exode 19, 16-19). Il est traditionnellement fabriqué à partir d’une corne vidée. D’après les textes bibliques et talmudiques, l’usage du schofar est de plusieurs ordres. D’une part, il est utilisé pour annoncer un danger imminent ; en cas d’invasion militaire (par exemple dans Ezekiel 33, 1-20), d’incendie ou encore d’épidémie, à la manière du tocsin ou d’une alarme municipale moderne. Dans d’autres contextes bibliques, il sert de signal de guerre : sa sonnerie, comme celle d’une trompette romaine, annonce le début et la fin des hostilités (ainsi dans Juges 6, 34).

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Roch Hachana, Yom Kippour, Pessah… Pour ne plus confondre les fêtes juives

Il peut aussi résonner pour annoncer le couronnement du roi de Judée (avant l’exil qui suivra la destruction romaine du Temple de Jérusalem en 70 de notre ère). Enfin, il possède un sens liturgique, le seul retenu de nos jours : il célèbre alors le rôle de Dieu, roi des rois et responsable de l’ordre dans le monde.

Avec quoi le schofar est-il fabriqué ?
Le mot schofar, dont la racine hébraïque rappelle celle du verbe « améliorer », pourrait être rapproché de l’akkadien shapparu, qui désigne le mouton sauvage. Mais, dans la plupart des communautés, l’animal choisi est un bélier, sans doute en souvenir de l’épisode du sacrifice d’Isaac par Abraham, dont le bras armé d’un poignard, arrêté providentiellement par un ange au moment où il s’apprêtait à égorger son fils, s’abat en remplacement sur un bélier – récit lu à la synagogue au cours de la fête de Roch Hachana.

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