L’origine
La circoncision est pratiquée par la majorité des musulmans bien qu’elle ne soit pas mentionnée dans le Coran, qui est la 1ère source du droit musulman.
Les défenseurs de la circoncision tant masculine que féminine recourent alors à la sunnah (2ème source du droit musulman) pour la justifier. Mais comme l’écrit Sami Aldeeb : « le recours à la sunnah n’est pas chose aisée. En effet, l’authenticité de beaucoup de récits attribués à Mahomet est mise en doute et certains musulmans refusent même tout recours à la sunnah. » (2)
Certains savants musulmans affirment qu’il n’existe aucune preuve authentique qui soutient le caractère obligatoire de la circoncision et certains « vont jusqu’à attribuer la circoncision masculine aux juifs convertis à l’islam du temps de Mahomet. » (14)
Il est intéressant de constater qu’il s’agit d’un moyen revendiqué par des juristes musulmans pour contrôler la sexualité de l’individu :
Ibn-Qayyim Al-Jawziyyah écrit que la circoncision, tant masculine que féminine, modère la concupiscence qui, « si elle est exagérée, fait de l’homme un animal; et si elle est anéantie, fait de lui une chose inanimée. Ainsi, la circoncision modère cette concupiscence. De ce fait, tu trouves les hommes et les femmes incirconcis jamais rassasiés de l’accouplement. » (3)
Al-Mannawi rapporte de l’imam Al-Razi :
Le gland est très sensible. S’il reste caché dans le prépuce, il fortifie le plaisir lors de l’accouplement. Si le prépuce est coupé, le gland se durcit et le plaisir s’affaiblit. C’est ce qui convient le mieux dans notre loi: réduire le plaisir sans le supprimer totalement, un juste milieu entre l’excès et la négligence. (4)
La circoncision est pratiquée par la majorité des musulmans bien qu’elle ne soit pas mentionnée dans le Coran, qui est la 1ère source du droit musulman.
Les défenseurs de la circoncision tant masculine que féminine recourent alors à la sunnah (2ème source du droit musulman) pour la justifier. Mais comme l’écrit Sami Aldeeb : « le recours à la sunnah n’est pas chose aisée. En effet, l’authenticité de beaucoup de récits attribués à Mahomet est mise en doute et certains musulmans refusent même tout recours à la sunnah. » (2)
Certains savants musulmans affirment qu’il n’existe aucune preuve authentique qui soutient le caractère obligatoire de la circoncision et certains « vont jusqu’à attribuer la circoncision masculine aux juifs convertis à l’islam du temps de Mahomet. » (14)
Il est intéressant de constater qu’il s’agit d’un moyen revendiqué par des juristes musulmans pour contrôler la sexualité de l’individu :
Ibn-Qayyim Al-Jawziyyah écrit que la circoncision, tant masculine que féminine, modère la concupiscence qui, « si elle est exagérée, fait de l’homme un animal; et si elle est anéantie, fait de lui une chose inanimée. Ainsi, la circoncision modère cette concupiscence. De ce fait, tu trouves les hommes et les femmes incirconcis jamais rassasiés de l’accouplement. » (3)
Al-Mannawi rapporte de l’imam Al-Razi :
Le gland est très sensible. S’il reste caché dans le prépuce, il fortifie le plaisir lors de l’accouplement. Si le prépuce est coupé, le gland se durcit et le plaisir s’affaiblit. C’est ce qui convient le mieux dans notre loi: réduire le plaisir sans le supprimer totalement, un juste milieu entre l’excès et la négligence. (4)