Josué a écrit:oui mais la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel.ça veux dire quoi ?
[i]La Nouvelle Jérusalem, avec Christ siégeant sur son trône dans cette ville symbolique, constitue les “ nouveaux cieux ” qui dirigent la “ nouvelle terre ”, la société humaine sur la terre.
Que la Nouvelle Jérusalem est bien une ville céleste, c’est ce que montre encore la vision que Jean en eut. Seule une ville symbolique pourrait avoir les dimensions et la splendeur de la Nouvelle Jérusalem. Sa base carrée avait quelque 555 km de côté, soit un périmètre d’environ 2 220 km, c’est-à-dire 12 000 stades. De forme cubique, elle était aussi haute que longue et large. Aucune ville bâtie par l’homme ne pourrait se dresser jusqu’à une telle hauteur dans l’espace. Elle était entourée d’une muraille de 144 coudées (64 m) de haut. Cette muraille, construite en jaspe, reposait sur 12 pierres de fondement, pierres précieuses d’une grande beauté — jaspe, saphir, calcédoine, émeraude, sardonyx, sardoine, chrysolithe, béryl, topaze, chrysoprase, hyacinthe et améthyste. Sur ces 12 pierres de fondement étaient gravés les noms des 12 apôtres de l’Agneau. À l’intérieur de ces splendides murailles, la ville elle-même n’était pas moins glorieuse, car, selon sa description, elle était d’“ or pur semblable à du verre limpide ” et elle avait une grande rue d’“ or pur, comme du verre transparent ”. — Ré 21:12-21.Dans cette ville assurément sainte et sacrée, il n’y avait pas de temple visible pour le culte, parce que “ Jéhovah Dieu le Tout-Puissant est son temple, ainsi que l’Agneau ”. Et la ville n’avait “ pas besoin du soleil ni de la lune pour l’éclairer, car la gloire de Dieu l’illuminait, et sa lampe c’était l’Agneau ”. La domination qu’elle exercera sur les nations leur sera salutaire, puisqu’elles “ marcheront par le moyen de sa lumière ”. — Ré 21:22-27